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L'histoire fascinante de trafic d'art, dévoilée par "Affaires sensibles" le 12 janvier 2025, débute en 1984 avec un vol spectaculaire dans un musée de Bourgogne. Cinq toiles précieuses du peintre Camille Corot deviennent le centre d'une enquête internationale. Dans cette intrigue, une jeune commissaire française va captiver le Japon tout entier...

## Une mission périlleuse à Tokyo

Le 8 novembre 1987, une équipe de policiers français part pour Tokyo, à la recherche des toiles du célèbre peintre Jean-Baptiste Camille Corot, reconnu comme le précurseur de l'impressionnisme. Le vol de ces chefs-d'œuvre au musée municipal de Semur-en-Auxois a suscité une grande vague d'intérêt médiatique. Les journalistes sont en route pour couvrir l'événement et se passionnent surtout pour la commissaire Ballestrazzi, qui se retrouve sous les projecteurs.

## La célébrité inattendue de la commissaire

À son arrivée au Japon, Mireille Ballestrazzi, âgée de 33 ans, devient une véritable sensation, éclipsant même la célèbre chanteuse Madonna. L'engouement pour cette "superwoman" vauclusienne est tel que les Japonais l'accueillent avec une intrigue mêlée de fascination. Malgré cette attention, sa priorité demeure la récupération des tableaux introuvables.

## Les enjeux de la quête artistique

Bien que "Impression, soleil levant" reste égaré, Mireille a pu localiser les toiles de Corot. La bande de malfaiteurs parisiens, suspectée d'être à l'origine du vol, aurait agi sur demande de la mafia japonaise, experte dans le commerce illégal d'œuvres d'art occidentales. Ces toiles ont été vendues à différents établissements au Japon, dont le célèbre "Jeune homme à la casquette", acheté pour 800 000 francs, et un musée à Osaka s'est également acquitté d'un montant équivalent pour "Le Crépuscule".

## Une approche diplomatique et stratégique

Deux ans après le vol, selon les lois japonaises, un acheteur de bonne foi n'est pas contraint de restituer un bien volé après cette période. Mireille Ballestrazzi doit alors user de diplomatie pour persuader les acquéreurs de rendre les toiles tout en respectant les us et coutumes locales. Un avocat d'Osaka, Kawata Tsuyoshi, raconte comment son client, qui avait acheté le "Jeune homme à la casquette", a choisi de rendre le tableau par honneur, malgré la somme investie.

## Un succès retentissant

Grâce à son sens du tact, la commissaire réussit à convaincre les Japonais de lui restituer quatre des cinq tableaux volés. En plus de leur restitution, la police locale lui offre une mascotte en symbole d'amitié. Les médias saluent ce succès fulgurant pour Mireille Ballestrazzi et ses collègues, qui accomplissent cette mission délicate en seulement deux semaines, ramenant ainsi quatre toiles de Camille Corot en France.

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Transcription
00:00L'histoire fascinante de Trafic d'Art, dévoilée par Affaires Sensibles le 12 janvier 2025.
00:05Débutant en 1984 avec un vol spectaculaire dans un musée de Bourgogne,
00:10cinq toiles précieuses du peintre Camille Corot deviennent le centre d'une enquête internationale.
00:15Dans cette intrigue, une jeune commissaire française va captiver le Japon tout entier.
00:19Le 8 novembre 1987, une équipe de policiers français part pour Tokyo
00:24à la recherche des toiles du célèbre peintre Jean-Baptiste Camille Corot.
00:27Reconnue comme précurseur de l'impressionnisme,
00:30le vol de ses chefs-oeuvres au musée municipal de ce mur en Oksua a suscité une grande vague d'intérêts médiatiques.
00:37Les journalistes sont en route pour couvrir l'événement et se passionnent surtout pour la commissaire Balestrasi,
00:43qui se retrouve sous les projecteurs.
00:45À son arrivée au Japon, Mireille Balestrasi, âgée de 33 ans, devient une véritable sensation.
00:51Éclipsant même la célèbre chanteuse Madonna,
00:53l'engouement pour cette soupe au Home Nouveau-Clusiam est téléphone que les Japonais l'accueillent avec une intrigue mêlée de fascination.
01:00Malgré cette attention, sa priorité demeure la récupération des tableaux introuvables.
01:04Bien qu'impression, soleil et le vent restent égarés, Mireille a pu localiser les toiles de Corot.
01:09La bande de malfaiteurs parisiens, suspectés d'être à l'origine du vol,
01:13ont réagi sur demande de la mafia japonaise.
01:16Experte dans le commerce illégal d'œuvres d'art occidental,
01:19ces toiles ont été vendues à différents établissements au Japon,
01:22dont le célèbre jeune homme à la casquette acheté pour 800 000 francs.
01:26Et un musée à Osaka s'est également quitté d'un montant équivalent pour le crépuscule,
01:31deux ans après le vol selon les lois japonaises.
01:34Un acheteur de bonne foi n'est pas contraint de restituer un bien volé après cette période.
01:38Mireille Balestrasi doit alors user de diplomatie pour persuader les acquéreurs de rendre les toiles tout en respectant les coutumes locales.
01:46Un avocat d'Osaka, Kawata Hiyoshi, raconte comment son client,
01:51qui avait acheté le jeune homme à la casquette, a choisi de rendre le tableau par honneur.
01:55Malgré la somme investie, grâce à son sens du tact,
01:58la commissaire réussit à convaincre les Japonais de lui restituer quatre des cinq tableaux volés.
02:03En plus de leur restitution, la police locale lui offre une mascotte en symbole d'amitié.
02:08Les médias saluent ce succès fulgurant pour Mireille Balestrasi et ses collègues,
02:12qui accomplissent cette mission délicate en seulement deux semaines.
02:16Ramenant ainsi quatre toiles de Camille Corot en France.
02:19Je vous remercie d'avoir regardé cette vidéo.
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