En France comme à l'étranger, plusieurs concessions et usines Tesla sont prises pour cible par des militants. Des appels aux actes de vandalisme souvent dirigés contre le patron de la marque, Elon Musk.
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00:00Toulouse, Saint-Ouen, Lyon, en France mais aussi à l'étranger,
00:03les concessions et usines Tesla sont de plus en plus visées par des actes de vandalisme.
00:08A Toulouse par exemple, 12 voitures de la marque ont été brûlées dans un incendie criminel,
00:13revendiqué ensuite par un groupe anarchiste,
00:15qui a déclaré participer à l'appel « Accueil le printemps, crame une Tesla ».
00:18Selon la Dépêche du Midi, le préjudice des voitures brûlées s'élève à plus de 700 000 euros.
00:23Plus tôt, le 25 février, un site internet d'information anticapitaliste
00:27a également appelé à attaquer les concessions Tesla,
00:30expliquant même comment mettre feu aux voitures.
00:32D'ailleurs, une enquête a été ouverte à Lyon pour provocation publique directe à la suite de cet appel.
00:37Autre exemple, le 11 février, où le siège français de l'entreprise située à Saint-Ouen
00:41a été recouvert de traces brunes de peinture.
00:43Et au-delà de la France, il y a eu ça à Berlin, ça à Barcelone,
00:46ou encore une femme arrêtée aux Etats-Unis pour avoir dégradé une concession Tesla dans le Colorado.
00:51Parmi les revendications des groupes à l'origine de ces actes de vandalisme,
00:54la plupart déclarent viser directement le patron de Tesla, Elon Musk.
00:58En effet, ces dégradations interviennent dans un contexte de critique
01:01contre les prises de position du milliardaire,
01:03notamment en faveur de l'extrême droite en Europe.
01:05Il est aussi très proche du président américain Donald Trump et membre de son gouvernement.
01:10Et les méthodes drastiques d'Elon Musk pour faire des économies dans les dépenses publiques américaines
01:14sont également vivement pointées du doigt aux Etats-Unis.