Dans la nuit du 16 décembre 2024, des frappes aériennes israéliennes ont visé des installations militaires dans la région côtière de Tartous, en Syrie.
Selon des sources locales, ces attaques ont généré des explosions si puissantes qu’elles ont été enregistrées par des sismographes comme un séisme de magnitude 3,0.
D’après l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), les frappes ont ciblé des dépôts de munitions et des systèmes de défense aérienne. Ces installations étaient considérées comme des points stratégiques utilisés par des forces iraniennes et des groupes affiliés. L’OSDH a décrit ces frappes comme les plus violentes dans cette région depuis le début du conflit syrien en 2012.
L’intensité des explosions a semé la panique parmi la population locale. Certains habitants, interrogés par des médias locaux, ont comparé l’ampleur des détonations à un véritable tremblement de terre. Des secousses ont également été ressenties dans des localités avoisinantes, alimentant les craintes d’une escalade régionale.
Certaines spéculations ont émergé sur l’utilisation possible d’une arme nucléaire tactique, notamment en raison de la force des explosions et d’un pic de radioactivité signalé dans certaines régions proches, notamment à Chypre et en Turquie. Cependant, aucune preuve tangible n’a été apportée pour confirmer cette hypothèse. Des experts militaires estiment que l’effet sismique observé pourrait être lié à l’utilisation de munitions conventionnelles de très forte puissance, comme des bombes pénétrantes conçues pour détruire des bunkers.
Israël garde le silence
Comme à son habitude, Israël n’a ni confirmé ni démenti ces frappes, mais les responsables militaires israéliens affirment régulièrement qu’ils poursuivront leurs opérations pour contrer la présence iranienne en Syrie, considérée comme une menace pour leur sécurité nationale.
Ces frappes surviennent dans un contexte de tensions accrues entre Israël, l’Iran et les groupes soutenus par ce dernier en Syrie. La communauté internationale s’inquiète d’une possible intensification du conflit, alors que la région reste en proie à une instabilité chronique.
Radio Sisko FM continuera de suivre cette affaire et de vous tenir informés des derniers développements.
Source : L’Orient-Le Jour, Observatoire syrien des droits de l’homme, India.com
Selon des sources locales, ces attaques ont généré des explosions si puissantes qu’elles ont été enregistrées par des sismographes comme un séisme de magnitude 3,0.
D’après l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), les frappes ont ciblé des dépôts de munitions et des systèmes de défense aérienne. Ces installations étaient considérées comme des points stratégiques utilisés par des forces iraniennes et des groupes affiliés. L’OSDH a décrit ces frappes comme les plus violentes dans cette région depuis le début du conflit syrien en 2012.
L’intensité des explosions a semé la panique parmi la population locale. Certains habitants, interrogés par des médias locaux, ont comparé l’ampleur des détonations à un véritable tremblement de terre. Des secousses ont également été ressenties dans des localités avoisinantes, alimentant les craintes d’une escalade régionale.
Certaines spéculations ont émergé sur l’utilisation possible d’une arme nucléaire tactique, notamment en raison de la force des explosions et d’un pic de radioactivité signalé dans certaines régions proches, notamment à Chypre et en Turquie. Cependant, aucune preuve tangible n’a été apportée pour confirmer cette hypothèse. Des experts militaires estiment que l’effet sismique observé pourrait être lié à l’utilisation de munitions conventionnelles de très forte puissance, comme des bombes pénétrantes conçues pour détruire des bunkers.
Israël garde le silence
Comme à son habitude, Israël n’a ni confirmé ni démenti ces frappes, mais les responsables militaires israéliens affirment régulièrement qu’ils poursuivront leurs opérations pour contrer la présence iranienne en Syrie, considérée comme une menace pour leur sécurité nationale.
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Source : L’Orient-Le Jour, Observatoire syrien des droits de l’homme, India.com
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