🔴 ̀ La rentrée parlementaire et le discours du programme gouvernemental au cœur de l’actualité, » Neevesh Narainen reçoit Raj Jugurnauth, ancien syndicaliste, qui abordera les différents aspects de ce programme. Interviendront également Bernard Saminaden ainsi qu’un représentant de la CWA Les actualités qui ont dominé la semaine, incluant dans l’affaire liée à la Mauritius Investment Corporation ainsi que la situation de l’eau à maurice. Les développements internationaux au Etats-Unis et la prestation de serment de Donald Trump, seront aussi au menu. 🔵Rendez-vous de 17h30 à 19h00 à la radio, sur Facebook et nos plateformes TopFM Mauritius et TopTV Mauritius, mais aussi sur TopFM Live TV. Également sur la chaîne 10 de Parabole Maurice. 📞Vos appels au 213 7777 à partir de 18hr
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00:00Bon l'après-midi à tous et bienvenue dans notre émission 777 décryptage de l'actualité
00:09sur Top FM, votre rendez-vous hebdomadaire pour analyser en profondeur les événements
00:15qui façonnent notre nation.
00:17Aujourd'hui, nous vous proposons un programme riche et varié axé sur les thématiques
00:21majeures qui manquent l'actualité.
00:23Au programme de cette édition d'aujourd'hui, nous aborderons trois sujets majeurs qui font
00:29l'actualité sur l'île, discours du programme gouvernemental 2025 à 2029, le programme
00:38gouvernemental qui normalement met l'accent sur le renforcement du pouvoir d'achat,
00:43comme invité cette semaine sur notre plateau, Raj Jagonath.
00:47Raj, bon après-midi.
00:49Et comme invité, nous avons avec nous Bayarbib, un invité de prestige pour donner un coup
00:58de main.
00:59Justement, analyse dans le différent de l'actualité.
01:01Bayarbib, comment ça va ?
01:03Bonjour, bonsoir et bonsoir à notre ami et ben ça va bien, dans l'émission, ça va bien.
01:12Donc, l'actualité de ce vendredi dominée par le discours du président sur le programme
01:19électoral, normalement, vous avez été, donc, les priorités du gouvernement, est-ce
01:25qu'ils, les pays, corroborent avec les priorités et les attentes de la population ? C'est
01:31un peu ça qui, normalement, le programme nous a été, nous aura dit.
01:36Et il paraît que le discours du président, il paraît qu'il en a eu 10 ans, parce qu'il
01:44met l'emphase, tous pendant 10 ans, ce qui est passé.
01:47Et la population, vous pensez, moi, finit d'apprécier ce discours que le président
01:53fait là, parce qu'il a beaucoup d'affaires positives qu'il a annoncées, par exemple,
01:58il annonce le Law and Order, il donne confiance aux investisseurs, il donne confiance aux
02:03mauriciens, il donne une cause PME, il cause beaucoup d'affaires qui vont aux mauriciens
02:09et ce qui attend.
02:10Maintenant, pour bien l'implémenter, that is another issue, l'implémentation des affaires.
02:15Et moi, vous pensez, moi, le docteur Norman Glam, avec son équipe qui est là, il dit
02:20très bien, parce que les bizarres étapes s'arrêtaient à 10 bananais qui passaient
02:24là.
02:25Donc, Mme, où est-ce que vous pensez que les attentes de la population avec les priorités
02:32du gouvernement, est-ce que ça marche?
02:34Bien, moi, je pense que c'est ça, l'exercice de cette spéciale-là.
02:40Et il y a une petite affaire que je suis content de dire, pour ajouter aussi ce que mon ami
02:46est content de dire, c'est que Jim Moon, impatience, Jim Moon, il a beaucoup d'expectations
02:54et en même temps, l'impatience, pourquoi?
02:57Parce qu'il ne fait pas confiance aux politiciens.
03:00Jim Moon ne peut pas faire confiance aux politiciens parce qu'ils ont été couillonnés par le
03:11gouvernement sur le temps, par le MSM, l'extraordinaire allié, pendant dix ans, et c'est à tout,
03:18après 2017, c'est à tout après qu'il prend une courbe en diamantine et qu'il remplace
03:24le papa.
03:25Mais Jim Moon, tellement, d'une part, il a une expectation élevée, et d'autre part,
03:32il a un manque de confiance qui amène l'impression, Jim Moon, l'impression, moi, quand il fait
03:40sans le gouvernement, moi je me moque de l'autre, je me moque, je me fais rire et je me dis
03:45que les gens sont heureux, c'est vrai, mais Jim Moon n'a pas d'impatience, Jim Moon dit
03:50quand vous mettez les eaux, quand vous fermez les, un tel encore d'embarquement, un tel,
03:56Jim Moon, où les bonnes affaires arrivent vite, et il prend une courbe en diamantine,
04:02et tout Jim Moon qui participe dans le détournement, dans la dilapidation des fonds publics,
04:10dans missions publiques, les biens publics, comme en France il y en a, missions de biens
04:17publics, tout cela pour bien faire l'enquête, et nous, dans un pays de droit, nous ne sommes
04:25pas capables de venir prendre du monde, faire nous autres, bon d'accord moi, donne le temps,
04:31mais en même temps, nous devons réaliser le programme gouvernemental qui est lié aujourd'hui
04:38par le Président, le manifeste électoral qui était publié avant l'élection par l'Alliance,
04:46les 21 points, soit 25 points, lesquels l'étudiant est une bonne priorité, ben tout cela, nous
04:53devons comprendre il y a 5 ans, donc il y a quelque chose qui n'est pas qu'affaire d'essuie,
05:01par contre il y a une bonne priorité, c'est ça qui nous faut inquiéter, est-ce que cette
05:06bonne priorité-là séquille l'attente et l'expectation de la population, pour que
05:13le monde gagne confiance dans la classe politique ?
05:17Un début, je pense, c'est annoncé par le Président de la République, revoir et consolider
05:23le public pro-cumé, pendant les dernières années qui sont passées, la plupart des scandales
05:31qui se sont étendues concernent beaucoup le public pro-cumé, et là, revoir et consolider
05:36le public pro-cumé pour éviter les maldonnées comme c'était le cas en 2019, vous pensez
05:43que c'est un bon début ?
05:45Moi je pense que le public pro-cumé, c'est un point bien bien essentiel dans l'économie,
05:58parce que les pro-cumés, si on a un officier qui peut faire un achat, par exemple dans
06:03le cas de ventilateurs, ou pas qu'une fournisseuse-là, n'est qu'au passe-commande, STC payé,
06:11on dit que la santé payée, STC payée, conseiller des ministres pas même connait
06:14cinq cent millions de roupies, c'est quoi ? Donc les pro-cumés, c'est très bien bien
06:19important, parce que là, quand il y a plus beaucoup de vols, plus beaucoup d'over-value,
06:24si un lantique peut coûter cinq roupies, il doit être dix roupies, parce que les pro-cumés
06:27c'est très très important, le pro-cumé c'était, et moi derrière moi-même, j'ai
06:35parlé avec mon ministre, qui nous système de pro-cumé vis-à-vis, et moi je suis content
06:41qu'il y ait un pro-cumé acte, et ça pour faire nous bien bien économiser l'argent,
06:46et you're going to get value for money, hein ? Parce que dans tout département dans les
06:51passés, dix ans qui sont passés, à part qu'aucun l'argent soit valué prix, pas
06:55fin de fin, non rien, dans les cas de milliers pour la vie, hein, il n'y a plus besoin de
06:59ses roupies, et ça c'est le gouvernement MSM, hein, donc jusqu'au présent, le pro-cumé
07:04c'était très très important, très important pour l'économie Maurice, très très important
07:09pour les choses en pays là, très très important pour la transparence, dix personnes
07:14qui connaissent le public, qui connaissent qui prie percé de l'antique, qui prie paiement
07:18de l'antique, ça c'est bien important.
07:19Donc M. Radja Gornad, là nous prenons en ligne avec nous Benoît Saint-Mélanin qui
07:24malheureusement n'est pas capable de faire le déplacement, mais il peut intervenir lors
07:27de nos émissions, M. Benoît Saint-Mélanin en ligne, M. Benoît Saint-Mélanin, bonsoir.
07:33Oui, oui bonsoir, bonsoir mon invité, bonsoir mon éditeur.
07:37Donc Benoît Saint-Mélanin, nous finissons l'occasion, on écoute le discours du programme
07:43gouvernemental 2025-2029 du Président de la République, entre un observateur politique
07:49qui ouvre l'appréciation de ce discours, et comme on a une spéciale, est-ce que les
07:55priorités de la population corroborent avec les priorités de ce gouvernement ?
08:00Oui, enfin c'est un discours qui est pas déconnecté avec les attentes de la population,
08:06parce que les attentes de la population sont extrêmement grandes, et du coup on peut attendre
08:13beaucoup de réformes, beaucoup de décisions.
08:15Tout est une question de timing, et ce discours-programme-là, nous ne pouvons pas éliminer les mesures
08:24qui ont été annoncées aujourd'hui, mais nous causer dans notre globalité.
08:29Pour que ce discours-programme-là, l'objectif de ce gouvernement c'est de réussir le changement.
08:39Changement, je te promets, maintenant il faudrait le traduire dans le concret, et pour réussir
08:46le changement, il y a certaines priorités que le gouvernement doit accorder, parce que
08:51je vous donne l'exemple, si nous voulons qu'il y ait un amendement constitutionnel, une réforme
08:56électorale, une institution, nous sommes beaucoup plus indépendants de nous faire
09:00ça à la fin du mandat, il faut le faire, comme ça a été le cas par le précédent
09:05gouvernement, à la dernière minute, quelques mois, quelques semaines avant les élections
09:10générales, il ne faut pas faire de grandes réformes.
09:13Il faudrait que ces réformes importantes que le monde attend depuis 10 ans, ces réformes-là,
09:19ces réformes constitutionnelles, elles doivent être faites durant la première année de
09:23son mandat.
09:24Maintenant, il y a un gros problème dans différents secteurs, qui fait une dénoncée,
09:31et comment faire pour mettre ça en pratique ? Est-ce qu'il y en a suffisamment de main-d'oeuvre,
09:39est-ce qu'il y en a suffisamment de gens qualifiés ?
09:42Comme vous le savez, Maurice a gagné sa 10e année, peut-être avant même, il a gagné
09:47l'exode des cerveaux.
09:48Beaucoup de gens se sont découragés parce qu'ils n'ont pas la méritocratie, ils ont
09:54pas ce droit.
09:55Donc, quitte Maurice, finalement, il a immigré dans un pays en Europe, c'est-à-dire au Canada,
10:00c'est-à-dire à l'Australie, ils se sont découragés complètement.
10:03Maintenant, nous voulons refaire ça, nous voulons avoir des cerveaux qui mettent tout
10:08le sens de nos côtés.
10:09C'est comme ça que nous pourrions ici mettre en pratique une bonne partie du programme.
10:13Et sinon, nous nous tournerons en rond, l'année et le mois pour égrener, et il n'y a pas
10:20de réformes qu'il n'est pas capable de faire, et le pays pourrait être oublié à la fin
10:25du mandat du gouvernement, avec peut-être un chantier qui reste encore en place, 10-20%
10:33ou 15% de choses qu'il ne peut pas faire.
10:35Je vais vous donner un exemple, le gouvernement, il est venu avec la décision d'accepter
10:41des élèves qui n'ont pas de crédit pour monter au HSC.
10:44Est-ce que ça peut traduire, dans la réalité, au niveau de la Public Service Commission,
10:50pour recruter des gens de la fonction publique, ou maintenant pour maintenir un six crédit
10:55et les autres critères que la fonction publique demandait, que le PSI demandait ?
10:59C'est une bonne question de se poser.
11:01Il y a un point assez important, par exemple, au niveau de la food security.
11:07Vous pouvez lire un peu sur la food security.
11:11Quelle est la disponibilité de la terre, qui risque de mourir à sa disposition ?
11:19Je ne sais pas si vous connaissez, dans le passé, le gouvernement précédent.
11:23Ils favorisent beaucoup plus l'IOS, construire un bungalow,
11:28qui peut vendre à 100 millions, plus de 100 millions.
11:33Il faudrait qu'on ouvre la food security.
11:36D'ailleurs, c'est un des talons d'archives de Maurice.
11:40On peut importer 50-60 milliards de produits qu'ils nous consomment.
11:47C'est un travail de longue haleine.
11:50Ce n'est pas du jour au lendemain qu'ils ne vont pas produire la quantité de manger qu'ils nous consomment.
11:54Justement, M. Koupoulou, là, est-ce que vous trouvez ça programme du gouvernement ?
12:00Est-ce qu'il y a une volonté pour créer un nouveau modèle économique ?
12:06Bien sûr, il y a une volonté pour créer un nouveau modèle économique,
12:09parce que si le pays a sa volonté de créer un nouveau modèle économique,
12:12nous pourrions avoir un système de chaos,
12:15et nous pourrions trouver un pays où l'industrie peut toujours être dans la main,
12:23avec d'autres puissances, avec d'autres pays.
12:27Il y a une volonté pour faire relancer l'économie, à travers certaines mesures que vous trouvez là.
12:32Maintenant que je vous ai posé la grande question,
12:34c'est d'avoir une bonne main d'oeuvre,
12:40d'avoir un bon cerveau
12:42et d'avoir une bonne volonté.
12:44Maurice, nous avons un déficit.
12:46Nous pouvons faire, par exemple, un think-tank à Maurice.
12:50Nous pouvons faire un think-tank, nous pouvons faire des recherches fondamentales
12:54dans les institutions tertiaires.
12:56La volonté est là, mais il faut encourager les gens.
13:00Et s'il y a des bonnes compétences,
13:04le pays encourage les autres,
13:05et les autres participent dans son grand chantier
13:11que l'Alliance du changement, le gouvernement du changement,
13:15a proposé à travers son programme,
13:18que le Président a fini de lire aujourd'hui.
13:21Et Bénédicte Saint-Bernardin,
13:22nous pouvons stabiliser les prix de ces mesures qui ont été annoncées.
13:2710 millions d'euros pour justement stabiliser les différents prix.
13:31Est-ce que vous pensez ça ?
13:32Moi, je pense que, comme vous l'observez,
13:34ça a 10 millions d'euros.
13:35Est-ce que vous ne pensez pas que ces 10 millions perdent leur poste importateur ?
13:39Et de quelle façon on peut soulager la population
13:44parce que l'importateur ne peut pas s'en rendre à son poste ?
13:48Vous savez, il y a une spirale infernale.
13:49Il y a une spirale infernale du point de vue économique.
13:52Comment on peut stabiliser les bonnes prix ?
13:56Quand de l'or, la parité de l'or, euro, de l'or,
13:59là, actuellement, de l'or peut venir de la monnaie très forte.
14:02Il peut venir plus fort, il peut monter.
14:04Et beaucoup de produits importés ne payent pas autant de l'or.
14:07C'est un produit de l'Europe qui ne paye pas autant en euros.
14:10Mais il faut des nouveaux prix stabilisés,
14:11il faut des nouveaux prix forts.
14:14Il faut que Maurice commence à produire.
14:18C'est un produit essentiel et qu'il n'y a pas besoin de produire.
14:24Je vais vous donner un exemple.
14:25Maurice consomme du lait,
14:27mais il n'y a pas besoin de produire du lait ici, localement.
14:30Il y a un pays comme Singapour,
14:31beaucoup plus petit que Maurice,
14:35mais ce qu'il faut faire, c'est un peu du lait en voile,
14:37le réconstituer et le ré-exporter.
14:40Et là, il y a l'industrie de transformation qui est nécessaire.
14:43Il n'y a pas besoin d'arriver là pour favoriser l'alimentaire local.
14:46Je vais vous donner un exemple, du lait à Maurice, le poisson.
14:50Le poisson, la plupart des poissons qu'il consomme,
14:54ce sont des poissons qui viennent de l'extérieur.
14:55Ce ne sont pas des poissons qui pêchent localement.
14:58Pour nous, ils pêchent.
15:00Mais ce n'est pas suffisant, parce que ce n'est pas suffisant.
15:02La consommation de poissons est assez conséquente,
15:04mais la production locale de poissons est assez faible.
15:07Mais la mer, notre zone exclusive économique,
15:11est relativement riche,
15:14et beaucoup plus riche, je peux vous confirmer ça,
15:17et beaucoup plus riche qu'à côté de la Seycelles,
15:19parce qu'il y a beaucoup moins de poissons qu'en maintenant,
15:20c'est moins de poissons migratoires,
15:22mais il y a moins de bateaux japonais, taïwanais,
15:27qui payent nos ressources.
15:28Ça, c'est un autre problème.
15:30Ça, c'est un autre problème depuis longtemps,
15:32il s'agit de l'économie,
15:33mais l'économie, elle finit toujours par un slogan.
15:36Elle ne finit jamais par dire, dans le concret,
15:39nous allons pêcher, on peut faire la pêche artisanale,
15:41mais au-delà de ça,
15:42nous allons réussir à développer le secteur de la pêche.
15:46Le secteur de la pêche,
15:47il peut exploiter nos ressources marines,
15:50exploiter pour les autres pays,
15:52qui viennent avec leurs bateaux,
15:53qui viennent avec la pêche,
15:55avec leurs filets, qui font des filets illégaux,
15:59et qui ramassent tout ce qu'il y a.
16:03Et nous, nous voulons importer des poissons bas de gamme.
16:06Pour insister sur ça,
16:07il y a beaucoup de poissons bas de gamme
16:09qui sont intérdits dans les pays européens,
16:11qui ne peuvent pas être importés,
16:13et qui ont un taux élevé de mercure,
16:16une qualité inférieure.
16:19On va faire du « fish farming »
16:20et les élever dans des conditions vraiment
16:24bourrées d'antibiotiques,
16:25qui ne peuvent pas être importées,
16:26qui ne peuvent pas être mangées.
16:28Même chose pour le produit.
16:31Je t'ai donné un exemple récemment,
16:33Maurice, il dit qu'il a des enfants,
16:35il a des familles,
16:36et ses enfants, à l'école,
16:37ils ont acheté des saucisses,
16:39des saucisses de poulet,
16:40qu'il a importées depuis le Brésil.
16:41Et aussi, il y a d'autres produits
16:43qui viennent du Brésil,
16:45à base de poulet,
16:46qu'il a importés,
16:46quand il y a des subsides.
16:48Et ces subsides-là,
16:50ces poulets-là sont les plus bons,
16:51c'est ce qu'ils produisent localement.
16:53Est-ce qu'il nous faut continuer à encourager ça ?
16:56L'impôt de ces produits qui sont bas de gamme,
16:58parce que ce sont des produits
16:59qui ne contiennent que seulement 10%,
17:02parfois moins, de poulet
17:04dans ces saucisses-là,
17:05et 90%, c'est des soja
17:07qu'il ne peut pas importer,
17:08qu'il ne peut pas se poupouler.
17:10Est-ce qu'il nous faut mettre des règlements
17:12pour arrêter l'impôt de ça ?
17:12Parce qu'une chose est que les producteurs,
17:14Maurice, je dirais qu'ils ne sont pas capables
17:15de produire ça ici, localement,
17:16mais il y a une compétition un peu illégale.
17:20Il y a beaucoup de petits éleveurs.
17:22Et il nous faut faire
17:23une industrie de transformation.
17:25À Maurice, on encourage cette industrie-là.
17:27Même les autres exemples,
17:28c'est simple, il ne nous faut pas causer.
17:29Il n'y a pas besoin d'arrêter
17:30notre projet de science.
17:31Donc, Bernard-Samuel Arnaud,
17:34pourquoi ne pas parler de ce sujet ?
17:37Donc, là, il nous faut causer un peu
17:38le deuxième thème,
17:40le temps oblige.
17:42Il nous faut causer un peu
17:44la Mauritius Investment Corporation,
17:46plusieurs arrestations
17:48qui finissent en ce dernier jour-là.
17:53Je me pose la question
17:55juste avant.
17:56Donc, regarde,
17:57le dossier de l'AMIC,
17:59là, on peut trouver 45 millions de roupies
18:02qu'on peut causer,
18:03mais ce n'est pas juste 45 millions de roupies
18:05qui finissent en ce dernier jour-là.
18:06Il y a plusieurs autres affaires qui...
18:08Bon, oui.
18:09Pour l'AMIC...
18:10Je vais laisser Jagornath répondre.
18:11Je vais laisser Jagornath répondre.
18:12Je vais lui répondre juste après,
18:14M. Bernard.
18:16Et je suis vraiment étonné
18:19quand le nouveau gouvernement s'en prend.
18:22C'est quand le gouverneur de la banque,
18:24le docteur Thomas Tannin,
18:25qui est un génie,
18:26quand il finit des vols,
18:27ça va monter quand on peut causer
18:2983 milliards, là,
18:30on peut causer là-là.
18:31Moi, comme je pensais tout le temps,
18:33je pensais juste 30 millions de l'hôtellerie.
18:35Parce qu'il y a pas COVID,
18:36l'hôtellerie finit à deux reprises,
18:38quinze, quinze milliards, hein,
18:39sans faire aucun décide.
18:40Et ça, c'est bien grave.
18:41Ils ont dû nous réaliser,
18:42ils ont dit,
18:43on avait élection avec 45 millions de roupies,
18:45on m'a dit, alors c'est une tresse.
18:47Mais pas possible.
18:48Pour moi, il y avait ça,
18:5083 millions, là,
18:51qui déploient un milliard,
18:53qui la banque de Maurice,
18:54alors,
18:55ils avouaient ça dans MIC.
18:57Ils faisaient 83 millions,
18:5884 millions, les viches.
19:00Ils ont dit,
19:01c'est la réalité,
19:02qui dit qu'il y a de l'argent,
19:03qu'on va nous convaincre,
19:04qu'il y a de l'argent
19:05pour nos petits copains,
19:06nos petites copines,
19:07qu'il y a de l'argent
19:08pour les familles,
19:09qu'il y a de l'argent,
19:10nous partageons ça.
19:11Mais tout ça, l'argent
19:12qui nous fait causer là-là,
19:13tout ça, c'est retourné, ça.
19:14Parce que,
19:15laisse-moi faire ressortir
19:16une affaire bien,
19:18L'économie PME,
19:19petit moyen d'entreprise,
19:20il contribue beaucoup,
19:21beaucoup dans l'économie
19:22de Maurice.
19:23Dans le régime,
19:24de, de, de,
19:25des anciens régimes,
19:26j'ignore,
19:27les PME,
19:28ils ont crasé.
19:29Et ils ont fait quoi
19:30pour favoriser les PME?
19:31Jamais.
19:32Right?
19:33Ils ont fait
19:34augmenter le salaire
19:35qui passait d'augmenter,
19:36pour donner de l'argent,
19:37parce qu'ils n'ont plus
19:38le minimum salaire,
19:39ils ont pris tout,
19:40ils sont venus.
19:41Mais tout ça, les PME,
19:42qui, qui, qui,
19:43les PME qui étaient là,
19:44à l'époque,
19:45en 2020.
19:47Je me rappelle,
19:48le ministre des Finances
19:49venait à la télévision,
19:50il y a resté à calme
19:51pour payer.
19:52Ah ben ça, oui,
19:53c'est un scheme,
19:54moi, quand tout le monde
19:55connaît.
19:56Je ne suis pas un bénéficiaire,
19:57je suis un bénéficiaire.
19:58Dès six mois après,
19:59j'ai oublié de retourner.
20:00Les fermes retournent
20:01cinquante pour cent
20:02dans le budget
20:03vingt-un, vingt-deux,
20:04vingt-deux,
20:05vingt-trois, cinquante pour cent.
20:06Comment tout petit
20:07moyen d'entreprise
20:08finit de retourner
20:09dans le budget
20:10qui est passé
20:11vingt, vingt,
20:12vingt-trois,
20:13vingt-quatre,
20:15quatre-vingt-trois,
20:16vingt-trois millions.
20:17Ou ça gouvernement,
20:18ou ça pour des
20:19dirigeants.
20:20Quand l'économie était,
20:21pour moi,
20:22je veux dire le premier
20:23ministre,
20:24ça casse ça,
20:25tout baiser retourner.
20:26Et si elle ne comprend
20:27pas qu'elle va retourner,
20:28gouvernement,
20:29baiser est capable d'actionner
20:30dans sa entreprise.
20:31Mais pas capable
20:32de partout dans l'enja.
20:33C'est l'argent
20:34tax payer ça.
20:35C'est l'argent
20:36l'éliminer ça.
20:37Ou pas capable
20:38pour l'argent
20:39donner ce qu'il a envie
20:40de donner.
20:41Ça c'est pas possible ça.
20:42Et
20:43Donc une question pour
20:48abu et
20:51réserve.
20:54Comment comment se fait-il
20:57qui bénéficiait de la générosité
21:01et cette fois gouvernement
21:04conseil d'administration
21:07gouvernement majoritaire
21:10de la France?
21:13On a pensé aussi
21:16avec sa même façon de faire
21:19là. Oui. Et c'est
21:22ça suscite bonne euh
21:25spéculation et là du monde
21:28commence à causer, dire comment
21:31c'est possible qu'il y en a
21:34mal entreprise et qui ne qui
21:37n'a pas de réponse peut-être
21:40qu'il y en a un mais si des
21:43hauts mais tout ça là il faut
21:46dire qu'il y en a une
21:49communication, il y en a une
21:52transparence et tout le monde
21:55connaît exactement qui finit
21:58d'arriver, qui fait finir euh
22:01avant et euh une analyse
22:04analytique est-ce qu'il y en a
22:07peut-être qui s'amène du monde
22:10qui est nommé là, j'ai déjà
22:13finit déjà euh hypothèque
22:16etc. Où j'ai gagné ça et et
22:19là là-dedans il passe dans des
22:22filets, vous n'êtes pas capable
22:25de faire le procès de de de de
22:28tous les responsables de la
22:31banque de Maurice et j'ai j'ai
22:34euh, une bulletin qui est
22:37publiée euh, assez fréquemment
22:40pour connaître voilà, banque
22:44remboursée, comme ça, il
22:47dissipe euh, bande d'outre.
22:49Là, dis-moi, il y en a beaucoup
22:51de doutes, comment monsieur X
22:54nommé le beau, le beau d'un
22:56compagnie qui vous transporte
22:58milliards euh, euh, euh,
23:00équipement et ça même dis-moi
23:03et c'est normal, c'est tout à
23:05fait normal que le public pose
23:07des questions et les spéculations
23:09à ce moment-là, c'est à cause
23:11de ça que la transparence est
23:14de mise et d'ailleurs juste
23:16avant euh, le discours, le
23:18discours euh, programme,
23:21incause, euh, freedom of
23:23information, là, il y a une
23:25location, communiquer, vous
23:27faire comme un fait des hauts,
23:29ça, il prend les panneaux
23:32d'accord?
23:34Mais c'est pas possible.
23:39D'accord.
23:42Monsieur Ben, merci de votre
23:46intervention et de vos
23:48différentes analyses sur les
23:50sujets. Euh, donc euh, nous vous
23:52amonquons une petite pause et
23:54nous retrouvons juste après.
23:57Sept sur sept, l'actualité et
24:01vous avez l'occasion de
24:04télécharger notre application
24:06Top FM Radio sur App Store,
24:09Play Store et sur aussi Huawei
24:12App Gallery. Top FM Live TV,
24:15une grande première, vivez en
24:17temps réel, la première radio
24:20TV de Maurice. Découvrez notre
24:23studio, nos animateurs, vos hits
24:26musiques préférées en clip et
24:29On vous retrouve sur YouTube
24:32tout à l'heure, à la prochaine.
24:36Samedi, les vingt-cinq
24:38janvier, à partir cette soirée
24:41dans le Sufrain. Hotel Marien
24:44d'Orpobie, Top FM fait
24:46organiser une superbe soirée.
24:49Une fin de disque de l'année et
24:52surtout, une grande soirée
24:53dansant. Banner qui est classée
24:55dans le disque de l'année.
24:57le 25 janvier, le Suffren Marina, pour une grande galanite qui est organisée par TUBFM.
25:02Laissez-le pour en place pour une raquelle, et pour la suite, dites-le pour continuer.
25:06Venez avec nous, samedi, le 25 janvier, le Suffren Marina, 21h30.
25:13Billets, il y a 350 officiellement, pour réservation ou téléphone low,
25:17213-21-21, ou envoyez un WhatsApp 5-255-06-06.
25:27Tu t'emballes au petit laboré, mais quitte les mots, fais-moi paix,
25:32car le massalat...
25:57Peut-être il y a une retournée, il n'y a pas de retournée,
26:00mais c'est un gros loisir, c'est une grosse somme, 83 milliards,
26:05mais qui a l'opinion dessus ?
26:09Écoutez,
26:13MIC, c'est la question que vous demandez,
26:1983 milliards, 100 milliards, on va prendre les premiers,
26:23quand ça, l'argent-là, sorti, qu'il se casse ça,
26:29comme il y a une ferme en transfert, d'abord, de Maurice,
26:34une transfert, il n'avoue pas là, il n'avoue pas là,
26:38il y a une réserve, qui veut dire réserve ?
26:41Quand on dit qu'on a une réserve, on regarde ça pour les temps durs,
26:45c'est la réserve-là où le peuple dépense des brites-brites.
26:48Ici, qu'ils prennent l'argent en réserve,
26:51ils donnent là-bas, ils donnent qu'à leurs hôteliers,
26:55y compris l'hôtel, donc, de leur famille,
26:59c'est-à-dire l'hôtel de la famille de Comitadornat,
27:03dans le Vendanie,
27:07et dans leurs compagnies, ils gagnent, pas beaucoup,
27:10et en même temps,
27:14vous pouvez me dire, moi,
27:17qui a fait attention,
27:22qui a bien...
27:24Moi, si vous reconnaissez que nous sommes dans l'État du droit,
27:27ce n'est pas parce qu'on a arrêté la ferme-là,
27:29mais il y a des procédures qui sont enclenchées,
27:33ou par exemple, il y a des gens, excusez-moi,
27:37qui ont causé cela,
27:41ont donné de l'argent aux bénéficiaires de MIC,
27:45et qui, demain, quand ils viennent au pouvoir,
27:48ils viennent coster à vous, ou à ta mère,
27:51on n'est que ça qui va le coster aux autres camarades,
27:54alors ils gagnent !
27:56Alors ils gagnent pour être un membre d'une compagnie
28:01qui est incorporée comme une compagnie privée,
28:05mais qui, la majorité,
28:07« shares the own by the government ».
28:10Donc, ça,
28:13c'est un dialogue qui, tout le temps, nous habitez de dire,
28:17tant qu'il y a des gens qui pensent qu'il y a et qu'il y a l'impunité,
28:22tant qu'il y a des gens qui pensent qu'ils ne rentrent qu'aux tous,
28:25qu'ils sont coquins, et qu'ils ne sont pas coquins,
28:27non, il n'y en a pas !
28:29Personne ne peut prendre le sentiment qu'ils sont coquins.
28:32C'est comme ça qu'on appelle l'impunité.
28:34Maintenant, il y a un sentiment d'impunité.
28:37Qu'est-ce que ça veut dire ?
28:39C'est le « procurement »
28:41nous devons le préciser,
28:43c'est à partir du « procurement » et de la transaction,
28:47et de la « magouille » qui se déroule dans le « procurement »,
28:52c'est comme ça que les défunts se mettent en péril sur la vie.
29:04L'argent du peuple, c'est l'argent
29:07que les taxpayers contribuent.
29:09Comme on peut le dire,
29:11c'est l'argent qu'une transaction fait pour que MIC gagne l'argent.
29:16On en parle à travers les journaux
29:18que la banque de Maurice a dépensé un milliard d'euros,
29:23pendant que l'entité dépensait à peu près 83 millions d'euros.
29:28Maintenant, pour donner l'argent,
29:30MIC, l'argent des taxpayers,
29:32les compagnies,
29:35le gouvernement actuel,
29:37n'est pas en chèque résume,
29:39mais en chèque résume,
29:41ils finissent en péril sur le pays.
29:43Ils finissent en chèque résume.
29:45550 millions d'euros de déficit.
29:47Comment récupérer ces 83 millions ?
29:50Biblique sait que chaque compagnie a gagné.
29:54Il a publié ça.
29:56Il l'a fait publier.
29:58Ainsi, le gouvernement prend chaque compagnie,
30:02chaque compagnie,
30:04chaque bilan financier,
30:06chaque compte qu'ils ont filé,
30:08comme un profit qu'ils ont fait dans le passé,
30:10et qu'ils ont utilisé en casse.
30:12Si ce n'est pas en casse,
30:14vous vous remboursez en casse tout de suite.
30:16Et si vous faites un déficit,
30:18alors, avant 2020,
30:20si vous faites un déficit,
30:22vous vous supportez,
30:24mais vous vous remboursez.
30:26Depuis un an,
30:28depuis trois ans,
30:30il n'y a pas eu de déficit.
30:32Parce que ce n'est pas des msm,
30:34ce n'est pas des centraux
30:36qui prennent des millions d'euros par année.
30:38C'est pas possible ça.
30:40Tout ça,
30:42ça ne revient pas.
30:44Et le public sait,
30:46comme ça,
30:48comment casser le rang et qui peut rembourser.
30:50Quand je n'ai pas le pouvoir.
30:52Quand vous n'avez pas le pouvoir,
30:54vous vous actionnez deux ou trois reprises.
30:56C'est très difficile.
30:58C'est mon vrai payé, je vais venir mettre ceci. Alors, il y a une affaire qui, je suis content d'y ajouter des points, pas en colère.
31:06C'est une affaire de la pêche.
31:12À Mauritius, je me suis dit à l'Italie, je ne me suis pas trompé avec l'Inde,
31:17nous avons une zone économique exclusive qui est une affaire qui dépasse les normes.
31:26Quand nous prenons nos zones économiques exclusives, nos délos, et nous prenons la terre,
31:33nous vivons dans un pays, en termes superficiels, qui est plus gros.
31:38Puisqu'il y fait beaucoup, ça, Inde.
31:41Où prend cette partie du sud-ouest de l'océan Indien, cette partie,
31:49c'est une des meilleures places où il y a des poissons, où il y a des lagons,
31:57où il y a la pêche qui est presque plate, qui n'est plus allée, qui n'est plus ferme,
32:06où il y a la pêche tonnière, où il y a des thons rouges qui sont valables au marché mondial,
32:14moi c'est le japonais, c'est tout, avec thons rouges qui fait ce souci.
32:19– Les thons ne valent pas des dizaines de milliers d'euros.
32:22– Exactement. Maintenant, pourquoi, Maurice, aucun gouvernement depuis l'indépendance,
32:28finit même, pas fini, met autant d'efforts, autant de financements, autant de moyens,
32:37pour qu'il est capable de créer une véritable industrie de la pêche ?
32:43Vous connaissez, en tant que journaliste, mon petit fermeur de reportage,
32:46la pêche artisanale, à l'intérieur du lagon, et qu'elle existe après la prison.
32:52Mais ça n'est fini, il n'y a plus de poissons, dans une quantité, l'endroit dans le lagon,
32:56il n'y a plus de poissons, pour des raisons inexpliquées, et d'une explication scientifique.
33:03Mais nous allons en dehors, nous allons loin, mais nous allons loin.
33:06Mais il y a toutes les structures qu'il y a, il y a les équipements qu'il y a,
33:12il y a les garanties, la sécurité, etc.
33:16Ce qui nous fait, nous, plus facile pour nous importe des pays de l'Indonésie,
33:23des pays séparés de l'autre côté, et pas nécessairement de la bonne qualité.
33:31Dans ce sens-là, ça est une priorité qui est attaquée dans la production alimentaire.
33:39Je vais vous donner un exemple. Jusqu'à Michel Lallot, vous pouvez vous importer.
33:44Vous connaissez les carottes importées. Je ne sais pas combien il y a de choses qui sont importées,
33:48qui sont produites ici même. Nous avons la technologie, nous avons le savoir-faire.
33:54Nous sommes des petits planteurs, nous sommes des petits cultivateurs, nous tenons la connaissance.
33:58Nous sommes des familles, nous sommes des familles, nous sommes des familles.
34:01Il y a des gens dans les plantations qui connaissent.
34:03Je connais comment planter, comment protéger la plantation, etc.
34:07Et ce que je fais, jusqu'à aujourd'hui, une fois dans l'émission, je t'invite à planter,
34:16tu plantes, et je t'invite à être membre de l'association de planteurs-produceurs de Mauritius.
34:27Mais cette dame a posé la question carré-carré.
34:31Le plus gros problème de la production agricole à Mauritius,
34:35de la production alimentaire à Mauritius, c'est un problème des terres.
34:40La terre n'appartient pas à un cultivateur.
34:44Et il y a 20-25-30% qui propriétaient la terre qu'ils cultivaient.
34:50Cette dame dit que, moi je suis étonné,
34:54je l'ai appris mon langage des années 70,
34:57il y avait des réformes agraires,
34:59il y avait beaucoup de rigueur sur la terre,
35:03et même, il y avait de la place pour que le gouvernement trouve des moyens
35:08pour qu'ils nous donnent la terre pour pouvoir planter.
35:11Longtemps, moi je suis un résident de la campagne,
35:13je connais aussi où ma famille est sortie, dans ma région rurale.
35:18Mais longtemps dans cet établissement entre les lignes,
35:21et que la terre qui nous appelle des rotations,
35:24des grandes rascales,
35:25il y a une période, les cibles posées après la rotation,
35:28tu peux planter de la pistache, des pommes de terre,
35:32et dans la place tu peux planter de l'oignon,
35:35de l'ail, on ne peut pas croire,
35:37longtemps il y avait du monde qui avait de l'ail,
35:39que tu mettais sec dans la varengue de la cuisine.
35:43Mais toutes ces années, il y a eu des fruits.
35:47On connait les petits légumes, la mandarine locale,
35:49regarde la mandarine locale.
35:51On connait qu'on met des fruits,
35:53et on commence les goyaves.
35:56Aller, longtemps tout le monde tenait un petit pied goyave,
35:59ou bien un petit pied frucitaire,
36:02ou bien un petit pied fruit à pain,
36:06ou un pang,
36:08mais graduellement ça peut aller.
36:10Mais nous, nous prenons un plan collectif
36:15pour la production de ce qu'ils sont capables de produire,
36:19qu'ils sont capables de manger,
36:21et ils nous mangent dans la plupart, autant que possible,
36:24ce qu'ils sont capables de produire.
36:26Mais pourquoi pas faire ça ?
36:28Moi, j'ai trouvé dans ce programme-là,
36:30énormément de lignes conducteurs
36:33qui pourraient amener vers ça.
36:37C'est l'idée qu'il nous fait dire là.
36:40Parce qu'ils arrêtent, passent tout le temps,
36:43disent bonnes années,
36:45donc, il fait nous passer dans le doute.
36:48Donc,
36:50pas dans le doute, mais dans la misère.
36:53Donc, vous voyez,
36:55dans ce cas-là,
36:58on ne peut pas comprendre ce qu'ils font,
37:01et nous ne pouvons pas prendre la terre à côté, non.
37:05Et là, les pouvoirs, la loi donne-nous les pouvoirs.
37:08Et là, il y a une négociation qu'il faut faire,
37:12assister, nous faire un portage des terres.
37:15Et là, on plante la terre, on plante la terre.
37:18Un jour, il y a un ministre sur la table,
37:21un ministre d'Agriculture, qui vient dans l'émission,
37:23ici même, dans le 7ème étage, dans l'autre studio,
37:28soit ici, je ne me souviens plus.
37:30Il peut dire, moi,
37:32les pouvoirs encouragent les jeunes
37:34à rentrer dans l'agriculture.
37:36Moi, il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
37:38à rentrer dans l'agriculture.
37:40Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
37:42à rentrer dans l'agriculture.
37:44Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
37:46à rentrer dans l'agriculture.
37:48Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
37:50à rentrer dans l'agriculture.
37:52Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
37:54à rentrer dans l'agriculture.
37:56Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
37:58à rentrer dans l'agriculture.
38:00Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
38:02à rentrer dans l'agriculture.
38:04Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
38:06à rentrer dans l'agriculture.
38:08Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
38:10à rentrer dans l'agriculture.
38:12Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
38:14à rentrer dans l'agriculture.
38:16Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
38:18à rentrer dans l'agriculture.
38:20Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
38:22à rentrer dans l'agriculture.
38:24Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
38:26à rentrer dans l'agriculture.
38:28Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
38:30à rentrer dans l'agriculture.
38:32Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
38:34à rentrer dans l'agriculture.
38:36Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
38:38à rentrer dans l'agriculture.
38:40Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
38:42à rentrer dans l'agriculture.
38:44Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
38:46à rentrer dans l'agriculture.
38:48Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
38:50à rentrer dans l'agriculture.
38:52Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
38:54à rentrer dans l'agriculture.
38:56Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
38:58à rentrer dans l'agriculture.
39:00Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
39:02à rentrer dans l'agriculture.
39:04Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
39:06à rentrer dans l'agriculture.
39:08Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
39:10à rentrer dans l'agriculture.
39:12Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
39:14à rentrer dans l'agriculture.
39:16Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
39:18à rentrer dans l'agriculture.
39:20Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
39:22à rentrer dans l'agriculture.
39:24Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
39:26à rentrer dans l'agriculture.
39:28Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
39:30à rentrer dans l'agriculture.
39:32Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
39:34à rentrer dans l'agriculture.
39:36Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
39:38à rentrer dans l'agriculture.
39:40Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
39:42à rentrer dans l'agriculture.
39:44Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
39:46à rentrer dans l'agriculture.
39:48Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
39:50à rentrer dans l'agriculture.
39:52Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
39:54à rentrer dans l'agriculture.
39:56Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
39:58à rentrer dans l'agriculture.
40:00Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
40:02à rentrer dans l'agriculture.
40:04Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
40:06à rentrer dans l'agriculture.
40:08Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
40:10à rentrer dans l'agriculture.
40:12Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
40:14à rentrer dans l'agriculture.
40:16Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
40:18à rentrer dans l'agriculture.
40:20Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
40:22à rentrer dans l'agriculture.
40:24Il va dire, moi, les pouvoirs encouragent les jeunes
40:26à rentrer dans l'agriculture.
40:28OK ?
40:30Enfin, moi, j'ai ma propre opinion là.
40:32Moi, je pense qu'il y a du monde
40:34qui a trois crédits dans trois sujets
40:36qui ne savent pas le faire pour HSE
40:38et peut-être qu'ils brillent
40:40bien dans ce genre de sujets-là.
40:42Tu ne comprends pas, moi, toi ?
40:44Mais il faut bien modifier le PSI,
40:46sinon, celui-là, il faut
40:48défavoriser, demain, quand il y a
40:50la place pour un travail dans
40:52les fonctions publiques. Pas vrai ?
40:54A moins que le PSI s'enjoue.
40:56On va passer à l'AMIC avant de passer au dernier sujet.
40:58Avant, on va
41:00se finir avec l'AMIC.
41:02Et en tout temps, les auditeurs
41:04qui peuvent commencer, appelez-nous
41:06pour faire un grand plaisir, prenez votre appel
41:08pour justement intervenir sur le sujet
41:10d'actualité de cette semaine.
41:12Oui, les viches. Si on prend
41:14l'eau, on prend l'eau, on prend dans la case.
41:16Il n'y a pas qu'à rembourser
41:18pour ne plus jamais carrer.
41:20La case est à la barre.
41:22La case est à la barre, non ?
41:24Non.
41:26C'est mon copain qui gagne l'argent, il n'y a pas qu'à rembourser.
41:28Vous avez fait pareil.
41:30Quand un petit dimanche,
41:32on prend de l'argent à la banque, il n'y a pas qu'à rembourser.
41:34La banque fait saisir
41:36la case. Mais
41:38c'est aussi pareil.
41:40Vous pouvez rembourser ou pas qu'à rembourser, nous saisir.
41:42Nous saisir.
41:44C'est ça qu'il faut faire.
41:46Mais ces 83 millions-là, ils sont rentrés dans la case.
41:48Pas moins.
41:50Ils sont rentrés dans la case.
41:52Pourquoi ils sont rentrés ?
41:54Parce que la loi a fait foutre tout le monde.
41:56Elle nous a fait
41:58une affaire que je ne vous dirai pas si je ne l'ai pas
42:00concerné moi directement.
42:02Je ne l'ai pas concerné toi.
42:04Je l'ai peut-être concerné un peu après.
42:06C'est l'engagement pris
42:08devant la municipalité
42:10pour lui,
42:12par Naveen Ramoulam,
42:14avec réseau
42:16pour ne pas
42:18taxer
42:20l'IMSEM
42:22avec pension retraite.
42:24Pas moins qu'il y a ça.
42:26Et nous ici, nous tu n'amènes sa compagne-là
42:28d'autobus.
42:30Parce qu'il n'est pas capable, il y a du monde, 40 ans
42:32il ne travaille.
42:3435 ans, 40 ans il ne travaille.
42:36Il ne paye taxe, il n'a les mêmes taxes directes.
42:38Taxes indirectes.
42:40On ne connait pas les taxes indirectes qu'on payait.
42:42À ce stade-là, quand il gagne son IMSEM,
42:44mange-y 15% de l'euro-là.
42:46Quand il gagne son pension, mange-y encore.
42:48Et Naveen Ramoulam, il promet
42:50devant la municipalité,
42:52qu'il pourrait voir
42:54ses affaires qui appellent
42:56taxation, taxes,
42:58lots, banques de revenus,
43:00pensions,
43:02pension vieillesse, pension retraite, etc.
43:04Bien faire, ça pense qu'il
43:06aide tout ça.
43:08On ne connait pas tout le monde
43:10qui a une grosse pension.
43:12Il y en a du monde qui
43:14veut gagner une petite pension.
43:16On ne sait pas ce qu'il y a là.
43:18Mange-y 15%.
43:46C'est une question par rapport à mon thème d'actualité.
44:16C'est un problème là.
44:18C'est un problème là.
44:20C'est un problème là.
44:22C'est un problème là.
44:24C'est un problème là.
44:26C'est un problème là.
44:28C'est un problème là.
44:30C'est un problème là.
44:32C'est un problème là.
44:34C'est un problème là.
44:36C'est un problème là.
44:38C'est un problème là.
44:40C'est un problème là.
44:42C'est un problème là.
44:44Si c'est pourression,
44:46c'est un problème là.
44:48Une bonne conscience,
44:50c'est une bonne conscience !
44:52C'est tout le monde qui write
44:54et on voit ce qu'ilструмент.
44:56C'est une conscience là.
45:06Jean-Pierre Gys...
45:10Oui, j'ai commencé l'enquête
45:12Et pourquoi le gouvernement est-il installé là-dessus?
45:16Alors, ça, c'est une affaire qui nous vient régler tout cela.
45:21Nous ne sommes pas capables de faire quelque chose qui, au nom des infrastructures,
45:28des facilités obligatoires pour qu'ils nous attirent les investisseurs,
45:33pour qu'ils nous fassent des investisseurs mauriciens également,
45:38mais il n'y a pas de raison.
45:41Dans le cas de ce qui s'est passé il y a 6 mois,
45:46c'est notre idéal à l'époque, c'est notre préféré à l'époque,
45:50nous n'avons pas de campagne, nous n'avons pas d'affaires qui nous rappellent.
45:54Nous ne sommes pas capables de faire ceci.
45:59Est-ce qu'on peut le faire avec un spécialiste français qui est mauricien?
46:06Il n'y a pas un spécialiste de la sécurité, non.
46:09Il y a un spécialiste de la circulation.
46:12Les gens me disent qu'il n'y a aucune nécessité, il n'y a aucune raison.
46:17Je fais mon enquête.
46:19Tout le monde qui se service à ce sujet,
46:21il y a des gens qui disent qu'on peut y aller,
46:23mais il faut qu'il y ait un ticket pour aller à l'aéroport,
46:26mais ça coule rapidement,
46:28et il y a l'hôpital régional à Roosevelt,
46:32donc la route est claire, il y a plein de concessions,
46:36sa quantité de concessions qui est obligatoire à le faire,
46:41qui coûte 600 à 700 millions d'euros.
46:44Nous vous appelons sur le thème de l'HOD maintenant,
46:48le Radio-Canada et la Bible,
46:51donc l'HOD, nous ne pouvons pas dire qu'il est démantelé,
46:55mais tous les commissaires sont licenciés,
46:58et là il passe sous le contrôle de la GAO,
47:01donc le Radio-Canada, l'HOD,
47:04et les propriétaires de chevaux,
47:06nous les appelons également pour les auditeurs.
47:09Depuis pas mal de temps, l'HOD est sous les feux des projecteurs,
47:12critiquée, sauf par ce commissaire, M. Rias Khan.
47:18Je vais m'assister à l'enquête conduite par M. Rias Khan,
47:23et les critiques, la plupart du temps,
47:27mais si nous ne pouvons pas vous dire la vérité.
47:32Vraiment, l'HOD n'a pas fait ce rôle qu'on a besoin.
47:38Qu'est-ce que c'est ce rôle?
47:40Ce rôle, l'HOD, ce rôle, c'est d'aller voir
47:42est-ce qu'il existe des rôles normalement
47:44qu'on a besoin de dérouler,
47:46des tricots, des plantes,
47:49des deux-pas,
47:51et quand un cheval gagne,
47:54autour de la piste,
47:56quand un cheval gagne,
47:58qu'est-ce qu'on a trouvé là?
48:00Un retiré, c'est un cheval qui gagne au doigt.
48:02Une gagne au cheval, c'est pas au doigt.
48:04C'est pas possible ça.
48:06L'HOD va trouver ça.
48:08Combien de fois il arrive,
48:10l'année passée,
48:12quand un cheval gagne,
48:14cinq chevals gagnent,
48:16dix minutes avant que le cheval rentre,
48:18un cheval est retiré.
48:20Ça ne gagne pas du tout.
48:22Qu'est-ce qu'on a trouvé?
48:24Un cheval qui gagne,
48:26un cheval qui gagne,
48:28un cheval qui gagne,
48:30un cheval qui gagne,
48:32un cheval qui gagne,
48:34un cheval qui gagne,
48:36un cheval qui gagne,
48:38un cheval qui gagne,
48:40un cheval qui gagne,
48:42un cheval qui gagne,
48:44un cheval qui gagne,
48:46un cheval qui gagne,
48:48un cheval qui gagne,
48:50un cheval qui gagne,
48:52un cheval qui gagne,
48:54un cheval qui gagne,
48:56un cheval qui gagne,
48:58un cheval qui gagne,
49:00un cheval qui gagne,
49:02un cheval qui gagne,
49:04un cheval qui gagne,
49:06un cheval qui gagne,
49:08un cheval qui gagne,
49:10un cheval qui gagne,
49:12un cheval qui gagne,
49:14un cheval qui gagne,
49:16un cheval qui gagne,
49:18un cheval qui gagne,
49:20un cheval qui gagne,
49:22un cheval qui gagne,
49:24un cheval qui gagne,
49:26un cheval qui gagne,
49:28un cheval qui gagne,
49:30un cheval qui gagne,
49:32un cheval qui gagne,
49:34un cheval qui gagne,
49:36un cheval qui gagne,
49:38un cheval qui gagne,
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49:42un cheval qui gagne,
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49:52un cheval qui gagne,
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50:00un cheval qui gagne,
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50:36un cheval qui gagne,
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50:40un cheval qui gagne,
50:42un cheval qui gagne,
50:44un cheval qui gagne,
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50:48un cheval qui gagne,
50:50un cheval qui gagne,
50:52un cheval qui gagne,
50:54un cheval qui gagne,
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50:58un cheval qui gagne,
51:00un cheval qui gagne,
51:02un cheval qui gagne,
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53:00un cheval qui gagne,
53:02un cheval qui gagne,
53:04un cheval qui gagne,
53:06un cheval qui gagne,
53:08un cheval qui gagne,
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54:00un cheval qui gagne,
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55:02un cheval qui gagne,
55:04un cheval qui gagne,
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55:08un cheval qui gagne,
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