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00:00Il ne sait même pas où on est en guerre.
00:01Oui mais le quelque part c'est pas sur le lieu, c'est une manière de dire
00:05quelque part on est en guerre, ce n'est pas pour un lieu géographique, c'est une formule qui explique...
00:11Non, non, non, c'est une idée, non, non, ça veut dire qu'il nous vend l'idée de guerre.
00:17Il nous vend l'idée de guerre.
00:19Oui, ben j'entends bien.
00:21L'idée de guerre. Il n'y a pas de guerre.
00:24Il n'y a pas de guerre. Quand on demande aux partisans
00:27de l'avènement d'une troisième guerre mondiale des signes concrets,
00:32ben ils sont absolument incapables d'en donner.
00:35Totalement incapables.
00:36Et d'autant plus incapables que on n'est pas en puissance, on n'est pas en moyen,
00:41tous les spécialistes de la Défense Nationale le savent,
00:44on n'est pas en moyen de faire la plus petite guerre.
00:47En réalité c'est le jour le plus long, c'est les dents de la mer, c'est Jurassic Park.
00:55Il est entré enfin dans quelque chose qui lui donne un moyen d'exister.
00:59Il était devenu un mime politique, un muet politique.
01:05Et avec cette situation en Ukraine, avec l'attitude de Trump à l'égard de Zelensky,
01:13la réaction de Zelensky, il se donne une importance qu'il n'avait plus.
01:17Il résuscite quoi. Il ressuscite dans l'idée de guerre.
01:20Mais moi je pose la question à tous les amis qui me disent
01:23« Oui, mais il y a une guerre mondiale qui... Un signe ! Donnez-moi un signe de menace ! »
01:28Le signe c'est quand même que la Russie a agressé l'Ukraine.
01:32C'est un signe.
01:33En fait tout le raisonnement est construit en disant...
01:37C'est plus compliqué, c'est quand même la Russie qui a envahi l'Ukraine sur ce plan-là.
01:42Alors qu'il y a eu avant des choses...
01:45Et donc à partir de ce raisonnement-là,
01:47s'il l'a fait une fois, il peut le refaire une deuxième fois, c'est tout.
01:50Oui, sauf que les raisons que la Russie avait d'envahir l'Ukraine
01:55n'existent pas pour les autres pays.