TPMP : 100% médias, 100% darka !
Du lundi au vendredi à 18h50 sur C8.
Tous les extraits et émissions de TPMP sont à retrouver sur MyCANAL : https://www.canalplus.com/c8/tpmp/touche-pas-a-mon-poste
TPMP sur les réseaux sociaux :
Facebook : https://www.facebook.com/TPMPTV
Twitter : https://twitter.com/TPMP
Instagram : https://instagram.com/tpmptv/
Du lundi au vendredi à 18h50 sur C8.
Tous les extraits et émissions de TPMP sont à retrouver sur MyCANAL : https://www.canalplus.com/c8/tpmp/touche-pas-a-mon-poste
TPMP sur les réseaux sociaux :
Facebook : https://www.facebook.com/TPMPTV
Twitter : https://twitter.com/TPMP
Instagram : https://instagram.com/tpmptv/
Catégorie
📺
TVTranscription
00:00– Je voulais vous donner des nouvelles de Louis de Funès.
00:02– Mais il est…
00:03– Non, parce que ça fait aujourd'hui, le 27 janvier, ça fait 42 ans qu'il a dévissé.
00:15– Ah ben voilà, d'accord, qu'il a dévissé, qu'il a dévissé.
00:20– Et oui, il nous a quitté malheureusement.
00:22Et alors, moi je me souviens, je l'ai rencontré en 1979,
00:25il a partagé une loge avec lui.
00:27– Ah c'était vous le petit baigneur ?
00:28– Non.
00:29– Ah !
00:30– Et alors, on avait parlé, parce qu'il y avait eu du temps,
00:35c'est toujours très long et tout ça, les émissions,
00:37il m'avait raconté qu'il avait été comptable dans sa vie, fourreur,
00:41il avait été éclairagiste, décorateur, mais surtout, le métier…
00:44– C'est ce rapport.
00:45– Écoutez bien, le métier qui l'a le plus éclaté,
00:47il était assistant au Lido, à l'époque, où les filles dansent seins nus,
00:51et son métier comme assistant, c'était de passer un glaçon
00:55sur les tétons des filles, pour les faire…
00:57– Pointer.
00:58– Pointer.
00:59Et alors, il y avait quand même 48 filles…
01:01– C'est la même chose, moi.
01:02– Ah bon ?
01:03– Avec vous, avant de vous rentrer sur scène.
01:04– Ah bon ?
01:05– Je passe le glaçon.
01:06– Ah non, non.
01:07– Je vous serrai.
01:08– Donc c'est une technique qu'il utilisait, ça lui plaisait beaucoup,
01:10c'était bien payé, il y avait 48 filles, il passait des bonnes soirées,
01:13et voilà, c'est un métier.
01:14Mais on a oublié cette fonction, qui était une vraie fonction en coulisses,
01:18dans les spectacles.
01:19– Et son musée est à Saint-Raphaël.
01:20– Et son musée est à Saint-Raphaël, rajoute Kelly, elle a bien raison.
01:23Devant la gare.
01:24– Bravo Kelly, elle est bien meilleure quand elle a fait pipi.
01:26– Vous voulez des nouvelles ?
01:27– Ah non.
01:28– D'autres choses.
01:29– Oui, allez, des nouvelles de Patrick Bruel, parce que vous savez que samedi soir,
01:33il a rejoint Sylvie Vartan sur scène pour ses adieux.
01:36Et il a chanté en duo avec elle sur scène, elle était très émue,
01:42mais lui, je pense, était beaucoup plus émue qu'elle, je vais vous dire pourquoi,
01:45parce qu'il l'avait rencontrée 60 ans plus tôt, Cyril, ce qu'on ne raconte pas.
01:50– Oui, c'est vrai.
01:51– Patrick Bruel, quand il avait 6 ans, durant l'été 1965, il est à Pietro Rosso, en Corse,
01:58et sa maman Augusta, la maman de Patrick, emmène le petit Patrick voir Johnny Hallyday
02:02en concert qui se produit à ce moment-là en Corse.
02:05Et dans la salle, il y a Sylvie Vartan, qui est dans la salle, elle vient de se marier,
02:09ça fait 3 mois qu'elle est mariée avec Johnny Hallyday, elle est dans la salle,
02:11elle assiste au concert, et elle voit ce petit gamin de 6 ans qui ne voit pas,
02:16qui n'arrive pas à voir avec les spectateurs.
02:18– Bien sûr.
02:19– Sylvie accepte, elle demande à Augusta, vous pouvez mettre mon petit garçon sur les genoux,
02:23il sera mieux placé, il va voir.
02:25Donc Patrick Bruel, il a passé tout un concert de Johnny sur les genoux de Sylvie Vartan,
02:28pour voir le concert.
02:30Et imaginez-vous que donc, de 1965 à 2025, 60 ans plus tard,
02:34il vient lui rendre un hommage sur scène merveilleux.
02:37Elle était très émue aussi, bien sûr, Sylvie, pour cette dernière.
02:40Et la salle, ça a été une standing ovation quand Patrick a franchi le seuil.
02:44Et c'est une belle histoire pour moi, ça s'appelle une synchronicité.
02:48– Estelle Lefebvre, qu'est-ce qu'elle a ?
02:50– Estelle Lefebvre, elle vient de sortir un nouveau livre.
02:52– Il faut mettre des photos là, quand on parle des gens.
02:53– Estelle Lefebvre a sorti un nouveau livre, cette semaine, chez Flammarion,
02:57qui s'appelle « Accueillir le temps qui passe ».
03:00En fait, elle fait un procès et elle dénonce surtout le Botox.
03:03– Ah ouais ? Vous en avez fait, vous, du Botox ?
03:05– Jamais. Moi, j'ai fait une hyposuction, uniquement.
03:07– Ah ouais ? Et là, au niveau du visage, d'où ?
03:09– Non, non, jamais du visage.
03:10– Vous n'avez rien fait ?
03:11– Ah non, non, non, jamais rien.
03:12Non, non, je prends du collagène marin tous les matins.
03:14– Collagène marin, c'est-à-dire ?
03:15– C'est excellent pour la peau, pour…
03:17– Et tu fais, c'est comment, ça ?
03:18– C'est comment ?
03:19– Mais tu prends comme ça, en gélule ?
03:20– Non, c'est une poudre, c'est une boîte qu'on achète.
03:22Alors, je ne vais pas donner des marques, c'est une boîte qu'on achète,
03:24on met ça dans l'eau le matin, et vous prenez ça et vous êtes en pleine forme.
03:27– Ah ouais ?
03:28– Les muscles, les cartilages…
03:30– Ah, mais vous, ils sont petits, donc ça va plus vite.
03:31– Non, non, non, j'ai jamais fait de…
03:36La seule chirurgie esthétique que j'ai faite, c'est la liposuction.
03:38– Ah, très bien.
03:38– On y passe tous à 40-50 ans, un peu moins.
03:41Et Michel ne l'a jamais faite.
03:42– Non.
03:42– Non, regardez, il est magnifique.
03:44– Oui, cela dit.
03:45– Il y a le sport ou la liposuction, c'est l'un ou l'autre.
03:47– Vous ne faites aucun des deux ?
03:48– Si, je suis…
03:48– Ah d'accord.
03:49– Alors, on rigole, c'est mon ami, je connaissais Michel,
04:01tu avais peur d'être encore dans ton berceau.
04:03– Mais pas Michel, celui-là.
04:05– Alors, pour les gens qui font trop de Botox, quelques années plus tard,
04:10ça peut provoquer des paralysies faciales, paralysie du larynx,
04:14on ne peut plus avaler, donc on vous pose une sonde gastrique.
04:17– C'est relou, ça.
04:17– De toute façon, il y a eu des graves accidents de Botox.
04:19– Qui fait du Botox, ici ? Gilles Vernez ?
04:21– On a du Botox médical pendant des années.
04:23– Parce que…
04:23– Tout ça ?
04:24– Oui, à cause de Yannick, dans le nez.
04:27– Sophie Coste ?
04:29– Oui, moi, j'ai fait, le front, je le fais.
04:31Là, par exemple, je ne peux pas trop relever les ongles, vous voyez.
04:34Moi, je le fais.
04:34– Vous ne demanderez pas aux autres ?
04:36– Merci.
04:36– Pourquoi ?
04:37– Les autres, non.
04:38– Les autres, non ?
04:39– Non.
04:40– Pas de Botox ?
04:40– J'ai tout fait sauf du Botox.
04:42– Il n'y en avait qu'un.
04:43– Non, mais dans les acteurs français, on a Audrey Fleureau qui en a fait,
04:46qui l'a avoué, qui a fait une interview.
04:48– Et vous ?
04:49– Non, mais moi, je l'ai déjà dit, il n'y a pas de souci.
04:53– Ben, redis-le.
04:54– Je l'ai encore dit la semaine dernière sur les réseaux.
04:56Eh ben, regardez, figurez-vous que j'y arrive.
04:58En fait, le truc du Botox, c'est que ça dure 3-4 mois, après, tout part.
05:01Donc, si tu ne le refais pas, c'est comme si tu n'avais jamais fait.
05:03– Tu vas le refaire ?
05:04– Oui, avec plaisir.
05:06– C'est le principe de déclencher une paralysie.
05:08– Oui, c'est ça, oui.
05:09C'est pas le but, non ?
05:09– Alors, ce qui est dangereux, ce qui vous guette, c'est l'éléphantasia.
05:12– L'éléphantasia ?
05:13– L'éléphantasia, c'est-à-dire que…
05:14– On a une tronche de pouce, là.
05:15– Non, il y a un membre qui double ou triple de volume, y compris le visage.
05:20– Ah, c'est ce que vous avez eu, vous ?
05:21– Non, non, non.
05:22– Si, c'est l'éléphantiasis, ça s'appelle l'éléphantiasis.
05:24– Voilà, et ça, ça peut être très grave, voilà.
05:26Donc, quand je dénonce ça, c'est un très bon livre.
05:27– D'autres choses.
05:28– Je peux vous parler… Ah, vous savez, il y a un truc formidable.
05:31– Non, mais c'était l'anniversaire de Michel Sardou.
05:33– Alors, Michel Sardou, hier, c'était son anniversaire.
05:3578 ans déjà, Michel.
05:36– On l'embrasse.
05:37– Et alors, le plus beau jour de sa vie, c'est le jour où il a rencontré Johnny Hallyday.
05:40Il avait 15 ans.
05:42– Oui, le plus beau jour.
05:42– Cyril avait 15 ans, son papa, Ferrand Sardou, immense acteur,
05:45il tournait avec Johnny Hallyday dans « D'où viens-tu Johnny » en 1963 en Camargue.
05:49Il est allé rejoindre son père sur le tournage du film.
05:52Il a tapé à la porte de la loge de la caravane de Johnny.
05:56– Tête-le, tête-le.
05:58Il a fait comme ça.
05:59Johnny a dit « Entrez », il est rentré.
06:01Et à partir de là, il lui a proposé une chanson.
06:03– Incroyable, ton histoire.
06:04– Qui s'appelle « Le dernier métro ».
06:06Il a chanté devant Johnny, il avait 15 ans, le jeune Michel Sardou.
06:09Et puis Johnny a dit « Ouais, elle est pas mal, ta chanson,
06:11mais bon, tu sais, je suis dans le rock, machin, je fais pas ça, ceci, cela, bref. »
06:14Et en gage, il a enlevé sa chemise, il lui a offert sa chemise du tournage.
06:20Et tenez-vous bien, c'est le porte-bonheur de Michel Sardou depuis le début de sa carrière
06:24parce que, pour lui, cette chemise a été un gage d'amitié, en tout cas, entre Johnny et lui.
06:28Après, ça s'est un peu gâté à la fin, en 2015.
06:30Mais en même temps, bon, c'est comme ça.
06:33Mais c'est une amitié qui a duré quand même près de 40 ans.
06:35– Il y a une ouverture d'un nouveau café qui va intéresser.
06:37– Oui, alors c'est le The Voice Café.
06:39Premier Voice Café qui s'est ouvert, c'est à Villeneuve-d'Ascq, dans la banque de Lille.
06:43Alors c'est génial, le décor est en référence, bien sûr, à l'émission.
06:46C'est en accord avec l'émission.
06:47Vous voyez, il y a tous les logos, il y a les trophées.
06:48On vous sert des hamburgers, des burgers, en tout cas.
06:51– Mais il a dit des hamburgers.
06:54– Les burgers, ils ont la forme d'un buzzer.
06:56– On vous offre ce burger ?
06:59– Je l'ai dit comme ça.
07:00– C'est vrai qu'il a été ouvert en juin dernier, non ?
07:01– Oui, bien sûr.
07:02Mais par contre, ils ont fait une sélection entre juin et maintenant,
07:05enfin on va dire même depuis le 15 décembre.
07:07Ils ont fait une sélection pour la prochaine émission The Voice,
07:10une présélection déjà dans la région.
07:11C'est un peu le but de ce café.
07:13Il y a cinq salles de karaoké sur 600 mètres carrés.
07:16– C'est chaud.
07:17– Voilà, et c'est plutôt pas mal, c'est une bonne idée.
07:20The Voice Café, c'est le premier qui a tenu Villeneuve-d'Ascq.
07:22– Merci, c'est très bien.
07:24– Oui, samedi, j'étais au Père Lachaise.
07:27– Ah merde !
07:28– Non, vous savez que c'est un sujet incroyable.
07:34Il y a beaucoup de promeneurs, c'est une promenade géniale.
07:37Et ça existe depuis le 17e siècle quand même.
07:40Et alors en fait, je suis allé voir certains tombes.
07:41Vous savez que certaines tombes célèbres,
07:43les gens déposent des objets sur les tombes.
07:46Vous allez voir la tombe de Gainsbourg qui est à Montparnasse par exemple,
07:49les mecs ils mettent des tickets de métro en référence à sa chanson
07:51« Le pensionnaire des lilas » ou des paquets de gitanes
07:54en rapport avec sa chanson « Dieu est un chanteur » de Havan.
07:56– Et donc ?
07:57– Alors, et au Père Lachaise, il y a, bien sûr, Jim Morrison,
08:00on dépose des chewing-gums ou des bouteilles usagées d'alcool.
08:03– Il y a des gens qui ont déposé quelques chewing-gums ?
08:05– Oui, sur la tombe de Jim Morrison qui est derrière vous.
08:08On a la tombe par exemple aussi de Marcel Proust.
08:10– Ah ouais, non, Alain Proust.
08:11– On met des…
08:12– Alain Proust.
08:13– Non, Marcel Proust, on met des madeleines.
08:15– Des volants, bien sûr.
08:16– Voilà, c'est un porte-bonheur.
08:18– Alors, Linda de Suiza, par exemple, elle est enterrée à Gisors, elle.
08:22Alors, les femmes de ménage, vous savez que c'est une idole
08:24pour toutes les femmes de ménage française.
08:25Ils déposent des aspirateurs usagés, des chiffons à poussière, etc.
08:29Non, non, mais vraiment, ils en retirent toutes les semaines, effectivement.
08:33C'est comme un symbole, c'est comme ça.
08:35Et le mieux, si vous allez au Père Lachaise, allez voir Cyril.
08:38Non, c'est plutôt pour Gilles.
08:39– Non, pas moi, je ne lui tue pas encore, moi.
08:40– Non, non, parce qu'aller voir Cyril, les mecs vont y aller
08:44– Non, non, je ne tue pas encore, donc ce n'est pas la fin d'année.
08:47– Non, il faut aller voir la tombe de Victor Noir, pour vous.
08:51– Victor Noir, je sais, tu me l'as déjà dit.
08:54– C'est un grand journaliste, qui est mort en 1891.
09:00Alors, si vous voulez retrouver l'amour, évidemment.
09:03Alors, si vous voulez retrouver un ex, il faut d'abord lui toucher les pieds.
09:06– Ah ouais, d'accord.
09:07– Non, l'ex, c'est le front.
09:09– Ah, d'accord.
09:09– Il faut lui toucher le front.
09:10Et pour retrouver l'amour, l'amour absolu, l'amour de votre vie.
09:13– Il faut lui toucher la quéquette.
09:14– Il faut lui toucher les pieds, non.
09:15Là, le jouet, si vous lui touchez le jouet.
09:18– Arrêtez avec ça, c'est insupportable.
09:20– Il faut simplement, là, c'est pour que si les femmes ont des problèmes
09:23pour avoir des enfants ou des hommes, c'est pour la fertilité.
09:25Et c'est la tombe, je vous signale, c'est la plus visitée du père Lachaise.
09:29On n'en parle jamais, parce que cet homme n'a pas non plus de notoriété.
09:32Voilà, mais quand même, voilà.
09:33– C'est une raison pour laquelle le cimetière est fermé la nuit matin,
09:36parce qu'il y a trop de gens qui viennent se frotter.
09:37– Trop de gens qui viennent se frotter.
09:39– Et alors, David Bowie, dès qu'il venait à Paris, il allait voir Victor Noir.
09:42– Il allait se frotter.
09:43– Oui, Jeanne Moreau, il y a beaucoup, Ami Wanaus, pareil, enfin, beaucoup de gens.
09:46– Ami Wanaus.
09:47– Ami Wanaus.
09:47– Ami Wanaus.
09:48– Oui, c'est ça, vous l'avez bien dit.
09:51– Yes.
09:52– Et donc, voilà, et c'est intéressant de voir tout ça.
09:56– Et Emmanuel Petit, champion de…
09:59– Oui, alors, il a une nouvelle fiancée.
10:00– Je l'aime bien, Emmanuel.
10:01– Oui, oui, il est merveilleux.
10:03Alors lui, en fait, ce n'est plus un cœur à prendre.
10:06– Ah oui ?
10:07– Ce n'est plus un cœur à prendre, parce qu'on l'a vu, justement,
10:10vous savez, on l'a bien connu avec Agathe de La Fontaine, c'est ça ?
10:14– Oui.
10:15– Maria Cervelo aussi, on l'a vu, ses ex.
10:17Et là, hier, il était au Prix d'Amérique.
10:20– Ah oui ?
10:21– Et avec une blonde, alors on ne connaît pas son nom.
10:24J'espère que…
10:25Ben lui, j'imagine qu'il la connaît, il connaît le nom.
10:27– Ben oui, je pense.
10:28– Oh, oui, oui.
10:28– Il est con.
10:31– Non mais, j'imagine que tu la connais.
10:34– Mais, donc, on ne connaît pas son nom.
10:42– Il est sympa, lui, j'aime bien.
10:43– Très sympa.
10:45Et les prochains jours, je vous donnerai peut-être son nom.
10:48– Ben oui.
10:48– On la recroise au Prix d'Amérique.
10:50– Ben très bien, merci.
10:50En fait, vous n'avez aucune info, mais…
10:52– C'est-à-dire ?
10:53– Ben sur ça, vous n'avez aucune info, sur cette affaire.
10:55– Il y avait une photo ou quoi ?
10:56– En tout cas, on sait qu'il n'est plus un cœur à prendre.
10:58– D'accord.
10:59– Eh, c'est déjà beaucoup.
11:00– Ah oui, vous avez raison, c'est déjà pas mal.
11:01– Surtout aujourd'hui, vous savez, le marché est quand même serré.
11:03– Le marché est serré en ce moment.
11:06Hein, c'est vrai.
11:08– C'est vrai.
11:08– Vous êtes un cœur à prendre, vous.
11:09– Oui.
11:10– Quel mytho, t'as une meuf, tu m'as dit.
11:12– Deux, ben ça dépend des jours, des semaines.
11:15– Tiens, mais vous n'êtes pas avec votre fiancée ?
11:20– Ça dépend, on fait des breaks.
11:22– Vous faites des breaks ?
11:25– Ben oui, ça arrive.
11:26– Mais là, vous êtes célibataire, donc, là, aujourd'hui ?
11:28– Là, oui, depuis une semaine.
11:29– Vous vous êtes dit que c'était fini ?
11:32– Non, mais il y a une forme d'éloignement après, bon, voilà.
11:37Ça vous est jamais arrivé ?
11:38– Ça va, ça vient.
11:39– Ça t'est arrivé souvent, ça ?
11:41– Non, non.
11:41– Non, ah bon ?
11:42– Je ne sais pas de quoi vous parlez.
11:46– Mais bon, peut-être que ça va repartir, je ne sais pas, on va voir.
11:49– Tu peux lui faire une déclaration, moi ?
11:50– Mais des fois, on n'arrive pas à se parler.
11:52– Faites-lui une déclaration, là, voilà.
11:54– C'est filmé, là.
11:54– C'est le bon gars.
11:56– Je ne sais pas si elle le regarde, non.
11:58– Ne vous inquiétez pas, elle sera au courant.
11:59Ça va lui faire plaisir.
11:59– Voilà, elle sera au courant.
12:00– Allez-y, dites-lui.
12:01– Voilà.
12:02– Voilà.
12:03– Bravo, bravo.
12:06– Elle ne m'entendait pas.
12:10– C'est magnifique, c'est magnifique.
12:13– Voilà.
12:15– Vous êtes amoureux ?
12:17– Oui, oui, un peu.
12:19– Oh là là, ça ne donne pas envie, mais un peu.
12:22– Il est fou, ce mec.
12:23– Un peu.
12:24– Il souffre, alors.
12:25– Ah ouais ?
12:26– Ah non.
12:26– Bon, alors, beaucoup.
12:27– Bon, allez.
12:30Sous-titrage Société Radio-Canada