Les tatouages, autrefois réservés aux bikers et aux marins, séduisent désormais toutes les générations. Nelson Barbosa, tatoueur, évoque l'importance des ombrages pour donner vie aux œuvres. Wendy, en pleine séance, choisit des Pokémon, un hommage à son enfance.
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00:00Il fut un temps où les tatouages étaient réservés aux bikers, aux marins, aux rebelles.
00:04Aujourd'hui, ils sont partout, ils touchent toutes les générations.
00:06On est avec Nelson Barbosa, tatoueur à Clermont-Ferrand.
00:10Toi, tu es spécialisé dans le style réaliste.
00:12Comment donner plus de vie à un tatouage ?
00:15On donne plus de vie à un tatouage avec tout ce qui est dans mon style à moi.
00:19C'est tout ce qui est dans les ombrages, dans les dégradés, dans les nuances de couleurs de dégradés.
00:26On est avec Wendy, sous l'aiguille.
00:28Tu as choisi de te faire tatouer quoi et pourquoi ?
00:30Alors, c'est des pokémons.
00:32C'est toutes les évolutions d'Evoli.
00:34Et le pourquoi, parce que j'ai grandi avec et que j'ai toujours adoré ces pokémons.
00:39Donc, pour moi, c'était important de partir avec, on va dire.
00:42C'est sympa, celui-là, c'est qui ?
00:44C'est Aquali.
00:45Niveau douleur, ça va ?
00:46Oui, franchement, je n'ai pas du tout mal.
00:48Donc, c'est parfait pour moi.
00:50Plutôt sage, Wendy.
00:51C'est quoi la demande la plus dingue que tu as reçue ?
00:54La plus dingue que j'ai reçue, c'est les parties intimes.
00:58Oui.
00:59Ça, niveau douleur, ça y va ?
01:01C'est extrême.
01:02Les fesses, surtout, c'est encore pire.
01:05Et si tu avais un conseil à donner à ceux qui hésitent encore ?
01:07A ceux qui hésitent encore, en fait, ne faites pas.
01:10Parce que d'hésiter de faire un tatouage, en fait, c'est pas bon.
01:13Il faut être sûr, c'est quelque chose qu'on va garder à vie.
01:16Et du coup, en fait, il faut faire attention.
01:18Merci beaucoup, Nelson.
01:19Bon courage, Wendy.
01:20Et effectivement, on évite peut-être les parties intimes.
01:23En tout cas, évitez aussi le nom du chéri.
01:25C'est classique, mais bon, c'est la première chose qu'on a envie d'enlever après une rupture.