Retrouvez le replay de l'Équipe de Greg du 11/02/2025.
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00:00:00Direct sur la chaîne, l'équipe soirée spéciale, horreur spéciale, il est 18h07, ce soir c'est Ligue des champions made in France, c'est l'équipe de règle, saison 4, épisode 102 en 3 parties, et ça commence maintenant !
00:00:12Générique
00:00:30Bonsoir, plaisir de vous accueillir pour une soirée spéciale, pour des play-offs de Ligue des champions, ils vont poser ses preuves presque au Paris Saint-Germain, bienvenue autour de la table ce soir, Alicia Debi, bonsoir Alicia, à vos côtés Benoit Tremoulinas, bonsoir Benoit, il y a également Loïc Tanzy, tout de blanc vêtu, bonsoir, qu'est-ce qu'il est pur ce Loïc Tanzy, de l'autre côté, peut-être pas aussi pur mais tout aussi sympathique, Nabil Djelit, bonsoir Nabilou, je suis contre la pureté bien sûr, Charlotte Langeret, il est contre vous, c'est Nabil Djelit,
00:01:00ça va ça va, et Raphaël Seboune également avec vous, bonsoir Raphaël, oui je vous le disais, une soirée très particulière, puisque nous allons évidemment vivre l'avant-match de ce Brest-Paris Saint-Germain, aux Nourous du côté de Guingamp, ce sont les play-offs de cette Ligue des champions, on aura également, que je ne vous préviétise, la mi-temps et l'après-match derrière, il est 18h08, voici tout de suite l'immanquable soirée.
00:01:30Dans un instant on va retrouver Giovanni Castaldi du côté de Roudourou, les compos étaient tombés il y a déjà 20 minutes Raphaël.
00:02:01Et puis du côté du Paris Saint-Germain, Gvara Tsrelia, et bien sera sur le banc pour son premier match de Ligue des champions avec le Paris Saint-Germain, il ne débute pas, c'est le trio d'attaque Barcola, Dembélé, Doué qui va donc débuter, et donc l'autre information avec l'absence de Warren Zaïremeri au milieu de terrain, c'est Fabienne Ruiz qui va jouer aux côtés de Vitinha et João Neves.
00:02:20Charlotte, est-ce que vous êtes surprise par la compo de Luis Henrique avec Gvara sur le banc, sachant que c'est cet équipe-là qui a donné satisfaction lors des derniers matchs de Ligue des champions qui ont cartonné City et Stuttgart ?
00:02:31Non non, je ne suis pas du tout étonnée qu'ils mettent vraiment encore Zaïremeri et Doué, et je pense que ce milieu à trois, à mon avis Luis Henrique il se dit que Brest peut aussi faire mal en transition, donc mettre un milieu un peu plus récupérateur comme Ruiz ça peut faire mieux l'équilibre.
00:02:46C'est le remplaçant naturel de Zaïremeri, ils sont 4 pour 3 postes.
00:02:49Oui oui, en termes d'équilibre je pense que c'est un peu plus cohérent et puis Gvara il rentrera en deuxième période, il n'a pas fait de Ligue des champions depuis qu'il est arrivé tardivement, donc c'est normal que ce soit les autres joueurs qui débutent, je ne suis pas étonnée.
00:02:59Benoît, je vais voir mon autre joueur, un milieu plus dense mais finalement classique pour le Paris Saint-Germain, Gvara il lui a donné, on a eu le sentiment que c'était, je lui ai donné du temps de jeu, qu'il s'habitue, qu'il découvre, mais là je repars avec méga sueur de Ligue des champions.
00:03:13C'est exactement ça, parce que je pense que ça manque encore un peu d'automatisme, on l'a vu sur ses premiers matchs, les derniers matchs c'était beaucoup mieux, mais je pense que c'était trop juste pour moi qui mérite une stylérisation ce soir.
00:03:25On verra après dans l'avenir si il repassera devant et Doué prendra la place de Ruiz, pourquoi pas.
00:03:31C'était très risqué peut-être.
00:03:34Oui mais je pense que ça ira plus vers ça, mais pour le moment je pense que c'est assez cohérent qu'il soit sur le banc ce soir.
00:03:40Pas de surprise du côté du PSG, on va parler de la compo de Brest aussi dans un instant, mais on reste sur le choix de Louis-Henrique, parce que d'habitude il fait des surprises, ça fait 2-3 fois qu'il y a assez peu de surprises.
00:03:49C'est dur par exemple de sortir, même pour lui, Dembélé et Barcola.
00:03:53Oui après souvent il a toujours dit en conférence de presse qu'il mettait les meilleurs joueurs au meilleur moment, qu'il y avait du moment dans une saison et qu'il fallait mettre la composition dans les gros matchs avec les meilleurs joueurs.
00:04:04Ce soir il a mis les meilleurs du moment, Doué est meilleur que Guevara sur les derniers matchs, il n'a plus trouvé que lui au PSG depuis un mois, donc c'est logique de le voir titulaire à sa place.
00:04:14Et même Fabien Ruiz qui est très décrié au PSG, mais malgré tout qui fait ses matchs, qui fait notamment par son placement, il est souvent très bien placé et qu'il est presque souvent à la conclusion d'une ou deux occasions par match.
00:04:28Donc moi je pense que cette compo c'est la meilleure du moment.
00:04:30Et sur le cas de Désiré Doué, forme étincelante, très clairement, il est sur un but, quatre passes décives, donc sur cinq buts du PSG sur les six derniers matchs, ce qui est assez énorme.
00:04:43Et il a été décif lors des trois dernières rencontres de Ligue des Champions, ce soir également face à City, le dernier match face à Stuttgart c'est un but, trois passes décives, donc compliqué de le sortir de l'once de départ quand il est bon en Ligue des Champions.
00:04:56Nabil, un dernier tour sur la compo du PSG, bonsoir, on parlera de Brest dans quelques secondes.
00:05:00Cette compo, est-ce qu'elle vous paraît équilibrée, logique, classique ? Qu'est-ce que vous retenez de ce 11-2 Lous-Saint-Riquier ?
00:05:07Non mais tout a été dit, c'est vrai que la recrue majeure du Mercato elle n'est pas sur le terrain mais il a encore un peu le temps, là ils sont dans la continuité.
00:05:15Moi je pense que si ça avait été un plus gros match face à un adversaire de plus haut calibre, la question serait posée.
00:05:21Si ça avait été Liverpool ou Barcelone, c'est juste ma sensibilité, je ne dis pas que j'ai raison, mais c'est comme ça que je le lis.
00:05:29C'est Brest qui est en face, adversaire de valeur, qu'on connaît parfaitement, mais si tu joues le Real ou si tu joues à une top team,
00:05:36est-ce que le joueur que tu as fait venir pour 80 patates à l'intersaison, tu lui dis va t'asseoir sur le banc ?
00:05:40Qui veut répondre Nabil ?
00:05:41Il a fait une compagnie, Ramos ont été sur le banc sur des gros matchs la saison et soirée.
00:05:46C'est vrai qu'il se soucie assez peu du salaire ou des sommes de transfert quand même, non ?
00:05:51Là on parle quand même de la qualité du joueur, Ramos ce n'est pas un joueur qu'il voulait.
00:05:56Nabil Doué il est meilleur en ce moment, c'est pour ça qu'il joue.
00:05:58Je ne dis pas que Doué doit sortir, mais je dis que si ça avait été un adversaire d'un autre calibre, peut-être que la question serait posée autrement.
00:06:04Un mot sur l'équipe de Brest, on va la voir également cette équipe de Brest, là on est avec l'équipe d'Éric Roy.
00:06:11On se souvient, Benoît et Charlotte, vous qui êtes défenseurs, qu'Ajorque avait posé des soucis en championnat à Pachaud.
00:06:18J'ai rarement vu Pachaud être autant bougé que par ce qu'avait proposé Ajorque.
00:06:23Sachant qu'en plus Pachaud est pour moi une des révélations de la saison en défense.
00:06:27Qu'est-ce qu'on peut dire de ce duel-là ? Est-ce que c'est l'une des clés du match Benoît ?
00:06:31Je pense que ça peut être l'une des clés du match parce qu'Ajorque c'est vraiment la tour offensive de Brest, c'est une tour de contrôle.
00:06:38La Brest, on a vraiment besoin de vent parce que c'est quelqu'un qui cale et qui pèse sur les défenses.
00:06:45Et je pense que si déjà dans un premier temps il gagne son duel plusieurs fois durant le match face à Pachaud,
00:06:51ça va un petit peu donner confiance aux autres joueurs, notamment sur les joueurs de côté.
00:06:55Parce que si d'entrée de jeu il le bouge, les joueurs de côté, je les disais, attends ce soir Ajorque il est dans un grand soir,
00:07:00on va lui envoyer descendre à la surface, il va bouger tout le monde, il va marquer.
00:07:03Donc effectivement ça peut être l'une des clés du match.
00:07:06Et puisqu'on parle de Ludovic Ajorque, regardez cette affiche collector lancée par le club du stade brestois.
00:07:13Vous savez à chaque match de Ligue des Champions, ils lancent comme ça une affiche collector pour l'occasion.
00:07:17Et c'est bien Ludovic Ajorque, l'homme fort du moment, qui est mis à l'honneur.
00:07:22Elles sont à chaque fois très réussies ces affiches-là.
00:07:25Ils ont tout réussi en Ligue des Champions.
00:07:26Pour l'instant c'est vrai.
00:07:27Le bagnole, les vignettes, le terrain.
00:07:29Elle vaut 5 euros donc si vous voulez vous faire plaisir.
00:07:32Je vais en prendre 100.
00:07:33Allez-y.
00:07:34Vous avez du fric.
00:07:35C'est un budget pour la chaîne.
00:07:37Ah ben c'est pas moi.
00:07:38Vous êtes fou furieux.
00:07:39Avant d'aller voir Giovanni Arruduru, un mot Charlotte sur un rematch comme ça.
00:07:43Ajorque-Pacho quand on a joué il y a quelques jours.
00:07:46Est-ce qu'on a le temps de s'ajuster ?
00:07:48Est-ce qu'il faut s'attendre à la même chose ?
00:07:50Ou les joueurs travaillent ?
00:07:52Je pense que Pacho va éviter le piège de Ludovic Ajorque.
00:07:56En fait Ludovic Ajorque, sa particularité c'est qu'il n'a pas envie de se retourner.
00:07:59Et Pacho aime quand il y a des joueurs qui essayent de se retourner et essayent de jouer le duel.
00:08:04Sauf qu'Ajorque il ne le fait pas.
00:08:05Il cale comme disait Benoît.
00:08:06Mais sauf que vraiment il cale et il reste.
00:08:08Donc passer devant Ajorque même si on est Pacho ou un autre défenseur c'est très compliqué.
00:08:12C'est la particularité qu'il a en plus.
00:08:14Et Pacho à mon avis va essayer de prendre un peu plus de recul.
00:08:18Essayer de voir s'il y a des angles qui sont ouverts pour passer devant.
00:08:21Allez on part Arruduru.
00:08:22C'est Giovanni Castelli qui est avec nous.
00:08:24Bonsoir Giovanni.
00:08:25Merci d'être là dans cet avant-match.
00:08:27On va vous laisser finir dans quelques minutes du côté du stade.
00:08:29Il y aura l'équipe de la mi-temps avec nous évidemment et l'après-match.
00:08:33On était sur la compo des deux équipes.
00:08:35Est-ce que vous voyez une surprise majeure ou alors l'absence de surprise qui devient une surprise ?
00:08:44Bonsoir Greg.
00:08:45Non moi je trouve que c'est extrêmement cohérent par rapport au choix de Luis Enrique.
00:08:49Il insiste et je pense que c'est sa grande réussite depuis que même quand Yann Mbappé était là.
00:08:55Parce qu'il a passé la deuxième partie de saison sur le banc.
00:08:58C'est de faire jouer la concurrence.
00:09:00C'est que Guevara en Ligue 1 a enchaîné quelques matchs.
00:09:03Mais honnêtement des joueurs offensifs entre Désiré Doué, Bradley Barcola, Ousmane Dembélé.
00:09:08Même si le géorgien était pas mal face à l'As Monaco.
00:09:11Il est dans une moins bonne forme.
00:09:12Donc il y a une forme de cohérence et de continuité.
00:09:15Et puis dans le cœur du jeu je pense que le choix de Fabian Ruiz c'est pour ajouter de la maîtrise, de la stabilité.
00:09:20Parce qu'il redoute énormément cette équipe brestoise.
00:09:23Luis Enrique l'a redit hier en conférence de presse.
00:09:27On voit derrière vous des familles, des enfants.
00:09:33Ça se passe très bien.
00:09:34C'est parfum de championnat ou c'est parfum de Ligue des champions ?
00:09:38Parce que c'est compliqué un duel franco-français en termes d'ambiance.
00:09:41Peut-être, peut-être.
00:09:42On n'a pas tellement d'exemples.
00:09:47Non, championnat non, quand même pas.
00:09:48Parce que c'est particulier.
00:09:50On est en pleine semaine.
00:09:51L'horaire est aussi un petit peu spécial.
00:09:53Donc on sent bien qu'il y a une atmosphère particulière de la ville de Saint-Brieuc et de la ville de Guingamp.
00:09:58La fanfare qui va se mettre en marche mon cher Greg.
00:10:01On va vous laisser profiter.
00:10:03On ne voit pas ça en championnat tout le temps.
00:10:14Très très bonne ambiance.
00:10:15Et on sent, même si Brest n'est évidemment pas favori, Greg a quand même une ferveur particulière.
00:10:21Il profite pleinement les Brestois de cette épopée européenne.
00:10:24C'est l'équipe du Bignou, c'est l'EDB.
00:10:26Un mot Giovanni, quand même sur la pelouse.
00:10:29Hier, vous nous montriez en bord de terrain qu'elle n'était pas terrible.
00:10:32On avait vu Nasser Al-Raleifi en train de dire que ce n'était pas très digne avec des champions.
00:10:36Même si vous l'aviez souligné en conférence de presse, où Cendriquet et les joueurs n'avaient rien dit.
00:10:41Qu'est-ce qu'on en pense de cette pelouse ?
00:10:46Honnêtement, elle n'est pas bonne.
00:10:47On ne va pas se mentir.
00:10:48Elle n'est pas dans un bon état.
00:10:50Elle n'était pas aussi détériorée pour le match face au Real Madrid.
00:10:55C'est important de dire que même si Nasser, hier, n'était pas certainement surpris,
00:11:00et ce qui est normal de la qualité de cette pelouse pour la Ligue des champions,
00:11:03ils ne vont pas en faire toute une histoire et toute une affaire.
00:11:06Je pense que c'est plus de la surprise et de la déception de jouer un match de Ligue des champions sur une pelouse comme ça.
00:11:12Et ce sera le même pour Brest, donc ce ne sera pas une excuse.
00:11:15Giovanni, vous préférez la crêpe ou la saucisse ?
00:11:17Parce que vous avez été très moyen sur la saucisse, sur la galette.
00:11:20Ou sur la crêpe, vous allez être bon ce soir ?
00:11:25Sur la crêpe, mais pas la saucisse non plus.
00:11:28Ce que je peux vous dire, c'est que les gens sont en pleine forme.
00:11:31Et il faut rappeler que l'abus d'alcool, c'est avec modération.
00:11:35Bien sûr, Giovanni.
00:11:36Je vous laisse avec vos copains.
00:11:38On se retrouve dans un instant.
00:11:40Tout se passe bien, je précise.
00:11:42Giovanni est là.
00:11:43Je tiens à le dire à sa famille.
00:11:45Les 4 sont à l'hôpital aujourd'hui.
00:11:47Giovanni est trop puissant.
00:11:48Tout va bien.
00:11:49Pas de violence.
00:11:50Je vous rassure, c'est un esprit bon enfant.
00:11:51Vous l'avez vu à Roudourou.
00:11:53En fait, c'est un peu particulier là à l'OEC Tansy.
00:11:56Parce que des duels franco-français, il y en a très peu.
00:11:58Je me souviens de ce Bordeaux-Lyon en Ligue des champions.
00:12:00Et puis en semaine, à 18h45, là on va.
00:12:03C'est rendez-vous en terme inconnu un peu pour nous tous.
00:12:05En termes d'ambiance.
00:12:06Pas en termes de tout même.
00:12:07Franchement.
00:12:08D'ailleurs, il y avait encore des places en vente il y a 2 jours pour ce match-là.
00:12:15Donc ça montre aussi un peu.
00:12:16Mais après l'horaire.
00:12:17Pour moi l'horaire n'est pas bon aujourd'hui.
00:12:18Je crois qu'il y a un énorme problème cet horaire.
00:12:20Même la Ligue des champions.
00:12:21On ne doit jamais jouer un match comme ça à la Ligue des champions.
00:12:23C'est pas de la faute de l'LFP pour une fois.
00:12:25Mais est-ce que l'UEFA a mal considéré Brest pour mettre ce match à cette heure-là ?
00:12:29Je ne sais pas si l'UEFA décide toute seule de le voir des matchs.
00:12:35Il y a aussi le diffuseur quand même qui décide.
00:12:36Il y a une obligation de mettre un match le mardi à 18h45 et un le mercredi à 18h45
00:12:40en ce qui considère les play-offs.
00:12:42Il n'y a qu'à regarder les autres affiches en fait.
00:12:44Le diffuseur paye cher en France par rapport à les anglais.
00:12:47Je crois qu'on est le deuxième pays qui paye le plus cher.
00:12:49Je ne suis pas sûr que Canal soit très content de l'horaire forcément.
00:12:51S'ils l'ont choisi peut-être.
00:12:52Je ne sais pas.
00:12:53Non mais je pense peut-être qu'ils se sont dit qu'avec Real City derrière.
00:12:55Ils faisaient un coup double.
00:12:56Oui.
00:12:57Ils feraient une audience supérieure aussi.
00:12:59Pourquoi pas.
00:13:00Mais Loic a raison.
00:13:01Il y avait encore pas mal de billets en vente hier après-midi pour ces différentes raisons.
00:13:05Donc l'horaire 18h45.
00:13:06Le trajet mine de rien.
00:13:07Les supporters brestois mettent 1h15 pour aller jusqu'à Guingamp.
00:13:10L'affiche qui provoque une certaine habitude maintenant.
00:13:13Paris-Brest il y en a eu plusieurs cette saison.
00:13:16Mais en tout cas l'Eurodourou sera bien plein ce soir.
00:13:1915 200 spectateurs attendus.
00:13:22Un peu moins de 1000 supporters du Paris Saint-Germain dont 600 Ultra.
00:13:26Un match classé 2 sur 5 par la Direction Nationale de la lutte contre le hooliganisme.
00:13:30Donc tout devrait bien se passer a priori.
00:13:33Il y a juste une rivalité entre Brestois et Guingampais.
00:13:36Mais pas d'antécédent récent connu entre les supporters du Paris Saint-Germain et de Brest.
00:13:40Donc encore une fois tout devrait bien se passer ce soir.
00:13:42Je précise que tout va bien se passer.
00:13:44Surtout si en plateau vous ne faites pas la blague de c'est un gâteau ou une pâtisserie et pas un match.
00:13:48Et si vous ne le faites pas dans ce cas-là vous resterez évidemment autour de la table.
00:13:51Je vous précise on est là jusque au coup d'envoi.
00:13:54Derrière l'équipe de la mi-temps on vous débriefera la première mi-temps.
00:13:57Et on sera là dans l'après-match pour faire le débrief de cette première manche de play-off entre Brest et le Paris Saint-Germain.
00:14:03Voici le zapping parce qu'on est quand même dans l'EDG.
00:14:05C'est avec Sacha Depersin.
00:14:12Sur le switch, Luka a le big sur lui.
00:14:14Il essaie le 3.
00:14:15Et c'est le premier de nombreux à venir pour Luka Dovčić en tant que Laker.
00:14:22C'est une belle en tout cas cette sortie de Parkus Turam.
00:14:24Corner.
00:14:25Encore un coup d'oeil.
00:14:26C'est correct.
00:14:27Cette fois-ci Lautaro Martinez.
00:14:29La conviction, l'envie et surtout le chemin que montre Lautaro Martinez.
00:14:35Capitaine plein d'enthousiasme dans cette rencontre.
00:14:37Regardez-le, ses yeux déterminés.
00:14:42Oui, très bien fait.
00:14:56Et bien voilà, déjà une première tête.
00:14:58Il souffre.
00:15:00Alexander Biblik n'a pas résisté longtemps avant de lâcher ses nerfs.
00:15:08Et là, on voit le petit ouf de soulagement et le petit sourire en coin.
00:15:22Marion Chévrier, c'est bien ce qu'elle fait.
00:15:23C'est propre ce qu'elle produit.
00:15:24Et elle se met en confiance en vue du slalom.
00:15:26Allez, de la hauteur.
00:15:27Gardez de la hauteur du relâchement.
00:15:28Et on lâche tout à partir de maintenant dans la quadruple.
00:15:31Allez Marion, super manche de la part de la Française.
00:15:34Allez, elle va prendre la tête Marion.
00:15:37Oui, on a une Française sur le fauteuil de leader pendant quelques instants.
00:15:41Romane Miradoli, le grand sourire parce que cette Team France a bien réalisé ce slalom.
00:15:46Bravo Marion.
00:16:03Et ça c'est vilain.
00:16:04C'est très vilain et ça sera carton rouge.
00:16:06C'est peut-être le tournant du match que nous venons de vivre.
00:16:09Ce pied haut, terrible de Bilal Brahimi.
00:16:12Valait-il carton rouge ? Il était haut, c'est sûr.
00:16:34Elle est tôt sur le serre.
00:16:49Peu d'espace.
00:16:51La frappe.
00:16:53Non, ce sera pour Bastoni.
00:16:55On n'hésite pas systématiquement.
00:16:58Ça change, c'est côté une terrasse.
00:16:59Il s'est infiltré, il vient battre à nouveau David Perrin, encore sur une tête, 2 à 0, 2 buts à 1 pour l'Inter, qui reprend l'avantage en tout début de deuxième période.
00:17:13Encore une domination nette les interistes.
00:17:16Aller derrière pour l'instant c'est Mickaël Achifrine qui se dérisse vers une 8ème victoire en championnat du monde avec le duo Breezy Johnson.
00:17:32Aller à Beaumur de la part de Parlin-Molzahn pour aller chercher la médaille.
00:17:36Les dernières portes pour l'américaine pour essayer de monter sur le podium, la victoire.
00:17:43Elle sera au pied du podium, l'immense Mickaël Achifrine ajoute un nouveau titre à son palmarès.
00:17:51Légendaire avec son amie d'enfance Breezy Johnson, championne du monde en descente et qui décroche son deuxième titre de champion du monde alors qu'elle n'avait jamais rien gagné.
00:18:02Mais quelle histoire de dingue.
00:18:14Ça décroît !
00:18:31Elle le gagne, c'est parfait mais je ne suis pas sûr qu'elle puisse tenir comme ça toute la partie.
00:18:38Parce qu'elle a cavalé encore.
00:18:43Elle est sortie de l'école là non ?
00:18:45Beaucoup beaucoup de supporters, vous pouvez voir Virginie, c'est la folie.
00:18:52Bonne ambiance, bonne ambiance.
00:18:57J'ai l'impression qu'on va laisser tranquille Giovanni là non ?
00:19:01Il est derrière les ailes, il sort de là.
00:19:03Giovanni, Giovanni, bon ben probablement pas Giovanni.
00:19:14Voilà pour ces images et ça recommence demain 9h30, le combiné homme à vivre évidemment à Salbar avec Clément Noël.
00:19:33On espère le meilleur pour notre skieur français.
00:19:35Et puis on est sur la neige, vous savez qu'on est à J-1 des champions du monde de biathlon.
00:19:40On y est du côté de Lanzarayde, j'essaie de le prononcer du mieux que je peux, en Suisse.
00:19:45On va retrouver tout de suite Marie Dorin Haber qui est avec nous.
00:19:48Bonsoir Marie, pourquoi est-ce qu'on va vivre, dites-nous tout, des mondiaux exceptionnels sur la chaîne l'équipe ?
00:19:56Bonsoir à tous en direct de Suisse, directement de Lanzarayde.
00:20:00Moi je dis Lanzarayde, je ne dis pas Lanzarayde 2.
00:20:03On va vivre des mondiaux exceptionnels parce que déjà on a une équipe qui est très performante,
00:20:07une équipe de France très performante depuis le début de la saison.
00:20:10Elle fait partie des 4 équipes favorites même si on a toujours des surprises et c'est pour ça qu'on aime le biathlon.
00:20:16Mais globalement on s'attend à du beau spectacle.
00:20:20Et moi j'ai tout aussi hâte que vous de pouvoir être devant la caméra demain.
00:20:25Et le Relay Mix start demain 11h50.
00:20:28Pour que ça commence, le Relay Mix, on a de belles chances de médailles.
00:20:32Oui, comme je disais, on fait partie des 4 équipes favorites.
00:20:36C'est vrai que la France, depuis le début, elle brille depuis le début de cette saison.
00:20:40On a de la belle montagne, on a de la belle neige.
00:20:43Après on a nos 4 relayeurs qui sont dans les starting blocks.
00:20:47Ça partira avec Julia Simon qui donnera le relais à Lou Jean-Monod.
00:20:51Ensuite à Éric Perrault et pour finir c'est Émilien Jacquelin qui essaiera de porter le drapeau jusqu'à la ligne s'il y arrive.
00:20:58Espérons. Merci Marie. Passez une belle soirée.
00:21:01On est à la veille de l'ouverture des chemins du monde de biathlon.
00:21:04En plus d'avoir le combiné homme de ski demain.
00:21:07C'est une journée extraordinaire à vivre en direct sur la chaîne d'équipe.
00:21:11Nabi Djelit, regardez, c'est notre meilleur représentant.
00:21:14Une saga bleue, bien évidemment.
00:21:16On peut le lire debout ou couché.
00:21:18Évidemment.
00:21:20Vous êtes remarquable mon Nabi.
00:21:21C'est facile.
00:21:22Raphaël, ce soir c'est Ligue des champions, Brest-Paris-Saint-Germain.
00:21:26On rappelle les compos pour toutes celles et tous ceux qui viennent de nous rejoindre.
00:21:29On va rappeler tout d'abord la compo de Brest qui reçoit à Guingamp au Roudourou avec ce 4-3-3.
00:21:34Le choix, Doumbia sera sur le banc.
00:21:37C'est Romain Fèvre qui va jouer sur le côté droit de l'attaque avec Ludovica Georges et Sima.
00:21:42Voilà donc pour le 11 de départ, le mieux de terrain.
00:21:45Lesmélou sera bien titulaire avec Camara et Magneti.
00:21:48Il n'y a pas de Del Castillo sur la feuille de match.
00:21:50On peut vous aussi vous donner cette information.
00:21:52Et puis du côté du Paris-Saint-Germain, pas de Varasrelia.
00:21:55Il est sur le banc pour sa première dans le groupe en Ligue des champions avec le Paris-Saint-Germain.
00:22:00Ce sera le trio d'attaque Barcola-Dembele-Doué.
00:22:03Le mieux de terrain en l'absence de Warren Zahir-Emery, c'est Fabian Ruiz qui sera au côté de Vitinha et Joao Neves.
00:22:08Et petite info qui concerne Marquinhos, le capitaine du Paris-Saint-Germain,
00:22:11ce sera son centième match de Ligue des champions avec le Paris-Saint-Germain.
00:22:15Il est le premier joueur à atteindre ce cap des 100 matchs avec un club français.
00:22:19Il faut quand même le saluer.
00:22:20C'est fort, vous avez raison.
00:22:21Varasrelia, playoff si vous préférez entre Brest et le Paris-Saint-Germain.
00:22:26Est-ce qu'on peut parler, Nabi Djelid, d'exploits quasi impossibles pour les Brestois ?
00:22:31Impossible, ça n'existe pas dans le football.
00:22:33Et par définition, des exploits, il y en a eu.
00:22:36Il y en a eu dans le passé.
00:22:38On a eu des clubs français qui ont réussi des exploits.
00:22:40Bastia, Laval contre le Dynamo Kiev que j'aime toujours rappeler.
00:22:45Non, ce n'est pas impossible.
00:22:48Il y en a eu d'autres depuis quand même.
00:22:50Nabi est allé loin, mais il y en a eu d'autres depuis.
00:22:52Non, mais c'est pour situer le gabarit du club.
00:22:54C'est-à-dire, par rapport au gabarit du club, c'est pas impossible.
00:22:59D'autant qu'ils se connaissent parfaitement.
00:23:01L'écart, la dernière fois 5-2, pour moi, il est en trompe-l'œil par rapport à la physionomie du match.
00:23:05Oui, mais il est là.
00:23:07Il existe.
00:23:08Si vous faites jeu égal et que vous prenez trois buts d'écart.
00:23:10Non, mais la logique, c'est que le Paris-Saint-Germain ce soir,
00:23:13ce qu'il se dit, c'est qu'ils doivent plier le match à l'aller.
00:23:15Mais après, Brest est capable de mettre le doute.
00:23:19Et par sa manière de jouer...
00:23:21Ils sont là, donc ils sont capables.
00:23:23Je vais peut-être vous étonner, mais je suis persuadé que...
00:23:26Moi, s'il y avait été le PSG, j'aurais préféré tirer Monaco que Brest.
00:23:28Honnêtement.
00:23:29Non, non, mais je sais que ça peut vous étonner.
00:23:31Je pense que Monaco défend beaucoup moins bien que Brest.
00:23:35Et la nature...
00:23:36Vous avez vu, ils en ont pris cinq.
00:23:37La nature de jouer...
00:23:38Oui, mais c'est sur la fin de match.
00:23:39Là, les deux ont joué, ils en ont pris cinq et quatre.
00:23:41Oui, mais parce que le Paris-Saint-Germain, ils sont sur une séquence...
00:23:43Ils sont sur un pic de formes.
00:23:45Oui, mais dans la nature de l'adversaire,
00:23:47je pense que Monaco laisse beaucoup plus d'espace dans le dos
00:23:50et défend moins bien que Brest.
00:23:52Brest, je ne les vois pas partir à l'abordage, là,
00:23:54contre le Paris-Saint-Germain.
00:23:56C'est une certitude.
00:23:58Donc voilà, c'est une équipe qui peut vous ennuyer.
00:24:01Maintenant, si vous me dites...
00:24:02De toute façon, c'est la quatrième vie.
00:24:03Moi, je ne dis rien, je vous laisse parler.
00:24:04Non, mais il y a un moment, il faut être honnête.
00:24:05Je veux dire, si en début de saison...
00:24:06Il faut être court aussi, ce serait bien.
00:24:07Si en début de saison, je terminerais là-dessus,
00:24:09puis après, vous voyez, je ne prends plus la parole jusqu'à la fin de l'année.
00:24:11Mais si !
00:24:12Mais c'est pas vrai !
00:24:13Je ne suis pas vexé !
00:24:14Mais vous arrêtez !
00:24:15Vous êtes le plus humble de tous !
00:24:18Je ne suis pas humble, on s'en fout.
00:24:20Non, mais c'est un peu la quatrième dimension, ce qu'on vit, en fait.
00:24:22Parce que si en début de saison, on vous dit
00:24:24PSG-Brest en barrage, match à Guingamp en Ligue des Champions.
00:24:28Non, mais il y a un moment, il faut aussi recontextualiser les choses.
00:24:31Mais c'est ce qu'on fait.
00:24:32Mais voilà.
00:24:33Et c'est important de le dire.
00:24:34On peut recontextualiser en montrant par des chiffres
00:24:36qu'il y a vraiment deux mondes d'écart entre ces deux clubs.
00:24:39Tout sépare ces deux clubs.
00:24:40Le budget, regardez, entre PSG et Brest.
00:24:44Le classement UFA.
00:24:45La valeur de l'effectif, 805 millions d'un côté, 120 millions de l'autre.
00:24:50Et pardon, regardez, c'est le huitième match en C1 de Brest.
00:24:53Et c'est le 163ème match du PSG en Ligue des Champions.
00:24:58Ce qui est complètement dingue.
00:24:59Et il y a aussi un monde d'écart.
00:25:00Zéro Ligue des Champions pour les deux.
00:25:01Parce qu'on parle d'exploit.
00:25:02Mais l'exploit, c'est que Brest n'a plus battu le Paris Saint-Germain depuis 1985.
00:25:08On ne le dit pas souvent.
00:25:09C'est 30 matchs sans victoire de Brest face au PSG.
00:25:13C'est quand même énorme.
00:25:14Donc l'exploit, il serait là quand même d'aller chercher 30 ans après une victoire face à Paris.
00:25:17Après, je ne crois pas, Loic.
00:25:19J'entends ce que dit Nabil.
00:25:21Je ne crois pas qu'ils vont faire de complexe.
00:25:23Ils les connaissent par cœur.
00:25:24Ils ont mérité leur place.
00:25:25Ils sont allés la chercher.
00:25:26Ils auraient même peut-être pu espérer mieux à un moment sans la fin de parcours.
00:25:31Bien sûr que ça va être compliqué.
00:25:32Mais ça aurait été compliqué contre n'importe qui.
00:25:33Contre vous êtes Brest.
00:25:34Parce que ces chiffres-là, ils marchent contre 15 ou 17 équipes.
00:25:38Bien sûr.
00:25:39Mais la connaissance de l'équipe adverse, elle est valable pour les deux équipes.
00:25:42Paris connaît très bien Brest aussi.
00:25:43Pour vous, l'écart était mérité en championnat ?
00:25:45Parce que vous vouliez répondre à Nabil.
00:25:46Moi, j'étais au stade.
00:25:47C'était mérité.
00:25:48Brest a eu deux temps forts.
00:25:49Ils marquent sur les deux temps forts.
00:25:50Oui, mais il y a un deuxième but qui aurait pu aussi...
00:25:52Après, ils ont deux gros temps forts.
00:25:54Ils marquent.
00:25:55Mais derrière, sur l'ensemble du match, Paris a archi dominé la rencontre.
00:25:58Mais on peut s'attendre à une rencontre comme ça ?
00:25:59Où Brest peut fermer un peu plus le jeu ?
00:26:01Donc, il va en prendre cinq si on vous entend ce soir.
00:26:03Il a le droit de penser ça.
00:26:04Non, mais vous tous.
00:26:05Je n'ai pas vu un Brest qui est parti à l'abordage sur le match à domicile en Ligue 1.
00:26:09J'ai vu un Brest qui a attendu le Paris Saint-Germain.
00:26:11Et qui a pris un but comme ça en attendant le PSG.
00:26:14Et qui a fini par sortir derrière.
00:26:16Parce qu'à 1-0, évidemment, il fallait marquer.
00:26:18Ils ont pris des buts comme ça.
00:26:19Et moi, je pense qu'on va avoir une physiognomie de match où ça va être pareil ce soir.
00:26:23Parce qu'on a un PSG qui attaque quoi qu'il arrive.
00:26:25Qui laisse beaucoup d'espace derrière.
00:26:27Parce qu'ils estiment qu'il faut marquer plus que l'adversaire.
00:26:29Et je pense qu'ils vont marquer le premier but.
00:26:32Et derrière, Brest va se découvrir.
00:26:33Et on aura un match assez ouvert.
00:26:34Alors, Charlotte.
00:26:35Hier, certains me disaient qu'à 0-0, il n'y avait aucune raison pour que Brest ne se découvre trop.
00:26:40Eric Croix l'a dit en conférence de presse.
00:26:42C'était important.
00:26:43Il l'a dit.
00:26:44Vous étiez là, Benoît.
00:26:45Il a dit, l'idée c'est d'être encore en vie pour le match retour.
00:26:47C'est vrai que c'est une philosophie qui nous paraît cohérente.
00:26:51Je pense que là, avec ce match-là, cette défaite qui a été terrible pour les Brestois.
00:26:56A mon avis, ils vont être un petit peu plus bas.
00:26:58Le bloc un peu plus bas.
00:26:59Bloc médian bas, on va dire.
00:27:02Mais je pense qu'offensivement, le fait que Pierre Lesmouneau revienne.
00:27:06Que Fèvre est très en forme.
00:27:08Parce que même si Descasteau n'est pas là.
00:27:10Sima, que je trouve très bon.
00:27:12Mbamabaldé qui peut rentrer en seconde période.
00:27:14Peréralache.
00:27:15Il y a quand même du beau monde.
00:27:16Mais défensivement, la vitesse du Paris Saint-Germain qui propose offensivement.
00:27:20Elle est assez terrible.
00:27:21Donc je vois quand même Brest un peu plus méfiant.
00:27:23Même s'ils vont essayer d'offensivement de proposer des choses.
00:27:26Être un petit peu plus bas.
00:27:27Parce que là, avec cette équipe du Paris Saint-Germain.
00:27:30Offensivement, ils peuvent faire vraiment des dégâts.
00:27:32Benoît, vous voyez un duel autre que Pacho à Jorc.
00:27:35Marcan, est-ce que c'est plutôt une histoire d'attaque-défense ?
00:27:37On dit souvent que c'est le milieu de terrain qui décide d'une rencontre.
00:27:40Moi, je ne suis pas certain que la clé du match se passe devant.
00:27:45Pour moi, c'est le milieu de terrain.
00:27:47Parce qu'on sait très bien que les fourvoyeurs de ballon, c'est Vitinha, Néves.
00:27:51Encore plus Néves en ce moment.
00:27:53Vitinha aussi.
00:27:54Ruiz aussi qui a un beau pied gauche.
00:27:55Ils sont bien en ce moment.
00:27:56Ils cherchent la Diago.
00:27:57Franchement, on a des manieurs de ballon des deux côtés.
00:27:59Je pense clairement que Magnéti, Lesménou et Camara devront exercer un pressing très agressif.
00:28:06Voir un peu à la limite sur le milieu parisien s'ils veulent exister.
00:28:11Quand vous dites à la limite perdre en jeu, c'est-à-dire être agressif dans le bon sens du terme.
00:28:15Ne pas leur laisser un espace.
00:28:16Leur dire que c'est chez nous.
00:28:17On joue.
00:28:18Vous ne prendrez pas un centimètre carré.
00:28:19Ce que je vais dire, on n'aime pas ça.
00:28:23Mais c'est vrai que par moments, si on peut mettre le pied sur le ballon
00:28:26et glisser sur le pied du parisien, on le fera aussi.
00:28:29Parce que ça montre et ça prouvera que les milieux brestois sont présents ce soir
00:28:34et ne lâcheront rien sur le milieu parisien.
00:28:37Je pense que la clé va être au milieu de terrain.
00:28:39Et garder l'équilibre aussi.
00:28:40Garder l'équilibre, c'est vraiment ces trois milieux de terrain de Brest.
00:28:43Parce qu'on sait que Vitigna, Neves, ça bouge partout.
00:28:45Ruiz aussi.
00:28:46Donc s'ils s'éparpillent et qu'ils ne sont pas coordonnés, ça va être le feu.
00:28:49Je voudrais qu'on dise un mot également des gardiens.
00:28:51Ça peut peut-être un peu vous surprendre.
00:28:53Mais Donnarumma, il a été trimballé.
00:28:55Je trouve qu'il a retrouvé une certaine constance.
00:28:58Bizotte, il était parmi les meilleurs gardiens l'an dernier également.
00:29:01Ils vont être sollicités.
00:29:02Forcément, ils l'ont été du côté de Brest.
00:29:06Franchement, Loïc Tanzy, commençons par Donnarumma.
00:29:10J'ai l'impression, en fait c'est bizarre, mais depuis son impact à Monaco,
00:29:15depuis qu'il est à nouveau tensé sur la prolongation avec les rumeurs chelouïennes.
00:29:19Je ne dis pas que les deux ont un lien de cause et d'effet.
00:29:24Je dis qu'au moment où l'adversité commence à poindre,
00:29:27il a l'air de se révéler d'être plutôt costaud.
00:29:29C'est surtout, je pense, au moment où il commence à craindre pour sa place l'année prochaine.
00:29:32Il se rend compte que l'offre de prolongation n'arrive pas
00:29:35et que le PSG cherche aussi des solutions sur le marché avec Chevalier.
00:29:40Chevalier, c'est Veredi qui a un vrai contact.
00:29:43S'ils peuvent le faire venir, ils le feront venir.
00:29:45Là, je pense qu'on a retrouvé un Donnarumma conquérant notamment sur les sorties,
00:29:50qui sort beaucoup plus, qui sort de manière plus agressive.
00:29:53Le Donnarumma qu'on voulait voir depuis le début de sa signature au Paris Saint-Germain.
00:29:58Je trouve que c'est à cause de son contrat
00:30:00et pas à cause de ce qui s'est passé à Monaco et de son choc avec Singo.
00:30:04Maintenant, il faudra voir le jour où il prolonge,
00:30:07si jamais il arrive à continuer à avoir cette régularité-là.
00:30:10Parce que le Donnarumma d'aujourd'hui fait partie des meilleurs gardiens d'Europe pour moi.
00:30:13Moi, je ne le prolongerai pas pour une raison.
00:30:16C'est une histoire qui est mal née depuis le départ.
00:30:18C'est un débat qui revient régulièrement sur la table.
00:30:21On est sur une séquence forte.
00:30:23Il n'y a pas de souci.
00:30:24Mais comme ça, je ne suis pas directeur sportif, je ne travaille pas au Paris Saint-Germain.
00:30:27Si tu veux prendre Chevalier, vous pouvez prendre Chevalier.
00:30:29Ils sont capables de tout.
00:30:31Tu peux en prendre quatre.
00:30:33Un Russe inconnu jusqu'à présent, un gardien italien, Lucas Chevalier.
00:30:37Un autre qui ne part pas en près.
00:30:38Chevalier, ça correspond quand même à leur projet.
00:30:40Oui, mais Nabil n'a peut-être pas totalement tort.
00:30:43Je suis entièrement d'accord avec Nabil.
00:30:45Effectivement, Donnarumma revient très bien en ce moment.
00:30:49Mais malgré tout, par rapport à Luis Enrique et sa philosophie de jeu,
00:30:54Donnarumma ne rentre pas dans les cases.
00:30:57Il est meilleur en pied aussi en ce moment.
00:30:59J'ai vu des matchs.
00:31:00À chaque fois, il y a toujours trois ou quatre dégagements en tribune.
00:31:04Pour Luis Enrique et pour le Paris Saint-Germain, non.
00:31:08Mais comme Courtois, même si au début c'était compliqué,
00:31:11aujourd'hui, il a quand même un vrai pied gauche.
00:31:14Chevalier, pareil.
00:31:15Je vais même pousser plus loin.
00:31:16Mais comme Roulis aujourd'hui à l'Olympique de Marseille,
00:31:18il est compatible avec deux herbis.
00:31:20Et aujourd'hui, Donnarumma n'est pas compatible.
00:31:23En tout cas, avant de parler de mon regard sur le jeu au pied,
00:31:25c'est vrai qu'on va quand même guetter.
00:31:26Parce qu'en Ligue des champions, il a quand même une boulette par an.
00:31:29Donnarumma.
00:31:30Après, sur la ligne, il est quand même un parrain.
00:31:32Mais c'est vrai que sur les sorties aériennes...
00:31:34Moi, je parle de l'historique avec le PSG en Ligue des champions.
00:31:36Il en a toujours une pour lui régulièrement.
00:31:39Malheureusement, il y a un passif.
00:31:40Voilà, il y a un passif.
00:31:41Charlotte Hamot bisotte également.
00:31:42Parce qu'il devrait être sollicité, a priori, quand on voit l'attaque de feu du PSG.
00:31:47Alors, à moins que Brest n'arrive à vraiment dominer le PSG dans le jeu,
00:31:52il y a un moment, il va compter pour donner de la confiance,
00:31:55pour même être un leader, guider sa défense.
00:31:57Vous avez été au cœur d'une défense, moi.
00:31:59C'est un poste-clé, surtout sur des matchs importants.
00:32:01Et surtout, quand tu n'es pas sur le papier meilleur.
00:32:04Et Bisotte, ce n'est pas l'une de ses meilleures saisons avec Brest.
00:32:07Il a été pas mal décrié, même si pour moi, ça reste quand même un bon gardien.
00:32:12Il lâche quelques erreurs.
00:32:15Il y a des doutes aussi, des fois, avec Chardonnay.
00:32:17Ils ne se comprennent pas forcément.
00:32:19Donc, il doit être aujourd'hui imparable pour essayer de laisser cette survie à Brest le plus longtemps possible.
00:32:26En tout cas, il est un des gardiens les plus sollicités depuis le début de cette Ligue des champions.
00:32:30Il a subi 36 tirs cadrés.
00:32:32C'est le deuxième chiffre qui nous intéresse.
00:32:3475% d'arrêts sur les 36 tirs cadrés qu'il a subis.
00:32:3826 arrêts.
00:32:39Donc, il est habitué à ce genre de rencontre.
00:32:41Finalement, c'est normal depuis le début de la Ligue des champions.
00:32:43Et il a plutôt répondu positivement face à des grosses écuries.
00:32:46Brest en a rencontré beaucoup dans cette campagne européenne.
00:32:48Alors, on était derrière avec les gardiens.
00:32:50Je voudrais qu'on aille devant maintenant avec l'attaque.
00:32:52Parce qu'on a parlé d'Alger contre Pacho.
00:32:54On a ouvert là-dessus.
00:32:55Parce que moi, je trouvais que ça avait été un des duels les plus importants de la rencontre en championnat.
00:32:58Un mot sur celui qui marche sur l'eau littéralement en ce moment.
00:33:01C'est Ousmane Dembélé.
00:33:03Ousmane Dembélé qui est à droite.
00:33:04Qui est bien placé.
00:33:05Vous le disiez hier, Benoît, en disant qu'il est là où il faut tel un neuf.
00:33:09Mais, Charles, vous avez fini tout à l'heure.
00:33:10Vous allez commencer.
00:33:12Dembélé, il est dans une période de confiance.
00:33:14Si on joue au basket, on dirait qu'il est in the zone.
00:33:17En ce moment, il flotte.
00:33:20Je trouve que déjà, il a élevé son exigence en termes d'efficacité.
00:33:24A mon avis, je ne sais pas si dans la tête, il s'est dit qu'il y a des moments où il doit être beaucoup plus sérieux.
00:33:29Beaucoup plus prompt devant le but.
00:33:31Moins d'efforts peut-être que disait Benoît hier en disant qu'il avait plus de lucidité.
00:33:36Quand tu as acquis derrière toi les efforts défensifs, j'ai envie de dire que tu ne les fais pas souvent.
00:33:40Mais c'est vrai qu'il part de moins loin.
00:33:41Et son intelligence, c'est qu'il ne va pas être à côté de Coulibaly et Chardonnay.
00:33:45Ce n'est pas un attaquant qui est entre les deux défenseurs centraux.
00:33:49Il dézone pas mal.
00:33:51Et il se met toujours face au but.
00:33:54Donc, il est très intéressant.
00:33:55On ne se rend pas compte à quel point il porte le Paris Saint-Germain.
00:33:58Déjà, sa note moyenne, elle est à 7,57.
00:34:00Il a marqué 13 buts sur l'année civile.
00:34:02Bon, il n'y a pas de passe D.
00:34:03Il n'y a plus de passe D.
00:34:04Mais quand on regarde un petit peu plus loin les stats, il est impliqué sur quasiment 62% des buts du PSG
00:34:10lorsqu'il est sur le terrain.
00:34:12Lorsqu'il est sur le terrain, il est sur quasiment tous les buts du PSG.
00:34:15Il est musulman ou pas, Dembélé ?
00:34:18C'est dur quand même.
00:34:20En ce moment, non.
00:34:22Clairement.
00:34:24Après, la grande différence avec Ousmane Dembélé qu'on a connu, c'est le placement.
00:34:28C'est qu'il arrive à se placer dans des zones.
00:34:30On le voit, il ne met pas des buts incroyables.
00:34:33Mais il est toujours placé là où le ballon va revenir, là où le coéquipier...
00:34:36Encore une fois, il fait un appel.
00:34:38La passe de Likangline est fabuleuse.
00:34:40Il faut qu'il fasse l'appel aussi quand même.
00:34:42Les buts derrière ne sont pas les plus durs à mettre.
00:34:44Il en a mis des beaucoup plus difficiles.
00:34:46C'est celui en spontanéité par exemple.
00:34:48Je crois que c'est à Schuttgart où il frappe directement enroulé.
00:34:50Celui-là est magnifique.
00:34:52C'est ce genre de frappe cadrée qu'il n'avait pas avant.
00:34:54Moi, je trouve que c'est beaucoup plus franc dans ses prises de balles, dans ses frappes.
00:34:58On sent qu'il a énormément de confiance.
00:35:01Il a l'impression que dès qu'il frappe, il peut y avoir but.
00:35:06En 20 secondes, Nabil ?
00:35:08Il met plus de détermination, c'est clair.
00:35:10Il est face au but.
00:35:11C'est comme ça qu'il avait explosé en Ligue 1.
00:35:13Du côté de Rennes avec Roland-Courbis, je me souviens.
00:35:16Est-ce qu'il est muselable ? Je ne sais pas.
00:35:19Mais la question, c'est est-ce que le jeu du Paris Saint-Germain est muselable en ce moment ?
00:35:22C'est plutôt non.
00:35:24Un petit mot sur les maillots ce soir.
00:35:26Notamment le maillot des joueurs des Stades Brestois.
00:35:28Vous savez pourquoi ? Ils cartonnent.
00:35:30Ils cartonnent comme jamais.
00:35:32Regardez-les à la tablette.
00:35:35Ils sont rouges avec ces fines bandes blanches horizontales.
00:35:37Ils se vendent comme des petits pains.
00:35:39Pourquoi ? Déjà parce que c'est un modèle unique, sur mesure.
00:35:42Il est associé à une campagne de Ligue des Champions exceptionnelle pour le club.
00:35:46C'est pour ça qu'ils provoquent un tel engouement.
00:35:48Des ventes qui cartonnent dans tous les magasins.
00:35:50Mais pas seulement à Brest, mais aussi partout en France.
00:35:54Il y a des demandes qui viennent même de Marseille.
00:35:57Du côté du Paris Saint-Germain, vous commencez à en avoir l'habitude.
00:36:01Ce sera le 4e maillot avec les ailes sur les manches.
00:36:05Visiblement, il leur porte chance.
00:36:07Souvent, j'ai l'habitude de vous donner les VIP qui sera là ce soir.
00:36:10Je ne connais pas pour l'instant leur identité.
00:36:13Mais il y aura un spectateur parmi les 15 000 spectateurs présents ce soir
00:36:17qui a retenu mon attention.
00:36:18Ce sera l'entraîneur du Stade Briochin.
00:36:20Vous savez le Stade Briochin qui a éliminé Nice en Coupe de France
00:36:24et qui est le futur adversaire du Paris Saint-Germain.
00:36:27Eh bien, Guillaume Alanou sera là ce soir.
00:36:29Pas pour boire des coups comme il l'a déclaré,
00:36:31mais pour bien analyser son futur adversaire.
00:36:33Vous savez qu'on est en mode grande soirée avant le prono de la mi-temps.
00:36:36Parce qu'on se retrouvera pour l'équipe de Greg de la mi-temps et pour l'après-match.
00:36:40On va en cabine.
00:36:41Candice Roland, Yoann Riou.
00:36:43Juste un coucou messieurs-dames.
00:36:44Vous êtes prêts ? Vous êtes chauds ?
00:36:45Oui, très très chauds Greg.
00:36:46C'est parfait.
00:36:47On a hâte de vous voir.
00:36:49Benoît Cossé va orchestrer la grande soirée.
00:36:51Prono de la mi-temps.
00:36:52Giovanni, vous allez rentrer au stade.
00:36:54Donc, je ne peux pas avoir de la mi-temps.
00:36:55Votre prono global, ça va donner quoi ?
00:36:57On est avec Giovanni d'abord les copains.
00:37:00Giovanni.
00:37:02Ah, enfin.
00:37:03Greg, à mon sens, ce soir, il y aura 3-2-1 pour le Paris Saint-Germain
00:37:06avec, bien évidemment, un doublé de Ousmane Dembélé.
00:37:09Merci Giovanni.
00:37:10Allez rentrer vite pour le stade.
00:37:11Ça donne quoi la mi-temps ?
00:37:12Regardons ça.
00:37:131 partout pour Alicia.
00:37:140-0, 1 partout.
00:37:150-0, 0-1 et 1 partout.
00:37:17L'équipe prend le relais de la grande soirée avec Benoît Cossé.
00:37:21Dans moins de 30 secondes,
00:37:22la grande soirée.
00:37:23Benoît Cossé aux commandes avec toute la troupe
00:37:25plus Candice et Yohann.
00:37:27Et puis, nous, on revient pour l'équipe de la mi-temps
00:37:29de ce Brest-Paris Saint-Germain
00:37:30en play-off de la Ligue des Champions.
00:37:32A tout à l'heure
00:37:33et bonne grande soirée avec Yohann et Candice.
00:37:42De retour sur le plateau de l'équipe de Greg de la mi-temps
00:37:44avec cet horaire inhabituel.
00:37:46Ce sont les play-offs de Ligue des Champions
00:37:49et Roudourou.
00:37:50Brest, 0.
00:37:51Paris Saint-Germain, 2 après ces 45 premières minutes.
00:37:54Toujours en compagnie d'Alicia, de Benoît, de Loic, de Nabil, de Charlotte
00:37:58et de Raphaël.
00:37:59Raphaël, 2-0 pour le Paris Saint-Germain
00:38:01à l'issue de la première mi-temps.
00:38:02Exactement.
00:38:03Grâce à des buts de Vitinha sur pénalty,
00:38:05son troisième de la saison.
00:38:06Et puis un but juste avant la pause d'Ousmane Dembele.
00:38:10Il y a eu des opportunités également pour Brest
00:38:12qui a touché les montants.
00:38:14On va voir les stats s'afficher dans quelques instants.
00:38:16Mais voilà, le Paris Saint-Germain
00:38:17qui a dominé cette première période.
00:38:1961% de possession de balles, 3 tirs cadrés.
00:38:22Deux montants touchés par Brest.
00:38:24Vous le voyez, c'est ce que je vous disais.
00:38:26Donc le PSG qui mène 2-0.
00:38:27Vitinha et Dembele.
00:38:28Alors le Paris Saint-Germain, Loic t'en dit que vous suivez
00:38:30au quotidien pour le journal L'Equipe.
00:38:322-0 à la mi-temps.
00:38:34Alors c'était un bon match de foot.
00:38:35Moi j'aimerais qu'on commence par ça.
00:38:36Est-ce que vous avez trouvé que c'était une bonne première mi-temps ?
00:38:38Et comme si le penalty avait lancé cette rencontre,
00:38:42ces 20 dernières minutes intenses des deux côtés.
00:38:45Il y a un Brest qui a joué assez bas en début de match.
00:38:49Puis c'est vrai qu'après ils sont un petit peu sortis.
00:38:51Là ils ont eu des occasions de but.
00:38:53Mais bon, c'est un très bon match.
00:38:55Match ouvert où il y a des buts.
00:38:56Et comme prévu, il y a un monde d'écart entre le PSG et Brest.
00:38:59Même si Brest a des opportunités de marquer.
00:39:01Aujourd'hui, le PSG est trop fort pour Brest.
00:39:03Et sur les 45 points à 1 minute, il le montre.
00:39:05Alors après, c'est vrai, Charlotte,
00:39:07je commence toujours par mes joueurs et mes joueuses.
00:39:09Et j'irai voir Benoît et Nabil dans la foulée.
00:39:11Parce que Loic suit le PSG au quotidien.
00:39:14Il y a quand même eu...
00:39:16En fait, les opportunités sont arrivées d'erreur.
00:39:18Le jeu demande erreur.
00:39:20Mais ce pénalty, par exemple, si on commence par ça,
00:39:22bon, là, la main, elle est décollée.
00:39:24C'est compliqué.
00:39:26Ils mettent beaucoup de temps, je trouve, pour le siffler.
00:39:28Alors que ça paraissait le plus évident.
00:39:30Je pense qu'ils checkent toute l'action.
00:39:32Parce qu'il y a eu un cafouillage un peu dans la surface de réparation.
00:39:34Mais par contre, je trouve que Brest a été intéressant tactiquement.
00:39:37S'ils jouaient mieux les coups,
00:39:39à mon avis, ils seraient un petit peu plus fins
00:39:41au niveau de l'efficacité offensive.
00:39:42Mais on sait que Paris Saint-Germain est très, très fort.
00:39:44Mais en tout cas, moi, je m'attendais à ce genre de...
00:39:47Mon prono était presque bon, Greg.
00:39:49Oh non, commencez pas avec mon prono était presque bon.
00:39:51Mais... Non, non, mais...
00:39:53Si il est presque bon, c'est qu'il est faux.
00:39:55Par définition.
00:39:56En tout cas... En fait, tu ne veux pas que je parle.
00:39:58En tout cas, Brest,
00:40:00le cheminement tactique était intéressant.
00:40:02Parce que Fèvres s'est mis un petit peu
00:40:04en faux numéro 10,
00:40:06à genre qu'il était sur le flanc droit.
00:40:08Et s'il met à gauche, là, ça a rejoué sur un 4-3-3.
00:40:10Il propose des choses, Brest.
00:40:12Mais c'est vrai que Paris a été méritant
00:40:14et mérite de gagner 2-0 facilement.
00:40:16Après la réalité, Benoît, du football de très haut niveau.
00:40:18Et là, quand vous êtes dans les 32 meilleures équipes du continent,
00:40:20c'est que vous êtes dans le très haut niveau.
00:40:22Et c'était souvent ce qui était reproché au Paris Saint-Germain.
00:40:24C'est qu'il faut être presque clinique, décisif,
00:40:26dans les deux surfaces.
00:40:28Et à l'arrivée, ils ne se trompent pas, le PSG.
00:40:30Ils ont trois grosses occasions.
00:40:32Et ils en mettent deux.
00:40:34Disons qu'offensivement, le Paris Saint-Germain ne se trompe pas.
00:40:36Par contre, défensivement,
00:40:38il y a encore des grosses lacunes.
00:40:40À l'image de Donnarumma
00:40:42qui dégage sur la tête de Ajorque.
00:40:44On peut expliquer parce que
00:40:46il y a une passe en retrait
00:40:48et Donnarumma a quand même le temps de faire une passe.
00:40:50Il essaie de passer par-dessus Ajorque
00:40:52pour trouver Nuno Mendes de l'autre côté à 20 mètres.
00:40:54Il y a une explication.
00:40:56Généralement, souvent, lorsque vous êtes défenseur
00:40:58et qu'on est un petit peu pressé par l'attaquant,
00:41:00on va remettre sur le gardien
00:41:02et forcément, il y a l'attaquant qui va presser le gardien.
00:41:04Là, on dégage devant.
00:41:06Sauf que lui, il contrôle.
00:41:08On sait très bien qu'avec le ballon,
00:41:10ce n'est pas non plus exceptionnel.
00:41:12Il veut jouer de l'autre côté.
00:41:14C'est encore une grosse erreur de Donnarumma.
00:41:16Disons que si ça tape une autre partie de la tête, c'est but.
00:41:18S'il y a un but, c'est incroyable.
00:41:20On a vu que sur les coups de pied arrêtés,
00:41:22Brest pouvait aussi embêter les Brestrois.
00:41:24C'est pareil.
00:41:26Il y a aussi Hakimi
00:41:28qui sauve un petit peu
00:41:30le Paris Saint-Germain
00:41:32mais qui frappe sur le poteau.
00:41:34Je pense que Brest a des opportunités.
00:41:36Malheureusement, sur le dernier geste...
00:41:38Heureusement, j'ai envie de dire non.
00:41:40Vous savez Greg,
00:41:42si vous jouez contre le Paris Saint-Germain,
00:41:44c'est déjà compliqué de se procurer des occasions.
00:41:46Ils ont quand même la main mise sur le ballon.
00:41:48Ils en laissent beaucoup Paris.
00:41:50Ils ont quand même des opportunités Brest.
00:41:52Mais toujours le dernier contrôle,
00:41:54la dernière frappe qui est compliquée.
00:41:56La boulette de Donnarumma,
00:41:58la quasi-boulette du gardien italien du Paris Saint-Germain,
00:42:00ça a été le fait de jeu le plus commenté
00:42:02sur les réseaux sociaux pendant cette première période.
00:42:04Les supporters parisiens s'y sont donnés à cœur joie.
00:42:06Donnarumma, tu ne vas pas recommencer
00:42:08quand même avec tous les mauvais souvenirs
00:42:10qui sont remontés à la surface.
00:42:12Je n'ai vraiment rien contre Donnarumma
00:42:14mais si le PSG veut régner sur la scène européenne,
00:42:16ce sera sans lui.
00:42:18C'était les propos de Nabil en avant-match.
00:42:20On a Donnarumma avec cette tête
00:42:22de Nasser El Khalaifi.
00:42:24Ça y est, la cicatrice de Donnarumma est partie
00:42:26donc il recommence.
00:42:28La classique Donnarumma
00:42:30est quasiment commentée dans toute l'Europe
00:42:32à savoir notamment par Marca
00:42:34mais j'ai vu aussi au Portugal, en Angleterre.
00:42:36Donc ça a déjà fait le tour de l'Europe.
00:42:38C'est normal, j'en parlais tout à l'heure.
00:42:40Je disais que dès que les matchs commencent à compter en Ligue des Champions,
00:42:42que ce soit le Real, que ce soit Dortmund,
00:42:44il en fait une là, il a failli goûter cher à son équipe.
00:42:46Un mot quand même Nabil
00:42:48sur la physionomie
00:42:50de cette première mi-temps.
00:42:52Vous imaginez une rencontre qui pouvait être aussi
00:42:54emballante. On a paraité de dire
00:42:56que finalement Brest se contenterait
00:42:58peut-être de jouer plus bas,
00:43:00d'être à 0-0. Moi je trouve quand même
00:43:02qu'il y a eu du rythme, des maladresses.
00:43:04Un joli but de Dembélé.
00:43:06Franchement, on l'a regardé ensemble.
00:43:08J'ai passé 45 minutes plutôt sympa.
00:43:10Ça reste un jeu, je pense qu'il faut le dire quand même.
00:43:12J'ai pas votre sentiment.
00:43:14Vous l'avez dit au début, moi je pense que c'est le but qui a lancé le match.
00:43:16C'est vrai que ça ronronnait un peu.
00:43:18Le Paris Saint-Germain a dominé mais il n'y avait pas d'occasion.
00:43:20Il n'y avait pas de tir au bout de 15 minutes.
00:43:22Le pénalty, c'est devenu
00:43:24un peu coup pour coup, c'est-à-dire
00:43:26c'est un match to box des deux côtés.
00:43:28Évidemment, quand tu as Sima qui vaut 5 millions d'euros
00:43:30et Dembélé qui en vaut 50,
00:43:32il y a plus de chances que Dembélé marque que Sima.
00:43:34Ce qui ne veut pas dire que Sima ne peut pas marquer.
00:43:36Et Sima, il démarre bien ses actions mais il les finit mal.
00:43:38Moi, je ne me suis pas ennuyé.
00:43:40J'ai aimé Doué.
00:43:42On peut commencer à personnaliser.
00:43:44Le côté droit, en règle générale, depuis le début de saison,
00:43:46on le disait tout à l'heure, c'était une ultra dépendance
00:43:48à Hakimi qui était exceptionnelle
00:43:50sur le couloir.
00:43:52Mais Doué, par sa conduite de balle,
00:43:54il a résulté à faire des différences.
00:43:56A Hidara, il s'est fait tuer plusieurs fois.
00:43:58Il est passé à chaque fois, j'ai l'impression.
00:44:00Et même Hidara face à Dembélé
00:44:02qui est venu dézonner,
00:44:04qui est venu aussi du côté droit.
00:44:06De toute façon, c'est clair, depuis le début du match,
00:44:08Barcola, je ne dis pas qu'il n'est pas là,
00:44:10mais ça se passe à droite.
00:44:12Et à droite, c'est un boulevard.
00:44:14Avec encore un Ousmane Dembélé
00:44:16qui a marqué,
00:44:18qui enchaîne.
00:44:20C'est la huitième rencontre consécutive
00:44:22où il marque Ousmane Dembélé.
00:44:24D'ailleurs, j'ai regardé en compétition officielle.
00:44:26On va avoir ces statistiques.
00:44:28Un but, deux tirs.
00:44:30Il a réussi, il a passé deux de ses trois dribbles.
00:44:32Neuf passes sur douze réussies.
00:44:34Peut-être dans les duels, c'est encore là, mais c'est normal.
00:44:36Il va au duel, on ne peut pas lui reprocher.
00:44:38Donc, quatrième joueur de l'histoire
00:44:40à marqué lors de ses huit rencontres consécutives au Paris Saint-Germain.
00:44:42Il y a eu Bianchi, il y a eu Mbappé,
00:44:44il y a eu Neymar. Il y a désormais sur cette statistique
00:44:46Ousmane Dembélé.
00:44:48Je vois qu'on reste un tout petit peu sur Désir et Doué
00:44:50parce que Nabil l'a lancé.
00:44:52Charlotte, c'est vrai que c'était quelqu'un qui est arrivé
00:44:54à la pointe des pieds. Le transfert, quand même,
00:44:56coûtait 50-60 millions d'euros.
00:44:58Il était désiré par Louis Sénériqué.
00:45:00Vous avez raison, j'essaie de resituer
00:45:02les pointes des pieds à ce prix-là.
00:45:04C'est des bons pieds.
00:45:06On a des bons appuis solides.
00:45:08Mais il n'était pas prévu pour être titulaire.
00:45:10Et en fait, on a le sentiment qu'il est en train de gagner sa place
00:45:12et que plus le niveau s'élève, plus il répond présent pour le moment.
00:45:14Exactement. Je trouve qu'il a pris en maturité.
00:45:16Il est arrivé un peu sur la pointe des pieds.
00:45:18Il a joué un peu en solo.
00:45:20Il a compris qu'au Paris Saint-Germain,
00:45:22tout ce qui était solo, ce n'était pas
00:45:24Louis Sénériqué le mettait de côté.
00:45:26Moi, ce que j'aime bien chez ce joueur,
00:45:28c'est que physiquement, c'est un monstre.
00:45:30De deux, il peut jouer partout offensivement et même au milieu de terrain.
00:45:32Quand tu as cette capacité à son âge
00:45:34de pouvoir jouer au milieu de terrain offensivement
00:45:36de tous les côtés, à droite, à gauche, devant,
00:45:38ça montre toute sa maturité.
00:45:40Et là, il a passé un cap.
00:45:42Le fait de jouer avec Hakimi aussi, c'est beaucoup plus simple.
00:45:44Pour moi, c'est l'homme de la mi-temps.
00:45:46Je suis d'accord avec toi.
00:45:48Charlotte, il a clairement simplifié son jeu.
00:45:50Avant, il voulait faire du Ronaldinho
00:45:52et dribbler un peu tout le monde.
00:45:54Aujourd'hui, dans les 30-40 derniers mètres,
00:45:56là où il faut aller dans la percussion
00:45:58et aller chercher le 1 contre 1,
00:46:00il y va.
00:46:02Autrement, dans le cœur du jeu, il joue assez simple.
00:46:04Il essaie de trouver ses partenaires.
00:46:06Comment on défend sur un garçon comme ça,
00:46:08aux étiers latéraux ?
00:46:10Pour moi, il faut défendre à deux.
00:46:12Ils ont essayé. Même à deux, il a réussi
00:46:14en première période.
00:46:16Il faut essayer de l'amener sur le côté
00:46:18ligne de touche et qu'ensuite,
00:46:20le numéro 6 vienne fermer à l'intérieur.
00:46:22C'est très compliqué parce que forcément,
00:46:24le jeu fait qu'on va à droite, à gauche.
00:46:26Il y a souvent des trous.
00:46:28C'est extrêmement compliqué de défendre
00:46:30sur un garçon comme ça.
00:46:32Ça dépend aussi de la qualité du défenseur.
00:46:34Là, Hidara, il est passé à côté de sa mi-temps.
00:46:36Ensuite, ce genre de joueur,
00:46:38il faut le bloquer tout de suite.
00:46:40S'il passe son premier ou son deuxième dribble,
00:46:42c'est-à-dire qu'il va réussir une bonne mi-temps.
00:46:44En revanche, si tu arrives
00:46:46à le neutraliser très vite,
00:46:48il va avoir tendance à moins être dans la prise de risque
00:46:50parce qu'il va avoir la peur de perdre
00:46:52des ballons. C'est un peu comme avec Guardiola.
00:46:54En gros, il faut quasiment passer
00:46:56à chaque fois. Si tu perds le ballon une ou deux fois,
00:46:58le gars qui est sur le banc derrière,
00:47:00il ne peut pas laisser chauffer.
00:47:02Jeveni Castaldi est au stade. Il nous a écrit
00:47:04pour nous donner ses impressions du stade.
00:47:06Vous êtes souvent Loïc dans les stades.
00:47:08Souvent, on n'est pas d'accord avec certaines de vos notes
00:47:10Surtout celle de Loïc.
00:47:12J'ai un vrai problème collectivement.
00:47:14Regardez un match depuis des tribunes de presse
00:47:16vraiment au bord du terrain
00:47:18en ayant une vision totale du match
00:47:20ou à la télé. Ce n'est pas pareil.
00:47:22Jeveni me disait que pour lui, Vitinha avait fait une très forte première mi-temps
00:47:24du côté du PSG en plus de Désiré Doué.
00:47:26Évidemment.
00:47:28Il nous disait que la pelouse était moyenne, mais que ça allait
00:47:30et qu'elle n'était pas un handicap comme on le craignait depuis deux jours.
00:47:32Je vous dis tout ce qu'il m'a envoyé.
00:47:34Il me disait que Nuno Mendes faisait une mauvaise mi-temps pour lui
00:47:36du côté PSG et que Lala,
00:47:38du côté Brestois.
00:47:40Il s'en sortait très bien. Il était plutôt impressionnant.
00:47:42Si on se projette un petit peu, parce qu'il nous reste
00:47:44quatre minutes à peine avant
00:47:46qu'on reparte.
00:47:48Avant les pronos, est-ce qu'on considère
00:47:50que la qualif est pliée
00:47:52à 2-0 la mi-temps ?
00:47:54C'est le principe du football.
00:47:56Il y a quatre mi-temps. Il y en a une qui a été jouée.
00:47:58Évidemment, Paris-Saint-Germain en balotage très favorable.
00:48:00Rappelez également que
00:48:02si le but à l'extérieur comptait encore double,
00:48:04je vous dirais
00:48:06qu'il revient à 2-1.
00:48:08Ce qui est sûr, c'est que le troisième but,
00:48:10Charlotte, on le dit toujours,
00:48:12il est vital, il est important.
00:48:14Si Brest le met,
00:48:16évidemment, ce n'est pas la même chose qu'à 3-0.
00:48:18J'enfonce une porte ouverte.
00:48:20Mais la réalité, c'est que les Brestois,
00:48:22il faut qu'ils réattaquent très fort.
00:48:24Je pense que les 5-10 premières minutes,
00:48:26à mon avis, il va falloir qu'ils poussent fort et qu'ils pressent.
00:48:28Parce que là, ils n'ont pas fait le pressing.
00:48:30C'était un bloc plutôt bas.
00:48:32Le pressing était en intensité faible.
00:48:34Je pense que les 5-10 premières minutes,
00:48:36et après, à voir s'ils arrivent à avoir des opportunités.
00:48:38Peut-être qu'après, redescendre dans la foulée
00:48:40et anticiper le match de retour.
00:48:42Pour vous, le PSG s'est déjà échappé.
00:48:44Pour moi, c'est terminé.
00:48:46Même sur les deux matchs.
00:48:48Ils sont bien trop forts.
00:48:50Et justement, Brest est obligé de se découvrir.
00:48:52C'est tout ce qu'aime le PSG.
00:48:54Ils vont trouver des espaces derrière.
00:48:56Avec Doué, Barcola et Nembele.
00:48:58Même s'il y a 2-1 à la fin du match, c'est pire.
00:49:00Benoît, tactiquement, vous faites renter Guevara
00:49:02peut-être à un moment pour lui donner le good luck
00:49:04des champions avec le PSG ?
00:49:06Je pense qu'effectivement,
00:49:08les 25 ou 30 dernières minutes,
00:49:10il le fera rentrer.
00:49:12Quoi qu'il arrive, c'est un joueur de classe mondiale.
00:49:14Il s'adaptera complètement
00:49:16à ce match de Champions League.
00:49:18On espère juste que pour le déroulé de match
00:49:20que Brest pousse, comme il l'a fait
00:49:22en fin de première mi-temps.
00:49:24On a vu qu'ils se sont procurés des opportunités.
00:49:26Vos pronos dans un instant.
00:49:28Mais avant cela, ça reste le DG.
00:49:30Antoine Pilot fait son entrée.
00:49:32Vous le savez, on le retrouve tous les soirs,
00:49:34deux fois dans l'émission.
00:49:36Antoine, tout à l'heure, dans le débrief,
00:49:38on aura le petit filet aux alentours de 21h.
00:49:40Qu'est-ce qu'on fait ? Qu'est-ce qu'on tente ? Qu'est-ce qu'on essaye ?
00:49:42On aura le district zone tout à l'heure.
00:49:44On va avoir un hommage au foot amateur.
00:49:46Et puis on aura les 5 champions de la semaine.
00:49:48Ceux qui n'auront jamais une médaille olympique.
00:49:50Mais ils ont une médaille ici.
00:49:52Et c'est ça, ça compte.
00:49:54Pour l'instant, petit teasing, c'est parti.
00:49:56J'ai oublié le ça, comme on dit.
00:49:58On va écurer Gio, refaire un shoot impossible
00:50:00depuis les tribunes de Golden States.
00:50:02Regardez.
00:50:04Il est écurant.
00:50:08Alors là, selon la LFP,
00:50:10ce serait à peu près 1 million d'euros d'amende.
00:50:12C'est des fumigènes dans la salle de basket.
00:50:14Ils sont à l'extérieur là, non ?
00:50:16Non, à l'intérieur.
00:50:18Ils ont une bonne VMC.
00:50:20Regardez ce protège-tube à maison.
00:50:22C'est une coque de portable.
00:50:24C'est pas mal.
00:50:26C'est un jet-ski.
00:50:28Sky-surf avec un drone.
00:50:30Pas mal, hein ?
00:50:32Voici à la maison.
00:50:34Il faudrait un hélicoptère.
00:50:36Et puis on pense à ce monsieur
00:50:38qui aurait une migraine ce soir.
00:50:40Aïe, aïe, aïe.
00:50:44Antoine, reste là 2 secondes.
00:50:46C'est l'heure des pronos.
00:50:48On y va.
00:50:50Ça va donner quoi, cette 2e mi-temps ?
00:50:52Le score final de ce Brest-Paris-Saint-Germain
00:50:54est de 3-1.
00:50:563-1 pour Alissia.
00:50:584-1 pour Benoît.
00:51:004-1 pour Loïc.
00:51:02De l'autre côté, 4-0.
00:51:04N'importe quoi.
00:51:063-1 pour Charlotte.
00:51:084-0 pour Raphaël.
00:51:10Antoine Pilot ?
00:51:12J'écoute toujours Benoît Trémolinas.
00:51:14Il avait donné quoi ?
00:51:164-1.
00:51:18Vous me donnez un petit bonus ?
00:51:20Qui va marquer encore un but ?
00:51:22Je vois un but de Mava Balder
00:51:24en sortie devant, du côté de Brest.
00:51:26Ça, je le note.
00:51:28C'est pas mon prono, c'est le vôtre.
00:51:30Mais vous me dites vous,
00:51:32un triplé de Dembélé ?
00:51:34Il va continuer, il va mettre les deux derniers.
00:51:36En ce moment, il est plutôt pas mal sur le football.
00:51:38On va bien désirer Doué à récompenser
00:51:40pour sa belle 1re mi-temps.
00:51:42Pareil, désirer Guevara.
00:51:44Désirer Guevara.
00:51:46Vous le savez, on va se retrouver
00:51:48à la fin du match pour le débrief
00:51:50de cette rencontre, de ce tour de playoff
00:51:52entre Brest et le Paris Saint-Germain.
00:51:54Dans un instant, la grande soirée.
00:51:56Benoît Cossé aux commandes.
00:51:58Et Yoann et ma petite Candice
00:52:00en cabine.
00:52:02Bon match.
00:52:12De retour dans l'équipe de Greg
00:52:14pour débriefer cette victoire du Paris Saint-Germain.
00:52:163 buts à 0 du côté de Roudourou.
00:52:18Face à Brest.
00:52:20On était là à l'avant-match, il y a eu la mi-temps.
00:52:22Et donc, le PSG qui prend
00:52:24sans doute plus qu'une option.
00:52:26Raphaël, avant de débriefer ça avec Alissia,
00:52:28avec Benoît, avec Loic, avec Nabil
00:52:30et avec Charlotte, on regarde avec vous ce qui s'est passé
00:52:32du côté de Guingamp.
00:52:34Avec une équipe de Guingamp, enfin de Brest
00:52:36qui a résisté sur la pelouse de Guingamp.
00:52:38Mais il a fallu attendre
00:52:40la 20ème minute de jeu.
00:52:42Voir cette main de Les Melous dans sa surface de réparation.
00:52:44Pénalty pour le Paris Saint-Germain.
00:52:46Par Vitinha.
00:52:481-0 pour le PSG.
00:52:50La réaction, l'égalisation presque de Sima.
00:52:52Mais ça va taper le poteau.
00:52:54A la 35ème minute de jeu pour Brest.
00:52:56Le but du 2-0.
00:52:58Il est inarrêtable.
00:53:00Ousmane Dembele à la 45ème.
00:53:02Et puis le doublé à la 66ème minute de jeu.
00:53:0423ème but cette saison.
00:53:06Toute compétition confondue
00:53:08pour Ousmane Dembele.
00:53:10Son 15ème sur l'année civile 2025.
00:53:12Paris a déroulé notamment
00:53:14cette 2ème période.
00:53:16Ils ont eu la possession, les occasions.
00:53:18C'est dans les duels aussi
00:53:20qu'ils ont été très bons les parisiens.
00:53:22Loïc Tanzy, vous suivez le PSG au quotidien
00:53:24pour le journal L'Equipe et pour l'équipe de Greg.
00:53:26Vous l'aviez plutôt annoncé d'ailleurs.
00:53:28Merci.
00:53:30Ils ont les choses.
00:53:32Vous aviez dit que le PSG
00:53:34se qualifierait dès ce soir.
00:53:36Quand on évoquait un Brest plus frileux,
00:53:38plus défensif.
00:53:40Vous pensez que c'est déjà plié la confrontation ?
00:53:42Je le pense encore plus après le match.
00:53:44Après 3-0, ça apparaît totalement logique.
00:53:46Même si les stats, on voit que
00:53:48le Brest a autant tiré que le PSG.
00:53:50On a vu le match attendu.
00:53:52Le PSG laisse des espaces.
00:53:54C'est ce PSG qui accepte
00:53:56de concéder des occasions dans un match.
00:53:58Ce PSG qui en ce moment
00:54:00est clinique devant le but.
00:54:02Ils ont eu 5 ou 6 occasions
00:54:04franches. Ils en ont mis 3.
00:54:06Il n'y a pas photo entre les deux équipes.
00:54:08C'est ultra logique de voir
00:54:10le PSG s'imposer 3-0 ce soir.
00:54:12On va en parler, mais on va tout de suite du côté de Roudourou
00:54:14retrouver Giovanni Castaldi qui a vécu le match
00:54:16depuis les tribunes.
00:54:18Bonsoir Giovanni.
00:54:20Merci d'être avec nous dans ce débrief
00:54:22dans le DG.
00:54:24C'est vrai que le PSG
00:54:26était plus clinique, plus réaliste que Brest.
00:54:28Et à l'arrivée, l'efficacité
00:54:30dans les deux surfaces, c'est ce qui fait la différence.
00:54:32Surtout en Ligue des Champions.
00:54:34Bonsoir Greg.
00:54:36Il y avait un sentiment
00:54:38de supériorité
00:54:40qui était assez
00:54:42évident, même si par moments, Brest
00:54:44a emballé la rencontre.
00:54:46Une fois que Vitigny avait marqué sur penalty,
00:54:48il y a eu un petit moment de folie
00:54:50avec cette séquence, avec le poteau
00:54:52de Hakimi, la tête
00:54:54également de Sima.
00:54:56Globalement, il y a un sentiment
00:54:58de maîtrise et de puissance
00:55:00de ce PSG.
00:55:02On parle beaucoup de l'efficacité, c'est normal
00:55:04parce que c'est ce qu'il faisait des fois
00:55:06au début de saison. Mais cette équipe
00:55:08parisienne, elle est très impressionnante
00:55:10athlétiquement, sur tout ce qu'elle met
00:55:12dans les duels, dans l'agressivité,
00:55:14la récupération. Et je trouve que ça
00:55:16use énormément les joueurs
00:55:18adverses. Beaucoup de personnes
00:55:20le disent en conférence de presse, on pense que c'est de la
00:55:22communication. Quand on parle avec certains
00:55:24acteurs du jeu en off, ils disent
00:55:26honnêtement, ce PSG-là, c'est un cauchemar à jouer.
00:55:28Et je trouve que ça s'est vérifié encore
00:55:30ce soir, même si Brest n'a pas démérité.
00:55:32Benoît, on est un peu déçus
00:55:34de la réaction brestoise, parce qu'on disait qu'il fallait qu'ils attaquent
00:55:36très fort la seconde mi-temps, qu'ils arrivent à
00:55:38emballer le jeu. Et cette seconde mi-temps, ils n'ont pas
00:55:40trouvé la façon de l'emballer, alors
00:55:42qu'ils avaient eu un quart d'heure assez
00:55:44intéressant en première mi-temps. Je pense qu'ils ont eu
00:55:46les opportunités pour revenir
00:55:48à la fin de première mi-temps.
00:55:50Face au PSG, lorsque vous
00:55:52passez à côté
00:55:54d'opportunités comme ça, après
00:55:56c'est compliqué, parce que c'est un rouleau compresseur qui arrive
00:55:58derrière. On l'a vu
00:56:00en seconde période, ils ont maîtrisé de bout en bout.
00:56:02Il y a un but hors-jeu d'un bout de nez.
00:56:04Ils auraient pu en mettre
00:56:064 ou 5,
00:56:08le Paris Saint-Germain. On voit
00:56:10Ndeye Belay qui est en pleine confiance, notamment
00:56:12sur son but, avec la prise de balle qui est incroyable.
00:56:14Il frappe, elle est un petit peu
00:56:16contrée, mais on voit que
00:56:18pour l'instant, cette équipe du Paris Saint-Germain,
00:56:20aujourd'hui, est quasi inarrêtable.
00:56:22Un rouleau compresseur, disaient Giovanni,
00:56:24Charlotte et Nabil.
00:56:26C'est vrai qu'on a le sentiment que
00:56:28Brest et le PSG
00:56:30jouent pas dans la même catégorie.
00:56:32En seconde mi-temps, on a vu l'écart
00:56:34un peu plus net, parce que la première mi-temps était en ballant.
00:56:36On était sortis de là, ok, il y a 2-0, mais
00:56:38Brest avait fait quelque chose.
00:56:40Là, ça s'est matérialisé de manière plus dure,
00:56:42je trouve, en seconde mi-temps.
00:56:44C'était terrible de pouvoir voir Brest
00:56:46montrer à une image comme ça,
00:56:48parce que je pense que s'ils mettent
00:56:50les 2-3 opportunités, à mon avis,
00:56:52ils se donnent un peu plus de confiance, mais à partir du moment
00:56:54où tu mets pas ces occasions-là, t'arrives pas à être
00:56:56efficace à des moments clés,
00:56:58à Paris-Saint-Germain. Après, ils prennent confiance
00:57:00et après, c'est le rouleau compresseur.
00:57:02Pour moi, je suis d'accord avec toi, Loïc,
00:57:04c'est plié pour la semaine prochaine.
00:57:06Je suis un peu déçue, parce que Brest m'attendait
00:57:08un petit peu mieux qu'Amara,
00:57:10il aurait pu marquer.
00:57:12Mais après, regardez, le match de championnat, ils sont revenus,
00:57:14ils ont poussé, il y a quand même 3 buts d'écart encore.
00:57:16Je suis pas sûr que ce PSG-là aurait coulé
00:57:18si Brest avait marqué.
00:57:20Non, mais ça aurait mis encore plus de la folie
00:57:22au Roudourou.
00:57:24Nous, on aurait eu plus d'ambiance et de suspens.
00:57:26On sait qui va gagner,
00:57:28c'est juste un scénario.
00:57:30Et là, c'est vrai qu'il y a la mi-temps,
00:57:32la double confrontation.
00:57:34Si Brest retourne le truc,
00:57:36à côté, la remontada,
00:57:38c'est une rigolade.
00:57:40Vous voyez ce que je veux dire ?
00:57:42Le Paris-Saint-Germain,
00:57:44évidemment, au-dessus,
00:57:46c'était en mode Ligue 1 avec une marge
00:57:48comme ils savent le faire.
00:57:50Mais Brest n'a pas démérité,
00:57:52ils ont eu des temps forts,
00:57:54ils n'ont pas validé.
00:57:56Maintenant, le Paris-Saint-Germain,
00:57:58ils sont dans une forme de continuité.
00:58:00Collectivement, on voit ce qu'ils veulent faire.
00:58:02Ils ont trouvé l'efficacité.
00:58:04Il a raison Giovanni,
00:58:06ce qui fait la différence,
00:58:08c'est l'efficacité par rapport
00:58:10à la première partie de saison
00:58:12et notamment par le biais de Dembélé
00:58:14qui est reconvorti.
00:58:16Mais je ne veux pas casser l'ambiance.
00:58:18Il faut toujours aussi relativiser
00:58:20par rapport à l'adversité.
00:58:22L'adversité, c'est de battre l'adversaire
00:58:24qu'on vous propose.
00:58:26Je ne dis pas le contraire.
00:58:28C'est un barrage de Ligue des Champions
00:58:30face à un Brest ou pas Brest,
00:58:32c'est une équipe qui a passé le premier tour.
00:58:34Quand c'est un barrage,
00:58:36en huitième de finale,
00:58:38il y avait des tirages.
00:58:40Il n'y avait pas de play-off.
00:58:42Ils n'avaient qu'à faire mieux.
00:58:44Ils sont quand même vernis.
00:58:46L'habitude, c'est l'équipe du soir.
00:58:48Je prends les habitudes méméesques.
00:58:50J'avoue, Giovanni, allez-y.
00:58:52Mon Poulain, on vous écoute.
00:58:56C'est juste par rapport
00:58:58à ce que disait Nabil.
00:59:00Je suis d'accord qu'il faut relativiser.
00:59:02Brest, évidemment, je ne veux pas vous dire
00:59:04que c'est le Real Madrid.
00:59:06En revanche, je ne peux pas accepter
00:59:08qu'en début de saison, on nous explique
00:59:10que quand Paris jouait bien,
00:59:12quand ils font match nul face au PSV,
00:59:14c'est les pompes à vélo.
00:59:16Ils ne sont même pas capables de taper le PSV.
00:59:18Contre l'Atletico, ils ont mieux joué.
00:59:20Mais ils ne sont pas efficaces.
00:59:22À chaque fois que Paris fait quelque chose,
00:59:24Manchester City, c'est parce que c'est la fin
00:59:26de Manchester City.
00:59:28On ne peut jamais juger un match du PSG
00:59:30tant qu'ils ne sont pas gagnés
00:59:32avec des champions.
00:59:34Brest a fait un parcours exceptionnel
00:59:36en Ligue des Champions.
00:59:38Ils ont embêté beaucoup d'équipes.
00:59:40Ce n'est pas si facile que ça de les bouger.
00:59:42On le voit notamment en Ligue 1.
00:59:44Paris, ce soir, a fait un match sérieux
00:59:46avec de l'intensité, de l'efficacité.
00:59:48On est forcément obligés de dire
00:59:50que c'est maîtrisé,
00:59:52que c'est efficace.
00:59:54Cela veut dire que cette équipe-là
00:59:56a des résultats qui comptent.
00:59:58Je trouve que c'est trop facile
01:00:00à chaque fois de parler des adversaires.
01:00:02Dans ce cas-là, on ne juge aucun match du PSG.
01:00:04Le Bayer Leverkusen n'a pas gagné à Brest.
01:00:06D'accord, ils ont fait tourner.
01:00:08Il y a eu un partout.
01:00:10Je ne suis pas en train de dire
01:00:12que c'est des toccards.
01:00:14J'ai toujours un doute.
01:00:16Je serais convaincu
01:00:18avec cet état de forme-là
01:00:20quand ils taperont une grosse équipe.
01:00:22C'est comme ça que je le vois.
01:00:24J'ai le droit de le voir comme ça.
01:00:26Je ne dis pas qu'on n'avait pas le droit.
01:00:28Je dis qu'on est obligés de juger sur un match
01:00:30une rencontre par rapport à ce qu'on leur donne.
01:00:32Il y a deux matchs, ils étaient dehors.
01:00:34Ils n'étaient pas efficaces.
01:00:36Ils ont fait le boulot.
01:00:38Collectivement, c'est nickel.
01:00:40Dembélé marque des buts.
01:00:42Sur la dynamique,
01:00:44on peut souligner la dynamique
01:00:46sur les quatre derniers matchs.
01:00:48Ils marquent au moins trois buts
01:00:50consécutivement en Ligue des Champions.
01:00:52La dernière fois que c'était arrivé
01:00:54au Paris Saint-Germain en Ligue des Champions,
01:00:56c'était entre septembre et novembre 2017.
01:00:58Ça n'était pas arrivé depuis longtemps
01:01:00de voir un Paris Saint-Germain
01:01:02sur quatre rencontres consécutives
01:01:04marquer au moins trois buts en séance.
01:01:06La dernière fois qu'ils avaient gagné largement
01:01:08avec Unai Emery aux commandes,
01:01:10c'était à domicile.
01:01:12On est sur une série qui ne faisait plus depuis des années.
01:01:14C'était une vanne, Loic.
01:01:16Je sais que c'était à domicile.
01:01:18Il n'y a pas de souci.
01:01:20Dembélé, quand même.
01:01:22Dembélé, Benoît,
01:01:24il met encore un doublé ce soir.
01:01:26Il est à deux doigts d'un triplé en plus.
01:01:28Il est à nouveau efficace.
01:01:30On a regardé le match ensemble.
01:01:32Il est un peu sur le côté droit
01:01:34de la surface de réparation.
01:01:36Il est seul face à Bizotte.
01:01:38Il leur balle à droite du poteau.
01:01:40On est même surpris qu'il ne cadre pas.
01:01:42Alors qu'il y a deux mois,
01:01:44on aurait dit que c'était Dembélé.
01:01:46Il marche sur l'eau.
01:01:48Il marche sur l'eau ou il marche sur l'eau ?
01:01:50Les deux.
01:01:52Maintenant,
01:01:54devant le but,
01:01:56c'est devenir un tueur tout simplement.
01:01:58Il cadre quasi à chaque fois.
01:02:00Et puis surtout,
01:02:02comme on l'a dit avant le match,
01:02:04il est chirurgical devant le but.
01:02:06On voit qu'il a énormément de confiance,
01:02:08notamment dans ses prises de balles.
01:02:10Sur le second but,
01:02:12vous avez été impressionné
01:02:14comment il y va.
01:02:16Il s'amène son but.
01:02:18Avec une bonne prise de balle,
01:02:20il s'amène le but ouvert.
01:02:22Et on le voit aussi dans ses frappes.
01:02:24C'est des frappes pleines de confiance.
01:02:26On sent qu'il frappe bien dans le ballon.
01:02:28C'est toujours bien placé,
01:02:30quasi inarrêtable à l'image de son premier but.
01:02:32Le premier but, pour vous,
01:02:34c'est impossible.
01:02:36C'est limite une faute.
01:02:38Ça va tellement vite
01:02:40avec ce petit robot juste avant.
01:02:42Il est en pleine confiance
01:02:44dans ses prises de balles,
01:02:46dans ses frappes.
01:02:48Aujourd'hui, il est inarrêtable.
01:02:50Et là, il est en train de battre
01:02:52tous ses records, même personnel,
01:02:54parce que la saison dernière,
01:02:56il avait marqué 13 buts sur une année civile,
01:02:58mais en 42 matchs.
01:03:00Là, c'est 15 buts en 8 rencontres seulement
01:03:02et c'est le meilleur buteur en Europe.
01:03:04C'est tout simplement le meilleur buteur en Europe.
01:03:06On a réactualisé le classement au fur et à mesure du match.
01:03:08Regardez, meilleur buteur devant,
01:03:10sur l'année civile 2025, devant Raïtégui,
01:03:12devant Kyan Mbappé, devant Raïken, Robert Lewandowski
01:03:14ou encore Lothar Romard.
01:03:16Prenez des photos.
01:03:18Prenez des photos.
01:03:20J'allais vous en parler.
01:03:22Si Paris gagne avec des champions,
01:03:24il peut prétendre.
01:03:26On rigole.
01:03:28C'est ce qui ressort sur les réseaux sociaux
01:03:30de Ousmane Dembélé.
01:03:32Plébiscité, recouvert d'éloges, prestation parisienne la plus commentée,
01:03:34tout ce que vous voulez,
01:03:36mais il est en train de faire le buzz en ce moment
01:03:38sur les réseaux sociaux.
01:03:40Les 91 buts de Messi. On arrive.
01:03:42En référence à ce record absolu
01:03:44de buts inscrits sur une année civile.
01:03:46Évidemment, c'était en 2012 avec Léo Messi.
01:03:48Pareil, on se projette.
01:03:50On est en 2025, Ousmane Dembélé
01:03:52est le meilleur joueur du monde.
01:03:54Rendez-vous compte, on n'a que des éloges.
01:03:56Le jour où Dembélé apprendra à cadrer,
01:03:58c'est vrai qu'on y est.
01:04:00Dembélé, ballon d'or,
01:04:02j'ai vu plein de commentaires passer.
01:04:04Peut-être que ce n'est pas qu'une plaisanterie.
01:04:06On vit le prime de Dembélé sous nos yeux.
01:04:08Il y en a qui n'y reviennent pas.
01:04:10Dembélé en 2025,
01:04:12c'est quand même un niveau différent,
01:04:14lunaire, on peut le dire.
01:04:16Dembélé qui va avoir un ballon d'or
01:04:18avant Vinicius, qui l'aurait cru.
01:04:20Moi non plus.
01:04:22C'est surtout une prestation, encore une fois,
01:04:24commentée dans toute l'Europe.
01:04:26Giovanni, vous êtes avec nous.
01:04:28Un mot sur Dembélé,
01:04:30parce que vous l'avez vu en action.
01:04:32Quand on est au bord du terrain,
01:04:34ce n'est pas forcément la même chose.
01:04:36Mais là, pour le coup,
01:04:38il a encore une fois été très fort.
01:04:40Il n'y a pas besoin d'en rajouter.
01:04:44Ce qui est assez impressionnant, Greg,
01:04:46indépendamment du fait qu'il est totalement éteint,
01:04:48ce débat un peu surréaliste
01:04:50qu'on a eu tous au début de la première partie de saison.
01:04:52Est-ce qu'il faut un numéro 9 au PSG ?
01:04:54Finalement, il n'en a pas forcément besoin.
01:04:56C'est qu'en première période,
01:04:58Dembélé était le joueur parisien qui avait touché le moins
01:05:00de ballons et il a été impliqué
01:05:02son but, bien sûr, et c'est lui qui a provoqué
01:05:04le penalty avec cette frappe.
01:05:06C'est aussi, on a beaucoup parlé en avant-match
01:05:08de son utilisation, du fait qu'il se dispersait moins
01:05:10dans une position axale, qu'il dépensait moins d'énergie
01:05:12plutôt qu'il était plus lucide.
01:05:14Je trouve que la première pade, elle symbolise énormément
01:05:16parce qu'on ne l'a pas beaucoup trouvé,
01:05:18mais tout ce qu'il a fait, quasiment, a été juste impeccable
01:05:20et implacable.
01:05:22Benjamin Nian, on vous souhaite une bonne soirée.
01:05:24Je pense qu'on vous retrouvera quand même dans l'équipe du soir tout à l'heure
01:05:26évidemment avec Olivier Ménard.
01:05:28Salut Benjamin Nian, merci d'avoir été avec nous.
01:05:30Quand on va voir des
01:05:32Dembélé-Montoya-Porfavor courir vers le ballon d'or,
01:05:34on ne va pas compter. Ça va nous faire un tout petit peu bizarre.
01:05:36Ça va arriver, Porfavor-Montoya-Dembélé,
01:05:38ça file vers le ballon d'or.
01:05:40On n'est pas encore là, mais on peut s'en amuser
01:05:42un tout petit peu, puisqu'on aime s'amuser.
01:05:44Je le rappelle quand même. Le score,
01:05:46Paris-Saint-Germain s'est imposé
01:05:48à Redourou, 3-0 contre Brest
01:05:50et a donc pris une énorme option
01:05:52pour la QS.
01:05:5499,4% de chances de se qualifier.
01:05:56Ils ont déjà été éliminés à 100%.
01:05:58Oui, mais alors à domicile,
01:06:00je vous donne l'info,
01:06:023 buts d'écart, défaite à domicile,
01:06:04toute compétition confondue.
01:06:06C'était en 28 février 2010, c'était face à l'OM.
01:06:083-0, toute compétition confondue.
01:06:10C'est pour cela que nos confrères
01:06:12d'Opta nous ont donné ce chiffre.
01:06:14C'est vrai que c'est un chiffre impressionnant.
01:06:16Comme tu l'avais dit tout au long de cette soirée.
01:06:18Allez, il est temps maintenant
01:06:20de découvrir celui que vous aimez
01:06:22chaque soir à cette heure-ci et qui est là,
01:06:24malgré le fait que l'émission soit plus courte et en débrief.
01:06:26De ce Brest-Pégé, c'est Antoine Pinault.
01:06:28Voici le petit filet.
01:06:34Je crois qu'il faut allumer son micro, Antoine,
01:06:36avant de venir sur scène.
01:06:38Tu veux que je t'allume ?
01:06:40Je le vois, je détecte les micros éteints, Antoine.
01:06:42C'est allumé, chef, c'est allumé.
01:06:44Mais c'était allumé, je crois.
01:06:46Ça va, Nabil ?
01:06:48Très bien, et vous ?
01:06:50On t'écoute.
01:06:52Nabil, il s'est accueilli.
01:06:54Vous vous originez de la ville en Cormanne ?
01:06:56Vas-y, fais-moi rire.
01:06:58On va rendre hommage
01:07:00au sport amateur, je sais que t'adores ça.
01:07:02C'est la distique, distrique,
01:07:04disnégrique, zone.
01:07:06Ça va me coûter cher, l'ophtalmo.
01:07:08Oui, l'ophtalmo, c'est bon.
01:07:12On part en Belgique, regardez ce qui s'est passé
01:07:14pour accouiller Lantan Châtelet.
01:07:18Et vu leur stade de frappe cadrée,
01:07:20voici le but de Montpellier.
01:07:22Il va bien, lui.
01:07:24En district, on a vu ce gars
01:07:26qui en fait trop, regardez.
01:07:28Franchement, il est bon.
01:07:30Il n'y a plus de ballon par contre.
01:07:32Il est sympa, mais il est con.
01:07:34On est tombé sur Pipo et Bimbo
01:07:36de la défense, regardez.
01:07:38Aïe, aïe, aïe.
01:07:40Oh là là !
01:07:42C'est un complet, Camoulax.
01:07:44On a vu aussi sur ce corner
01:07:46cette joueuse galérer, puisque le corner
01:07:48était donné, mais beau centre.
01:07:50Non, je déconne.
01:07:52Regardez la pauvre aussi.
01:07:54En foot féminin, la pauvre,
01:07:56ça arrive au meilleur.
01:07:58Allez, du Golasso. Désormais, on part en Belgique.
01:08:00Ça va vous plaire, ça. Benoit Riard.
01:08:02Hop, hop !
01:08:04Pas mal.
01:08:06Le gardien est peut-être un petit peu loin.
01:08:08Alors ce but, désormais, un but en tackle.
01:08:10Regardez. Hop !
01:08:12Et voilà ! Ça, c'est propre, ça.
01:08:14Tiens Loic, ça va te plaire.
01:08:16Ça, c'est à Thionville.
01:08:18J'ai reçu ça cette semaine, c'est Amine.
01:08:20Regardez le but qu'il a marqué.
01:08:22Et alors le dernier,
01:08:24c'est mon meilleur, Charlotte. Ça va te plaire, regarde.
01:08:28Ça, c'est bien.
01:08:30Et puis alors en district,
01:08:32on a des embrouilles vraiment pourries, regardez.
01:08:34Donc là, le ballon, hop, dans ta tronche.
01:08:36Hop !
01:08:38Hé, toi là-bas, là !
01:08:40Ouais, c'est Camoulox.
01:08:42Voilà, donc si vous avez des images
01:08:44de district, n'hésitez pas à en envoyer.
01:08:46Comment ?
01:08:48On va dire foot amateur.
01:08:50Bon alors, c'est une émission un petit peu tronquée.
01:08:52Vous l'avez vue ce soir.
01:08:54Mais pas truquée. Pas toujours.
01:08:56Ça, on le saura plus tard.
01:08:58Laissons Mediaport faire son enquête.
01:09:00Mais pour l'instant, on m'a demandé de gérer la conf ce matin.
01:09:02Ah ! La conf de rédaction.
01:09:04La conf de rédac. On m'a dit, Antoine,
01:09:06occupe-toi, parce qu'on n'a trouvé personne.
01:09:08Donc ça a donné ça.
01:09:10Bonjour à tous.
01:09:12Vous le savez, soirée exceptionnelle sur la chaîne équipe.
01:09:14Mathieu affiche.
01:09:16Oh, putain.
01:09:18Il nous en met une tête, c'est comme ça.
01:09:20Ceci dit, il a le droit d'être heureux.
01:09:22Mathieu affiche.
01:09:24Ah non, là, c'est insupportable.
01:09:26Ce soir donc, Brest-Pégé, émission réduite.
01:09:28On fait l'avant-match, mi-temps, après-match.
01:09:30Les chroniqueurs n'ont pas beaucoup parlé.
01:09:32Ils nous mettent ce match à 18h45.
01:09:34C'est une idée, mais franchement.
01:09:36On a qui ce soir ? Nabit Djéli, Loïc Tanzi,
01:09:38Charles-Claude Juré et Benoît Trémoyas.
01:09:40Ok, très bien. Bon, l'horaire, c'est pas si mal.
01:09:42C'est pas si mal. C'est tellement bien.
01:09:44Ils seront dans leur élément. Phrases courtes,
01:09:46coloriage. Oui, non, peut-être.
01:09:48Très bon, Benoît, peut-être. Je ne sais pas où il est le meilleur.
01:09:50En vrai, 18h45, ils croient quoi,
01:09:52à l'UFA, qu'il y a des bretons
01:09:54qui vont quitter leur travail pour aller boire des bières au stade ?
01:09:58Oui, oui, oui.
01:10:00Alors, je le rappelle, nous sommes neutres. On n'a aucune préférence
01:10:02pour le club qui passera en huitième. Que ce soit
01:10:04Brest ou le PSG.
01:10:10Brest, Liverpool,
01:10:12Salah, Lala.
01:10:14Il y a un côté merveilleux. Je suis sûr,
01:10:16c'était, tu me rappellerais, limite décembre. Ouais, Noël,
01:10:18quoi. Plus le téléton.
01:10:20Non, non, non. Alors là, non.
01:10:22Par contre, t'as vu la tronche de la pelouse, là, ce soir ?
01:10:24Moi, j'y suis déjà allé à Guingamp-Roudourou en 2020.
01:10:26Ah oui. C'était catastrophique.
01:10:28Oui, mais il pleut, là, aussi. Non, c'est pas
01:10:30la pluie. J'ai été au concert de Nolwenn Leroy.
01:10:32À sa chanson
01:10:34« Cassé », moi, je l'ai plu au mot, je me suis barré direct.
01:10:36Ah bon, tu m'étonnes. Et ce soir, il risque
01:10:38d'y avoir les débuts de Krisch, Krisch,
01:10:40Krisch. Il y a le match, quoi.
01:10:42Donc avec Johan en cabine, classique.
01:10:44Là, ça dégage. Là, j'en peux plus.
01:10:46Non, mais les partenariats, moi, j'aime bien être prévenu.
01:10:48Moi, le parc Astérix, en soi, j'ai rien contre.
01:10:50Ils nous foutent Astérix en plein milieu, en plein écran.
01:10:52Comment je le sais, moi, ça ?
01:10:54C'est pas Astérix, c'est Julien Liseroux.
01:10:56Notre spécialiste ski, là.
01:10:58Ah, Julien Liseroux ?
01:11:00T'as rien dit de grave ?
01:11:02Non, j'aurais juste dit de partir
01:11:04et de se foutre un sanglier dans le derrière.
01:11:06Il est peut-être un peu gros.
01:11:08Tu voulais me reparler des chroniqueurs,
01:11:10je crois. Je te trouve un peu sévère.
01:11:12Il y a quand même deux supers journalistes.
01:11:14Et puis, il y a Loïc, aussi.
01:11:20Je t'aime, Loïc. Bien sûr.
01:11:22Je veux voir l'octogone avec Julien Liseroux.
01:11:24Il est très sympathique.
01:11:26Il est skieur.
01:11:28Tu seras là demain ?
01:11:30Je serai pas là, moi.
01:11:34C'est à 9h30.
01:11:36Je serai pas là, je serai bien là.
01:11:38On va rendre hommage aux 5 champions du jour.
01:11:40Ils n'auront jamais une médaille olympique,
01:11:42mais ils auront une médaille ici, Nabil.
01:11:44Et c'est ça qui compte. Allez, c'est parti.
01:11:46Allez, on débute avec le numéro 5.
01:11:48C'est une première mondiale en saut à la perche.
01:11:50Regardez bien.
01:11:52Ça passe. Et backflip, en plus.
01:11:54Ça, c'est propre.
01:11:56Il faut le faire, quand même.
01:11:58C'est très beau.
01:12:00Numéro 4, se battre sans se faire mal.
01:12:02C'est la technique de ce hockeyeur.
01:12:04Il se bagarre tout seul.
01:12:06Encore un qui a mangé de la colle.
01:12:08Salut.
01:12:10Tu t'occupes, Frédéric.
01:12:12Numéro 3, on a vu le mec qui fait des pompes
01:12:14très très risquées, regardez.
01:12:16Voilà, sur les fils électriques.
01:12:18Donc lui, il a mangé des graviers aussi.
01:12:20Une belle équipe.
01:12:22Numéro 2. Ah non, à ne pas faire.
01:12:24On a vu une d'eux la plus classe du monde au ski.
01:12:26Regardez, le portable.
01:12:28C'est parti. Et le ski.
01:12:30Impeccable.
01:12:32Ça sert à quoi, ça ?
01:12:34Ça sert à rien, Loïc.
01:12:36Et numéro 1, en parlant de muscu,
01:12:38quand on fait des exercices,
01:12:40il faut penser à tout, ma madame.
01:12:42Oui.
01:12:44Ça m'a rentré.
01:12:46Évidemment.
01:12:48Merci encore, Philo.
01:12:50A demain pour l'équipe civile.
01:12:52Vous avez rendez-vous dans un instant
01:12:54avec l'équipe ciné, tout simplement.
01:12:56Et c'est Bruce Willis qui va vous accompagner
01:12:58sur la chaîne d'équipe pour le film
01:13:00Deadlock. Dans la foulée, vous aurez
01:13:02l'équipe du soir. Olivier Ménard qui va revenir
01:13:04sur la victoire du Paris Saint-Germain.
01:13:063 buts à 0 face à Brest et puis les autres matchs
01:13:08de Ligue des Champions. En ce qui nous concerne,
01:13:10voilà demain, 18h20
01:13:12pour un nouveau numéro de l'EDG. Salut !