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L’info du jour | 21 février - Matin

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00:00A peine un mois après l'investiture de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis,
00:15les relations transatlantiques ont du plomb dans l'aile.
00:18Le commerce est une première pomme de discorde.
00:21Le président américain a mis en place des droits de douane qui pourraient gripper les échanges commerciaux.
00:28Sur le commerce, j'ai décidé, pour des raisons de la paix,
00:31que je chargerai une tariffe réciproque,
00:34c'est-à-dire, quelles que soient les pays qui chargeront les Etats-Unis,
00:38nous les chargerons.
00:40Les tarifs injustifiés sur l'Union Européenne ne vont pas aller sans réponse.
00:46Et laissez-moi dire simple,
00:49nous sommes l'un des plus grands marchés du monde.
00:52Nous allons utiliser nos outils pour garantir notre sécurité économique et nos intérêts
00:59et nous allons protéger nos travailleurs, nos entreprises et nos consommateurs à chaque tour.
01:05Tenant l'Europe à l'écart des pourparlers de paix en Ukraine,
01:08le milliardaire américain a entamé des négociations bilatérales avec Moscou
01:12et ouvert la porte à de nombreuses concessions à Vladimir Poutine en défaveur de Kiev.
01:16Je ne vois pas d'aucune façon que un pays dans la position de la Russie
01:22puisse leur permettre, juste dans leur position, de s'unir à l'OTAN.
01:26Je ne vois pas cela se produire.
01:27Et bien avant le président Poutine, la Russie était très forte
01:31sur le fait que je crois que c'est la raison pour laquelle la guerre a commencé.
01:34Nous allons continuer de nous battre côte à côte avec l'Ukraine
01:40dans les négociations, en fournissant des garanties de sécurité,
01:44dans la reconstruction et en tant que membre futur de l'Union Européenne.
01:53A l'approche des élections anticipées en Allemagne,
01:55le vice-président des États-Unis a critiqué un soi-disant recul de la liberté d'expression en Europe.
02:03La menace que je me préoccupe le plus face à l'Europe,
02:06ce n'est pas la Russie, ce n'est pas la Chine, ce n'est pas n'importe quel acteur extérieur.
02:11Et ce que je me préoccupe, c'est la menace de l'intérieur.
02:15Le recul de l'Europe de certains de ses valeurs les plus fondamentales,
02:19des valeurs partagées avec les États-Unis.
02:22C'est pourquoi nous ne l'accepterons pas
02:24si les extérieurs, à l'avantage de cette partie,
02:27ne s'intéressent pas à notre démocratie, à nos élections et à l'éducation démocratique.
02:34Une page se tourne.
02:35Selon une récente étude, les Européens considèrent à présent les États-Unis
02:39comme un partenaire nécessaire et non plus comme un allié.
02:58Nous attendons d'abord le résultat le dimanche.
03:00Nous nous réjouissons si c'est suffisant pour entrer au Parlement.
03:03Nous en sommes très, très sûrs.
03:04L'objectif principal est de réaliser les demandes des gens.
03:08Ce sont des rentes couvertes, des prix plus chers dans le quotidien des gens.
03:12Comme je l'ai dit, nous nous y mettrons.
03:14Et nous ne pensons pas encore à la coalition.
03:27Pour les libéraux du FDP, qui faisait partie de la coalition au pouvoir,
03:31la course au 5% sera très serrée.
03:33S'ils y parviennent, ils pourraient devenir le faiseur de roi
03:36et imposer leur programme, même avec un rôle minoritaire au sein de la future coalition.
03:58L'alliance Sarah Wagenknecht, qui s'est séparée de Die Linke l'année dernière,
04:02a obtenu un score historique de 6,2% des voix aux élections européennes
04:06et espère réitérer son succès.
04:08Mais l'existence du parti dépend de ses élections.
04:27Les élections anticipées convoquent les élections d'aujourd'hui.
04:30Les élections d'aujourd'hui sont les premières élections
04:33où l'élection du Parti libéral sera réunie.
04:36Les élections d'aujourd'hui sont les premières élections
04:39où l'élection du Parti libéral sera réunie.
04:42Les élections d'aujourd'hui sont les premières élections
04:45où l'élection du Parti libéral sera réunie.
04:48Les élections d'aujourd'hui sont les premières élections
04:51où l'élection du Parti libéral sera réunie.
04:54Les élections d'aujourd'hui sont les premières élections
04:56où l'élection du Parti libéral sera réunie.
05:04L'Allemagne est sur le point de se rendre aux urnes
05:06et tout au long de la campagne, le soutien à l'Ukraine
05:09a semblé relégué au deuxième plan.
05:11L'ancien chef de la diplomatie ukrainienne,
05:13il voit le signe du refus des Allemands et des Européens
05:16à voir en face les risques d'une extension du conflit.
05:26Parce que regardez autour, passez par les rues de Berlin, tout est si gentil.
05:31Vous avez oublié que tout cela peut être abandonné.
05:34Et vous ne voulez pas penser que c'est quelque chose qui peut venir chez vous.
05:40Comme nous, nous n'avons jamais imaginé que quelque chose comme cela pourrait se passer dans notre pays.
05:48Aux yeux de Dmitro Kouleba, l'Occident ne tire pas les leçons de l'histoire
05:52et refuse d'admettre les ambitions impériales de la Russie.
06:23Parce que c'est son ambition, c'est la façon dont il veut tomber dans l'histoire.
06:28Vous ne voulez pas nous croire, comme vous ne l'avez jamais voulu nous croire avant 2022.
06:35Qu'est-ce que je peux dire ?
06:37L'histoire se répète, et quand les politiciens européens déclarent souverainement,
06:43à chaque anniversaire de la première et de la deuxième guerre mondiale,
06:49ils s'alignent.
06:51Parce que l'histoire se répète à nouveau et à nouveau.
06:55Dmitro Kouleba a été ministre des Affaires étrangères de mars 2020 à septembre 2024.
07:04Le géant qui garde l'entrée de la ville de Ternika dans l'est de l'Ukraine donne le ton.
07:10Nous sommes au cœur du principal bassin minier du pays, dans le Donbass occidental.
07:16Une ressource cruciale pour l'approvisionnement énergétique ukrainien
07:20et une cible potentielle pour les forces russes.
07:24Oksana fait partie de ceux qui tiennent le front de l'énergie du pays.
07:28Avec l'aide d'un nombre croissant de femmes, car de plus en plus d'hommes sont mobilisés.
07:45Oksana a fui sa ville natale de Barkhmout dans la région de Donetsk sous les bombardements russes.
07:50Son père et son fils aîné ont tous les deux été tués.
07:56Beaucoup de femmes ici ont été déplacées par la guerre
07:59et ont perdu leur maison et leur ancien travail.
08:02Tatiana était assistante maternelle et Irina était comptable.
08:07Leur travail à la mine leur permet de gagner leur vie.
08:10C'est aussi un moyen pour elles de participer à l'effort de guerre.
08:15C'est un moyen pour tout le monde aujourd'hui d'aider.
08:19Ce n'est pas juste de s'occuper.
08:22C'est mon inévitable partenaire dans notre économie et notre paix.
08:30Avant la guerre, les femmes n'avaient pas le droit de travailler sous terre dans les mines ukrainiennes
08:35en vertu d'une loi datant de l'époque soviétique.
08:38Aujourd'hui, elle représente environ 5% de la main-d'oeuvre souterraine de cette mine,
08:43une présence bienvenue selon le mari d'Irina qui travaille ici depuis des années.
09:14Les mines de l'Ouest de Donbass représentent 80% de la production d'énergie de l'Ukraine.
09:19Leur séjour ou leur destruction pourrait signifier des coups de pouvoirs critiques dans le pays.
09:24Je suis Valérie Goriat pour Euronews de l'Ouest de Donbass.
09:29Stupeur et effroi après une attaque au couteau mortel perpétrée en République tchèque.
09:34Deux femmes ont perdu la vie dans un magasin de la ville de Radex Kralove à une centaine de kilomètres à l'est de Prague.
09:41L'auteur de l'attaque, un jeune homme de 16 ans, a été tué par une arme.
09:47L'arme a été tirée sur son visage.
09:50Les motivations du tueur ne sont pas encore connues.
09:53Les attaques sont rares en République tchèque.
09:56La dernière remonte à décembre 2014.
09:59Le tueur a été arrêté à l'hôpital d'Astrakhan.
10:02Il a été arrêté à l'hôpital d'Astrakhan.
10:05Il a été arrêté à l'hôpital d'Astrakhan.
10:08Il a été arrêté à l'hôpital d'Astrakhan.
10:11Il a été arrêté à l'hôpital d'Astrakhan.
10:14Il a été arrêté à l'hôpital d'Astrakhan.
10:18La dernière remonte à décembre 2023,
10:21quand un étudiant armé d'un fusil semi-automatique avait tué 14 personnes
10:26et fait 23 blessés à l'université de Prague.
10:3510 800 euros pour le baiser imposé à Djenier Hermoso.
10:39Le juge du tribunal de l'audience nationale espagnole
10:42condamne à une amende Luis Rubiales.
10:45La peine est nettement en deçà des deux ans et demi de prison réclamée par le parquet.
10:50Le juge estime que l'agression sexuelle du baiser forcé
10:53s'inscrit parmi celles de moindre intensité
10:56en raison de l'absence de violence ou d'intimidation.
11:00Le 20 août 2023, à l'instant de la victoire de l'Espagne
11:04à la coupe du monde féminine de football,
11:06le sélectionneur Luis Rubiales avait embrassé par surprise
11:10la meilleure buteuse de l'équipe.
11:13Le procès est devenu un symbole de la lutte contre le sexisme
11:16dans le sport en Espagne.
11:18Djenier Hermoso dit avoir subi d'innombrables pressions
11:21pour la convaincre d'abandonner ses poursuites.
11:24Luis Rubiales regrette de ne pas avoir gardé son sang-froid
11:27et s'être laissé emporter par l'émotion.
11:30Son avocate a plaidé la Rolex reconnaissant qu'il s'agissait
11:33d'une conduite inappropriée mais pas criminelle.
11:36L'ancien patron du foot espagnol va faire appel de sa condamnation.

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