Tuée par balles samedi soir au volant d’un véhicule en Haute-Corse. D’après les premiers éléments de l’enquête, la jeune femme pourrait avoir été ciblée par erreur. Sur l’île secouée par le drame, les réactions s’enchaînent, et les collectifs antimafia appellent à manifester le 22 février à Ajaccio.
"Face à cette tragédie sans nom, le moment est au deuil et à la compassion", a écrit dimanche 16 février sur X Gilles Simeoni, le président du conseil exécutif de Corse, après la mort par balles de Chloé A., 18 ans, à Ponte Leccia, dans la nuit de samedi à dimanche. "Viendra ensuite, dès les jours à venir, la nécessité d’exprimer collectivement notre refus des dérives mafieuses, qui menacent d’engloutir les vies et les espoirs de notre peuple et de nos enfants", a poursuivi l’élu. Sur les réseaux sociaux, les messages remplis d'émotion, d'habitants ou de politiques, en soutien aux proches de la jeune fille, s'accumulent.
"Face à cette tragédie sans nom, le moment est au deuil et à la compassion", a écrit dimanche 16 février sur X Gilles Simeoni, le président du conseil exécutif de Corse, après la mort par balles de Chloé A., 18 ans, à Ponte Leccia, dans la nuit de samedi à dimanche. "Viendra ensuite, dès les jours à venir, la nécessité d’exprimer collectivement notre refus des dérives mafieuses, qui menacent d’engloutir les vies et les espoirs de notre peuple et de nos enfants", a poursuivi l’élu. Sur les réseaux sociaux, les messages remplis d'émotion, d'habitants ou de politiques, en soutien aux proches de la jeune fille, s'accumulent.
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