En janvier 2023, les agriculteurs avaient tenté de paralyser le marché de Rungis, situé près de Paris. Un an plus tard, leur mécontentement persiste. Toujours sous l'impulsion de la Coordination rurale, les agriculteurs envisagent une nouvelle opération dans la capitale.
## La mobilisation se renforce
De nouveau, des dizaines de tracteurs se rassemblent aux portes de Paris. Le dimanche soir 5 janvier, les membres de la Coordination rurale ont établi leur camp dans l'Essonne. Ils comptent mener des actions dès le lendemain. "Pour l'instant, nous avons prévu Rungis et les centrales d'achat autour de Paris... Pour le reste, nous verrons comment cela va évoluer", déclare le président de la Coordination rurale de Tarn-et-Garonne.
## Précautions de la préfecture
Actuellement, la préfecture de Paris n'a donné aucune autorisation pour des manifestations et assure avoir pris des mesures nécessaires. La situation reste délicate car cette mobilisation risque d'être imprévisible. Depuis le matin du dimanche 5 janvier, des convois en provenance de toute la France convergent vers Paris : Amiens (Somme), Besançon (Doubs), et même des régions telles que Toulouse (Haute-Garonne) et Loir-et-Cher. Les agriculteurs sont équipés pour rester plusieurs jours dans la capitale.
## La mobilisation se renforce
De nouveau, des dizaines de tracteurs se rassemblent aux portes de Paris. Le dimanche soir 5 janvier, les membres de la Coordination rurale ont établi leur camp dans l'Essonne. Ils comptent mener des actions dès le lendemain. "Pour l'instant, nous avons prévu Rungis et les centrales d'achat autour de Paris... Pour le reste, nous verrons comment cela va évoluer", déclare le président de la Coordination rurale de Tarn-et-Garonne.
## Précautions de la préfecture
Actuellement, la préfecture de Paris n'a donné aucune autorisation pour des manifestations et assure avoir pris des mesures nécessaires. La situation reste délicate car cette mobilisation risque d'être imprévisible. Depuis le matin du dimanche 5 janvier, des convois en provenance de toute la France convergent vers Paris : Amiens (Somme), Besançon (Doubs), et même des régions telles que Toulouse (Haute-Garonne) et Loir-et-Cher. Les agriculteurs sont équipés pour rester plusieurs jours dans la capitale.
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00:00En janvier 2000, les agriculteurs avaient tenté de paralyser le marché de Rungis, situé près de Paris.
00:06Un an plus tard, leur mécontentement persiste, toujours sous l'impulsion de la coordination rurale.
00:12Les agriculteurs envisagent une nouvelle opération dans la capitale.
00:15De nouveau, des dizaines de tracteurs se rassemblent aux portes de Paris, le dimanche soir 5 janvier.
00:21Les membres de la coordination rurale ont établi leur camp dans l'Essonne.
00:25Ils comptent mener des actions dès le lendemain.
00:27« Pour l'instant, nous avons prévu Rungis et les centrales d'achat autour de Paris.
00:31Pour le reste, nous verrons comment cela va évoluer », déclare le président de la coordination rurale de Tarn-et-Yaron, actuellement.
00:38La préfecture de Paris n'a donné aucune autorisation pour des manifestations et assure avoir pris des mesures nécessaires.
00:45La situation reste délicate car cette mobilisation risque d'être imprévisible depuis le matin du dimanche 5 janvier.
00:52Des convois en provenance de toute la France convergent vers Paris à miens sommes.
00:56Besançon-Doubs et même des régions telles que Toulouse-Au-Claronne et Loire-Escher.
01:00Les agriculteurs sont équipés pour rester plusieurs jours dans la capitale.
01:04Je vous remercie d'avoir regardé cette vidéo.
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