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00:00C'est notre Ousmane Sonko national, on le prépare, parce que le discours de Ousmane Sonko a été un discours panafricain.
00:12Si tu penses qu'au Sénégal, les Africains parlent pour faire l'indépendance, la souveraineté, le mythe de la France, etc.
00:19C'est pourquoi les Africains, depuis longtemps, ont démystifié la France.
00:24Au Sénégal, c'est la France qui a besoin de nous.
00:29La réciprocité des visas est très importante pour nous.
00:37On a besoin de nos visas, on a rien à perdre.
00:42On a besoin de nous, on a besoin de la politique.
00:47Parce que la France a besoin de nous.
00:51C'est Abou Laïwade qui a commencé à démystifier la France.
00:56C'est lui qui a commencé ce processus-là.
01:08C'est un processus qui arrive à maturation, où l'homme blanc, la poste de la France à l'égard de l'Afrique va radicalement changer.
01:16Désormais, on discutera d'égal à égal.
01:19C'est la position de PASTEF, c'est la position du Sénégal.
01:23Et tous les contrats qui sont là-bas seront renégociés.
01:26On verra ce qu'il y a en France.
01:28Est-ce qu'il y a de l'argent? Est-ce qu'il y a de l'argent? Est-ce qu'il y a de l'argent pour la France?
01:30Est-ce qu'il y a de l'argent pour la France? Est-ce qu'il y a de l'argent pour la France?
01:33C'est un travail qui est en train d'être mené et qui nécessite le soutien du peuple sénégalais.
01:39Encore une fois, je dis que le peuple sénégalais doit soutenir ce régime.
01:43Parce qu'il y a la volonté de procéder à des ruptures fondamentales.
01:48Si quelqu'un croise les bras, c'est parce qu'il a besoin d'un signe.
01:54Il a besoin d'un signe de rupture.
01:56Même s'il n'y a pas d'argent, même s'il n'y a pas d'argent, même s'il n'y a pas de courant,
02:00il a besoin d'un signe de rupture.
02:02Il faut le communiquer, il faut le communiquer.
02:04On le voit.
02:06On le voit.
02:07On sait qu'il y a des ruptures.
02:09Et l'opinion a besoin de ça.
02:11Alors, sur le point politique que j'ai mentionné,
02:17on l'a vu malgré sa révocation,
02:19il est devenu maire,
02:21maire de Dakar,
02:23et il est devenu maire de Dakar,
02:25et il est devenu maire de Dakar,
02:27et il a communiqué très bien.
02:29et il a communiqué très bien.
02:31Il a parlé bien.
02:33Il a parlé bien.
02:35Il a parlé bien.
02:37Il a parlé bien.
02:39Il a parlé bien.
02:41Mais il a dit qu'il voulait mettre soin de tout.
02:43Mais il a dit qu'il voulait mettre soin de tout.
02:45Aïda,
02:47il y a des choses qui sont claires.
02:49Comment appellent les Sénégalais?
02:51Une chose claire,
02:53Une faire sa veste
02:55C'est ce qu'il a dit.
02:57C'est ce qu'il a dit.
02:59On le prend comme maire de Dakar,
03:01On le prend comme maire de Dakar,
03:03c'est comme si on laissait
03:05le gouvernement
03:07président de la république.
03:11président de la république.
03:11président de la république. Oui, c'est faux.
03:15Oui, c'est faux.
03:15Oui, c'est faux. Loi
03:19Loi
03:19Loi a été qu'un instrument pour
03:21a été qu'un instrument pour
03:21a été qu'un instrument pour matérialiser ce limosage.
03:26territoriale
03:33banlieue à Sénégal,
03:36banlieue à Sénégal,
03:36banlieue à Sénégal, mon
03:56Donc c'est pas
04:07Donc c'est pas
04:07Donc c'est pas qui l'a enlevé là-bas.
04:10qui l'a enlevé là-bas.
04:10qui l'a enlevé là-bas. C'est le code des collectivités
04:12C'est le code des collectivités
04:12C'est le code des collectivités territoriales.
04:16Mais
04:20un langage
04:23la problématique des
04:25la problématique des
04:25la problématique des formules chocs. C'est qu'il ne résiste
04:26formules chocs. C'est qu'il ne résiste
04:26formules chocs. C'est qu'il ne résiste pas à l'examen.
04:30Mais
04:33mais
04:35mais
04:40les plus
04:44Mais
04:47mais
04:50mais pour
04:53mais pour
04:53mais pour l'instant, il n'est plus maire de Dakar.
04:54l'instant, il n'est plus maire de Dakar.
04:54l'instant, il n'est plus maire de Dakar. Je suis toujours maire de Dakar.
04:57Je suis toujours maire de Dakar. Je ne peux plus entrer au hôtel de ville.
04:59Je ne peux plus entrer au hôtel de ville.
04:59Je ne peux plus entrer au hôtel de ville. Je n'ai plus de bureau.
05:02Je ne peux plus entrer au hôtel de ville. Je n'ai plus de bureau.
05:05Je ne peux plus entrer au hôtel de ville. Je n'ai plus de bureau.
05:05Je ne peux plus entrer au hôtel de ville. Je n'ai plus de bureau.
05:10Je n'ai pas de bureau.
05:11Je n'ai pas de bureau.
05:11Je n'ai pas de bureau. J'ai ma chambre.
05:13sa chambre.
05:13sa chambre. Sa chambre.
05:18Le
05:22mine.
05:25Parfois, c'est l'idéologie politique qui nous dénigre.
05:30Parfois, on ne parle que de ses idées.
05:33On ne parle que de ses idées.
05:37Quand je lui ai parlé de son corps, il m'a dit qu'il n'allait pas se marier.
05:42Il a dit qu'il allait se marier avec la mère de Batelemy Diaz.
05:45Il a dit ceci.
05:49C'est ce qu'il m'a dit.
05:51Il a dit qu'il n'allait pas se marier avec la mère de Batelemy Diaz.
05:57Oui, mais Batelemy Diaz
06:00a joué et a perdu.
06:04Il a négocié avec Macky Salle et elle l'a utilisée.
06:08Elle a fait ce qu'elle voulait et elle l'a écartée.
06:13Si on reste sur Batelemy Diaz, on ne peut pas l'accepter.
06:18Après, on lui a dit qu'il n'allait pas se marier.
06:23Le jour où Ousmane Sonko est sorti de la prison
06:26s'il m'avait écouté aujourd'hui, il ne serait pas là.
06:29Il va pourrir en prison.
06:33Tu sais bien que ton pire ennemi n'est pas toi.
06:39Ce qui me fait le plus mal en ce moment, c'est la sortie de la prison.
06:45La prison n'est qu'un endroit où tu peux t'occuper de tout.
06:49C'est là qu'on s'occupe pour sortir de la prison.
06:53Ce qui me fait le plus mal en ce moment, c'est la sortie de la prison.
07:01Parfois, on n'a qu'à s'occuper de soi-même.
07:04Il va pourrir en prison, on le sait bien.
07:08Si on ne s'occupe pas d'eux, Ousmane ne sortira pas de la prison.
07:12Après avoir décidé de s'occuper de la prison,
07:15on a tous été en prison.
07:18Ousmane est en prison, Abassa aussi.
07:23Tout le monde est en prison.
07:24On a identifié tous les membres de la prison et on s'occupe d'eux.
07:28Tu sais bien que la prison est décédée.
07:32Il est sorti de la prison pour se jubiler.
07:34C'est là qu'on s'occupe de soi-même.
07:37Mais Dieu fait bien les choses.
07:39Si j'étais en prison, j'allais voir d'autres postures.
07:42Et ce que je sais de Ousmane Sonko, c'est qu'il n'a pas oublié les deux.
07:48Il a fait tout ce qu'il pouvait pour ne pas oublier Ousmane Sonko.
07:53C'est pourquoi les martyrs sont toujours là dans son bureau.
08:00Il a fait tout ce qu'il pouvait pour ne pas l'oublier.
08:04Il le rend tous les coups.
08:07C'est la personnalité d'Ousmane Sonko.
08:10Il ne le fera pas mais si il le fait, il sera humilié.
08:13Mais si tu l'enlèves, il le rendra tous les coups.
08:16Mais professeur, le maître Moussa Diop veut qu'on parle de sa femme
08:22mais il dit qu'il n'aime pas Ousmane Sonko.
08:24C'est ce qu'il veut, ce n'est pas bien.
08:29Je parle de lui, on n'en veut pas.
08:32Barte, on n'en veut pas.
08:37Sa démarche n'est pas adéquate pour une perception du Sénégalais
08:43chez un homme politique.
08:45Le Sénégalais veut un homme politique qui n'est pas un bouteille ou un dîner.
08:52Qui surveille son langage et donne un visage rassurant.
08:56C'est ce qu'il veut.
08:58Il veut que tout le monde s'occupe de lui.
09:02C'est ce qu'il veut.
09:03Même le langage? Non, il n'en veut pas.
09:06Je veux qu'on n'insulte pas l'intelligence des Sénégalais.
09:10Il n'en veut pas.
09:13C'est sa nature quand même.
09:15Barte, je vais lui dire ce qu'il veut dire.
09:19C'est ce que je lui disais à un ministre.
09:25Il n'a qu'à dire ce qu'il veut dire.
09:31Il n'a qu'à dire ce qu'il veut dire à Ousmane.
09:34Malheureusement, Dieu a inversé le prix.
09:36Il a profité de la situation pour qu'Ousmane s'éloigne de tout ça.
09:43C'est ce qu'il s'est passé.
09:46Si ce n'était pas ça, il aurait dû arriver à tout ça.
09:49C'est ce qu'il veut.
09:50Comment peux-tu comprendre qu'il a créé un mouvement politique?
09:54C'est pour ça qu'il a investi les abambayes.
10:01Les investissements sont sur leur liste.
10:05Tu prends quelqu'un comme Issa Alaye Sambo,
10:08ou Jean-Baptiste Diouf,
10:12Aline Ndoye, les abambayes Saint-Louis,
10:16ou les cassiques, tu les mets à l'écart.
10:21C'est ce qu'a exploité l'ingénierie électorale de PASTEF.
10:28Au moins, c'était des interlocuteurs valables face à PASTEF.
10:32Mais après, qui va écouter les médias?
10:36Et puis, Bate Diouf campagne pour voir Assa Ndiouf.
10:40Est-ce que c'est une bonne image à renvoyer?
10:44Assa Ndiouf est notre ami, on n'a rien contre lui.
10:49Mais on ne l'a pas oublié récemment.
10:52Je suis d'accord avec toi, il n'y a rien contre lui.
10:56Il n'a pas eu de problème, on l'a vu en combat.
11:02C'est Assa Ndiouf, on l'a vu en combat.
11:08Mais c'est Assa Ndiouf qui l'a éliminé.
11:12Il a été éliminé.
11:15Il a fait une mauvaise campagne électorale et ça n'a pas marché.
11:19Les campagnes sont passées à côté.
11:22Car la campagne électorale est une rencontre, une perception.
11:27C'est des moments de joie et d'échange.
11:30Il n'a jamais participé à une campagne électorale.
11:34Oui, je ne l'ai pas vu depuis 2019.
11:36Normalement, quelqu'un qui fait 21 jours de campagne électorale
11:42doit prendre un mois à aller à l'hôpital ou à la clinique.
11:45C'est très dur.
11:48C'est dur mais c'est tout ce que l'on voit.
11:51C'est tout ce qu'on voit psychologiquement.
11:59Ce sont des chocs émotionnels qui vont te marquer.
12:02Si tu ne te sens pas bien, tu vas mourir.
12:06C'est pour ça qu'on ne peut pas faire une campagne pleine.
12:10La campagne électorale est une campagne qui est très dur.
12:14Oui, c'est très dur.
12:15On ne peut pas dormir de 8h à 11h.
12:19On ne peut pas dormir de 5h à 4h du matin.
12:24J'ai dormi de 4h à 3h du matin.
12:28Donc, tu n'as pas le temps.
12:31C'est ça la réalité de la campagne électorale.
12:34Donc, tu dois prendre un mois pour que tes émotions s'éloignent.
12:39Sinon, tu vas mourir si tu ne le fais pas.
12:43Car une campagne, c'est n'importe quoi.
12:46C'est ce que tu vois.
12:49Si tu fais le Sénégal, tu ne peux pas faire les deux régions.
12:54Après tout ce qui s'est passé dans la campagne,
12:57finalement, tu n'as qu'à t'occuper de tes proches.
13:00C'est ce que tu dis.
13:03C'est pour ça que je ne veux pas t'excuser, c'est quelqu'un que je respecte.
13:06Mais tu dois t'occuper de tes proches.
13:09Tu sais bien.
13:11Les deux régions sont en train de se réunir.
13:15Les deux présidents sont en train de se réunir.
13:17Il ne reste qu'eux.
13:20On sait même qu'ils se réuniront la semaine prochaine.
13:25Tout ceci est une conséquence.
13:31On croit que tout ceci est en train de se réunir.
13:33Beaucoup attendent quelque chose.
13:35Beaucoup attendent quelque chose.
13:38Toutes les nominations sont en train de se réunir.
13:41Tout ceci est en train de se réunir parce que tu es un des deux présidents.
13:46Est-ce que tu peux sortir de là?
13:48J'ai entendu parler de ce qui s'est passé au Sénégal.
13:55C'est que les femmes n'ont pas décidé de se nommer.
14:00Les hommes n'ont pas décidé de se nommer.
14:02Donc, cela ne devrait pas poser de problème.
14:04Non, ça ne devrait pas poser de problème.
14:08Si tu es en train de t'améliorer dans ton travail,
14:11tu ne peux pas croire qu'ils t'ont appelé pour te demander de te nommer.
14:16Puisque le président a dit qu'il y a une ouverture.
14:19Il est prêt à accueillir tout le monde.
14:22Bien sûr, mais à condition que tu aies des propositions innovantes.
14:28Quelle approche différentielle as-tu par rapport à ce qui se passe actuellement?
14:32Ma stratégie de développement repose sur la souveraineté,
14:36la justice et la paix.
14:40Contrairement à ce que Mbakissa a fait,
14:42il va chercher les femmes pour s'améliorer.
14:45Je vais chercher les femmes mais je vais les conditionner et les cadrer.
14:50Dans 3-4 ans, j'en aurai toutes car je vais compter sur mes propres ressources.
14:55Androgènes pour régler mes propres problèmes.
14:59Que proposes-tu par rapport à ce qui se passe actuellement?
15:05On a besoin de ces gens qui réfléchissent.
15:08Mais pas ceux qui ne font que ce qu'ils doivent faire.
15:11Ce n'est pas une bonne décision.

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