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00:00Nous sommes très contentes de votre visite et nous espérons que vous nous aurez apporté de bonnes informations sur l'horizon 2050.
00:12En attendant, nous ferons tout notre possible pour que vous nous apportiez de bonnes informations sur l'horizon 2050.
00:22Nous avons reçu des invitations de la chroniqueuse Boussine Thivy Bidi Abou Diallo
00:35qui est partie de la division spéciale de cybercriminalité.
00:43Nous avons aussi reçu l'invitation d'un procureur pour faire des déclarations.
00:52Nous avons aussi reçu l'invitation d'un procureur pour faire des déclarations sur les institutions susceptibles de troubler l'ordre public
01:01et constituer des appels à l'insurrection.
01:04Nous savons que cela va être très compliqué pour Abou Diallo
01:11car le chef du parc a annoncé qu'il allait arrêter l'enquête et qu'il allait être arrêté.
01:21C'est pour cela que nous avons reçu l'invitation d'Abou Diallo
01:27pour qu'il nous explique ce qui se passe en ce moment.
01:32Vous l'avez entendu, il y a eu des déclarations.
01:36Qu'est-ce que vous en pensez?
01:38En ce qui concerne l'affaire Far Bangom, nous avons aussi reçu la déclaration de la chroniqueuse.
01:45D'abord, nous avons oublié que le Sénégal est un pays de liberté.
01:49C'est un pays où personne n'a le droit d'exprimer ses pensées.
01:54Je crois qu'il y a des réseaux sociaux et des sites internet
02:01où nous pouvons parler de nos pensées sans qu'on s'inquiète.
02:05Il y a des centaines de personnes qui en parlent tous les jours.
02:09Mais si quelqu'un n'a pas cette liberté
02:13il ne peut pas dire qu'il est un pays de liberté.
02:17Il a le droit de dire ce qu'il pense mais il n'a pas le droit d'exprimer ses pensées.
02:22Si quelqu'un n'a pas cette liberté, il n'a pas le droit d'exprimer ses pensées.
02:29C'est pour cela qu'il y a des réseaux sociaux.
02:36C'est un pays où personne n'a le droit d'exprimer ses pensées.
02:41C'est pour cela qu'il y a des réseaux sociaux.
02:47Si quelqu'un n'a pas cette liberté, il n'a pas le droit d'exprimer ses pensées.
02:54C'est pour cela qu'il y a des réseaux sociaux.
02:58Si quelqu'un n'a pas cette liberté, il n'a pas le droit d'exprimer ses pensées.
03:05C'est pour cela qu'il y a des réseaux sociaux.
03:10Tout le monde sait que l'on peut en parler.
03:18C'est pour cela qu'il y a des réseaux sociaux.
03:27On entend souvent dire que les politiques ne veulent pas faire de liberté d'expression.
03:34C'est ce que disent les politiques.
03:36Il y a des centaines de personnes qui parlent tous les jours sur les radios.
03:41C'est pour cela qu'ils ont leurs positions.
03:44Encore une fois, leurs positions ne nous dérangent pas.
03:49C'est pour cela qu'il y a des libertés opposées.
03:55C'est pour cela qu'ils n'ont pas le droit d'exprimer ses pensées.
04:01Encore une fois, il y a des centaines de personnes qui parlent tous les jours sur les radios.
04:11C'est pour cela qu'ils ont leurs positions.
04:18C'est pour cela qu'ils n'ont pas le droit d'exprimer ses pensées.
04:26C'est pour cela qu'ils n'ont pas le droit d'exprimer ses pensées.
04:29C'est pour cela qu'il y a des libertés opposées.
04:35Je pense que c'est dans le même ordre.
04:40Depuis qu'il y a eu l'affaire Farbongom,
04:48il y a eu une ligne de défense qui est dangereuse.
04:54C'est une ligne de défense ethnique ou régionaliste.
04:58Je pense que depuis que le premier ministre a fait la déclaration de politique générale,
05:04il n'y a pas eu de réunification entre les deux pays.
05:12Il n'y a pas eu de réunification entre les deux pays.
05:18Mais le fait qu'on ne l'alimente pas,
05:24c'est très dangereux.
05:29C'est un pays inclusif.
05:33Il n'y a pas eu de problème d'éthnique.
05:39Si quelqu'un a un problème avec la justice
05:43et qu'il veut la défendre,
05:47c'est très dangereux.
05:49Je pense que le procureur a bien fait de l'autoséduire.
05:55Je pense que c'est là qu'il y a un problème.
05:57C'est là qu'il y a un problème.
06:01Pourquoi est-ce qu'il y a pas eu de réunification entre les deux pays?
06:09Pourquoi est-ce qu'il n'y a pas eu de réunification entre les deux pays?
06:15On a vu une affiche sur l'affaire Farbongom
06:19qui disait qu'ils étaient dans une révolution.
06:24C'est comme si c'était une cible.
06:28Les hommes politiques jouent des jeux dangereux.
06:36Mais je pense que les Sénégalais sont des acteurs politiques.
06:43Si on regarde le Sénégal,
06:47si on regarde les minorités,
06:53si on regarde le président Djamal,
06:55le premier ministre,
06:57l'ancien président Maxalle,
06:59le président Senghor,
07:01tout ce qui m'a fait revenir à la vie,
07:07ce qui m'a fait présenter le Sénégal
07:09et ce que je suis fier de dire
07:12c'est qu'au Sénégal,
07:1495% des gens sont des jeunes.
07:18Dans notre pays, 95% des gens sont des jeunes.
07:21Nous avons un président chrétien
07:26et dans notre pays, il y a environ 5% de chrétiens.
07:30Je vous explique que 95% des musulmans sénégalais
07:34ont voté pour un président chrétien pendant 20 ans.
07:38Si on regarde le Sénégal,
07:42on se demande comment c'est possible.
07:47Quand j'ai rencontré le président Djamal Faye
07:50en Afrique,
07:52on m'a demandé de savoir
07:54quel genre de jeunes sont-ils
07:56car ils ont leurs propres réalités politiques.
08:00J'ai répondu que la majorité des jeunes
08:04sont des jeunes chrétiens.
08:08S'ils ne sont pas des jeunes chrétiens,
08:10ils sont moins de 15% de la population.
08:12Il y a beaucoup de voix
08:15qui sont des jeunes chrétiens.
08:17Ils sont des jeunes chrétiens.
08:21C'est un pays chrétien.
08:25Ce sont des jeunes chrétiens.
08:29C'est un pays chrétien.
08:31Au Sénégal, il y a beaucoup de jeunes chrétiens.
08:35J'ai regardé un documentaire
08:40sur les jeunes chrétiens.
08:44J'ai demandé à Dieu de les soutenir
08:48pour qu'ils soutiennent
08:52le président Senghor.
08:56Senghor est un chrétien.
08:58Il explique qu'il n'y a pas d'imam.
09:02Il n'y a pas de président.
09:07Il a dit qu'il s'est mis à soutenir les jeunes chrétiens.
09:11Senghor a dit qu'il s'est mis à soutenir les jeunes chrétiens.
09:15C'est ce qu'il a dit au Sénégal.
09:19Il y a des jeunes qui vont essayer
09:23mais ils ne vont pas réussir.
09:25Il y a des procureurs auto-sécuritaires.
09:29Je pense que ce sera plus difficile.
09:33C'est ce que nous attendons.
09:37Nous attendons qu'il n'y ait pas de problème.
09:41Il y a des problèmes au Sénégal.
09:45Les Sénégalais ont souffert beaucoup
09:49entre 2021 et 2024.
09:53Mais comme je l'ai dit,
09:57les pauvres Sénégalais ont toujours su
10:02qu'il y a des problèmes au Sénégal.
10:06Donc, je ne vais pas en parler.
10:10Je veux juste qu'il n'y ait pas de problème.
10:14Et que les procureurs de l'agence Sénégalaise
10:18l'aident pour régler les problèmes.
10:22Si nous avons un problème, nous l'allons résoudre.

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