Photos : Lou Lira, musique : GGG, texte : Kizendam, Lou, Sam pour Artismes - st etienne - lyon 2009
Le travail : une nouvelle sorte d’occupation.
Partant du principe du vide, il est nécessaire d’inventer une occupation. Récréative.La nature a horreur du vide, la nature recouvre…etc…L’être humain peut penser le néant. La nature agit, elle est ….sans y penser. Remplissant des espaces et créant encore plus de vie. Activisme stéréotypé de la connaissance, du bourg, joie sans contre partie. Le bourgeois dans ses tripes, l’ouvrier fatigué Tout ce que l’artiste crache c’est de l’art, et tout ce qui me vient n’est autre que le « bienvenu », Cela vient, cela est, l’artiste chie, respire Monstroplantes, musiques électroniques en fond de scène, verdure, vergetures sur peau, peaux de tambours, rugueuse, intacte, la main qui sème.La main qui ramasse, verticale ordure, sème, sonne et trébuche au fond de la scène, verdure Délire électrisant le fleuve,
Et provoquant un court circuit dans la rencontre fleuve / électrisé / hypnotique choc.Vagabonde lueur de l ‘ombre, se répand sur l’eau en flashs crépitant, en éclairs, puis la bête se reforme L’insecte à visage humain, dans l’os et le sang, microscopique, vit. Au fond des mères vit toujours l ‘insensé insecte qui couve la mer, sans manière, sans complexe.Bruyant insecte, la fourmilière la termitière, l’ami tiers de l’ami téméraire, l’alter ami qui se terre.
Sous certains côté, aux extrémités, dans l’angle, le vent coincé au milieu de nulle part. Dans ce désert, dans cette pièce, le vent se répand sur le sable, à côté des murs, dans la dune et le mobilier, à perte de vue.
Le travail : une nouvelle sorte d’occupation.
Partant du principe du vide, il est nécessaire d’inventer une occupation. Récréative.La nature a horreur du vide, la nature recouvre…etc…L’être humain peut penser le néant. La nature agit, elle est ….sans y penser. Remplissant des espaces et créant encore plus de vie. Activisme stéréotypé de la connaissance, du bourg, joie sans contre partie. Le bourgeois dans ses tripes, l’ouvrier fatigué Tout ce que l’artiste crache c’est de l’art, et tout ce qui me vient n’est autre que le « bienvenu », Cela vient, cela est, l’artiste chie, respire Monstroplantes, musiques électroniques en fond de scène, verdure, vergetures sur peau, peaux de tambours, rugueuse, intacte, la main qui sème.La main qui ramasse, verticale ordure, sème, sonne et trébuche au fond de la scène, verdure Délire électrisant le fleuve,
Et provoquant un court circuit dans la rencontre fleuve / électrisé / hypnotique choc.Vagabonde lueur de l ‘ombre, se répand sur l’eau en flashs crépitant, en éclairs, puis la bête se reforme L’insecte à visage humain, dans l’os et le sang, microscopique, vit. Au fond des mères vit toujours l ‘insensé insecte qui couve la mer, sans manière, sans complexe.Bruyant insecte, la fourmilière la termitière, l’ami tiers de l’ami téméraire, l’alter ami qui se terre.
Sous certains côté, aux extrémités, dans l’angle, le vent coincé au milieu de nulle part. Dans ce désert, dans cette pièce, le vent se répand sur le sable, à côté des murs, dans la dune et le mobilier, à perte de vue.
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Art et design