A huis clos à Frédéric Di Lorenzo, bourgmestre d'Estaimpuis

Transcript

00:00Pour me donner bonne conscience, je me dis que c'est bon pour le moral, en tout cas.

00:13Ça ne peut pas vous paraître très original,

00:16mais moi, l'homme qui m'a mis le pied à l'étrier

00:19et qui m'a transmis sa passion pour la politique et pour son entité,

00:22ça reste Daniel Senecer.

00:25Alors là, ça sera plutôt vers un chapiteau à mon avis.

00:28Du style légendaire, festival d'obusies,

00:31je trouve ça très agréable.

00:36Ma famille.

00:37Ma famille, mes enfants, ma compagne,

00:39ça c'est important.

00:40Ce sont mes piliers, c'est eux qui m'ont soutenu

00:44et c'est un petit peu ma cellule de crise

00:47et qui me remonte souvent le moral.

00:55La cuisine.

00:57Voilà, c'est très très rare,

00:59mais quand je cuisine, généralement,

01:01ça n'est pas indifférent.

01:04Oh, le chocolat alors.

01:07Mais j'en mange vraiment beaucoup.

01:10La plaque, elle peut vite partir.

01:12Et pour me donner bonne conscience,

01:13je me dis que c'est bon pour le moral, en tout cas.

01:17Un arbre.

01:18Un arbre qui pioche dans ses racines

01:22pour constamment grandir et évoluer.

01:28Dans l'entité, le canal.

01:33Instituteur.

01:35J'aime les enfants,

01:37mais en gérer une vingtaine,

01:39j'avoue qu'il faut beaucoup de patience.

01:44Merde.

01:45Mais surtout, un oups derrière.

01:53Je pourrais choisir la facilité

01:55en disant celui que je connais le mieux

01:58et avec qui je m'entends le mieux,

02:00mais ma curiosité m'orienterait quand même vers les autres,

02:04dans le sens où la découverte des autres m'intéresse aussi.

02:08S'il était picurien, c'est un plus, en tout cas.