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00:00♪ ♪ ♪
00:10Bon mercredi, mesdames et messieurs.
00:12Eh bien, les menaces de Donald Trump continuent d'inquiéter
00:15les manufacturiers québécois.
00:16Dans nos régions, notamment dans Lillet, un endroit où
00:18les entreprises exportent massivement vers les États-Unis,
00:21c'est l'incertitude qui plane.
00:22Et Ariane, certaines entreprises envisagent même de délocaliser
00:25leur production au sud de la frontière.
00:28Exact. En réponse aux menaces du président élu des États-Unis,
00:30Donald Trump, qui, on le rappelle, veut, dès le premier
00:33jour de son mandat, le 20 janvier, imposer des tarifs
00:35douaniers de 25 % sur les produits canadiens exportés
00:38aux États-Unis. Et vous l'avez dit, la région de Lillet,
00:40qui est un grand secteur manufacturier, sera
00:43inévitablement affectée.
00:44J'ai discuté ce matin avec le vice-président d'Humano
00:47Médical, Ghislain Demers.
00:48Et pour cette entreprise d'équipements médicaux,
00:51ces menaces sont extrêmement agressives.
00:54Et pour cette entreprise d'équipements médicaux,
00:56ces menaces sont extrêmement inquiétantes. Environ 50 %
00:59de leurs exportations sont effectuées aux États-Unis.
01:02Et avec un gouvernement libéral qui est prorogé jusqu'au
01:0424 mars, l'entreprise ne sait plus à qui parler pour se
01:07faire entendre.
01:08Une autre personne inquiète est le député conservateur
01:10Bernard Généreux. On peut l'écouter.
01:13Des entreprises regardent pour délocaliser leur production
01:15parce que c'est plus favorisant de faire des affaires aux
01:18États-Unis actuellement.
01:19Puis il y a plus de monde, donc il y a plus d'employés
01:21potentiels, tandis qu'au Canada, en coupant les travailleurs
01:23étrangers temporaires, alors on n'est pas capable de
01:25remplacer ces employés-là.
01:27Il est important de mentionner que les premiers ministres
01:29des provinces se rencontrent aujourd'hui à Ottawa pour
01:31discuter de ces menaces tarifaires. Durant cette
01:33rencontre d'urgence, ils auront l'opportunité de discuter
01:35des contre-attaques qui sont possibles pour riposter, oui,
01:37au président élu, Donald Trump.
01:38Merci beaucoup, Ariane.
01:39Merci, au revoir.
01:40L'école secondaire du Plateau de la Malbaie, le centre de
01:42service scolaire de Charlevoix, vont réfléchir prochainement
01:44des alternatives pour lutter contre les menaces
01:46d'agressions.
01:47Le centre de service scolaire de Charlevoix vont réfléchir
01:49prochainement des alternatives pour des élèves privés
01:51de concentrations sportives et culturelles. Cette décision
01:53pourrait inclure des activités parascolaires pour maintenir
01:55l'engagement des étudiants.
01:56La direction souligne que les élèves de quatrième secondaire
01:58perdent 100 heures d'enseignement, notamment
02:00en sciences et cultures, tandis que ceux de secondaire 5
02:02voient une réduction de 50 heures, affectant
02:05particulièrement les matières scientifiques.
02:07Le lac Nernes de Saint-Thémé-des-Lacs était au prix
02:09de la réduction de 50 heures.
02:10Le centre de service scolaire de Charlevoix, le centre de
02:12service scolaire de Saint-Thémé-des-Lacs, était au prix
02:14de la réduction de 50 heures.
02:15Le lac Nernes de Saint-Thémé-des-Lacs était au prix
02:17en septembre dernier, avec une quantité importante de
02:19cyanobactéries, dont certaines à potentiel toxique.
02:21C'est ce que confirme un expert de l'Institut national
02:23de la recherche scientifique, qui a effectué des prélèvements
02:25sur place.
02:26Jérôme, vous lui avez parlé ce matin.
02:28JÉRÔME LÉGAULT, expert, Institut national de la recherche
02:30scientifique de Charlevoix
02:31Oui, il m'a avoué que jusqu'à 95 % des micro-organismes
02:33étaient des cyanobactéries lors de l'apparition
02:35de cette couche verdâtre qui a été médiatisée
02:38à l'automne dernier.
02:39C'est résumé par les données de l'Institut national
02:41de la recherche scientifique de Charlevoix.
02:43Ces résultats montrent une eutrophisation avancée
02:45du lac, un phénomène où l'eau devient trop riche
02:47en nutriments, favorisant la prolifération
02:49de ces organismes.
02:50Bien que les solutions ne soient pas encore claires,
02:52Jérôme Comte suggère qu'il est crucial d'identifier
02:54premièrement les sources de pollution pour les réduire.
02:56Les résultats ont été transmis à l'Association
02:58pour la protection de l'environnement
03:00du lac Nernes.
03:01JÉRÔME COMTE, expert, Institut national de la recherche
03:03scientifique de Charlevoix
03:04Pour reprendre l'expression, c'est d'essayer de fermer
03:06le robinet à la source parce que c'est sûr qu'il pourrait
03:09y avoir des mesures pour essayer d'atténuer les symptômes,
03:11on va dire, mais c'est comme de mettre un pansement
03:13sur un bobo si on ne trouve pas la source qui nous donne
03:15du mal.
03:16Et vous l'aviez nommé plus tôt, l'équipe de M. Comte
03:18a identifié des cyanobactéries à potentiel toxique.
03:20Le scientifique précise qu'il s'agit seulement d'un potentiel.
03:22Son équipe n'est pas allée plus loin pour confirmer
03:24si c'était bel et bien le cas.
03:25Enfin, en cas de nouvelle prolifération de cyanobactéries,
03:27la recherche scientifique de Charlevoix a décidé
03:29d'aller plus loin.
03:30L'équipe de Jérôme Comte a donc décidé d'aller plus loin.
03:32Le professeur conseille d'éviter tout contact avec l'eau.
03:34Comment réagira maintenant la municipalité?
03:37Le conseil municipal devait à nouveau se réunir cette semaine.
03:39Je vous présenterai mon reportage complet ce soir
03:41dans votre bulletin régional du 18h.
03:43Merci beaucoup Jérôme.
03:45Au revoir.
03:47Pour une deuxième année, une affiche portant sur
03:49la réglementation de la pêche à l'éperlon arc-en-ciel
03:51sera présente aux abords des enjeux des principaux lieux
03:53de la pêche.
03:55Pour une deuxième année, une affiche portant sur
03:57la réglementation de la pêche à l'éperlon arc-en-ciel
03:59sera présente aux abords des enjeux des principaux lieux
04:01fréquentés par les pêcheurs sur glace.
04:03Les sites de pêche de Rimouski, du Bic, de Notre-Dame-des-Neiges,
04:05de l'Île-Verte et de Rivière-du-Loup sont
04:07les principaux lieux où on va trouver cette affiche.
04:10Je rappelle que les pêcheurs ont un rôle à jouer
04:12pour la préservation de l'éperlon et le maintien
04:14de cette tradition de pêche hivernale.
04:16Les pêcheurs ont quand même bien apprécié.
04:18Pour eux, ça vient vraiment les aider dans leur compréhension
04:20de la réglementation.
04:22Aussi, les municipalités avec lesquelles on a travaillé
04:24avec les pêcheurs, ça vient vraiment les aider
04:26dans leur compréhension de la réglementation.
04:28Aussi, les municipalités avec lesquelles on a travaillé
04:30pour l'installation des affiches, elles étaient assez heureuses
04:32de ça. Elles ont eu une belle sensibilité
04:34et une belle ouverture.
04:36Les choses ne sont toujours pas rentrées dans l'ordre
04:38pour les magasins alcool NB qui ont eu une cybermenace
04:41la semaine dernière.
04:43Ils n'acceptent que l'argent comptant.
04:45Bon, Mylène, la situation dure déjà depuis plusieurs jours.
04:47Oui, c'est ça.
04:49Des anomalies avaient été détectées dans leur système
04:51informatique il y a un peu moins d'une semaine.
04:53C'est ce qu'on a appris.
04:55C'est ce qu'on a appris.
04:57Il y a un peu moins d'une semaine, Alcool NB affirme
04:59avoir lancé immédiatement une enquête afin de déceler
05:01la possibilité d'une cybermenace.
05:03Par précaution, les magasins avaient fermé leurs portes
05:05le temps d'une journée.
05:07Mais aujourd'hui, la situation n'est pas encore réglée.
05:09Les clients peuvent acheter leurs produits d'alcool
05:11mais ils ne peuvent pas payer leurs achats
05:13en carte de débit ou en carte de crédit pour le moment.
05:16À Einunsten, d'ailleurs, une grande affiche
05:18à l'entrée du magasin fait mention aux clients
05:20que seuls l'argent comptant est accepté
05:22et l'association de l'alcool NB
05:24n'accepte pas d'acheter.
05:27Et la société ne veut en effet prendre aucun risque
05:29le temps de l'enquête.
05:31Et certains citoyens d'Einunsten le comprennent.
05:53Les magasins de cannabis NB ont subi eux aussi
05:55les mêmes menaces mais ils étaient restés ouverts.
05:57Par contre, les achats doivent se faire aussi
05:59en argent comptant.
06:01Et selon une déclaration de la société d'alcool
06:03du Nouveau-Brunswick, l'enquête est toujours en cours
06:05et elle est dans le processus de rétablir
06:07progressivement ces systèmes
06:09afin de reprendre les activités régulières
06:11le plus vite possible.
06:13Merci beaucoup Mylène.
06:15Un homme a comparu hier à la cour provinciale
06:18d'Einunsten en lien avec une dizaine de chefs
06:20d'accusation de fraude.
06:22Daniel Berube est accusé d'avoir dérobé
06:24plus d'un demi-million de dollars
06:26à un regroupement de foyers de soins
06:28et des organismes de la région.
06:30Cette frauduleusement fait passer pour une personne
06:32morte ou vivante et d'avoir réutilisé
06:34de faux documents.
06:36Les faits qui lui sont reprochés seraient survenus
06:38entre octobre 2019 et février 2023.
06:40L'accusé va comparaître à nouveau le 4 février
06:42pour son plaidoyer et son choix de procès.
06:44Des chasseurs mohawks auraient abattu
06:46des orignaux dans la réserve faunique
06:48de Rimouski.
06:50Ils auraient agi de nuit lorsqu'il est plus facile
06:53d'attirer l'attention du gibier.
06:55Ce territoire ancestral, toutefois, appartient
06:57à la Première Nation Oulastogwé-Oisipekouk.
06:59Ils s'étendent de la rivière Métis
07:02jusqu'à la rivière Etchemin à Lévis.
07:04Une enquête effectuée par les agents de la faune
07:06est présentement en cours, mais les Oulastogwé
07:08déplorent ces gestes de braconnage.
07:10La Première Nation Oulastogwé-Oisipekouk
07:12a conclu une entente
07:14avec le ministère de la Faune.
07:16Donc, nous avons aussi
07:18un code de pratique
07:20qui permet à tous les agents
07:23de la faune de l'Oulastogwé-Oisipekouk
07:25d'obtenir un code de pratique
07:27et ça ne fait pas partie
07:29des valeurs de la Première Nation
07:31de faire la chasse de nuit.
07:33Pour nous, ça représente un acte de braconnage.
07:35Sous-titrage Société Radio-Canada
07:52Les manufacturiers québécois.
07:54Dans nos régions, notamment dans Lillet,
07:56un endroit où les entreprises exportent massivement
07:58vers les États-Unis,
08:00c'est l'incertitude qui plane.
08:02Ariane, certaines entreprises envisagent même
08:04de délocaliser leur production au sud de la frontière.
08:07Exact.
08:09En réponse au menace du président élu
08:11des États-Unis, Donald Trump,
08:13qui, on le rappelle, veut dès le premier jour
08:15de son mandat, le 20 janvier,
08:17imposer des tarifs douaniers de 25 %
08:19sur les produits canadiens exportés aux États-Unis.
08:21Je vous l'avais dit, la région de Lillet,
08:23qui est un grand secteur manufacturier,
08:25sera inévitablement affectée.
08:27J'ai discuté ce matin avec le vice-président
08:29du Manu Médical, Ghislaine Demers,
08:31et pour cette entreprise d'équipement médical,
08:33ces menaces sont extrêmement inquiétantes.
08:36Environ 50 % de leurs exportations
08:38sont effectuées aux États-Unis.
08:40Et avec un gouvernement libéral
08:42qui est prorogé jusqu'au 24 mars,
08:44l'entreprise ne sait plus à qui parler
08:46pour se faire entendre.
08:48Une autre personne inquiète est le député conservateur
08:50de la région de Lillet, qui a un message généreux.
08:52On peut l'écouter.
08:54Des entreprises regardent pour délocaliser leur production
08:56parce que c'est plus favorisant de faire des affaires
08:58aux États-Unis actuellement.
09:00Puis il y a plus de monde, donc il y a plus d'employés
09:02potentiels, tandis qu'au Canada, en coupant les travailleurs
09:04étrangers temporaires, alors on n'est pas capable
09:07de remplacer ces employés-là.
09:09Il est important de mentionner que les premiers ministres
09:11des provinces se rencontrent aujourd'hui à Ottawa
09:13pour discuter de ces menaces tarifaires.
09:15Durant cette rencontre d'urgence, ils auront l'opportunité
09:17de discuter des contre-attaques qui sont possibles
09:19dans les prochaines semaines.
09:21Merci beaucoup, Ariane.
09:23L'école secondaire du Plateau de la Malbaie, le centre
09:25de service scolaire de Charlevoix, vont réfléchir
09:27prochainement à des alternatives pour des élèves privés
09:29de concentrations sportives et culturelles.
09:31Cette décision pourrait inclure des activités parascolaires
09:33pour maintenir l'engagement des étudiants.
09:35La direction souligne que les élèves de quatrième secondaire
09:38perdent 100 heures d'enseignement, notamment
09:40en sciences et cultures, tandis que ceux de secondaire 5
09:42voient une réduction de 50 heures, affectant les étudiants.
09:44La direction souligne que les élèves de quatrième secondaire
09:46perdent 100 heures d'enseignement, notamment en sciences
09:48et cultures, affectant particulièrement
09:50les matières scientifiques.
09:52Le lac Nernes de Saint-Thémé-des-Lacs était
09:54aux prises en septembre dernier, avec une quantité importante
09:57de cyanobactéries, dont certaines à potentiel toxique.
09:59C'est ce que confirme un expert de l'Institut national
10:01de la recherche scientifique, qui a effectué des prélèvements
10:03sur place.
10:05Jérôme, vous lui avez parlé ce matin.
10:07Jérôme, vous lui avez parlé ce matin.
10:09Oui, il m'a avoué que jusqu'à 95 % des micro-organismes
10:11étaient des cyanobactéries lors de l'apparition
10:13de ces cyanobactéries.
10:15C'est ce que confirme un expert de l'Institut national
10:17de la recherche scientifique, qui a effectué des cyanobactéries
10:19lors de l'apparition de cette couche verdâtre qui a été
10:21médicatisée à l'automne dernier.
10:23Ces résultats montrent une eutrophisation avancée
10:26du lac, un phénomène où l'eau devient trop riche
10:28en nutriments, favorisant la prolifération
10:30de ces organismes.
10:32Bien que les solutions ne soient pas encore claires,
10:34Jérôme Comte suggère qu'il est crucial d'identifier
10:36premièrement les sources de pollution pour les réduire.
10:38Les résultats ont été transmis à l'Association pour la protection
10:40de l'environnement du lac Nernes.
10:42Pour reprendre l'expression, c'est essayer de dire
10:44de fermer le robinet à la source, parce que c'est sûr
10:46qu'il pourrait y avoir des mesures pour essayer
10:48d'atténuer les symptômes, on va dire, mais c'est comme
10:50de mettre un pansement sur un bobo si on ne trouve pas
10:52la source qui nous donne du mal.
10:54Et vous l'aviez nommé plus tôt, l'équipe de M. Comte a identifié
10:56des cyanobactéries à potentiel toxique. Le scientifique précise
10:58qu'il s'agit seulement d'un potentiel. Son équipe n'est pas
11:00allée plus loin pour confirmer si c'était bel et bien le cas.
11:02Enfin, en cas de nouvelle propagation de ces cyanobactéries,
11:04les scientifiques précisent qu'il s'agit seulement d'un
11:06potentiel. Son équipe n'est pas allée plus loin pour confirmer
11:08si c'était bel et bien le cas. Enfin, en cas de nouvelle
11:10prolifération de cyanobactéries, les scientifiques précisent
11:12qu'il s'agit seulement d'un potentiel. Son équipe n'est pas
11:15allée plus loin pour confirmer si c'était bel et bien le cas.
11:17Enfin, en cas de nouvelle prolifération de cyanobactéries,
11:19le professeur conseille d'éviter tout contact avec l'eau.
11:21Comment réagira maintenant la municipalité? Le conseil
11:23municipal devait à nouveau se réunir cette semaine.
11:25Je vous présenterai mon reportage complet ce soir
11:27dans votre bulletin régional du 18h.
11:29Merci beaucoup Jérôme.
11:31Au revoir.
11:33Pour une deuxième année, une affiche portant sur la
11:35pêche à l'éperlant arc-en-ciel sera présente aux abords des
11:37enjeux des principaux lieux fréquentés par les pêcheurs sur
11:39glace. Les sites de pêche de Rimouski, du Bic, de Notre-Dame
11:41des Neiges, de l'Île-Verte et de Rivière-du-Loup sont les
11:43principaux lieux où on va trouver cette affiche. Je rappelle que
11:46les pêcheurs ont un rôle à jouer pour la préservation de
11:48l'éperlant et le maintien de cette tradition de pêche
11:50hivernale.
11:52Les pêcheurs ont quand même bien apprécié. Pour eux, ça vient
11:54vraiment les aider dans leur compréhension de la règlement
11:56de l'éperlant et de la préservation de l'éperlant.
11:58Les pêcheurs ont quand même bien apprécié. Pour eux, ça vient
12:00vraiment les aider dans leur compréhension de la
12:02réglementation. Aussi, les municipalités avec lesquelles
12:04on a travaillé pour l'installation des affiches
12:06étaient assez heureuses de ça. Ils ont eu une belle sensibilité
12:08puis une belle ouverture.
12:10Les choses ne sont toujours pas rentrées dans l'ordre pour les
12:12magasins Alcool NB qui ont eu une cybermenace la semaine
12:14dernière. Ils n'acceptent que l'argent comptant. Bon, Mylène,
12:16la situation dure déjà depuis plusieurs jours.
12:18C'est vrai qu'il y a beaucoup d'inquiétude pour les magasins
12:20d'Alcool NB.
12:22C'est vrai qu'il y a beaucoup d'inquiétude pour les magasins
12:24d'Alcool NB. C'est vrai qu'il y a beaucoup d'inquiétude pour
12:26les magasins d'Alcool NB. C'est vrai qu'il y a beaucoup d'inquiétude
12:28pour les magasins d'Alcool NB. C'est vrai qu'il y a beaucoup
12:30d'inquiétude pour les magasins d'Alcool NB. C'est vrai que
12:32l'argent comptant. Bon, Mylène, la situation dure déjà depuis
12:34plusieurs jours.
12:35Oui, c'est ça. Des anomalies avaient été détectées dans
12:38leur système informatique il y a un peu moins d'une semaine.
12:40Alcool NB affirme avoir lancé immédiatement une enquête afin
12:42de déceler la possibilité d'une cybermenace. Par précaution,
12:44les magasins avaient fermé leurs portes le temps d'une journée.
12:46Mais aujourd'hui, la situation n'est pas encore réglée.
12:48Mais aujourd'hui, la situation n'est pas encore réglée.
12:50Les clients peuvent acheter leurs produits d'alcool, mais ils ne
12:52peuvent pas payer leurs achats en carte de débit ou en carte de
12:54crédit pour le moment. À Edmonston, d'ailleurs, une grande
12:56affiche à l'entrée du magasin fait mention au client que seul
12:58l'argent comptant est accepté et la société ne veut en effet
13:00prendre aucun risque le temps de l'enquête. Et certains
13:02citoyens d'Edmonston le comprennent.
13:04Moi, je suis old school, puis ça me dérange pas. J'ai souvent
13:06du cash moins, mais c'est pas un problème.
13:08Moi, je suis old school, puis ça me dérange pas. J'ai souvent
13:11du cash moins, mais c'est pas un problème. Moi, je suis old
13:13school, puis ça me dérange pas. J'ai souvent du cash moins,
13:15mais quand je viens pas, c'est comme l'autre jour où j'ai
13:17venu ici, puis j'avais juste comme 20 $ sur mon cash.
13:19Ça m'a comme bouleversé un peu pas mal.
13:21D'avoir arrivé un problème technique, c'est pour ça qu'il
13:23faut payer en argent comptant.
13:25Ça vous dérange pas? Ça change pas vos habitudes, je veux dire?
13:27Non.
13:28Les magasins de cannabis NB ont subi eux aussi les mêmes
13:30menaces, mais ils étaient restés ouverts. Par contre, les
13:32achats doivent se faire aussi en argent comptant. Et selon
13:34une déclaration de la Société d'alcool du Nouveau-Brunswick,
13:36l'enquête est toujours en cours et elle est dans le processus
13:38de rétablir progressivement ces systèmes afin de reprendre
13:40les activités régulières le plus vite possible.
13:42Merci beaucoup, Mylène.
13:44Au revoir.
13:45Un homme a comparu hier à la cour provinciale d'Edmundston
13:47en lien avec une dizaine de chefs d'accusation de fraude.
13:49Daniel Berube est accusé d'avoir dérobé plus d'un demi-million
13:51de dollars à un regroupement de foyers pour lutter contre
13:53les droits de l'homme.
13:54Daniel Berube est accusé d'avoir dérobé plus d'un demi-million
13:56de dollars à un regroupement de foyers pour lutter contre
13:58les droits de l'homme.
13:59Daniel Berube est accusé d'avoir dérobé plus d'un demi-million
14:01de dollars à un regroupement de foyers de soins et des organismes
14:03de la région, de s'être frauduleusement fait passer
14:05pour une personne morte ou vivante et d'avoir réutilisé
14:08de faux documents.
14:09Les faits qui lui sont reprochés seraient survenus entre
14:11octobre 2019 et février 2023.
14:12L'accusé va comparaître à nouveau le 4 février pour
14:14son plaidoyer et son choix de procès.
14:16Des chasseurs mohawks auraient abattu des orignaux dans
14:18la réserve faunique de Rimouski.
14:19Ils auraient agi sur le terrain de la réserve faunique de Rimouski.
14:21Des chasseurs mohawks auraient abattu des orignaux dans la
14:23réserve faunique de Rimouski.
14:24Ils auraient agi de nuit, lorsqu'il est plus facile
14:26d'attirer l'attention du gibier.
14:27Ce territoire ancestral, toutefois, appartient
14:29à la Première Nation oualastogwe ouazipekouk.
14:31Ils s'étendent de la rivière Métis jusqu'à la rivière
14:34Itchemay, à Lévis.
14:35Une enquête effectuée par les agents de la faune est
14:37présentement en cours, mais les oualastogwé déplorent
14:39ces gestes de braconnage.
14:40La Première Nation oualastogwe ouazipekouk a conclu une entente
14:42sur la présence d'orignaux dans la réserve faunique de Rimouski.
14:44Ils auraient agi de nuit, lorsqu'il est plus facile
14:46d'attirer la attention