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00:00Bonne année.
00:09On va venir pour euh
00:12donc
00:14euh, fondation CMS, crédit
00:17euh, fondation CMS, crédit
00:17euh, fondation CMS, crédit métier du Sénégal.
00:19métier du Sénégal.
00:20métier du Sénégal. Il y a un
01:24problème de dépassement.
01:29Mais le fait que
01:32Mais le fait que
01:32Mais le fait que nous
01:35comme cardiologie
01:38déjà
01:41population négalaise
01:44population négalaise
01:44population négalaise donc
01:47président fondation, SG,
01:50président fondation, SG,
01:51avec les l'équipe de la DMC
01:55avec les l'équipe de la DMC
01:55avec les l'équipe de la DMC nous
01:58pour
02:01importance service
02:04importance service
02:04importance service cardiologie
02:40au
02:41au
02:43parce que
02:46parce que
02:46parce que
02:49progressivement
02:52progressivement
02:52progressivement de
02:56de la santé mais
02:59de la santé mais
02:59de la santé mais tamis
03:02tamis
03:07santé
03:10santé
03:12santé
03:12santé
03:17donc
03:20donc
03:21donc
03:21donc
03:24donc
03:31de l'hôpital, tout le monde a participé à la délégation,
03:36le président a participé, le SG a participé,
03:40on a représenté toute la famille du Crédit Mutuel à travers sa fordation.
03:44On a mis un appareil, un appareil qui permette,
03:49c'est leur travail, parce qu'ils ont un appareil drone fixe,
03:53ce qu'ils vous donnent, vous permettra de réanimer le malheur.
03:56On leur demande de faire le travail qu'il faut,
04:01de le faire pour que le malheur ne se perturbe pas à la réanimation.
04:06On leur a dit, à travers l'exposition du docteur Ndao,
04:10qu'on avait besoin d'un appareil.
04:13Également, sur la visite, on leur a dit qu'ils allaient travailler,
04:17parce qu'ils ne perdraient rien.
04:19Et on leur a dit qu'ils allaient rencontrer leur directeur,
04:22parce que nous aussi, le Crédit Mutuel, à travers sa fordation,
04:25on a inscrit Mme Ndiol Ndogol,
04:28on va venir ici pour vous accompagner.
04:30Comme l'a dit le président progressivement,
04:32Mme Khalang Ndagyoussouf n'a pas encore sorti,
04:34mais on va y aller, on va voir ce qu'on peut faire pour vous,
04:38comme on fait pour tous les hôpitaux et écoles sénégalais.
04:41Nous, l'ACMS et notre fondation, nous sommes venus ici à l'hôpital Abassnaou,
04:46pour vous donner des matériels.
04:49Quand nous avons parlé avec eux,
04:52on a dit qu'on avait besoin d'un appareil pour les patients.
04:58Nous avons dit qu'on avait besoin d'un appareil,
05:01nous avons demandé aux hôpitaux du Sénégal d'envoyer des matériels.
05:05Après avoir parlé avec eux,
05:07nous avons demandé aux communes d'envoyer des matériels.
05:13Nous avons demandé aux hôpitaux de venir ici à Abassnaou,
05:16pour qu'ils continuent à faire ce qu'ils ont fait.
05:20Nous avons travaillé avec les crédits mutuels du Sénégal,
05:24nous avons demandé à ces gens d'envoyer des appareils,
05:28nous avons demandé à eux de nous servir comme cardiologues.
05:32Ils ont donné nous deux appareils,
05:34un appareil écographique cardiaque,
05:36et un autre appareil que nous appelons MAPA.
05:39L'écographie cardiaque,
05:41c'est comme une caméra qu'on met sur la tête,
05:44pour voir le corps en direct,
05:46pour s'assurer qu'il n'y a pas de fèbre.
05:48Le deuxième appareil, MAPA,
05:50mesure ambulatoire de la pression artérielle,
05:53permet de s'assurer de la tension du corps,
05:56parce qu'il n'y a pas de douleur.
05:59Le corps est sous traitement,
06:01et cet appareil nous permettra de savoir si le traitement est bon ou non.
06:05Donc, ces deux appareils,
06:07nous avons demandé à eux de nous servir comme cardiologues,
06:10parce qu'ils nous permettront,
06:12nous, plus qu'eux,
06:14de s'assurer qu'il n'y a pas de fèbre.
06:16Donc, nous remercions les gens du Sénégal,
06:20et nous pensons que l'aide va continuer,
06:24parce qu'on va continuer de les solliciter,
06:27pour qu'ils nous aient toujours besoin,
06:30pour améliorer la prise en charge des patients.
06:35Sous-titrage Société Radio-Canada