• hier

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:00comme à l'école, c'est le rapporteur.
00:02Alors qu'est-ce qu'il a dit le rapporteur ?
00:03Le rapporteur qui s'appelle Florian Roussel vient de terminer ses conclusions en disant
00:07nous concluons au rejet des deux recours, c'est-à-dire que les recours qui avaient été portés
00:12par à la fois NRJ12 et par C8,
00:15et bien le rapporteur conclut au rejet de ces deux recours
00:18et donc maintenant le Conseil d'État va devoir rendre sa décision
00:21et ce sera dans la semaine du 17 février.
00:23Il faut savoir que c'est très rare que le Conseil d'État déjuge le rapporteur.
00:28C'était arrivé dans un cas précis sur les hijabeuses.
00:31Souvenez-vous, Gérald Darmanin voulait interdire le hijab dans le foot,
00:36dans toutes les compétitions, y compris en France, les compétitions locales
00:41et le rapporteur avait dit que non, il fallait permettre aux femmes qui le voulaient
00:46de pouvoir porter le hijab dans les compétitions de football,
00:49dans les compétitions sportives plus largement.
00:51Et face aussi à une pression publique, face à Gérald Darmanin qui avait dit
00:57que le rapporteur se trompait, le Conseil d'État n'avait pas suivi le rapporteur.
01:02Mais c'est l'exception et ce n'est pas la règle.
01:04Donc là, si le Conseil d'État déjuge le rapporteur,
01:07ça ferait plutôt partie des exceptions.
01:09Et donc la probabilité est évidemment plus faible qu'il déjuge le rapporteur que l'inverse.
01:13On va se raconter des histoires, les mecs, deux petites secondes.
01:17Est-ce qu'on a de l'espoir ou pas ?
01:20Pour moi, on sait très bien comment ça se passe, Cotillet-Lebray.
01:22On ne va pas dire que c'est magouille et compagnie,
01:24mais bon, on sait très bien comment ça se passe.
01:25Je n'ai pas envie de dire que tout est joué d'avance.
01:27Je retiens une phrase de cette chère Françoise Laborde qu'on peut encore saluer pour son courage.
01:31Valérie a le cœur pur.
01:32Valérie a le cœur pur, on le savait, on le constate tous les jours.
01:35Et heureusement que son cœur pur nous accompagne entre 16h et 18h.
01:38C'est très aimable.
01:39Mais je me rappelais d'une phrase sur toute Françoise Laborde
01:41qui donc espérait évidemment que le Conseil d'État laisse C8 et NRJ12 continuer.
01:47Mais elle a dit une phrase pour moi très importante.
01:49Il est très rare qu'un haut fonctionnaire déjuge un autre haut fonctionnaire.
01:53Elle a dit ça Françoise Laborde quand on l'a reçu cette semaine.
01:55L'ARCOM étant composé de hauts fonctionnaires
01:57et le Conseil d'État étant composé également de hauts fonctionnaires.
02:00En plus, je voudrais rappeler quelque chose à nos auditeurs, ce qui est quand même incroyable.
02:03Quand on se dit qu'on est dans un pays, c'est quand même incroyable ce pays.
02:06Ce pays est fou en fait.
02:07On est dans un pays de fous.
02:09Vous savez que c'est le Conseil d'État qui valide à chaque fois les amendes de l'ARCOM
02:13et c'est le Conseil d'État qui est saisi pour peut-être invalider la décision de l'ARCOM.
02:18Vous savez, quand on se fout de notre gueule ouvertement, il faut le dire.
02:24On est d'accord.
02:25Et vous savez Cyril, vous parliez à juste titre de la pétition,
02:28mais plus fort qu'une pétition encore, l'audience de CNT tous les jours, tous les mois,
02:32qui place désormais la première chaîne de la TNT.
02:35Il y a encore un TPP à 2,4 millions.
02:36Première chaîne de la TNT et même mieux que ça,
02:38passée devant France 5 depuis le début de la saison.
02:44Sans compter bien entendu qu'il y a sur cette chaîne le premier talk de France.
02:48Qui était directement visé.
02:50Et puis on peut dire l'animateur du premier talk de France qui était...
02:53Je ne sais pas qui c'est mais apparemment il était visé.
02:55Plus que directement visé.
02:56Il était visé.
02:57Alors il y a Aurélien Saint-Aoul qui fait encore le malin.
02:59Aurélien Saint-Aoul.
03:00Qui était le rapporteur de la commission d'enquête sur les médias.
03:02Il a une tête de rapporteur lui.
03:04En direct du Conseil d'État qui va rendre sa décision sur l'avenir de C8 et Énergie 12,
03:09le rapporteur public expose les arguments de l'ARCOM, de Canal Plus et Énergie.
03:13En toute objectivité, C8 est en train de se faire étrier, ça s'annonce bien.
03:16Mais Aurélien Saint-Aoul, si j'étais lui, je pense que je préférerais qu'on garde C8.
03:23Je le sens comme ça.
03:25Moi si j'étais lui, je pense qu'il devrait préférer qu'on garde C8.
03:28Je le dis, je ne sais pas pourquoi.
03:30Mais Aurélien Saint-Aoul, je pense qu'il fait encore les mauvais choix.
03:33Il est aussi médiocre que ses résultats dans son analyse audiovisuelle.
03:38Aurélien Saint-Aoul, il n'est pas prêt de me convoquer à une assemblée.
03:42Une connerie que j'ai fait la dernière fois.
03:46La gauche n'est pas sensible aux centaines d'emplois qui pourraient être supprimés si C8 ferme ?
03:52Non, non, ils ne sont pas sensibles.
03:53Ça ne leur fait rien.
03:54Ça ne leur fait rien, ils s'en foutent.
03:55Ce n'est pas leur problème.
03:56Non, ça ne leur fait rien.
03:57Ce n'est pas leur problème.
03:58Mais je vais vous dire, ils sont tellement...
04:00Moi, ce qui me dérange, c'est leur bêtise.
04:02C'est la bêtise de ces gens.
04:04Ils ne sont vraiment pas inventés.
04:06Ce n'est vraiment pas la chips la plus croustillante du paquet.
04:09Ce n'est pas le couteau le plus aiguisé du tiroir, Aurélien Saint-Aoul.
04:11Et je rappelle, Cyril, que les 300 ou 400 emplois de C8 qui peuvent être supprimés, ça ne leur suffit pas.
04:18Ils veulent aussi supprimer tous les emplois de CNews.
04:21Leur rêve, c'est de fermer C8, CNews, et pourquoi pas Europorque demain ?
04:24Oui, et même de fermer chez moi.
04:25Oui, chez vous.
04:26Oui, c'est vrai que ça mettrait beaucoup de gens aussi au chômage.
04:28Aurélien Saint-Aoul, c'est quand même fou.
04:32Vous vous rendez compte, la bêtise de ce mec...
04:34Excusez-moi, je ne veux pas dire, mais il se met à mon niveau.
04:37Mais Aurélien Saint-Aoul, excusez-moi, je ne sais même pas qui c'est.
04:40Excusez-moi, je ne sais pas qui est ce garçon.
04:42Je vous jure, je croyais que c'était Saint-Ole.
04:43Moi, ça fait du bien là où ça fait mal.
04:45Mais non, c'est vrai.
04:46C'est qui ?
04:47Non, mais il essaie de se faire de la pub sur notre dos.
04:49Il ne parle pas de la condamnation aujourd'hui de Sébastien Nelogu.
04:51Il essaie de se faire de la pub, exactement.
04:52Il ne parle pas de la condamnation de Sébastien Nelogu, non ?
04:54Non, il n'en parle pas.
04:55Rappelons-le pour violence.
04:56Non, non, il n'en parle pas.
04:57Ce qu'il y a de difficile pour eux, dans la tribune signée par Françoise Laborde, ancienne du CSA,
05:05et Renaud Dutreil, ancien du Conseil d'Etat,
05:09il y avait cette idée forte,
05:11jamais une chaîne n'a été interdite dans notre pays.
05:15Cela serait totalement inédit.
05:18On bascule dans quelque chose ?
05:20Il y a Cyril qui est devant le Conseil d'Etat.
05:22Cyril Delamore.
05:23Oui, mon Cyril qui est là.
05:24Bonjour Cyril.
05:25Comment ça va mon Cyril ?
05:26Bonjour.
05:27Ça va bien.
05:28Ça se termine, ça se termine.
05:29Ah, ça se termine.
05:31Je vois quelques personnes de votre bande qui étaient là.
05:35Des Guillaume Janton, des Gilles Verdez, des Isabelle Morini-Bosque.
05:39Isabelle est là, Isabelle.
05:41Venez en direct sur Europe 1, avec Cyril.
05:45Mais il est là.
05:47Vous voulez que je vous le passe ?
05:49Mais je vous le passe.
05:50C'est énorme.
05:51C'est ça la magie de la radio.
05:52Isabelle, c'est Europe 1, je vous la passe.
05:55Cyril, reste avec moi.
05:56Merci Cyril.
05:57C'est Cyril Delamore qui est avec nous, en direct du Conseil d'Etat.
06:00Comment allez-vous ?
06:01Isabelle, comment ça va ?
06:02Allo ?
06:03Comment ça va Isa ?
06:04Ça va très bien.
06:06Alors, comment ça s'est passé ?
06:07Ça va très bien.
06:08D'abord, elle n'est pas animateur qu'il veut.
06:11Donc moi, honnêtement, je n'ai pas tout entendu.
06:13Parce que ce n'est pas des tribuns.
06:15Et donc, ce n'est pas leur métier en même temps.
06:18Mais donc, voilà.
06:20Vous n'avez pas mis votre appareil ?
06:23Aucun de nous n'avait mis son appareil.
06:25On a mis son appareil, mais on n'a pas tous tout entendu.
06:28Vous avez tout nous raconté ce soir.
06:30C'était exactement ce qu'on avait dit que ce serait.
06:34C'est dommage.
06:36Ils ont dit quoi ?
06:39Ils ont détaillé.
06:41Alors, c'est là qu'on n'a pas tout entendu sur l'effet divers.
06:43C'est sûr que dit comme ça, sans mis à plat, sans le contexte,
06:47on est tous d'accord là-dessus.
06:50Ça fait un effet un peu durci, on va dire.
06:52Cyril était là.
06:53Cyril a tout vu.
06:55Cyril.
06:56Oui, Cyril de la Morinerie.
06:58Le monsieur à côté de vous.
07:00Le grand à côté de vous.
07:01C'est le meilleur du plexe.
07:03Alors oui, je ne sais pas si lui, il a tout vu.
07:05Nous, on était tous ensemble.
07:06Le récit était fort.
07:08On s'est serré les coudes et on a essayé de reconstituer
07:11ce qu'on n'avait pas tous entendu chacun.
07:13Merci, écoutez, n'hésitez pas.
07:15Ça va aller le coup d'y aller.
07:17Ça va être donc Cyril le grand garçon.
07:19Je refasse le taulier.
07:20Ça va aller le coup d'y aller.
07:21T'embrasses.
07:23C'est important qu'elle fasse sa sieste au conseil d'État.
07:27C'est important.
07:28Elle a fait une petite sieste au conseil d'État.
07:29Ça lui a fait du bien.
07:31Au moins, c'était joli.
07:32Cyril.
07:33J'ai remis le casque.
07:34Cyril, Cyril.
07:35Est-ce que vous pouvez nous raconter ?
07:36Isabelle, je crois qu'elle a fait une petite sieste pendant l'audition.
07:40Non, mais attendez.
07:41Elle n'a pas fait de sieste.
07:42On a tous été attentifs.
07:43Mais c'est extrêmement compliqué.
07:45C'est un dossier qui est très complexe.
07:47Franchement, si vous n'êtes pas spécialiste de droit,
07:48on est au plus haut niveau.
07:49On est sur la ligue des champions des juges.
07:52Alors que je crois à Frédéric Thirier,
07:53qui est avocat au conseil d'État
07:55et qui est l'ancien président de la ligue de football,
07:58on est sur le haut niveau et on juge en droit.
08:00En fait, le conseil d'État va juger en droit,
08:03pour faire clair pour nos auditeurs,
08:05si l'ARCOM a été dans les règles
08:08pour ne pas permettre à C8 de continuer son aventure sur la TNT.
08:12C'est ça qui va être jugé.
08:14Mais ce n'est pas les motivations de l'ARCOM.
08:20Après le conseil d'État,
08:22on n'en a pas, Gauthier et moi, une confiance absolue.
08:26On ne va pas se mentir, Gauthier.
08:28Déjà, juger en droit,
08:30je reprends cette phrase que nous a dit Françoise Laborde.
08:33Il n'y a jamais un haut fonctionnaire
08:35qui ne déjuge un autre haut fonctionnaire.
08:36Ou de manière très, très, très rare.
08:39Et puis, j'ai toujours du mal à croire.
08:43Vous savez, les textes de loi
08:45sont les mêmes devant chaque juge.
08:47Pourtant, deux juges différents
08:49peuvent prendre deux décisions différentes.
08:51Donc, il y a l'interprétation du droit.
08:54Et puis, il y a tout ce qui peut rentrer en ligne de compte.
08:57Moi, les juges sont faits de chair et de sang.
09:00Donc, ils ont des sentiments,
09:02ils ont des incoïtances,
09:04ils ont des sensibilités.
09:06Et on peut prendre plusieurs affaires médiatiques récemment
09:09où des décisions sont allées dans un certain sens.
09:11Et avec le même texte de loi,
09:13quand vous discutez avec des magistrats ou avec des avocats,
09:15on vous dit très bien qu'on peut prendre la décision inverse.
09:17Donc, c'est aussi de l'interprétation
09:19et c'est aussi la sensibilité
09:21de ceux qui décideront de l'avenir de C8.
09:25Alors, il y avait du monde, Cyril ?
09:28Oui, il y avait beaucoup de monde.
09:30Beaucoup, bien sûr, de personnes,
09:33de salariés, de figures de l'antenne
09:35des William Lémergie, je vous le disais tout à l'heure,
09:37mais aussi Bernard Montiel,
09:39que vous connaissez bien,
09:41figure très connue des Français.
09:43Non, non, il est vraiment venu
09:45pour soutenir C8.
09:47Moi, j'ai le sentiment
09:49qu'il était très ému tout à l'heure, écoutez,
09:51Bernard Montiel, au micro d'Europe.
09:53C'est quand même dingue de stopper une chaîne
09:55qui marche, qui est aimée
09:57des spectateurs, des téléspectateurs.
09:59Ça fait quand même plus de 40 ans que je suis à la télévision.
10:01Je n'ai jamais vu ça toute ma carrière.
10:03Je suis choqué par tout ce qui arrive.
10:05Je l'ai exprimé dans l'émission
10:07et je le maintiens. Et j'espère que
10:09ils vont réviser leur position parce que
10:11c'est une double peine qu'ils nous imposent.
10:13Je trouve que ce n'est pas légitime,
10:15ce n'est pas justifié, c'est encore un mépris
10:17du public qui nous aime. Je suis bouleversé
10:19par les messages que je reçois sur les réseaux
10:21en disant que ce n'est pas possible, que vous êtes notre
10:23création. On n'a pas d'ambition
10:25particulière dans cette émission si ce n'est
10:27divertir. Divertir et aussi
10:29un peu dire des choses,
10:31une liberté de ton. On n'est tous
10:33pas d'accord, on le voit, on a chacun
10:35des opinions différentes, on les exprime
10:37et ça, cette liberté est extraordinaire.
10:39Je suis choqué par
10:41tout ce qui arrive, vraiment. C'est pour ça que je voulais
10:43être là.
10:45Pas mal ce que dit Bernard Montiel.
10:47Il est ému, on l'aura ce soir, j'espère qu'il viendra
10:49ce soir dans l'émission. Il y aura beaucoup de personnes très émues.
10:51Pour raconter tout ça. Cyril Delamorinien,
10:53on vous reprend tout à l'heure parce que là, vous allez
10:55voir les gens qui sortent pour un petit peu
10:57ce qu'ils en pensent. Si vous pouvez trouver quelqu'un...
10:59Donc là, ils vont débattre
11:01entre les juges pendant 5 heures,
11:034 à 5 heures, la décision
11:05sera mise en délibérée et ce sera effectivement, comme vous l'avez
11:07dit en début d'émission, rendu la semaine prochaine.
11:09Merci Cyril, on vous retrouve tout à l'heure.
11:11Je vous embrasse Cyril. Merci mon Cyril
11:13à tout à l'heure. Allez, on va se retrouver
11:15dans un instant sur Europe 1, on va réagir à tout ce qui a été dit
11:17là, 0-1-80-20-39-21
11:19et c'est fou parce qu'on
11:21comprend pas les motivations en fait.
11:23On se demande bien ce qu'ils disent, c'est quand même incroyable.
11:25On va vous lire aussi des tweets qui sortent tout de suite sur Europe 1.
11:37Olivier D'Artigon est là, Gauthier Lebray, Valérie Bélaïm
11:39et bien entendu
11:41tutti quanti.
11:43C'est-à-dire moi-même, tutti quanti.
11:45Expliquez un petit peu ce qui se passe au Conseil d'Etat, Gauthier Lebray.
11:47Alors, ça c'est terminé
11:49mais aujourd'hui le Conseil d'Etat
11:51a entendu le rapporteur
11:53qui donc, comme l'a rappelé tout à l'heure
11:55Valérie, préconise de
11:57rejeter les recours de C8
11:59et de NRJ12 et on m'a envoyé
12:01des extraits de ce qu'il disait sur...
12:03Alors dites-nous. Sur C8,
12:05c'était visiblement très violent
12:07revenant sur tel ou tel dérapage
12:09déjà sanctionné, je le rappelle,
12:11par...
12:13Ils ne font que rappeler les mêmes choses.
12:15C'est toujours pareil, c'est cette histoire de double peine
12:17qui pose problème.
12:19C'est-à-dire qu'on vous condamne une première fois
12:21à payer des amendes absolument record
12:23et on vous condamne une deuxième fois
12:25à ne plus pouvoir émettre et à vous supprimer la fréquence.
12:27Donc, je le disais tout à l'heure,
12:29c'est extrêmement rare que le Conseil d'Etat déjuge son rapporteur.
12:31C'est arrivé une fois...
12:33Ils ont dit quoi, le Conseil d'Etat ?
12:35Vous avez ce qui a été dit là-bas, le rapporteur ?
12:37Le rapporteur, il a dit...
12:39On m'a raconté ce qu'il avait dit, pas au mot près,
12:41mais il a listé, par exemple,
12:43ce qui avait été dit sur l'adénochrome,
12:45sur votre échange
12:47avec Louis Boyard,
12:49en listant
12:51qu'au vu des dérapages,
12:53des amendes infligées à C8,
12:55l'ARCOM avait pris la bonne décision.
12:57C'est qui ça ?
12:59C'est Valéry qui avait vu son...
13:01On va retrouver tout de suite...
13:03Et donc, le rapporteur
13:05juge qu'il faut
13:07rejeter les recours de C8 et de NRJ12
13:09et puis après, ça sera aux avocats.
13:11Ça fait Florian Roussel.
13:13C'est qui son frère ?
13:15Cadet.
13:17Et après, ça sera à C8 de se défendre
13:19et aux avocats de C8 de prendre la parole.
13:21Ce qu'ont dit les avocats de C8, par exemple,
13:23on va en parler dans un instant,
13:25et vous croyez vraiment qu'on va croire le rapporteur ?
13:27On ne va pas se mentir, le rapporteur,
13:29c'est quelqu'un qui soit de notre côté, non ?
13:31Oui, il y avait peu de chance.
13:33On est d'accord.
13:35Il y avait peu de chance.
13:37Sauf s'ils avaient choisi un rapporteur,
13:39je ne sais pas s'ils avaient choisi Bernard Montiel.
13:41Exactement.
13:43Ou un mec de CNews, de chez nous,
13:45de Europe 1, ou de C8.
13:47S'ils avaient pris les jeunes filles des animaux de la 8,
13:49je pense qu'elles auraient bien rapporté.
13:51Mais lui, bon...
13:53Si ils avaient pris même des Français normaux,
13:55la majorité des Français,
13:57de C8 et qui sont 40 millions à nous regarder,
13:59là oui, s'il y avait eu un rapporteur comme ça,
14:01on aurait pu l'écouter.
14:03Mais là, Kadé Roussel, franchement,
14:05je ne vois pas comment on peut croire Kadé Roussel.
14:07Kadé Roussel...
14:09Kadé Roussel, on ne comprend pas
14:11ce qu'il raconte, Kadé Roussel.
14:13Bon, alors, il y a l'avocat de C8, par contre.
14:15L'avocat de C8 qui a dit
14:17« L'ARCOM aurait dû entendre les mesures proposées
14:19par C8 pour assurer la maîtrise de l'antenne,
14:21notamment la fin du direct pour TPMP,
14:23puisqu'il y avait 5 minutes ou 10 minutes de décalage.
14:25L'ARCOM voulait purement et simplement
14:27éliminer C8. Est-ce qu'on est d'accord avec ça ?
14:29Moi, pour moi, oui.
14:31Il n'y a même pas de débat.
14:33J'aurais même dit, enlever Cyril Hanouna
14:35de la TNT.
14:37Même de l'ensemble de la télévision.
14:39Si possible de l'ensemble de l'audiovisuel mondial.
14:41Que des engagements aient été pris pour permettre
14:43de donner des fréquences à d'autres.
14:45Il y a aussi ça dans le paysage.
14:47Voilà.
14:49Vous savez quoi ?
14:51Il y a un dessin qui a été fait.
14:55Donc il y a l'ARCOM.
14:57C8 perd sa fréquence télé.
14:59Et donc ils me mettent un obus dans les fesses
15:01avec l'ARCOM dedans.
15:03Et ils mettent dans le baba, ma petite beauté,
15:05direction ANAL+.
15:07ANAL+.
15:09C'est qui ça ?
15:11Je ne sais pas où c'est,
15:13mais c'est catastrophique.
15:15Les mecs, ils croient vraiment qu'on va arrêter.
15:17Ils ne savent pas déjà qu'on est sur Europe 1 tous les jours.
15:1916h, 18h.
15:21Je vais te dire aux gens,
15:23le problème qu'ils vont avoir,
15:25c'est que je risque d'être encore plus à l'antenne qu'avant.
15:27Je pense que ça va les embêter.
15:29Si on perd ses bits,
15:31je pense qu'on va être encore plus à l'antenne qu'avant.
15:33Je le sens comme ça, moi.
15:35Donc leur objectif n'aura pas été...
15:37Moi je sens un...
15:39Déjà, même cette saison-là,
15:41vous êtes sur Cancun ancien.
15:43En septembre, vous aviez TPMP
15:45face à Hanouna, Europe 1.
15:47Déjà, on était sur un temps d'antenne record.
15:497 jours sur 7 en télévision.
15:51Donc il était peut-être préférable pour eux
15:53que tu puisses rester sur C8.
15:55Peut-être.
15:57Là, je veux dire, on n'est pas à l'abri.
15:59Je ne sais pas pourquoi, on n'est pas à l'abri
16:01que je fasse peut-être même plus d'antennes l'an prochain.
16:03La saison prochaine, vous vous rendez compte ou pas ?
16:05J'aime bien qu'on n'ait pas à l'abri comme ça.
16:07Même d'ici mars,
16:09il est possible que d'ici mars,
16:11je fasse plus d'antennes qu'avant.
16:13Vous vous rendez compte ou pas ?
16:15Mais c'est quand même complètement fou ce qu'ils font.
16:17Peut-être qu'il faut le dire au Conseil d'Etat avant.
16:19Mais j'espère qu'ils ont des envoyés spéciaux
16:21qui peuvent leur dire.
16:23On va leur dire.
16:25Enfin, il n'est pas là, mais on va le reprendre tout à l'heure.
16:27Donc voilà.
16:29Qu'est-ce que vous en pensez, vous Valérie Benahim ?
16:31Non mais moi, encore une fois...
16:33Est-ce que vous y croyez encore ? Est-ce que vous êtes en l'air à Fabien ou pas ?
16:35Non, non.
16:37J'ai beau être un cœur pur,
16:39mais je pense que
16:41les jeux sont faits malheureusement.
16:43Pourquoi les jeux sont faits ?
16:45Parce que c'est politique ?
16:47Oui, parce que contrairement à ce qu'on dit,
16:49il s'agit d'abord de vous évincer vous.
16:51Et c'est ça qui me chagrine.
16:53Ils n'ont pas arrêté de nous dire
16:55que c'était C8
16:57qui devait fermer.
16:59Or, ce n'est pas C8 qu'ils veulent fermer,
17:01c'est TPMP avec à sa tête
17:03Cyril Hanouna.
17:05Et donc, pour dégager Cyril Hanouna,
17:07on ferme une chaîne qui,
17:09pardonnez-moi, mais je ne vois pas ce que le Conseil d'Etat
17:11pourrait reprocher aux animaux de la 8
17:13ou à Bataille et Fontaine quand ils font le rideau.
17:15Ou à William Lémergie à midi
17:17quand il fait son émission
17:19avec des choses
17:21qui ne portent pas
17:23à débat.
17:25C'est véritablement vous qu'on essaye
17:27de faire tomber.
17:29Et en l'occurrence, si c'est vous qu'on essaye de faire tomber,
17:31ça veut dire qu'il y a
17:33un sous-texte qu'on ne nous dit pas.
17:35En termes
17:37de droit pur, on ne peut pas
17:39sanctionner deux fois
17:41puisque les sanctions étaient tombées et que les amendes
17:43ont été payées. C'est donc, comme l'a dit
17:45Gauthier tout à l'heure, une seconde
17:47sanction qui n'existe
17:49dans aucun texte. Pourquoi on le dit nous
17:51et pourquoi là-bas personne ne le dit ? Pourquoi il n'y en a pas un ?
17:53Pourquoi eux n'y pensent pas ? C'est ça que je ne comprends pas.
17:55Et c'est là où, en termes, s'ils disent qu'on ne juge que sur
17:57du droit, qu'il faudra
17:59qu'ils s'expliquent sur cette question
18:01de la double sanction.
18:03Première chose, et après il y a une dimension beaucoup plus politique
18:05et populaire.
18:07C'est-à-dire que c'est la première fois
18:09qu'une chaîne va être
18:11interdite, fermée.
18:13La première des ATNT, 40 millions
18:15de spectateurs par
18:17mois.
18:19Une chaîne qui n'est pas celle des élites, c'est certain.
18:21Peut-être que les membres du Conseil d'État
18:23ne regardent pas ces huit, mais une chaîne
18:25très populaire. Et ce qui va être
18:27touchant en fin de journée ou la semaine
18:29prochaine quand ce sera confirmé, je pense qu'il
18:31n'y aura pas de surprise, c'est le témoignage
18:33de ceux dont le petit bonheur de la fin de journée
18:35et de retrouver le programme.
18:37Le témoignage qui a déjà commencé, on l'a reçu, on l'a reçu.
18:39Voilà, ne vous inquiétez pas,
18:41on ne va pas les laisser tomber
18:43et au contraire, on va essayer d'être
18:45encore plus présent. Vous savez quoi ?
18:47Moi, dans ma vie, j'aime
18:49une chose, c'est faire chier le monde.
18:51C'est une passion.
18:53Avec un certain talent.
18:55Du matin au soir.
18:57Et vous savez tous ces gens,
18:59le Conseil d'État, l'ARCOM,
19:01les bien-pensants,
19:03tous ceux qui tweetent,
19:05les gugus que personne ne regarde.
19:07Mon objectif,
19:09ma passion dans la vie,
19:11c'est de les emmerder, c'est de les faire chier.
19:13Et je me dis,
19:15le meilleur moyen de les faire chier, c'est d'être encore plus présent
19:17à l'antenne. Vous voyez ou pas ?
19:19Donc je me dis...
19:21Il y a l'adversant aussi, de donner des choses positives
19:23aux gens qui t'aiment bien.
19:25Bien sûr.
19:27C'est ma passion.
19:29C'est mon régal de les retrouver le soir.
19:31Mais ces gens-là,
19:33je me dis, j'aime bien.
19:35J'aime bien, ça me fait plaisir.
19:37Vous savez quoi ?
19:39Limite qu'ils continuent à faire leurs bêtises.
19:41Parce que c'est complètement...
19:43Mais ils se foutent de la gueule des Français.
19:45Ils se foutent de la gueule des Français.
19:47Électoralement.
19:49Parce qu'ils se sont foutus de la gueule des Français.
19:51Et j'ai pas eu peur de le dire.
19:53L'élection a été volée au RN au premier tour.
19:55Au NFP au second tour.
19:57La dernière élection. Tout le monde a été volé.
19:59Ils ont volé les élections.
20:01Ils leur volent leur antenne préférée.
20:03C8.
20:05Et en fait, ils sont en train de tout supprimer.
20:07Et de tout confisquer aux Français.
20:09Audrey est avec nous. Audrey de Meurthe et Moselle.
20:11Bonjour Audrey. Merci d'être avec nous sur Europe 1.
20:13Bonjour Cyril.
20:15Bonjour tout le monde.
20:17Merci Audrey.
20:19Je voulais juste vous dire, moi, par rapport à tout ça,
20:21que je suis scandalisée.
20:23Je suis triste. Parce que moi, je vous regarde
20:25tous les soirs. Je vous écoute à la radio.
20:27Vous regardez et vous inquiétez pas Audrey.
20:29C'est ce que je disais. Mais je m'inquiète pas.
20:31Parce que je sais que vous rebondirez.
20:33Et même s'il fallait que je paye
20:35un bouquet
20:37sur une autre chaîne ou je ne sais quoi.
20:39S'il faut que je paye, je paierai.
20:41Vous ne paierez pas Audrey.
20:43Oui mais peu importe en fait.
20:45Même si vous faites des chaînes payantes,
20:47je m'en fiche. Je paierai.
20:49Moi je vous adore.
20:51Vous êtes mon bonheur quand je rentre le soir
20:53du travail. Je vous écoute
20:55au boulot à la radio.
20:57Et quand je rentre le soir,
20:59de 18h à 21h15,
21:01c'est vous que je regarde.
21:03Ça me fait très plaisir. Je vais vous dire Audrey,
21:05ce qui dérange surtout,
21:07il ne faut pas croire Audrey,
21:09ce n'est pas Louis Boyard,
21:11ce n'est pas bien sûr,
21:13ce n'est pas leur connerie d'un mec qui est venu
21:15qui avait parlé de la Dédochrome alors qu'il était passé
21:17sur tous les plateaux et il avait fait Ardisson 45 fois.
21:19Alors qu'Ardisson, ce n'est pas en direct.
21:21Mais le mec, je vais vous dire
21:23ce qui dérange Audrey.
21:25Ce qui dérange Audrey, c'est qu'on dit la vérité.
21:27C'est tout. C'est qu'on les dérange.
21:29C'est qu'ils font leur
21:31magouille depuis des années.
21:33Mais voilà, ils ont tous les médias
21:35derrière eux. Tous les médias les suivent.
21:37Vous dites ce que la plupart,
21:39la majorité des Français pensent.
21:41Moi je suis à chaque fois d'accord
21:43avec vous. Les sondages
21:45qui tombent quand vous posez une question
21:47le soir, je suis dans la majorité
21:49parce que c'est comme ça.
21:51Vous gênez, vous dérangez
21:53les gens-là.
21:55Ils sont tellement idiots, excusez-moi.
21:57Au lieu de se poser la question
21:59pourquoi l'émission
22:01de TPMP, pourquoi l'émission du soir
22:03TPMP est le premier talk de France
22:05même sur toutes chaînes confondues.
22:07Au lieu de se poser
22:09cette question-là, ils essaient de se dire
22:11pourquoi ça continue. Parce que
22:13tout simplement, je vais vous dire, on les dérange.
22:15Quand on a parlé du vaccin, on les a dérangés.
22:17Quand on a parlé, quand on parle
22:19de ce qui se passe en France et quand
22:21on parle des drames qui se passent
22:23et qu'on dit la vérité sur certains drames,
22:25on les dérange, c'est tout.
22:27Et avec à chaque fois des contradicteurs parce qu'il ne faut pas non plus
22:29laisser penser que
22:31on serait 100% à dire la même chose autour de la table.
22:33Il y a du débat.
22:35Mais vous savez ce qui va se passer ?
22:37C'est que maintenant je vais faire la même émission mais sans contradicteur.
22:39Et là vous allez voir.
22:41Vous allez voir Audrey, ça va secouer.
22:43C'est ce qui leur pend au nez.
22:45C'est ce qui leur pend au nez.
22:47Ils vont aller pleurer.
22:49Ils vont pleurer, ils vont chialer.
22:51Ils vont chialer Audrey.
23:01Merci Audrey.
23:03Merci d'avoir été avec nous.
23:05Je vous entends très mal Audrey.
23:07On entend mal Audrey.
23:09Est-ce qu'on peut recaler Audrey s'il vous plaît ?
23:11On est sur Europe 1.
23:13Et c'est vrai qu'il y a aussi les gilets jaunes.
23:15Rappelez-vous, c'est nous qui avons mis les gilets jaunes à l'honneur.
23:17Et je pense que ça les a énervés ça aussi.
23:19Quand on reçoit les premiers à recevoir les gilets jaunes.
23:21Le premier à avoir senti qu'il y avait un mouvement.
23:23Ils ont dit Anouna est en train de nous foutre un bordel.
23:25Les gilets jaunes, le vaccin.
23:27Même s'il y avait des contradicteurs.
23:29Mais ce qui leur pend,
23:31ce qui va leur arriver,
23:33c'est qu'il va y avoir les mêmes émissions
23:35mais sans contradicteur.
23:37Et là on va vraiment dire la vérité jusqu'au bout.
23:39Ça commence quand ?
23:41J'espère que ça commence vite.
23:43Non.
23:45Je vais vous dire, ils se tirent une balle dans le pied.
23:47Je le pense vraiment.
23:49Ils vont regretter.
23:51Ils vont regretter ces 8.
23:53Non seulement pour ce que vous dites,
23:55si vous faites plus d'antennes, sans contradicteur, etc.
23:57Mais ils vont regretter ces 8 parce que
23:59la valeur TNT, qu'est-ce que ça vaudra ?
24:01Une fois que vous enlevez la première chaîne
24:03de la TNT, le premier talk
24:05de la TNT.
24:07Qu'est-ce que ça vaudra ?
24:09Une chaîne qui était en train de passer devant France 5.
24:11C'est-à-dire qu'ils vont être entre eux.
24:13Très bien. Quotidien sera le premier talk de France.
24:15Sans TMP en face.
24:17Quand t'es premier sur premier,
24:19ça n'a pas de sens.
24:21C'est sûr.
24:23C'est sûr.
24:25On a recalé Audrey.
24:27Je voulais juste vous dire un petit truc
24:29vite fait.
24:31Je vous adore tellement que
24:33le 26 février, je serai sur votre plateau.
24:35Magnifique.
24:37Je fais 400 km
24:39pour venir vous voir.
24:41Vous êtes un amour Audrey.
24:43C'est mon cadeau de Saint-Valentin
24:45et de Noël en même temps.
24:47Je vous ferai un gros bisou Audrey.
24:49Merci Audrey.
24:51J'essaierai de me faire un t-shirt avec vous dessus.
24:53Très bien Audrey.
24:55Si vous êtes un amour, je serai là.
24:57Je vous embrasse fort Audrey.
24:59Je vous embrasserai. Merci Audrey.
25:01Merci d'avoir été avec nous.
25:03Martin est avec nous d'Île-de-France.
25:05Merci d'être là Martin.
25:07Bonjour Céline. Bonjour à toute l'équipe.
25:09Merci d'être là Martin.
25:11Valérie.
25:13Pour la petite histoire, mon prénom c'est Thomas.
25:15Ma troisième prénom c'est Martin.
25:17Pourquoi ils vous ont appelé Martin ?
25:19Je ne sais pas.
25:21Ils voulaient m'appeler Georges mais je leur ai dit non Martin.
25:27Merci d'être là Martin.
25:29Thomas.
25:33Merci d'être là Richard.
25:37Oui Abdoul. Qu'est-ce que vous voulez Abdoul ?
25:41Pour la petite histoire,
25:43on se connait très bien Cyril.
25:45J'étais passé dans ton émission
25:47Tu m'aurais permis d'être chroniqueur d'un jour
25:49le 6 décembre.
25:51Je te connais. Bien sûr que je connais Thomas.
25:53Tu es agent immobilier.
25:55Exactement.
25:57Je t'en suis éternellement reconnaissant.
25:59Je voudrais dire à tous les auditeurs,
26:01combien de personnes tu as lancées,
26:03tu leur as donné leur chance
26:05ta préoccupation principale
26:07c'est la préoccupation des fous.
26:09On l'a déjà dit beaucoup de fois mais
26:11tu n'es pas nombriliste comme tous les autres animateurs
26:13qui n'en ont rien à foutre.
26:15Thomas, tu sais quoi ? Tu me fais penser un truc.
26:17Tous les mecs que j'ai lancés qui sont sur différentes chaînes
26:19qui ont commencé sur C8,
26:21je n'en ai pas vu un tweeter ou dire un truc.
26:23Thomas me fait penser un truc. Il a raison.
26:25Il a raison. C'est vrai.
26:27Il y en a plein qui nous viennent en tête.
26:29Tu en as beaucoup.
26:31Il n'y en a pas un qui a dit un truc.
26:33C'est fou.
26:35Christophe Carrière a fait un long poste
26:37qui est adorable
26:39et qui raconte aussi.
26:41Tu dis que tu n'es pas toujours d'accord
26:43avec ce qui se passe autour de la table.
26:45Moi-même devant ma télé, parfois je suis irruptif.
26:47Néanmoins, c'est là d'où je viens.
26:49J'en ai marre des gens qui disent
26:51qu'ils sont toujours d'accord avec ce qui se passe autour de la table
26:53pour faire un petit bémol.
26:55Moi, ça me fatigue. C'est vraiment n'importe quoi.
26:57Les mecs, arrêtez.
26:59C'est pour suivre aussi le mouvement.
27:01Oui, attention, je ne suis pas d'accord sur tout.
27:03Les mecs, arrêtez de dire des conneries.
27:05Vous êtes d'accord sur tout.
27:0780% des gens qui nous regardent sont d'accord sur tout.
27:09Arrêtez de dire des conneries.
27:11Oui, je ne suis pas tout à fait d'accord sur tout.
27:13J'aime beaucoup Christophe.
27:15Son mot était formidable.
27:17Oui, mais attention.
27:19Les mecs, arrêtez.
27:21Il faut arrêter de l'hypocrisie.
27:23J'aime beaucoup Christophe Carrière
27:25et je trouve son mot très sympa.
27:27En dehors de Christophe Carrière,
27:29on n'a pas l'obligation
27:31de donner des gages
27:33pour soutenir quelqu'un.
27:35Tout le monde comprend.
27:37Tout le monde comprend
27:39du petit milieu médiatico-politique,
27:41médiatico-parisien.
27:43Quand on veut soutenir quelqu'un,
27:45tout de suite, c'est vrai qu'on a besoin de ce...
27:47Attention, je ne suis pas d'accord avec lui,
27:49mais je le soutiens.
27:51C'est vrai que c'est un scandale.
27:53Il n'y a pas un mec qui a démarré sur ses vides
27:55qui mette un mot, qui fasse un soutien.
27:57Ceux qui font des soutiens,
27:59ce n'est pas la peine de me dire
28:01que je ne suis pas d'accord sur tout.
28:03C'est insupportable.
28:05Oui, Boyard, la vérité,
28:07tous les gens que je vois me disent
28:09qu'ils sont d'accord avec moi.
28:11Heureusement que tu ne l'as pas
28:13un peu plus bousculé.
28:15Mes potes qui me connaissent
28:17m'ont dit qu'à un moment,
28:19ça s'est bien terminé.
28:21Heureusement.
28:23Il y a beaucoup de potes qui m'ont dit
28:25« Heureusement, on te connait un peu,
28:27on préfère ça. »
28:29Ils m'ont félicité.
28:31Ils m'ont dit « Cyril, franchement,
28:33tu as gardé ton sang froid. »
28:35Oui, à l'aune de ce qu'on sait de vous,
28:37c'est ce qu'ils m'ont dit.
28:39Un sang froid qui est déjà chaud.
28:41À l'aune de la personnalité de Cyril.
28:43Oui, mais quand vous avez Louis Boyard
28:45qui fout le bordel partout,
28:47il bordélise partout,
28:49tous les endroits où il passe.
28:51Moi, je vous ai dit ce que ma mère m'a dit
28:53c'est la première victime de la France insoumise
28:55et de Louis Boyard.
28:57Quel point de départ ?
28:59Jean-Luc Mélenchon a été le premier invité politique
29:01sur le format...
29:03J'en souviens.
29:05Thomas.
29:07Oui, Thomas.
29:09Et tu sais, pour rebondir
29:11sur l'affaire du Conseil d'État,
29:13pour la petite histoire, au niveau familial,
29:15moi j'ai été amené à faire
29:17une procédure administrative.
29:19On a fait tribunal administratif,
29:21on a fait tribunal administratif d'appel,
29:23Conseil d'État et CEDH.
29:25Et ce qui est purement scandaleux,
29:27on en parlait avec l'avocat de la famille,
29:29c'était une groupie,
29:31mais bref, qui disait
29:33qu'évidemment au Conseil d'État,
29:35le rapporteur nous avait...
29:37J'ai une petite info sur le rapporteur.
29:39Florian Roussel, le rapporteur,
29:41était dans la même promotion
29:43que Boris Vallaud et Emmanuel Macron
29:45entre 2003 et 2005.
29:47C'est quand même incroyable.
29:49En deux clics, vous le savez.
29:51La promotion Romain Gary.
29:53Exactement, la promotion Romain Gary.
29:55Avec Boris Vallaud et Emmanuel Macron.
29:57Donc le rapporteur actuellement.
29:59Et après on va nous dire non, c'est pas tout à fait politique.
30:01Ils vont vous dire qu'ils n'étaient pas copains.
30:03Ils n'étaient pas copains, ils ne se parlaient pas en classe.
30:05Ils se connaissent depuis des années
30:07mais ils ne sont pas copains.
30:09Je pense que là on a tout dit les mecs.
30:13C'est plus que troublant.
30:15C'est plus que troublant, on est d'accord.
30:17Juste pour rebondir sur ce que tu disais à l'instant,
30:21c'est qu'effectivement c'est parfois de la poudre aux yeux.
30:23Donc le rapporteur, évidemment,
30:25il va être contre.
30:27Et puis après le Conseil d'Etat, il n'y aura pas de surprise.
30:29Malheureusement, j'espère que
30:31C8 et les avocats et que tout le groupe
30:33pourra gagner.
30:35Je pense qu'à la Cour Européenne, ils vont gagner.
30:37Moi je vous avais dit, Conseil d'Etat,
30:39je ne suis pas du tout confiant.
30:41Par contre, j'ai dit Cour Européenne,
30:43je pense que là, ça va coûter beaucoup d'argent malheureusement aux contribuables français.
30:45Malheureusement.
30:47Malheureusement, une fois de plus,
30:49encore une mauvaise décision,
30:51qui va coûter de l'argent aux français.
30:53C'est ça. Et à part
30:55ton ami Arthur qui est animateur,
30:57il n'y a pas beaucoup de chaînes qui s'émeuvent de la situation.
30:59Il y a Jean-Luc Rechman aussi.
31:01Il y a Jean-Luc Rechman.
31:03Mais moi je pense aussi
31:05à tous ceux qu'on a lancé quand même, Thomas.
31:07Il y en a quand même des mecs qui...
31:09C'est quand même fou.
31:11Après, il y en a qui seront là sur la dernière.
31:13Il y aura des surprises.
31:15Mais il n'y aura pas de gars...
31:17Je ne sais pas qui il y aura.
31:19Pour l'instant, il y en a qui seront sur la dernière.
31:21On attend peut-être la fin.
31:23Pour l'instant,
31:25on laisse le bénéfice du doute.
31:27On est d'accord.
31:29Merci en tout cas Thomas d'avoir été avec nous.
31:31Avec grand plaisir.
31:33Si par hasard,
31:35un jour tu veux compléter l'équipe,
31:37ce sera avec grand plaisir.
31:39Je te suivrai au bout du monde.
31:41Merci Thomas.
31:43Merci Thomas.
31:45Je t'embrasse fort.
31:47Merci Thomas d'avoir été avec nous.
31:49Merci beaucoup.
31:51Tiens, on m'envoie un truc.
31:53Les ratés ne vous rateront pas.
31:55On se rappelle de cette phrase.
31:57C'est exactement ça.
31:59Incroyable quand même cette affaire.
32:01Florian Roussel.
32:03Il était avec Boris Vallaud et Emmanuel Macron.
32:05Il était
32:07à l'Énard
32:09dans la promotion Romain Gary.
32:11En même temps qu'Emmanuel Macron et
32:13Boris Vallaud.
32:15Les mecs,
32:17on se dit quoi là-dessus ?
32:19On va vous dire que
32:21tous les fonctionnaires
32:23viennent de l'Énard.
32:25Le conseil état juge en droit.
32:27Je reçois un message d'un magistrat
32:29dans l'administratif.
32:31Je ne donne pas son nom bien sûr.
32:33Il me dit qu'on ne sanctionne pas
32:35deux fois pour les mêmes faits.
32:37On ne sanctionne pas deux fois
32:39pour les mêmes faits.
32:41Non bis in idem.
32:43Il est à l'hôtel Ibis ?
32:45C'est depuis le début.
32:47On dit depuis le début
32:49que c'est complètement surprenant.
32:51La formule est juste.
32:53On tourne autour.
32:55On ne sanctionne pas deux fois
32:57pour les mêmes faits.
32:59On ne sanctionne pas deux fois pour les mêmes faits.
33:01Il a raison. C'est ce qu'on dit depuis le début.
33:03C'est la logique.
33:05Tant qu'ils auront les motivations
33:07du conseil d'état pour expliquer ça.
33:09Normalement, ce n'est pas 5 heures de réunion.
33:11En 10 minutes, c'est réglé.
33:13On ne sanctionne pas deux fois pour les mêmes faits.
33:15Merci, au revoir, terminé.
33:17On verra s'il y a d'autres faits qui se passent.
33:19C'est tout.
33:21Ils vont vous dire que c'est l'accumulation.
33:23Non, ça ne passe pas.
33:25Ils vont dire la réitération des faits ?
33:27Je pense.
33:29Je le vois comme ça.
33:31Le rapporteur pour la fermeture
33:33de C8, c'est lui qui a fait le rapport
33:35pour le conseil d'état.
33:37Petite info qui vient de tomber, il était dans la promotion
33:39d'Emmanuel Macron à l'ENA.
33:41Il y a aussi 6 membres du conseil d'état
33:43qui sont de la promo d'Emmanuel Macron.
33:456 membres du conseil d'état qui sont de la promo d'Emmanuel Macron.
33:47Oui, les mecs.
33:49C'est quand même troublant.
33:51Il y a combien de membres
33:53au conseil d'état qui vont au juillet ?
33:55Il y a plusieurs chambres.
33:57Je crois qu'ils sont dans la salle de bain.
33:59On va se retrouver dans un instant sur Europe 1.
34:01On va vous donner d'autres infos là-dessus.
34:03Il y a beaucoup d'auditeurs qui veulent réagir.
34:05Réagissez.
34:0701 80 20 39 21
34:0901 80 20 39 21
34:11C'est vrai que ces informations sont troublantes.
34:13Le rapporteur qui a fait le rapport
34:15sur le dossier C8 pour
34:17le présenter au conseil d'état
34:19était dans la même promotion qu'Emmanuel Macron
34:21à l'ENA. C'est incroyable.
34:23C'est fou, la promo Romain Garry.
34:25C'est fou quand même, non ?
34:27Moi, c'est troublant.
34:29C'est une information en tout cas.
34:31On va le prendre comme ça.
34:33Mais après, on va nous dire
34:35qu'il n'y a rien de politique dans la décision
34:37de la fermeture du C8.
34:39C'est parce qu'ils n'aiment pas les animaux.
34:41Ils n'aiment pas les rideaux,
34:43ils n'aiment pas les animaux.
34:45Allez, à tout de suite sur Europe 1.

Recommandations