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Sarah Knafo, députée Reconquête au parlement européen, était l'invitée de La Grande Interview sur CNEWS ce lundi 10 février. «Donner un prénom français à ses enfants est un pas vers la France», a-t-elle souligné.

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Transcription
00:00Je pense que quand on donne un prénom français à ses enfants,
00:02on fait un pas vers la France parce qu'on leur donne un destin
00:04qui s'inscrit dans l'histoire de France.
00:06Ce qu'avait dit Éric Zemmour, c'était que le nom de famille
00:08était là pour rappeler les origines.
00:10Ça rappelle les origines ancestrales.
00:12On a un nom de famille qui peut nous permettre d'avoir ça.
00:14On peut aussi donner des deuxièmes prénoms
00:16qui nous relient à notre origine.
00:18En revanche, le premier prénom,
00:20c'est un pas qu'on peut faire vers la France.
00:21Vous savez, j'avais entendu un sociologue qui disait
00:23le prénom, c'est un don que peut faire un parent à son enfant qui est gratuit.
00:27C'est gratuit de donner un prénom
00:28et qui peut l'insérer dans une toute autre histoire.
00:31C'est un marqueur de classe sociale.
00:32Le prénom, c'est un marqueur aussi d'origine, de culture.
00:35Donc, c'est un cadeau qu'on peut faire à son enfant
00:37pour lui permettre de s'intégrer.
00:38Et sur ce point, je note que vous le prenez dans l'aspect positif
00:41et pas dans une obligation, justement, de ne plus porter de prénom étranger.
00:45C'est un pas qu'on fait vers la France.
00:46C'est un pas que beaucoup de gens ont fait.
00:48Je vous citais tout à l'heure les Asiatiques ou les Libanais
00:50ou même les Français de confession juive.
00:52Ils ont fait ce pas vers la France d'offrir à leurs enfants
00:55un avenir français.
00:58Sous-titrage Société Radio-Canada

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