• il y a 4 jours
Transcription
00:00Je me nomme Lamine Makan Kamara, je suis le conseiller de l'association des sinistrés de Pamélap.
00:08Comment se porte l'association des sinistrés ici à Pamélap ?
00:12L'association des sinistrés à Pamélap se porte très bien, c'est une association qui réside à Conakry,
00:23nous sommes en contact direct avec la population de Pamélap.
00:29Tout ce qui se passe à Pamélap ici, on balance directement sur notre plateforme et directement on réagit.
00:39Pamélap, c'est une zone qui se situe à la frontière la plus proche de la capitale, à 135 kilomètres de place de Martire.
00:51Alors Pamélap, c'est une localité cosmopolite où il y a beaucoup de personnes qui vivent ici.
01:00Alors sur cette situation, nous sommes très braves et nous luttons pour le développement de cette localité.
01:13Pamélap, on a beaucoup de projets. Hier on a assisté à l'installation du bureau de district, ça a été bien passé, c'était un événement de taille.
01:33Vous êtes témoin oculaire de beaucoup de choses ici.
01:37La gare routière de la Sierra Leone, comment vous avez pu gérer cette situation ?
01:44Bien, dès que l'incendie s'est produit, le président du district a pris des images et il a mis ça sur notre plateforme.
01:54Maintenant quand on a vu, le moment est proche de l'installation, on s'était dit, après l'installation on s'est retrouvé,
02:02on a une réunion le 22, on doit beaucoup parler sur ça et trouver des solutions ensemble avec les membres de l'association.
02:12Puis, comment vous comptez accompagner ces sinistrés à la gare routière ?
02:18Bien, nous allons essayer de voir avec notre président Adnan Omar Sissé et le vice-président Arsène Camara.
02:30Nous allons essayer de voir, c'est dans l'Assemblée maintenant, l'Assemblée on va essayer de discuter pour accompagner les personnes qui ont eu cette incidence.
02:42Donc, c'est ça qu'on va essayer de voir parce qu'il faut qu'on se retrouve d'abord.
02:47Ça ne peut pas marcher sans l'implication des autorités locales. Est-ce que vous les avez contactés et quelle a été la réaction de la police, la gendarmerie, la douane, les autorités à Nîmes ?
03:01J'espère que la question là, c'est le président qui va répondre à cette question parce que nous sommes venus, le cas était déjà passé.
03:10Mais j'espère que le président a pu contacter les autorités de la localité pour trouver une solution face à ça.
03:19En tant que ressortissant basé dans la commune de Matoto, dans la capitale Konakry, vous avez assisté à l'installation du nouveau bureau.
03:29Nous avons vu de nouvelles figures, la jeunesse est vraiment représentée à 90%.
03:37C'est super important. Le projet programme du gouvernement, c'est la jeunesse, les femmes, rajeunir, féminiser l'administration.
03:48Quelle est votre lecture de ce nouveau bureau ?
03:53Il y a l'odeur de remercier le président de la République avec son projet, la jeunesse pour gérer les affaires du pays.
04:02Là, on a vu hier, quand j'ai vu la physiognomie du bureau du district, vraiment ça m'a beaucoup réconforté.
04:13Je suis très ravi, je suis très content et j'espère que le bureau qui a été conçu ici, le bureau l'a fait faire l'affaire.
04:24C'est confiance, c'est confiance à ça.
04:27Ce que j'ai vu hier encore à Pamela PC, c'est du jamais vu d'abord.
04:33La mobilisation de la population, on a vu, n'est-ce pas, tout le monde s'est impliqué.
04:40Et cela a venu que c'est la jeunesse qui gagne.
04:43Ensuite, la formation des jeunes pose problème dans notre pays.
04:50Nous allons essayer de faire une consultation avec le président du district, avec ses membres,
04:58pour trouver une solution et que les jeunes se mettent en association,
05:04ou bien le bureau des femmes se mette en association pour créer des ONG afin de développer la localité.

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