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00:00Bon, on va parler de Mbawakar Kébé, Mbawakar Diallo et Mbawakar Douloumine Baré.
00:06On a vu que vous étiez les meilleurs.
00:08Alors, Mbawakar, qu'est-ce qu'il y a de plus fort dans votre famille?
00:13Il y a toujours des problèmes avec la police.
00:17Mais c'est la police qui nous a aidés.
00:19C'est vrai.
00:20C'est la police qui nous a aidés.
00:21Ne vous inquiétez pas Mbawakar, c'est la police qui nous a aidés.
00:24Ne vous inquiétez pas, c'est important.
00:25C'est la police qui nous a aidés.
00:27C'est la police qui nous a aidés.
00:29C'est la police qui nous a aidés.
00:31En 2019, vous avez publié le discours de l'espoir et le trajectoire parcours.
00:36Le discours de l'espoir et le trajectoire parcours, si on compare les deux
00:41le trajectoire a eu une évolution
00:44parce que l'évolution de l'espoir n'est pas la même.
00:47Les hommes sont des hommes.
00:49Donc, on peut dire que le discours a évolué
00:52parce que le discours de l'espoir et le trajectoire parcours
00:58ont eu une évolution naturellement.
01:01Quand vous avez fait ce discours, est-ce que vous pensez qu'il y a quelque chose
01:05qui peut être apporté à l'avenir?
01:10Bien sûr, Mouhammed.
01:12J'ai publié ce discours à la veille de l'élection présidentielle de 2019.
01:21J'ai dit à Ousmane Sonko qu'il devait le faire.
01:27Mais j'ai voulu que les gens puissent voir clairement
01:30et croient en lui
01:33qu'il symbolise de l'espoir dans l'espace politique.
01:38J'ai publié ce discours en 2019 mais je l'ai publié en 2018.
01:43Je l'ai publié en 2018.
01:44Donc, tu es journaliste?
01:46Non, je suis sorti de la presse sénégalaise.
01:48Mais tu l'as publié?
01:50Oui, j'ai travaillé avec eux.
01:52D'accord.
01:53J'ai publié ce discours quand Ousmane Sonko ne l'avait pas publié.
01:56Je ne l'ai pas parlé.
02:01Je ne l'ai pas publié parce qu'il n'y avait personne qui l'avait publié.
02:04Quand je l'ai publié, j'ai cru qu'il n'y avait personne qui le savait.
02:12Quand j'ai appris qu'il n'y avait personne qui l'avait publié
02:15j'ai parlé à la directrice de mon boulot
02:19qui s'appelle Ndairo Kayetiam Gorgon
02:21qui a fait la préface de ce post-face
02:25avec le ministre Cheikh Tidjandyei.
02:31Parce qu'à l'époque, j'avais entendu le discours de Ousmane
02:37et je me suis dit que c'était la bonne voie pour faire de l'innovation dans l'espace politique.
02:46C'est une voie nouvelle.
02:47C'est la trajectoire, le parcours et le discours de l'espoir.
02:53Ce qui symbolise l'espoir de Ousmane Sonko.
02:55Je ne peux pas dire que c'est la trajectoire, le parcours et le discours de Sonko.
02:58Mais c'est la trajectoire, le parcours et le discours de l'espoir.
03:03L'espoir c'est le projet politique.
03:06A l'époque, on ne parlait même pas de projet mais de PASTEF.
03:11Entre temps, il y a eu beaucoup d'évolutions.
03:14Si on parle de politique, on peut la catégoriser en trois phases.
03:23La phase post-2021.
03:28Vous savez comment les gens ont réagi en 2021.
03:32Avant 2021, il y avait Ousmane.
03:37Après 2021, il y avait Ousmane.
03:40Et quand on est en pouvoir, il y a aussi Ousmane.
03:45Il y a aussi une attitude de comportement et d'adaptation.
03:53Avant la politique, c'était encore autre chose.
03:58Mais je n'aime pas trop parler de l'homme.
04:02Je n'aime pas.
04:04Je préfère souvent parler du projet politique que nous incarnons.
04:09Parce qu'à ce moment-là, j'ai compris qu'Ousmane
04:14était un homme qui n'avait pas affiché clairement.
04:19Il le sait et je l'ai assumé.
04:22Je lui ai dit que je n'étais pas d'accord et il le sait.
04:25On s'en souvient.
04:27En ce qui concerne la politique,
04:33à mon avis, on a beaucoup et trop parlé d'Ousmane.
04:39On doit parler plus du projet et de son objectif que des hommes.
04:48Quoique, Ousmane est le porte-étendard.
04:52C'est ce que Dieu a fait.
04:54Il l'a assumé.
04:56Il est devenu le meilleur de tous les hommes.
05:03Il est devenu le meilleur de tous les hommes.
05:08C'est ce qu'on a appris de lui.
05:12Dans le discours,
05:15de tout temps,
05:17comme par exemple dans le Coran,
05:20souvent, il y a un moment où les quatre
05:23se demandent si ils peuvent prendre un mandat.
05:29Si ils peuvent prendre un mandat, cela veut dire quoi?
05:33Qu'ils peuvent prendre un mandat.
05:36Ils peuvent prendre un mandat.
05:38Donc, le discours a évolué.
05:41C'est tout ce que je voulais dire.
05:42Comme le fonds politique a évolué.
05:44Le discours a évolué.
05:45Comme le fonds politique a évolué.
05:46Je suis là pour vous dire
05:49que le fonds politique, comme Ousmane ne l'a jamais entendu,
05:53n'est pas un fonds politique.
05:55Il est un fonds politique car il connait sa philosophie.
05:58Si vous connaissez sa philosophie, vous saurez qu'il n'est pas un fonds politique.
06:03Si vous connaissez son fonds, vous l'achetez au conseil des militants.
06:10Il n'est pas un fonds politique, je l'assume.
06:13On parle maintenant de fonds spéciaux, secrets, c'est ce que je crois.
06:18Car, comme je l'ai expliqué, on ne peut pas l'envoyer publiquement.
06:24Il est un secret état, je suis d'accord.
06:30Mais, qui peut m'expliquer où on peut mettre 8 ou 10 milliards
06:35pour que Diomaye paye et qu'il dépasse tout son fonds politique?
06:41Qui peut m'expliquer ça?
06:43C'est ce que nous faisons à Makissal.
06:45Je ne suis pas du tout d'accord avec le président de Makissal.
06:47C'est ce qu'il y a à Makissal.
06:49Je veux dire que c'est ce qu'il y a à faire.
06:54Je veux voir.
06:57Mais on ne voit presque jamais ce qu'on voit.
07:01Regardez le budget de 2025, le budget de la présidence de la république.
07:05Où est-ce qu'il est?
07:07Le budget de la prématurité, où est-il?
07:09Vous avez dit qu'il y a une autre agence qui est rattachée à la présidence.
07:14C'est ce qu'on a dit.
07:16Qu'est-ce que vous avez dit?
07:18Vous avez expliqué que c'est le budget de la présidence.
07:20Il y a une autre agence qui est rattachée à la présidence.
07:25Si vous regardez le budget de la présidence de la république en 2024
07:30et celui de la présidence en 2025, il n'y a pas de différence.
07:33D'accord?
07:35Non, je ne suis pas d'accord avec ça.
07:37Le budget de la présidence de la république de 2025 jusqu'en 2024?
07:39Il y a beaucoup d'heures.
07:41Non, attendez.
07:43Vous avez dit deux choses.
07:45Vérifiez-les et nous parlons de ce que vous voulez.
07:48Je ne vérifie pas, je vous explique.
07:50Vous savez que le premier ministre est interpellé par Abdou Mbaou.
07:55Vous avez dit qu'il allait prendre la présidence alors qu'il ne devait pas y être.
08:02Il a dit que ce n'était pas le budget de la présidence.
08:06Si on prend un organe et qu'il le rattache à la présidence,
08:10ce sera le budget de l'organe.
08:12Mais ce n'est pas le budget de l'organe.
08:15Le budget spécifique de la présidence de la république de 2025.
08:19Je ne dis pas l'organe, accompagnez-moi.
08:22On a compris.
08:23Le budget spécifique de la présidence de la république de 2025.
08:27Le budget prémature de la présidence de la république de 2025.
08:31C'est ce que j'ai appris de ces organes et de ces agences.
08:37Leur ambition n'était qu'à prendre le budget.
08:41Si on veut avoir de bons résultats, on ne peut pas attendre.
08:47Parce que si tu as l'action, ça va compliquer.
08:50Pour vous dire quoi, le discours doit évoluer
08:56mais il y a des choses qui ne peuvent pas changer.
09:00Ce qui doit changer, c'est de croire qu'il n'y a pas de changement.
09:08Le sens moral, c'est important.
09:11Il n'y a pas de changement, surtout dans l'espace politique.
09:15Il y a des prestations que l'on peut faire, je ne vais pas en parler.
09:19On a déjà parlé de ça.
09:22Mais la philosophie et l'ententement est faite.
09:24Je sais que vous savez qu'il y a des gens qui travaillent en primaturgie.
09:37Je sais que vous connaissez Ousmane Ndiaye.
09:43Je sais qu'il n'y a pas d'échec dans son état.
09:50Je sais qu'il n'y a pas d'échec dans son état.
09:54Je lui dis souvent que quand il est en opposition, il peut se battre pour un ou deux cent milles.
10:01Mais quand il est en groupe, il ne peut pas se battre pour un ou deux cent milles.
10:10Alors que l'homme, en tant que tel,
10:15avec les pouvoirs qu'il a aujourd'hui dans le monde,
10:19il a beaucoup de choses qu'il peut régler.
10:22Mais il n'y a pas beaucoup de choses qu'il peut régler.
10:25Sur la trajectoire,
10:27les Ousmane sont-ils en opposition?
10:30C'est ce qu'il a établi au Sénégal, politiquement,
10:33avec ce qu'il a proposé entre autres.
10:36Tout ce qu'il a établi sur la trajectoire, il l'a réussi parce qu'il l'a fait aujourd'hui.
10:40Mais tu sais bien que ce qu'il a construit dans l'opposition sur la trajectoire,
10:45aujourd'hui, sur la faisabilité,
10:47c'est le même que ce qu'il a établi sur l'opposition.
10:55Dieu a fait une trajectoire au pasteur.
11:01Y compris son porte-étendard dans l'opposition.
11:06C'est très difficile, c'est vrai.
11:10On ne s'en est pas rassuré.
11:14Je crois qu'aujourd'hui,
11:18ce qui est difficile est en train de sortir.
11:24C'est à dire que Dieu nous a donné la possibilité de sortir de cette situation.
11:32C'est très difficile mais c'est ce que j'espère de vous.
11:37Parce qu'il y a beaucoup de choses qu'il veut faire et qu'il n'y a pas de choix.
11:42C'est très difficile, il y a des choix.
11:45Dans l'opposition, c'est mieux de critiquer.
11:48Mais dès lors que tu es au pouvoir, il faut faire des arbitrages.
11:52Il faut passer facilement à côté.
11:56C'est facilement stressant mais il n'a jamais été question pour nous de le dire.
12:02Y compris le tandem que nous avons là.
12:06C'est faisable, on est en train de travailler.
12:11C'est en termes de réalisation qu'on va évoluer.
12:13Mais en termes de réalisation, on va y aller.
12:16Parce que je l'ai dit tout à l'heure,
12:18si on regarde la trajectoire de l'Ousmane Sonko,
12:23si on attendait une réalisation, c'est parce qu'il rêve.
12:27Si ils voulaient faire des réalisations, ils devraient y aller.
12:31Parce qu'ils sont en train d'y arriver.
12:33Je ne parle pas de la réalisation.
12:35Non, c'est une façon de parler.
12:36Donc, la trajectoire est la suivante.
12:40On est au pouvoir, il y a des défis dans l'opposition.
12:45On est au pouvoir, les leviers sont trop complexes.
12:49Avec des mâches très faibles.
12:52Mais je crois qu'on peut s'en sortir de ces difficultés.
12:56Mais il y a une seule chose qui est obsolète.
12:59En toute chose, pour un pouvoir.
13:02Je crois que Gaye l'a dit.
13:04C'est d'entendre et de savoir où on va.
13:08C'est à ce moment-là qu'on leur dit qu'ils n'ont rien à perdre.
13:13Qu'ils sont en train de travailler.
13:16Tant qu'ils sont en train d'y arriver,
13:22on va les renouer.
13:25C'est-à-dire qu'on va nous renouer.
13:28On va renouer tout ce qu'on a déjà fait.
13:32Si on a l'intérêt d'y arriver,
13:38je crois qu'on aura une meilleure trajectoire.
13:42Je voudrais qu'on parle d'un discours
13:47qui a été fait par le président de PASTEF.
13:52Il a dit qu'il n'y a pas d'autre moyen d'y arriver.
13:56Aujourd'hui, le premier ministre est le président de PASTEF
14:00et en même temps, il y a la politique.
14:02On ne peut pas faire cette dichotomie entre le président de parti et le premier ministre.
14:08En tant que journaliste,
14:11est-ce que c'est bien d'évaluer son discours en tant que premier ministre
14:16comme dans l'opposition ou est-ce qu'il y a des choses à rétifier?
14:21Ce que vous devez savoir c'est que
14:23Ousmane Sonko est le premier ministre
14:25et Basseult Diomaye Faye est le président de la république.
14:28Mais le leader politique du régime
14:33c'est Ousmane Sonko.
14:36Et si on s'intéresse à la politique,
14:43il y a beaucoup d'attaques.
14:45Surtout à cause d'Ousmane Sonko qui ne s'est jamais subi dans l'opposition.
14:50Il y a deux casquettes que l'on ne connait pas.
14:58Une confusion totale.
14:59C'est ce qu'il peut y avoir.
15:01Je vais lui dire une chose,
15:04les Sénégalais sont des gens de l'ordre.
15:07C'est pour ça qu'on sait ce qu'ils veulent dire.
15:11Est-ce que tout le monde le sait ou pas?
15:14Ou est-ce qu'il y a des gens qui ne connaissent pas la politique?
15:20Les Sénégalais, c'est eux qui le connaissent le mieux.
15:23Je dis souvent qu'on sous-estime la façon de compréhension des Sénégalais.
15:29Quand tu sais qu'on va aller à l'élection et que la législation est passée,
15:38si on ne l'a pas laissé avec sa gomme,
15:42il n'y a pas de sécurité pour l'Etat.
15:50Parce qu'il leur a dit que c'était une élection et qu'ils allaient à la législation.
15:55Ils ont laissé la sécurité politique comme ça.
15:58Et l'Etat n'a pas pris le risque.
15:59Même si tu es un homme politique
16:04et que tu vas à l'élection,
16:07l'Etat doit défendre l'institution que tu représentes.
16:12Mais dans son approche, tout au long de cette élection,
16:16à chaque fois qu'il parle, il parle au nom de la politique.
16:22C'est pour ça qu'il n'y a pas de sécurité.
16:29Si tu es un ministre, tu le sais bien.
16:31Non, il y a des élections ici et là.
16:37En tant qu'homme politique, l'Etat doit faire son travail.
16:44On l'appelle le premier ministre.
16:48L'Etat doit faire son travail en tant que président de PASTEF.
16:54Je l'assure.
16:56On peut dire que c'est le premier ministre
16:59mais dans cette situation complexe, il fallait trouver une solution
17:05parce que la violence est très forte.
17:08Je sais ce qu'il s'est passé.
17:11Ah bon?
17:12Je sais ce qu'il s'est passé.
17:14On a tous été diffusés sur l'air.
17:20Certains sont dans l'espace politique.
17:23Degout, Saint-Louis, Yorceni, Diasi...
17:27Il y a beaucoup de gens.
17:30Si la campagne d'aujourd'hui appelle le ministre de l'Intérieur en tant que premier ministre...
17:33C'est autre chose.
17:34Le président de PASTEF, Ousmane Sonko,
17:39c'est une autre force qui peut nous aider.
17:44Il croit qu'en tant que politique, il doit faire de l'ingérence.
17:49C'est la particularité de l'homme.
17:51Il n'y a pas de principe.
17:53Il va faire son travail.
17:55C'est ce que je sais de lui.
17:58Quand il choisit de faire de la politique, il va en faire.
18:02Je vous ai dit que si vous le faites,
18:07aucun agent de l'Etat n'y passera.
18:11Pour la preuve,
18:13il y a toujours l'Etat qui l'empêche.
18:16Il n'y a pas d'Etat qui ne s'occupe pas d'eux-mêmes.
18:23On l'a vu.
18:24Donc, le discours, à mon avis,
18:29c'est vrai qu'on peut se demander si c'est le même Ousmane Sonko.
18:35Il y a des différences entre le premier ministre et le président de PASTEF.
18:40Mais celui qui vient à l'Assemblée Nationale
18:43par exemple,
18:45qui est par essence un haut lieu de contradiction,
18:50on l'a invité au nom du premier ministre.
18:55Il vient en tant que premier ministre.
18:58Si on l'attaque politiquement,
19:02la réaction qu'il va donner sera une réponse politique.
19:06C'est ce que le Sénégalais sait.
19:09Le Sénégalais sait que c'est une réponse politique.
19:12Il ne faut pas qu'on le comprenne.
19:17De toute façon, en tout état de cause,
19:20vous pensez qu'on peut dissocier
19:24l'homme politique de l'homme d'Etat?
19:27Je pense que non.
19:29Ils sont intrinsèquement liés
19:33c'est l'homme politique qui aboutit à
19:36le statut d'homme d'Etat.
19:39C'est-à-dire que si tu es politique,
19:42tu as aspiré à la conquête du pouvoir,
19:45tu as le pouvoir, tu deviens un homme d'Etat.
19:48Si on dit qu'on a arrêté la politique, on ne peut pas la dissocier.
19:53C'est ce qu'il faut faire.
19:56D'accord.
19:58Je n'ai rien à dire, je veux juste qu'on s'éloigne de cette trajectoire.
20:02Parce qu'il y a beaucoup de gens qui sont dans la même situation
20:09comme Ousmane Son, le Premier ministre.
20:12Il y a des gens qui sont dans la même situation.
20:16Il y a beaucoup de gens qui sont dans la même situation.
20:20Mais est-ce qu'il y a d'autres personnes
20:25qui sont dans la même situation que toi?
20:29C'est ce qui t'inquiète le plus.
20:34Parce qu'il y a d'autres personnes qui sont dans la même situation que toi.
20:40Je n'ai pas choisi quelqu'un d'autre.
20:43Je n'ai choisi personne d'autre que Birome Oloba.
20:48Birome Oloba a 35-36 ans.
20:55C'est un maître de conférences en mathématiques.
21:00Il a créé une grande entreprise en France.
21:07C'est pour ce projet.
21:10Aujourd'hui, il a créé un bureau pour le projet et l'opérationnalisation.
21:17Tout ceci est une stratégie prémature.
21:20Donc, il y a des gens qui sont dans la même situation que toi.
21:26C'est ce qui t'inquiète le plus.
21:32Je t'ai donné des exemples pour que tu comprennes.
21:37Nous avons pris notre gouvernement.
21:42Personne ne sait ce que c'est que le débout.
21:49Mais il y a beaucoup de gens qui sont dans la même situation que toi.
21:54Il y a des familles qui sont dans la même situation que toi.
21:56Je me souviens que tu étais avec Nairo Kaya Tcham.
22:02Je te disais qu'il n'y avait rien entre nous.
22:06C'est à eux que j'ai cité le film.
22:08Tu as pris Jean-Michel Seine.
22:11Je ne vais pas vous parler de lui parce qu'il n'y a personne d'autre.
22:14Je vais vous parler de ceux que vous avez découvert.
22:19C'est ce qui s'est passé à Dakar.
22:21Aïssa Diaktobi est la face visible de l'iceberg.
22:26Si on l'écoute, elle est là pour nous.
22:30Nous ne sommes pas les plus compétents.
22:34Ni en expertise, ni en intelligence.
22:40Ils sont très forts dans ce domaine.
22:44Mais ils ne savaient pas ce qu'ils faisaient.
22:45Le directeur de l'agence des affaires maritimes de Sénégal est venu en France.
22:52C'est un jeune qui est venu à l'agence des affaires maritimes de Sénégal.
22:57Il y a des gens que vous avez rencontrés au pouvoir.
23:02J'ai connu Khalidienne Gaye avant qu'on arrive au pouvoir.
23:05C'est le ministre de l'agence des affaires maritimes de Sénégal.
23:08Nous ne l'avons pas connu.
23:09Oui mais on est en train d'en parler.
23:14Il nous a amenés au gouvernement parce qu'on a vu qu'il y a des gens qui travaillent dans ce domaine.
23:26Il y a aussi Amadou Baboba qui est un très bon ministre.
23:35Mais quand vous avez rencontré le directeur de l'agence des affaires maritimes de Sénégal
23:42vous avez vu la trajectoire de Ousmane Sonko.
23:47Si vous ne la dissociez pas, vous ne pourrez pas l'accompagner au pouvoir.
23:53Je veux dire à Ousmane Sonko qu'il n'y a pas de passe-tête.
23:57Il y a des gens qui travaillent dans ce domaine.
24:01C'est Dieu qui l'a fait.
24:03Il a assumé ce qu'il a apporté au leadership.
24:08Il a assumé ce qu'il a apporté au métier.
24:12Il y a des gens qui travaillent dans ce domaine.
24:15Il est temps qu'on l'assume pleinement.
24:19On va l'assumer pleinement.
24:22Vous avez dit qu'il est bien accompagné.
24:25Mais au bout de 11 mois, vous serez fini au pouvoir.