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À Munich, le vice-président américain J. D. Vance rencontre Zelensky avant une conférence sur la sécurité. Trump annonce une réunion cruciale entre Russes, Ukrainiens et Américains, tandis qu'Emmanuel Macron, dans une interview donnée au Financial Times, au met en garde contre une paix perçue comme une capitulation. 

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Transcription
00:00Qu'est-ce qu'il faut retenir des propos d'Emmanuel Macron dans cette interview ?
00:04Emmanuel Macron, Julie, met en garde contre une paix qui serait une capitulation en Ukraine.
00:09Une paix qui soit une capitulation, c'est une mauvaise nouvelle pour tout le monde.
00:13A-t-il lancé à l'intention du président américain Donald Trump,
00:17qui entend engager des négociations directes avec Vladimir Poutine ?
00:21Et Emmanuel Macron se demande si son homologue russe Vladimir Poutine
00:24est sincèrement prêt à un cessez-le-feu durable.
00:27Voici ce qu'il dit. La seule question à ce stade est de savoir si le président Poutine
00:32est réellement, durablement et de manière crédible disposé à accepter un cessez-le-feu sur cette base.
00:39Après cela, c'est aux Ukrainiens de négocier avec la Russie.
00:44Et Emmanuel Macron ajoute, seule l'Ukraine peut négocier avec la Russie,
00:49ce qui relève de sa souveraineté et de son intégrité territoriale.
00:53Le président français a aussi insisté sur la nécessité pour les Européens
00:57d'être à la table des négociations sur une future architecture de sécurité du continent.
01:02Voici ce qu'il dit. C'est à la communauté internationale,
01:05avec un rôle spécifique pour les Européens, de discuter des garanties de sécurité
01:10et plus largement des règles de sécurité de toute la région.
01:14C'est là que nous avons un rôle à jouer, a-t-il indiqué, a-t-il insisté Emmanuel Macron,
01:20donc auprès du Fanon Scholta.

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