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  • 13/03/2025
Retriuvez le replay de l'OM au Café de ce jeudi 13 mars avec Romain Canuti et Mathieu Madénian.

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Sport
Transcription
00:00Salut à tous et bienvenue sur l'OM au Café, ravi de vous retrouver pour cette émission.
00:14On est ensemble pendant une demi-heure, trois quarts d'heure, on va débriefer, on va répondre
00:19à toutes vos questions et autant vous le dire de suite, je ne suis pas seul pour cette
00:24émission.
00:25Je suis avec un gros gros supporteur de l'Olympique de Marseille qu'on a l'habitude de voir en
00:31spectacle sur les plateaux télé, c'est Mathieu Madénian, salut Mathieu !
00:36Salut, ça va ?
00:37Ouais, ravi de te retrouver, je le disais, gros supporter de l'OM, dès que tu peux
00:44passer sur un plateau et clamer ton amour de l'Olympique, tu le fais, tu es là pour
00:49la cause olympienne.
00:51Ouais, exactement, moi je suis tout petit déjà, j'ai été au stade, mon premier
00:56match c'était en 89, virage nord, donc depuis je suis contaminé à l'OM et puis j'adore
01:01parler foot en général et encore plus de l'OM.
01:04Il y a Alikator qui nous dit « Salut la team, on va se régaler avec Madénian », écoute,
01:10j'espère aussi, on ne va pas te faire cet affront qu'on fait à beaucoup d'humoristes
01:15genre « raconte-nous une blague, alors t'es au spectacle, c'est drôle, pourquoi c'est
01:18drôle ? » Non, allez le voir en spectacle.
01:20On est là pour parler de l'OM, on s'en fout de mon spectacle.
01:23Par contre, petite promo parce que tu as eu, on va commencer par ça, il y a quelques jours
01:31tu étais à Marseille, tu as animé un gala pour l'Olympique de Marseille, ça quand
01:36on est supporter de l'OM et qu'on aime bien prendre un micro, on est à l'aise,
01:40c'est un kiff incroyable, non ? C'est génial, honnêtement je ne suis pas
01:44du tout resté dans la mémoire des joueurs marseillais, je ne suis pas fan, en fait moi
01:48je suis fan de l'OM, je ne suis pas fan des joueurs, tu ne me verras jamais demander
01:51des autographes et tout, mais là, faire des blagues alors que tu as tous les joueurs
01:56de l'OM, tu as Deserby, tu as tout le monde et tout, c'était marrant, c'était mon
02:01kiff d'enfant, vraiment je me suis régalé.
02:03Il y a quelques années, c'est Camille Combal qui avait aussi tenu ce rôle, il était
02:09tout excité.
02:10Ça doit être top, il y a eu des enchères, dis-nous un peu, parce que c'est toujours
02:16et on sait que l'OM ne fait pas mal de… Oui, attention, c'était pour la bonne
02:19cause, mais j'ai pu parler à certains joueurs, c'est marrant, c'est rigolo de parler
02:26à Rongier, à Balerdi, tu vois les mecs qui te parlent de nature, tu me parles de fou,
02:32je suis incapable de frapper dans un ballon et tu es en train de leur poser des questions,
02:36leur dire je pense que côté droit tu serais mieux, n'importe quoi, mais j'étais comme
02:40un gosse en fait, c'est ma femme, elle m'a dit tu es tout excité, j'étais tout excité,
02:45je me suis régalé.
02:46Dis-nous un peu, raconte-nous, quelles infos tu as pu soutirer, qu'est-ce que tu peux
02:52nous partager ? Les infos, c'était, putain c'était quoi ? C'était qu'il monte
03:01à Paris pour gagner.
03:02C'est une belle info ça, on l'aime, c'est des infos qu'on aime.
03:08Là actuellement tu te dis, mais je crois que même Balerdi il a dit on va pour gagner,
03:13je crois donc que ce n'est pas un secret, mais tu vois quand même que c'est des sportifs
03:18de très haut niveau quand même, les gars ils arrivent à 19h30, 22h30 ils doivent partir
03:22parce que le lendemain ils ont entraînement, enfin c'est vraiment marrant, et puis même
03:26la compète elle est là-dedans, tu sais il y avait le maillot aux enchères, il y avait
03:29un maillot de Ravanelli signé, tu vois, et bien il y a eu, comme il s'appelle, Deserbi
03:36il fait une enchaire, et derrière tu as un autre joueur qui fait une enchaire, derrière
03:40tu as un autre joueur, et en fait à la fin je crois qu'il s'en foutait du lot, c'était
03:44celui qui allait gagner et qui allait passer, et en fait in fine ils ont fait gagner Deserbi.
03:49Oui parce que bon après c'est bien beau tout ça mais on va être dans l'équipe quoi.
03:54Exactement.
03:55Tu vois il y a Paul Hichet sur le chat, parce que tu sais on est en direct aussi sur Twitch,
03:58qui nous dit c'est le fosséen Ardziv, et bien oui les gars on a le droit aussi, donc
04:03j'imagine que tu connais l'UGA Ardziv qui est le club des Arméniens de Marseille.
04:09Exactement.
04:10Dans le 12e, nous on est dans le 11e au fosséen.
04:13Mon père jouait là-bas, à l'époque quand il était à Marseille, écoute bien, il jouait
04:19sur le terrain stabilisé, tu sais, tu n'avais pas d'herbe, et donc c'est l'Africa, le
04:24stade c'est l'Africa.
04:26Exactement, et leur devise c'était le ballon passe mais l'homme ne passera jamais, t'es
04:33taré.
04:34Effectivement, et puis c'est un club qui pendant encore quelques temps, et encore une
04:40fois dans le contexte qui est le nôtre aujourd'hui, il faut faire attention et que rien ne soit
04:45mal pris, mais il y avait ce bon côté communautariste j'ai envie de dire, parce qu'il y a des bons
04:50côtés, où ils autorisaient quelques joueurs non Arméniens à jouer avec eux, c'était
04:56un peu comme l'athlétique Bilbao, il y avait ce truc, il fallait qu'il y ait des Arméniens
04:59dans l'équipe, et j'avais un pote très très doué, très fort au foot, qui avait
05:05été accepté à l'UGA en étant non Arménien, et c'était une belle année, pas mal d'échanges,
05:12et pas mal au final, il a bien mangé, il a passé une année à bien manger, je ne suis
05:16pas sûr qu'il a progressé au foot.
05:18Ah mais tu ne progresses pas au foot, tu pourrais faire un bastonnement, un soujouk, mais pas
05:21au football.
05:22Ça c'est clair que c'est quelque chose, et puis on nous dit oui, époque Papazian,
05:28oui effectivement, c'est pas le seul, mais oui, il y a eu pas mal d'équipes, et même
05:36encore il n'y a pas longtemps, ils étaient dans les niveaux National 3 quand même, c'est
05:42pas mal pour une équipe de ce niveau là.
05:45Pour des Arméniens tu allais dire, c'est pas mal pour des Arméniens.
05:48Alors je n'ai pas dit ça, je n'ai pas dit ça parce que, c'est son père qui a joué
05:53à l'OM, mais je reste persuadé quand même que je suis parti des gens qui pensent que
05:56Youri Djorkaeff est quand même, sur la coupe du monde 98, Youri Djorkaeff, il est au-dessus,
06:02sur toute la compétition, il est au-dessus de Zizou, voilà.
06:05Il est au-dessus de Zizou, il est au-dessus de Zizou, quand je l'ai rencontré, dès
06:10qu'il y a des trucs d'Arménouches, tu sais à Paris, il y a tous les Arméniens qui arrivent,
06:13et dès que je le vois, je lui ai dit, en 98 tu étais au-dessus de Zizou, tout le monde
06:18lui dit, et personne ne réalise ça, putain de merde.
06:21Et ça fait partie des joueurs, tiens tu vois, et c'est une petite transition, mais ça
06:25fait partie de ces joueurs qui, ils jouent à Paris, parce que Djorkaeff a joué une
06:30saison au PSG, il leur fait gagner la Coupe des Coupes d'ailleurs, parce que son but
06:34en demi contre le Deportivo de Bebeto, ça valait plus que la finale.
06:40Tu vois, il y a des joueurs, des fois ils jouent à Paris et tu te dis, bon, le seul
06:46problème qu'il a, c'est qu'il porte le maillot du PSG parce que sinon, et c'est vrai
06:51que tu regardes cette équipe de Paris actuellement, celle qui est passée contre Liverpool, moi
06:55il y a 2-3 joueurs dans leur équipe, j'ai pas peur de le dire, hormis le fait qu'ils
07:00aient le maillot de Paris, tu vois, un joueur au Neves, un Vitinha, quand ils jouent avec
07:04l'équipe du Portugal, je suis pas… Un Pancho, c'est monstrueux.
07:08C'est pas mal, Pacho derrière, ouais ouais, c'est pas mal.
07:11Un Pancho, c'est des… Mais tu sais que c'est pas… Regarde, Heinze, il est venu,
07:18il a oublié le fait qu'il avait joué à Paris, comme il s'appelle, l'Albanais,
07:22merde.
07:23L'Orixana, bien sûr.
07:24Tana, on a totalement oublié qu'il avait joué à Paris, parce que les mecs ont mouillé
07:29le maillot à Marseille, donc c'est pas incompatible.
07:31Tiens, il y a Ozarm qui me dit, Romain, de plus en plus, corporate, vestimentairement
07:37parlant.
07:38Eh bien oui, les gars, c'est la collection Faster Marseille, vous avez vu, je ne sais
07:43pas si tu as vu, ils ont sorti des tenues, il faut faire du Tmax pour les mettre, mais
07:49il y en a… C'est un peu plus sobre, moi j'aime bien, il y a des petites… C'est
07:54brodé par-dessus.
07:55Tana, si tu tombes en panne sur l'autoroute, on te voit, les gens peuvent t'éviter,
07:59ça c'est pratique.
08:00Il y a cet avantage là aussi, c'est un clignotant en permanence, effectivement, mais
08:06de toute façon, ne vous inquiétez pas, on va tout faire pour vous en faire gagner rapidement
08:10sur le Fosse 1 et bien sûr aux abonnés Maï Fosse 1.
08:15Samba1339, il nous dit « j'adore Mathieu, t'es un boss ».
08:18Merci.
08:19Tiens, j'en parle aussi, il y en a pas mal qui me disent aussi « on a partagé un podcast
08:28ensemble ». Alors, on ne l'a pas fait ensemble, on s'est succédé, c'est le podcast d'Oussème
08:33Loussaïef, le podcast des paternelles.
08:35Oui, exactement.
08:36Je suis passé peut-être l'épisode d'après ou celui encore d'après toi, on s'est
08:44succédé sur son fauteuil et du coup, j'avais écouté le tien un peu avant et j'avais
08:51adoré cette manière.
08:52Déjà, je vous encourage à le retrouver sur toutes les plateformes podcast des paternelles
08:57de la maison des maternelles et tu avais expliqué cette filiation avec ton fils de
09:05l'Olympique de Marseille, comment tu transmets ça ?
09:07Oui, mais tu sais, je pensais avant d'être papa, tu te dis toujours « je vais lui apprendre
09:18ça, les belles valeurs, les machins ». En fait, tu t'aperçois que les belles valeurs,
09:23ça se joue sur des petits trucs, tu vois ? Et moi, la transmission que j'ai de regarder
09:29le foot avec lui et de lui faire aimer l'Olympique de Marseille, ça fait partie de mes valeurs
09:33à moi.
09:34Je ne dis pas que ça va en faire un mec meilleur que les autres, mais c'est vrai qu'il
09:40y a les grandes valeurs, c'est-à-dire soit gentil avec les gens, soit… Après, il y
09:46a les petits trucs à la con qui font que moi, j'ai été construit comme ça, c'est
09:50l'Olympique de Marseille.
09:51Il est hors de question que cet enfant supporte le Paris Saint-Germain.
09:54Et tu n'as pas peur parce qu'il y en a qui ont ça et puis leur fils, après, vers
09:595, 6, 7 ans, il se met au foot et il veut supporter l'équipe qui voit tout le temps
10:04la Ligue des champions.
10:05Il y en a eu plein qui ont eu des problèmes avec des Mbappé, Mbappé, Mbappé parce qu'ils
10:08mettaient plein de buts.
10:09Tu n'as pas cette peur-là ?
10:10Non, parce que quand il était tout petit, je lui montrais en replay les victoires de
10:15l'OM en 93 et je lui faisais croire que c'est actuel.
10:18Donc, il se disait « Putain, on est bon ! » Il souffrira plus tard cet enfant.
10:22Et puis là, tous les matchs, par exemple, dès que c'est le Paris Saint-Germain, moi,
10:26je le regarde, tu vois, en espérant qu'il perde, évidemment, mais lui, il ne le regarde
10:31pas.
10:32Mais par contre, dès que c'est l'OM, au lieu de se coucher à 19h, on se couche à
10:3422h30.
10:35Tu vois, ça, c'est la grosse dispute avec ma femme.
10:38Et puis là, tous les trucs de l'OM et tout, non, je pense que ce n'est pas possible.
10:44Cela dit, si Dieu existe et qu'il veut me punir, peut-être qu'il va encourager le
10:49Paris Saint-Germain.
10:50Et là, ce sera compliqué.
10:51Écoute, on ne te le souhaite pas, mais c'est vrai que tu as des gosses, toi ?
10:55Oui, j'ai deux filles et ça ne les intéresse pas trop le football, donc je respecte ça.
11:03Mais ça reste quand même l'OM, elles ont eu la chance d'aller au stade, de vivre
11:10ce spectacle-là.
11:11C'est incroyable, ça.
11:12Ça, c'est génial.
11:13Et puis, il y a un truc, tu sais, on dit souvent, alors moi, je n'ai pas la chance
11:19de vivre sur Marseille, mais toi, tu as cette chance-là.
11:21Et tous les gens qui nous regardent, qui vont au stade avec leurs enfants, ça crée du
11:26lien, en fait.
11:27On s'en fout ce qu'on va avoir.
11:28Tu vois ce que je veux dire ? Ce n'est pas très important que ce soit l'OM.
11:30Alors, c'est important que ce soit le Stade Vélodrome, l'OM, mais le truc qui supplante
11:34l'OM et le Stade Vélodrome, c'est que ça crée du lien entre les parents et les
11:38enfants.
11:39C'est des trucs, tu ne peux pas acheter ce truc-là.
11:40Tu ne peux pas dire, tiens, il y en a qui vont au restaurant avec leurs gamins et qui
11:44mangent McDo et qui créent un truc.
11:46Tu vois, à l'OM, il se passe un truc qui transcende, en fait, et qui fait que tu te
11:51rapproches de ton gosse sans obligatoirement parler.
11:53Et ça, c'est important.
11:55Je pense, je ne l'ai jamais fait, mais tu me diras peut-être le contraire, mais quand
11:58je vois les images au stade, quand je vois qu'il y a un but ou qu'il n'y a pas de
12:02but, tu vois les parents et les enfants côte à côte vivent la même émotion en même
12:06temps, je te jure, ça soude.
12:07Exactement.
12:08Tu as raison.
12:10Au-delà des buts, j'ai deux moments dans l'histoire récente de l'OM qui incarnent
12:14parfaitement ce que tu dis.
12:15Le plus ancien, on va dire, il y a moins d'un an, c'est le raté d'Aubameyang contre
12:20Nice.
12:21Je ne sais pas si tu t'en souviens.
12:22Match nul.
12:23Et là, il nous fait une action, mais c'est digne de la NBA.
12:25Il va tout seul, il va dribbler deux joueurs, il s'arrache comme un fou.
12:29Et là, la balle, paf, poteau.
12:32Et ça, j'ai vu dans le stade la détresse des gens qui se sont mis à y croire plus
12:37que de raison.
12:39Tu ne lui en veux pas, Aubameyang, parce qu'il a fait un truc extraordinaire.
12:44Ça ne s'est joué à rien.
12:45Et tu as presque envie de lui dire merci, on a quand même les émotions.
12:48Et dans le regard des gens, à ce moment-là, il y a eu ce truc-là.
12:52Je suis d'accord.
12:55Moi, je ne suis pas encore allé au stade, il est tout petit encore.
12:59Mais par exemple, quand il voit le foot, quand il voit l'OM, il dit « tout ». Pour lui,
13:03c'est le foot.
13:04Et je lui apprends les chants, il ne comprend pas, mais il saute, je lui apprends à sauter.
13:10Sur moi, il saute, on s'habille, il a le maillot, il a l'écharpe, alors c'est débile.
13:16Ok, c'est absolument pas déconstruit, mais ça, rien à foutre.
13:21Mais ça crée du lien en fait, vraiment ça crée du lien.
13:24Et que tu sois supporter du Paris Saint-Germain, de Lens, de Saint-Étienne, dès que tu as
13:28un club qui a une histoire et que cette histoire, tu la transmets, ça peut être n'importe
13:33quelle histoire, c'est important.
13:34Et puis le deuxième moment, c'est la victoire contre Lyon récemment, au mois de janvier.
13:39Et cette musique de Jul juste à la fin, ce « Wesh alors ». D'ailleurs, au stade,
13:45ils m'ont écouté, je la joue un peu Riolo, c'est grâce à moi qu'ils ont réfléchi
13:50comme moi et tout le monde a eu la même idée.
13:52Mais on a juste gardé le refrain, ce n'est pas la musique entière, pas « wesh le sang
13:58», « wesh la onda », tout ça.
13:59Ils l'ont gardé un peu, mais pas après le détail du refrain, on s'en fout, c'est
14:03juste avoir le détail des couplets, je veux dire avoir le refrain.
14:06Et le refrain est là où j'ai vraiment vu des papys de 70 ans sauter et se prendre bras
14:12dessus, bras dessous, avec des jeunes de 20 piges qui eux connaissaient toute la chanson
14:15par cœur et qui se filmaient sur Snap en même temps.
14:19Il y avait les deux, les deux bras dessus, bras dessous, et ça, c'est top à vivre
14:23aussi.
14:24Mais je crois que, je ne vais pas dire de bêtise, je crois qu'il y a deux endroits où tu
14:27peux vivre ça.
14:28Mais de toute façon, c'est ou les stades ou les salles de concert, où il se passe
14:32quelque chose qui transcende et tu n'as pas besoin de parler.
14:34D'après moi, tu n'as pas besoin de parler.
14:38Ça n'arrive pas dans tes spectacles aussi ?
14:39Comment ?
14:40Ça n'arrive pas dans les salles de spectacle aussi, dans les cours Music Club ?
14:45Non, l'humour, il n'y a pas cette émotion-là.
14:47L'humour, il n'y a pas cette émotion-là où les parents… Non, non, il y a quelque
14:53chose d'inesplicable quand tu vas dans un stade de foot.
14:56Il y a quelque chose qui peut être également dangereux.
14:58Tu vois ce que je veux dire ?
14:59Moi, je dis ça à mon fils, je lui dirai, tu sais, je raconte ça sur scène, mais je
15:03crois que c'est la définition de supporter, je lui ai dit, tu sais quoi ? Avant d'entrer
15:06dans le stade, on va laisser notre cerveau dans le coffre de la voiture.
15:08Par contre, en ressortant du stade, il faut se rappeler où on est garé.
15:12C'est la base.
15:13Oui, effectivement.
15:14Effectivement.
15:15Ben écoute, tu sais quoi ? Là, j'ai eu un message en direct, je te disais que j'avais
15:22eu la chance d'amener mes filles au stade Vélodrome, et si j'ai eu cette chance-là,
15:27c'est grâce à Sébastien Volpe, mon boss au Foséen, et là, il m'a mis un message
15:31en me disant, tu sais quoi ? On va faire pareil avec Mathieu, quand il veut, il vient au
15:35stade avec son fils, je l'invite, donc on reste en contact, et tu viendras, on sait
15:41que… Et là, je vous vois venir, parce que du coup, si je dis ça dans le tchat, et ouais,
15:45moi, parce que je ne remplis pas des salles, je ne suis pas invité, il y a beaucoup, beaucoup
15:48d'abonnés Maïf Foséen qui peuvent témoigner.
15:50Eh ouais, c'est ça, c'est pour ça ! Eh ben, faites du stand-up ! Qu'est-ce que
15:53vous voulez ? Commencez par là ! Non, mais… Séb, on invite fréquemment des abonnés
15:58Maïf Foséen, il le fait avec grand plaisir, donc votre tour viendra, les amis.
16:03Tiens, il y a Albo Marseille qui nous dit, est-ce que ça parle foot dans ton environnement
16:07du showbiz ? Est-ce que ça se frite un peu ou pas ?
16:10Ouais, ouais, ouais, ouais, j'en parle quand on est en Comédie Club, puisque le foot,
16:18j'en parle avec mon agent, mais moi, le problème, c'est qu'ils sont tous fans
16:21du Paris Saint-Germain, ici, donc c'est compliqué d'avoir des… Mon producteur,
16:25Kadira Houne, est fan du Paris Saint-Germain, mes premières parties sont fans du Paris
16:28Saint-Germain, donc c'est compliqué d'avoir des discussions sans que ça parte dans le
16:34live vite, mais ça parle foot, ouais.
16:37C'est marrant, je crois que c'est ça, c'est un truc très mascu, de parler de
16:42foot.
16:43Quand j'ai un de mes meilleurs amis, mon meilleur ami, il vit à Marseille, il s'appelle
16:47et quand on s'appelle, on parle de foot, et ma femme, quand je raccroche, elle me dit
16:50« Alors, comment vont ses enfants ? » J'ai dit « Bah, je sais pas ». « Et comment
16:53va sa femme ? » « Bah, je sais pas ». « Mais de quoi vous avez parlé ? » « Bah, de
16:56l'OM ! » « De quoi tu me parles ? » Eh ben, en fait, c'est ça qui nous lie, tu
16:59vois ce que je veux dire ?
17:00Je vis la même chose que toi avec pas mal d'amis, j'ai vécu cette scène déjà
17:05plein de fois, je l'ai dit.
17:06Je suis incapable de te dire comment vont les enfants de mon meilleur ami, mais par
17:08contre, je sais son avis sur le fait, est-ce qu'on va gagner ou pas à Paris, tu vois.
17:13Ouais, bah écoute, on vit tous, je pense, et dans le chat, vous allez nous le dire aussi,
17:17mais on vit tous la même chose.
17:19Yannick Oamsas qui me dit « Mathieu, toi qui connais bien Michel Drucker, qui est
17:22le plus âgé entre lui et Madonna ? »
17:24Je crois que c'est lui, Madonna, mais lui, il a pas fait de… Remarque, peut-être qu'il
17:30a fait des piqûres et tout, mais je crois que Madonna, avec l'âge, se transforme
17:36de plus en plus en Michel Drucker, je crois, physiquement.
17:39C'est vrai qu'il y a un peu un truc.
17:42La gueule qu'est-ce qu'elle a, Madonna ?
17:44Madonna, c'est quand même… C'était exceptionnel, mais j'invite d'ailleurs
17:50tout le monde à regarder, ne serait-ce que sa prestation au Super Bowl en 2012, ça doit
17:56être dispo sur YouTube, c'est quand même, dans le show en général et tout, c'est
18:01quelque chose, même si après, on sent qu'il y a du playback, tout ça, ça ne suit plus.
18:05Lady Gaga, elle fait tout a cappella, Madonna, ça suit un peu moins, c'est normal, il y
18:09a un peu les années qui passent.
18:12La plus belle au Super Bowl, ça reste, d'après Prince, avec Purple Rain.
18:19Prince, c'est vrai que c'était quelque chose.
18:22C'est incroyable, il pleuvait, tout le monde était sous la flotte, regardez ce truc-là,
18:27c'est magique.
18:28Alors, je suis d'accord avec toi, même si maintenant les récents font que les moyens
18:36techniques font que, même si Prince, le problème, c'est que c'est un peu daté
18:41quand on voit ce qu'ils ont été capables de faire récemment.
18:44Alors, je vais dire un truc, c'est le même, j'en parlais avec des amis, je ne sais même
18:49pas s'ils ont des gosses ou pas du coup, mais je leur disais, c'est comme le foot
18:53de maintenant et le foot d'avant, même si la VAR, c'est génial, tu peux comparer,
18:58mais le foot d'avant, il y avait une espèce de truc où l'arbitre pouvait faire des erreurs
19:02et l'erreur faisait partie du jeu.
19:04Je suis pour la VAR, mais le côté, tu vois ce qu'il s'est passé avec l'Atletico,
19:10le fait qu'il ait touché deux fois le ballon et que ça va créer des embrouilles, avant
19:14tu ne l'aurais pas eu, il y aurait eu but, terminé.
19:16Je suis un peu nostalgique de ce temps-là.
19:18De la main de Dieu, la main de Vata, la main de Dieu, même si c'est horrible, le fait
19:29que les déplacements de supporters, tu te rends compte ? Regarde, tu as vu le match
19:34contre Paris-Liverpool, ils étaient parqués au bord du terrain, ils étaient 2000, il
19:40n'y avait que des stadiaux autour, nous en France, je change de sujet, ça n'a rien
19:44à voir, on n'est même pas capable de faire des supporters qui vont de Marseille à Sainte-Étienne,
19:49de Marseille à Paris, c'est incroyable.
19:51Ça c'est vrai, bon après même si, rappelons aussi qu'il y a eu certaines dérives, des
19:58dégradations et autres aussi, il faut être dans son ensemble, il faut rappeler qu'il
20:03y a eu des choses qui se sont passées, notamment sur des affrontements entre supporters, qu'on
20:09ne souhaite pas.
20:10Quand on dit ça, on appelle aussi à la responsabilité de ceux qui se déplacent, mais effectivement,
20:17ça fait partie du football, je suis d'accord avec toi, et le fait de l'avoir de moins
20:21en moins, il y a quelque chose.
20:22Tiens, il y a Sauna13 qui nous dit, son meilleur et son pire souvenir avec l'OM, attendez,
20:28vous savez quoi, on va lancer juste la petite coupure pub pour ceux qui ne sont pas abonnés
20:32et on enchaîne avec la question de Sauna13.
20:36Je disais donc Mathieu, ton meilleur, ton pire souvenir avec l'OM, allez on va commencer
20:44par le pire, tiens.
20:45Le pire, alors il y a Barry en 91, mais j'étais petit, le pire dans ces dernières années,
20:55ça a été le raté contre Tottenham, comment il s'appelle, on passe de la première place
21:04à la dernière place en 13 secondes en fait, tu vois, et là tu es dans le stade avec ma
21:08femme, non mais c'est ça, on le mettait, on était premier, c'était terminé, et
21:13derrière, quelques minutes après, boum, on prend un contre, et on finit, on est quatrième,
21:19et donc cette douche froide m'a, c'est le dernier moment où j'étais vraiment triste
21:25et énervé, parce que là il devait le mettre, tu regardes, t'as vu Dimeco comme il hurle
21:30sur les réseaux, c'est très marrant.
21:33C'était génial, Eric, je pense qu'il avait envie, il y avait d'ailleurs des mèmes
21:37sur Twitter où tu le voyais en mode Apocalypse Now et compagnie, il voulait une corde, il
21:43voulait tout sur le coup, c'était terrible, et ton meilleur ?
21:47Alors il y a eu à Munich en 93, il y a eu le match contre Lyon, le dernier, c'était
21:56super agréable, il y a eu la victoire contre Paris en Coupe de France, il y a un match
22:01que tu peux, voyons, c'était bon, on a perdu, mais c'était Apocalypse, c'était
22:06OM-Sion.
22:07Bien sûr, le 3-1, le doublé de Marc Liban, alors qu'il fallait un quatrième but avec
22:13le but à la con qu'ils prennent au début, et on était en division 2, et moi à l'époque
22:17j'étais abonné Ultra, je me souviens, il y avait Renaud qui était en Winners avec
22:22son truc comme ça, et ouais, qu'est-ce qu'on avait hurlé, qu'est-ce qu'on avait
22:26hurlé ?
22:27Alors je m'en souviens très bien, puisque défaite 2-0, je situe pour ceux qui ne connaissent
22:33pas cet épisode-là, on tombe en division 2, mais comme on a fini, puisque ça a été
22:40une rétrogradation administrative suite à l'affaire OM-VA, l'OM avait terminé
22:46deuxième du championnat, donc qualifié pour la Coupe d'Europe, on est face à l'Olympiakos
22:52premier tour, alors qu'on est une équipe 2-2, et on bat l'Olympiakos, et à l'époque
22:57Olympiakos, ça se gagne pas comme ça.
23:00Pérez, non, comment il s'appelle le mec qui marque à l'Olympiakos ? Ben c'était
23:03comme il s'appelle.
23:04Il y avait Tutuel, je crois qu'il avait marqué.
23:08Ouais, c'est ça, exactement.
23:10Alors je me rappelle, ces mecs étaient accrochés au truc, mais c'étaient des malades ces
23:14supporters-là.
23:15Et du coup, on passe deuxième tour contre Sion, défaite 2-0 là-bas, donc on se dit
23:22au retour, il faut gagner 3-0, il n'y a pas le choix, et au bout de 5 minutes de jeu,
23:28une boulette, c'est Thérèse Côté, deux meilleurs joueurs dans l'OM, Casoni, défense
23:32centrale, Barthez, mésentente de fous, paf, but ! Ils se tapent dedans, ben ils ont fait
23:38comme à Toulouse, Mayeki et Thilo Queyret.
23:43Et je ne dis pas de conneries, le stade à l'époque, c'était l'ancien stade ?
23:47C'était l'ancien stade, effectivement.
23:49Mais il y avait une ambiance ! Et après, vas-y, raconte, excuse-moi.
23:54Et là, derrière, c'est la folie, c'est-à-dire qu'il y a notamment un attaquant qui devient,
24:00c'est son match, c'est son moment à l'OM, c'est Marc Libra.
24:03Dans cette équipe-là, il y avait l'attaquant, et ça allait s'affirmer tout au long de la
24:07saison, le talentueux, on va dire, qui était Tony Cascarino, qui était le Mbappé de la
24:13Ligue 2, c'était un but par match, et à côté de lui, il y avait Marc Libra, qui prenait
24:20un malin plaisir à marcher sur les crampons des adversaires, qui s'arrachait, qui avait
24:24une arde, une niaque incroyable, et sur ce match-là, il était en feu, et on est à 3-1,
24:30et ça pousse jusqu'à la fin pour qu'il y ait ce quatrième but, qui aurait permis
24:34à l'OM de passer, mais il n'est pas venu, mais c'était une ambiance de feu.
24:38Oui, il y a eu 1-0, et après, deuxième mi-temps, 1-0, 1 partout, 2-1, 3-1, et là, ça monte
24:44et on l'a passé.
24:45C'est malheureux, mais ça fait partie de l'histoire de l'OM, on lance tout de suite
24:52la deuxième partie.
25:01De retour sur l'OM au café, toujours avec Mathieu Madegnan, qui est avec moi.
25:07Mathieu, tu es là, et on nous disait contre l'Olympiacos, tour d'avance, c'était
25:12le feu aussi, c'est ce qu'on disait, l'OM Strasbourg avec San Paoli, c'est vrai que
25:16c'était quelque chose de génial.
25:18Ah oui, pardon, excusez-moi, contre Rennes, c'est ça ? Non, Strasbourg, c'était Strasbourg.
25:24Strasbourg, Strasbourg, c'est ça, Strasbourg, ou dernière journée, où il y a un but…
25:29Tu sais quoi ? Vraiment, c'est un bon souvenir, mais il a été gâché, ce souvenir, par
25:33le fait qu'il soit barré du jour au lendemain, comme ça.
25:35Ah, c'est vrai ! A posteriori, tu sais, maintenant, quand je le regarde, parce que
25:41les souvenirs que je te parle, là, il n'y a pas eu de trucs, ça n'a pas été gâché
25:46après, mais le fait que tu le vois en train de prendre des guindouzis, tu vois le stade,
25:51et tu sais que deux mois après, il dit, écoutez, je me casse, il n'y a pas le niveau, ça
25:56a éteint un petit peu, a posteriori, la joie que j'ai eue, c'est con, hein ?
26:00Non, non, mais tu as raison, tu sais quoi ? Moi, surtout, sans passage, on a fait beaucoup
26:04d'émissions, et j'étais plutôt pro sans Paoli, on va dire ça comme ça, même
26:10si j'enrageais un peu contre son coaching pendant les matchs, et même au moment où
26:15il part, tu sais, je suis dans un truc de me dire, ah, c'est dommage, on n'a pas
26:20réussi à le retenir, à ne pas lui mettre la faute dessus, et là, vraiment, où ça
26:24a commencé à me gonfler, mais sérieusement, c'est récemment, là, mais après son départ,
26:30à intervalles réguliers, on s'offre une petite une de l'équipe où on se fait une
26:33grosse interview, et là, on commence un peu à parler sur l'OM, tu sais, c'est un peu
26:38dans ce truc du, eh ouais, on ne m'a pas donné les moyens de mes ambitions, moi, je
26:42voulais jouer le titre et tout, j'ai envie de dire, garçon, reste à ta place, derrière,
26:46tu es allé à Séville, tu as fait n'importe quoi, tu es retourné au Brésil, tu as fait
26:49n'importe quoi, tu es allé à Rennes, on ne va même pas en parler, donc, souple, voilà.
26:56Oui, exactement, il a pété un peu plus haut que son cul, et surtout, pour revenir à Rennes,
27:03derrière, et avec une équipe, enfin, je veux dire, ça n'a pas de sens, en fait,
27:08soit il veut jouer le haut niveau, et dans ce cas-là, il ne va pas à Rennes, et peut-être
27:12pas à Marseille non plus, mais dans ce cas-là, il ne peut pas dire, je ne vais pas à Marseille,
27:14parce que le niveau n'est pas assez bien, pour après aller à Rennes, ça n'a pas de sens.
27:18Il y a Charlie Goyard dans le tchat qui nous dit, c'est bien la calinothérapie avant la
27:22rousse de dimanche. Alors tiens, je ne sais pas si tu l'as vu, il y a une OP, parce que c'est une
27:30OP comme, on n'est pas dupe, mais on a mis un maillot de l'OM sur le David au Prado, là,
27:37depuis quelques jours. Je suis absolument contre cette démarche, je me dis, pourquoi on la ramène,
27:45alors qu'on est sur deux défaites en trois matchs, et qu'ils viennent de se qualifier en
27:49Ligue des Champions ? J'ai un peu peur. Et que, comme le Danois, il ne joue pas.
27:53Olbier ne joue pas, effectivement, je fais bien de le dire, mais c'est de dire aussi,
27:58là, on donne l'opportunité. Apparemment, les deux, le Brésilien et Greenwood,
28:06ils ont eu une séance vidéo musclée pour le retour à l'entraînement. Mais oui,
28:18comme dit Feu88, le problème de ça, c'est que je pense qu'on va passer pour des cons. Tu sais
28:22très bien que les supporters, on aime bien se chambrer, c'est le jeu. Là, les montages du
28:28David avec le cucu en sang à la fin du match, selon le score, on va y avoir droit. C'est le jeu.
28:37Moi, je me fais souvent martyriser. Je t'ai dit ce qui m'est arrivé. Je sens que c'est une semaine
28:44horrible. Attends, je vais te dire. Je t'ai dit pourquoi. Il se qualifie à Liverpool avant-hier.
28:50Moi, hier. Le lendemain, j'ai fait une story en réel sur Instagram. Je vais faire ma coloscopie.
28:56Ma coloscopie à Paris. La clinique, elle est devant le Parc des Princes. Est-ce qu'il n'y a
29:01pas pire pour les supporters de l'Olympique de Marseille, le lendemain de la qualification du
29:06Paris Saint-Germain contre Liverpool, de faire une caméra dans le fion, dans une clinique en face du
29:11Parc des Princes. Putain de merde. Écoute, putain de merde, c'est le cas de le dire. Écoute,
29:17j'espère que ça passe. Donc, toi, tu penses combien ? Tu penses la rouste ? Écoute, non,
29:22bref, c'est toujours pareil. Là, de toute façon, on est à J-3. Donc, à J-3, on est encore sur de
29:29la raison. On est à se dire, tu sais quoi ? On va perdre, mais ils vont mettre... On va tomber
29:35les armes à la main. Plus on va se rapprocher du match... Tu repères, tu repères. Oui, mais plus on
29:42va se rapprocher du match, plus on va dire non, mais s'il y a une année pour le faire, c'est
29:47maintenant. Et alors, bien sûr, deux heures avant le match, on est là à se dire, allez,
29:50allez, mets 100 euros. Mais on va devenir fou et ça va redescendre. C'est toujours pareil. Le
29:56truc, c'est que le seul moyen, c'est que tous les joueurs jouent à 120% et que Paris passe à
30:03côté. C'est tout. Et c'est possible, hein ? Ouais, je sais pas. Je vois pas. Ils vont peut-être jouer
30:12sans Marquinhos. Moi, ce qui m'inquiète... Ouais, tu parles. Non, mais t'es malade. Ils sont
30:18champions de Ligue 1. C'est terminé. Oui, oui. Le dernier match en Ligue 1 qui compte, c'est
30:22celui-là. Tu crois qu'il va mettre l'équipe de remplaçants derrière ? T'es malade. C'est
30:25Enrique. Il veut avoir la semaine incroyable pour lui. Tous les joueurs, ils ont les dents qui...
30:31Non, non. Moi, je le sens à Paris, comment ça monte autour de moi. Non, non, il va rien faire.
30:37Mais par contre, ce qui est dangereux, là, c'est que tu perds contre Paris, t'as la trêve
30:42internationale. Donc, ça va monter. Tu vois, si tu perds la crise, le machin et tout. Bien sûr,
30:48ça fera 3 défaites. Surtout que derrière, 3 défaites, ça rend 4 matchs. Alors que tu as
30:52joué les 3 derniers. Enfin, tu as fait 1 match nul et 2 matchs nuls. Non, 1 défaite, 1 match nul et
30:58une victoire sur... Enfin, bref, je te raconte pas. Mais ce que je veux dire, c'est que derrière,
31:02t'as Nice qui arrive, t'as Lille qui arrive. Lille qui a perdu hier. Ils ont que le championnat,
31:07donc ils vont être... Et c'est super bon, Lille. Et que derrière, on va jouer à Lille, Monaco et
31:12Paris. Et je te rappelle également qu'il y a un mois, on avait 6 points d'avance sur le troisième.
31:18Ah oui, là, c'est... Tu vois, on nous dit... C'est encore Charlie qui nous dit qu'on perd
31:22Murillo et Hojbjerg au pire moment de la saison. C'est vrai que Murillo fait pas de bruit,
31:27mais il s'inscrit dans cette tradition des bons joueurs qui cimentent un peu le 11. Et son absence,
31:35ça fait du mal. Ouais, je peux te garantir que ça va être... Ouais, parce que Paris,
31:44le problème de Paris, c'est qu'ils décident le niveau qu'ils vont jouer, en fait. Quand ils
31:48reçoivent Lens ou Saint-Étienne, ils se disent, on joue à fond 25 minutes et après on lève. Mais
31:54s'ils veulent à fond, on est... Moi, ce qui m'inquiète, c'est la crise de la mini trêve de
31:5915 jours. Parce que si on perd et que Nice gagne et que Lille gagne et que Monaco gagne, après,
32:04on va à Reims. Bon, putain... Ouais, je vais te dire, il n'y a plus d'équipe, ça va. On disait
32:12pareil de Lens, on disait pareil d'Auxerre. Lens qui restait sur quatre défaites. On est à la
32:16maison. C'est pas faux. Tu as raison. À un moment donné, il faut arrêter avec le... Il n'y a plus
32:21d'équipe, il n'y a plus de machin. La seule fois où il n'y avait plus d'équipe et ça a marché,
32:24c'est à Montpellier. C'est tout. Là, tu reçois Lens qui reste sur quatre défaites et tu te
32:30prends une lucarne à la 93ème. Et je vais te dire la vérité, c'est que là, les trois premiers sont
32:41qualifiés, le quatrième. Mais tu finis quatrième, c'est comme si tu finis pas en Champions League,
32:44parce que ton recrutement, tu le fais pas sur le quatrième. Et puis, il y a deux tours à passer.
32:49Alors, c'est pas parce que Lille y est parvenu cet été que c'est donné à tout le monde. Si on
32:55regarde les tours préliminaires, il n'y a que deux équipes qui ont réussi ça. Donc, c'est Lille en
32:59début de saison. Monaco, l'année où ils finissent champions avec Valère Germain et Kylian Mbappé,
33:05mais surtout Valère Germain. Et c'était donc déjà à l'été 2016. Donc, pour vous dire que ça ne se
33:14fait pas à chaque fois, il y a deux tours à passer. Rappelez-vous déjà, ne serait-ce que nous,
33:18été 2023 contre le Pana et ce n'était que le premier tour. Et rappelle-toi surtout, tu perds,
33:26mais ça te flingue un joueur. Ça te flingue Ndiaye. Parce que si Ndiaye, tu l'as vu,
33:31s'il met ce but, sa saison est partie. Non seulement tu perds, mais ça te flingue des joueurs. Donc,
33:41moi, le tour préliminaire, ça compte pas pour moi. Il faut finir dans les trois premiers. Donc,
33:45dans les deux, il n'y a que deux places. Eh bien, il faut y aller. Oui, il ne reste plus que deux
33:51places. Donc, effectivement, il faut y aller. Toi, tu le sens ? Oui, pour la deuxième place,
33:58oui, c'est possible. De Zerbi nous a quand même amené, même si là, on est un peu dans le dur.
34:01Il nous a montré que c'est un coach, je trouve, qui est capable de... Il ne va pas changer sa
34:07compo, mais il est capable de changer l'animation. Il est capable de bricoler dans le bon sens du
34:13terme, de dire OK, là, ça ne va pas. Toi, on va te remettre là. Il est quand même capable de
34:17s'adapter. Il ne faut pas oublier qu'il nous a fait quand même un truc costaud parce qu'on lui
34:22met un Rabiot dans son effectif à la fin du mois de septembre. Et quand on te met Rabiot, il faut
34:26le faire jouer. Et si tu regardes bien, par rapport à ce qu'avait mis en place De Zerbi au départ,
34:32Rabiot ne rentrait absolument pas là-dedans. Eh bien, OK, ça va, je m'adapte. Tac, tac, tac,
34:37il est deux matchs et il nous a sorti un truc. Donc, je suis confiant sur la capacité, on va dire,
34:43de ressort. Je trouve que De Zerbi, je pense qu'il en a encore dans son sac à dos. Là,
34:48il va nous sortir un petit truc. Mais est-ce que tu crois que De Zerbi, même si De Zerbi est à la
34:52pêche, c'est les joueurs. Quand tu vois Greenwood, là, depuis qu'on parle de lui à 50 millions à
34:57l'Atletico, on dirait qu'il a disparu, le gars. Il y a pas mal de mecs qui nous demandaient ce que
35:03tu en pensais de Greenwood, d'ailleurs. Moi, je trouve, sportivement, ce mec-là,
35:09il regarde les stats, c'est super, tu vois ce que je veux dire. Maintenant, ça serait bien
35:13qu'il sorte un énorme match quand ça compte vraiment. Tu vois, la victoire, les trois derniers
35:20matchs, sur les trois derniers, que ce soit Hausserre, Lance et après je ne sais plus qui,
35:25il fallait les gagner les trois. Il fallait faire 9 sur 9 et on a fait 3 sur 9. C'est là que tu
35:30vois les gains. Donc, Greenwood, il a combien de buts ? 9, 8, 10, 12 ? Je ne sais plus.
35:39Non, il est à 15 buts, Greenwood. 15 buts et combien de passes ? Il en a un peu moins,
35:45je vais regarder, mais on va nous le dire dans le chat. C'est énorme, c'est un joueur qui est
35:50essentiel, mais le problème, il ne faudrait pas qu'on le perde maintenant. A voir comment il va
35:56être géré, effectivement, puisqu'il était remplaçant, je le rappelle, sur le dernier
36:03match. Mathieu, merci d'avoir été avec nous. Ok, c'est fini, merde. D'accord, c'était un plaisir.
36:09Mais reste, reste si tu veux. On va voir. Tiens, regardez, je vais afficher juste à ta place le
36:15temps de... Je vais afficher, je n'affiche rien du tout. C'est Loïc qui affiche le numéro si vous
36:20voulez nous appeler dans cette troisième partie. Et puis, Mathieu, reste avec nous avec grand
36:26plaisir. Vous avez, il est là, le numéro. Vous nous appelez et puis vous participez à l'émission
36:31avec nous. On lance, nous, la coupure pub avant la troisième partie. StephOM qui nous dit, Romain,
36:38j'ai jamais eu de réponse à cette question. Greenwood a-t-il été approché par le QSG et donc
36:44déstabilisé ? Non, non, voilà. Après, c'est pas... L'Atletico, c'est l'Atletico, non ? L'Atletico ?
36:51En Espagne, voilà, en Espagne, ça prospecte pas mal parce qu'il a laissé une bonne empreinte avec
36:56Retafé. Donc, il y a quelque chose là-dessus. Mais voilà, il faut voir un peu. J'avais une
37:05question sur... On nous disait pourquoi il y a eu beaucoup de maillots orange à l'Olympique de
37:09Marseille ? Donc, j'explique vite fait pourquoi les maillots orange, c'est une référence en fait
37:16aussi à la couleur des Winners. C'est une référence claire en fait à l'intérieur des Bombers. Je
37:24pense que tu connais, Mathieu, cette histoire. Il y avait des personnes pas très bien intentionnées,
37:30on va dire un peu. Voilà, à l'époque, il y en a encore en France malheureusement de nos jours,
37:36et qui avaient comme signe distinctif des Bombers, vous savez, ce vêtement noir. Et en fait,
37:45les Bombers noirs, si vous regardez bien, à l'intérieur, c'est orange. Et un jour,
37:48notamment les Winners, mais pas qu'eux, mais c'était eux qui se sont un peu rebellés. Eux qui
37:56étaient issus de l'immigration et qui étaient sujet de colibés récurrents de la part de ces
38:03personnes-là. Ils se sont rebellés et ils ont du coup adopté en symbole le orange pour dire on se
38:09retourne, on se rebelle. Et donc, c'est on retourne leur blouson. Et il y avait le symbole en fait
38:15d'une photographie de l'époque où, lors d'une bagarre, ce n'est pas très glorieux, mais il y
38:19avait une personne qui avait pris un des blousons et qui, symboliquement, l'avait retourné, l'avait
38:24mis à l'envers. Et donc, du coup, cette couleur orange est restée. C'est devenu ce symbole-là.
38:29Aussi, après, si on extrapole justement de ce côté de Marseille, capitale antifasciste,
38:36antiraciste, que beaucoup portent en étendard derrière et ont capitalisé sur cette image-là.
38:44C'était le petit cours d'histoire. Si tu avais quelque chose à rajouter, Mathieu, là-dessus ?
38:50Non, non, non. Je me souviens très bien quand ils ont commencé à retourner les Bombers parce que,
38:54oui, oui, c'était le cop Boulogne qu'ils avaient ce truc-là, tu vois. D'ailleurs, c'était eux
39:01qui avaient commencé ce truc-là et en réaction, les Winners avaient fait ça.
39:04Oui, parce qu'on rappelle Boulogne qui était des supporters du PSG. Pas trop de cheveux sur
39:11le crâne. Voilà. C'était chaud. Tu as l'image avec le CRS qui se fait défoncer.
39:17Oui, oui, oui, bien sûr. Devant le PSG, devant le Parc des Princes, mais devant le McDo,
39:26Porte de Saint-Cloud. Mais le CRS, c'est dans la tribune. Rappelle-toi. CRS Nivet,
39:35je ne sais plus comment il s'appelait. Tu le vois se prendre des coups. C'était abusé. C'était fou,
39:40ce truc-là. Non, non, on ne peut pas être nostalgique de cette période et de ces personnes-là
39:45aussi. Eh bien, voilà, on va lancer de suite la troisième partie. Revenir, bien sûr, sur l'OM.
39:52On nous précise Mathieu Nivet, c'était à la Coupe du Monde. C'est vrai que Nivet,
40:06je crois que c'était le gendarme, le match de la Croatie, si je me souviens bien là,
40:11où Blažević avait toujours son képi en hommage. Il y avait eu deux, trois histoires de la Coupe
40:20du Monde 98 également à Marseille. Alors, je prends un peu vos questions. Je prends aussi
40:28vos appels. Vous avez vu le numéro. Mathieu, reste avec nous avec grand plaisir. Tiens,
40:35on disait tout à l'heure, là un peu, tu as animé le gala 13e homme de l'Olympique de Marseille,
40:44là, il y a quelques jours, une vente aux enchères pour, bien sûr, dont les fonds
40:49récoltés allaient à des associations de la ville. Dis-nous, tiens, voilà, Nicolas Mescas nous dit,
40:55c'est quoi ton premier match au VEL ? On va commencer par ça. L'OM-Rhodès en 91,
41:01je crois que c'est 89, demi-finale de la Coupe de France. Au OM-Rhodès, on gagne 4 à 1 ou 3 à 1,
41:06je crois. C'est ça. Virage Nord et j'étais en Yankee. Ok, oui, donc à l'époque, c'était quart
41:15de virage. Il y avait des pesages. Tu rigoles ? C'était le mec qui gérait les pesages. C'était
41:23un Arménien qui avait une pizzeria à plante de campagne. Voilà, j'aime ces histoires. Et en fait,
41:27les billets, c'était sur des coupures de, tu sais, les trucs de loto. Tu rentres avec ça,
41:35avec du papier. Moi, je me rappelle, j'ai gardé le papier OM-Munich, OM-Milan pour la Munich. On a
41:41payé 50 francs, tout compris. On parle d'une finale de Ligue des champions. Exactement. Et
41:48tiens, aller-retour en bus, la place, la bouffe et tout, 50 francs. À l'époque, tu payais ta place
41:54en pesage 30 francs, 20 francs. Et il y avait même aussi des accessoires offerts, notamment sur les
42:01stations-service. Je ne sais pas avec quel bus. Moi, j'ai tout gardé. J'avais le cœur, j'avais
42:06les trucs que tu tapais comme ça. J'avais tout, tout, tout. J'avais les t-shirts Paris, on te
42:10saigne. N'importe quoi. Et oui, on a une pensée pour tous les pompistes, tous les gérants de
42:18station-service entre Marseille et Munich au début des années 90. Voilà, ce n'était pas super
42:26facile pour eux non plus. Enfin, on va dire, ils n'ont pas. Ce n'est pas là qu'ils ont fait le
42:30plus de chiffre d'affaires. Voilà, on va le dire comme ça. Non, ça s'est passé comme ça. Et puis,
42:35si on nous dit à l'ancienne, les populaires ont rentré à la mi-temps. C'est vrai qu'il y avait
42:38ce truc. Il y avait ce truc à la mi-temps. Mon père, à l'époque, mon grand-père, mon grand-père,
42:44c'est un Arménien qui est arrivé à Marseille pour fuir le génocide arménien. Il est arrivé à
42:50Marseille et il avait une station-service à côté du Vélodrome. Et l'entraîneur de l'époque,
42:57il venait gonfler les ballons avant le match dans la station-service de mon grand-père. Et mon père
43:02est entré dans le stade comme ça. Tu imagines deux Zerbis qui viennent avec un sac de ballons,
43:09ça n'existe plus. On nous a demandé aussi par où tu es passé, par quel quartier tu es passé dans
43:19Marseille quand tu es resté dans la cité phocéenne ? C'était du côté Saint-Antoine-la-Gavotte. En
43:26fait, du côté de mon père, c'est le quartier arménien Saint-Antoine-la-Gavotte-Les-Pins-de-Mirabeau.
43:31Et du côté de ma mère, ils étaient du côté du Puy-Sainte-Réparade, derrière Aix-en-Provence.
43:36Oui, très bien. Mon grand-tonton, mon grand-oncle, il était maire du Puy-Sainte-Réparade.
43:43Ah, quand même, on a du réseau ! Bravo à toi. Effectivement, La Gavotte qui est connue pour
43:51avoir enfanté aussi un certain Samir Nasri, qui nous a un peu régalé à l'époque. Il est bien,
44:03je le trouve toujours bien, moi, en tant que consultant. Il est très bien en tant que consultant,
44:09il dit ce qu'il faut dire, il retient. Et là, je le regardais contre la Véctor de Paris,
44:13tu savais que ça commençait à bouillir là-dedans, tu vois. Mais ils aiment beaucoup ce gars-là,
44:18il n'a pas été transformé. Et ça, c'est bien. Je trouve, si je suis juste un poil tatillon,
44:29je trouve que c'est quand il parle de lui qu'il n'est pas super. Je trouve que la lucidité qu'il
44:37a et la manière qu'il a de décrypter sans filtre des actions de match, des carrières d'autres
44:44joueurs, je trouve que sur son cas, lui, des fois, c'est un peu trop la faute des autres et lui,
44:49c'est pour rien. C'est l'humain, ce n'est pas Bouddha, donc c'est normal de dire. Mais je ne connais
44:55aucun. Tu regardes l'équipe 21, tu te dis bon. Toi, justement, en tant qu'expatrié, on va dire
45:06ça comme ça. Là, à Paris, pour suivre l'Olympique de Marseille, est-ce qu'il y a des trucs, il y en
45:15a qui nous disaient merci Mathieu, quand je suis dans les bouchons, je t'écoute sur Iréchanson,
45:19ça va plus vite et tout. Toi, dis-nous un peu. Des fois, est-ce que tu écoutes, est-ce que le
45:25traitement de l'OM dans les médias ou quoi que ce soit, des fois, ça te met en révent.
45:30Alors, je regarde l'équipe 21 quand Marseille gagne. En fait, je lis la presse, l'équipe et
45:37je vois quand Marseille gagne ou quand Paris perd, tu vois. Et des fois, quand j'entends Raymond
45:45Domenech parler, ça me donne un peu la rage, tu vois. Après, il a raison, il fait son boulot et
45:53puis il s'en fout de mon avis et puis tant mieux. Mais quand il y a des victoires de l'OM, je te
45:59garantis que le lundi matin, en fait, ça dépend parce que l'OM, moi, quand il joue le dimanche
46:04soir, je pars de Paris à 15h, j'arrive à 18h30 à Marseille et j'ai mon pote qui vient me chercher
46:09un scooter, on va au stade et je prends le premier train le matin à 5h30 pour aller à Paris et
46:14emmener mon fils à la crèche. Donc, tu vois, je suis un peu éclaté. Mais le lundi après-midi, je
46:19regarde ce qui se dit, je vais sur Twitter, tu vois. Par contre, là, je peux te garantir que
46:24j'ai pas ouvert Twitter depuis la victoire du Paris Saint-Germain et je pense que le dimanche, je
46:28l'ouvrirai pas. Twitter, t'as un faux compte, t'as un truc, tu sais, fada de l'OM. Non, c'est le compte Mathieu
46:33Madénian. Mais le problème, c'est que quand tu chambres le Paris Saint-Germain, derrière, tu t'en
46:39prends dix fois plus. C'est compliqué, tu vois, de chambrer. Je sais qu'ils vont me tomber dessus tous dimanche soir,
46:45donc je ferme ma gueule. C'est comme cette histoire-là de ce que je disais, ce maillot sur David, là, on va
46:50s'en prendre. Tiens, il y a le majeur qui nous dit, Mathieu, fais-nous un sketch à ce sujet. Alors, tu
46:55l'as dit, t'es là par passion pour l'Olympique de Marseille, t'es pas là, tu veux pas faire de promo
47:01ou quoi que ce soit. Mais quand même, dis-nous un peu comment ça se passe pour toi, là, est-ce qu'il y a
47:08des projets? Comment ça se passe? Oui, oui, ça va. Il y a des salles bien complètes. Oui, là, à Paris, c'est
47:15complet. Je vais jouer à Paris jusqu'à la fin de l'année et à partir de 2026, je fais la tournée. Donc, je vais
47:23passer au Silo à Marseille. Je vais aller aussi. Je joue fin juin à Allô, la mairie d'Allô, à mon spectacle.
47:29Donc, je vais jouer à Allô. Mais après, je vais jouer aussi à Marseille au Silo, mais je vais jouer aussi
47:35dans des petits quartiers à Marseille aussi. Je vais jouer à Aix, je vais jouer à Martigues, je vais faire
47:41toute la région un petit peu. Ok, bah écoute, on t'accueillera avec plaisir et on en parlera avec plaisir sur le Fosse 1.
47:47Je vais communiquer là-dessus, t'inquiète pas. Avec grand plaisir. Tiens, il y a Albo Marseille qui nous demande si tu passes par Pau.
47:53Oui, je passe par Pau en janvier. Je crois que c'est annoncé. Ah, c'est en vente. Donc, il suffit qu'il se renseigne,
48:03il tape mon nom, il aura les places. Voilà, on nous dit, ça y est, c'est parti. Donc, Mandarine nous dit à Cuge aussi.
48:09Pierrot nous dit est-ce qu'il passe à Rennes. Pixi nous dit Allô, c'est quand ? Bah Allô, tu seras accueilli par, c'est Nicole Ferroni
48:16qui va venir t'accueillir. Exactement. Nicole, ouais, ouais, ouais. Je disais ça. Ouais, c'est ça, c'est ça. Et puis à Rennes, l'année prochaine aussi,
48:24je vais jouer à Passé. Il suffit de regarder, je vais bientôt communiquer sur les réseaux. Ne vous inquiétez pas, tout le monde le saura.
48:30On relaissait avec plaisir, on nous dit Dijon, Picardie, Nantes. Il va faire tout autour avec grand plaisir. Le Mexique, calma les gars.
48:38Quoique, on peut voir avec André-Pierre Gignac, pourquoi pas. Il joue là-bas encore. Et il se régale, c'est la légende.
48:50Ça se passe mal pour, tiens, toi qui connais, ça n'a pas rapport avec l'OM, mais pour Payet, Dimitri, ça se passe, c'est un peu bizarre là, non ?
48:58Non, non, on va voir un peu là. Parce que tu sais, il y a deux championnats différents. Il y a le championnat local et après, il y a les affaires sérieuses qui commencent.
49:09Et là, ça va être le championnat, le vrai championnat, entre guillemets, qui va démarrer. Donc, à voir un peu comment ça se passe pour Vasco.
49:20D'accord. Tu avais entendu que ce n'était pas le bonheur pour l'instant au niveau football.
49:24Même si, forcément, Vasco, c'est un club très suivi, il y a beaucoup de pression. Le moindre signe avant le coureur, ça donne lieu à quatre articles.
49:32Et nous, de France, on a ce retour-là. Et donc, forcément, on se dit, ah, tiens. Mais dans les faits, il y a le championnat.
49:42Je ne veux pas dire, parce que je sais, le championnat Paulista, je ne suis pas un expert du championnat brésilien, mais je sais que les choses sérieuses, c'est là.
49:51C'est ce qu'il m'avait expliqué au mois de décembre. Mathieu, merci d'avoir été avec nous pendant cette émission. Un grand plaisir.
50:00Sache donc que tu as deux places qui t'attendent et des belles places en plus.
50:06Je peux te dire, avec ton fils, pour lui faire découvrir le Stade Vélodrome dans les meilleures conditions.
50:11Et puis, on te retrouve rapidement pour parler de toutes tes dates et là où tu es demandé absolument de partout, mais aussi pour parler de l'actualité de l'OM ensemble. Avec grand plaisir.
50:23Avec grand plaisir. Merci de votre accueil. C'est cool. Merci, Mathieu. Merci à tous.
50:27On se retrouve très vite ce soir pour le talk show présenté par Sébastien Volpe. Salut à tous.

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