Passer au playerPasser au contenu principalPasser au pied de page
  • il y a 5 jours

Catégorie

📺
TV
Transcription
00:00C'est pour ça qu'on m'a appelé, pour qu'on me dise ce qu'il faut de la Sénégalaise.
00:08Si c'est ce qu'on m'attend, je ne vais pas me présenter.
00:12Du moment qu'on m'a appelé, j'ai eu confiance en moi.
00:17C'est vrai.
00:19La première chose, c'est par rapport aux partenaires.
00:22Nous voulons donner du respect à la Sénégalaise.
00:26La Sénégalaise, où elle est allée, où elle est allée, nous l'accueillons.
00:30Parce qu'on ne peut qu'apporter du respect à la Sénégalaise.
00:35Si nous voulons que nos partenaires nous respectent, nous devons être respectables.
00:40Nous ne pouvons pas être respectables dans la contre-vérité.
00:44Prenant en compte tous ces éléments-là,
00:47qui m'ont décrit vis-à-vis de la Sénégalaise,
00:50par rapport à ce qu'on attend, par rapport aux efforts et aux redressements qu'on doit faire,
00:53évidemment, nous avons choisi d'entendre la Sénégalaise dire la vérité.
01:00C'est difficile.
01:02Mais la vérité, c'est qu'il faut d'abord voir ce qui est vrai.
01:06Et si c'est vrai, il faut faire face à la vérité.
01:10Comment faire face à la vérité ?
01:12D'abord, il faut dire qu'il n'y a pas de manque d'argent.
01:19Il n'y a pas de prix. Au contraire.
01:22Il y en a d'autres.
01:24Mais, Dieu merci, Alhamdoulilah.
01:27Si on a fait tout ce qu'on pouvait pour le moment,
01:30ce n'est pas possible à chaque fête.
01:32C'est très difficile.
01:34Donc, d'abord, s'il y a des points que nous avons marqués,
01:39je pense que le gouvernement a marqué ces points,
01:43parce qu'il n'y a pas de manque, il n'y a pas de manque d'argent.
01:46Donc, Dieu merci.
01:48Au début, quand j'ai fait mon discours,
01:51j'ai demandé à d'autres d'aller au top.
01:53C'est ce qu'on a fait.
01:56Ils sont venus.
01:59Le prix qu'on a vu aujourd'hui,
02:03c'est de 100 francs.
02:05Ce n'est pas rien, parce qu'il n'y a personne qui a acheté ce prix.
02:09Si on avait acheté plus de 100 francs,
02:11on l'aurait déjà acheté.
02:13On l'aurait déjà acheté.
02:15On a parlé du marché international, etc.
02:18Mais non.
02:20C'est pourquoi on a acheté,
02:22malgré tout ce qu'on a acheté,
02:24et personne n'a parlé du marché international.
02:26Je rappelle, je l'ai oublié.
02:28Quand je suis venu,
02:30j'ai demandé au directeur du commerce intérieur
02:33de nous expliquer la situation.
02:35Parce que les Sénégalais sont fatigués.
02:38Ils ont besoin d'acheter ce prix.
02:41On leur a dit que le prix était de 450 francs.
02:47Je leur ai demandé pourquoi.
02:49Ils m'ont dit qu'ils n'avaient pas de TVA.
02:51Ils n'avaient pas le droit de douane.
02:53Je leur ai demandé ce qu'ils pouvaient acheter.
02:55Ils m'ont dit qu'il n'y avait rien.
02:57Ils n'avaient pas le TVA qu'ils voulaient acheter.
02:59Ils n'avaient pas le droit de douane qu'ils voulaient acheter.
03:02On leur a dit qu'ils devaient acheter à la Colihal.
03:05On leur a donné une stratégie
03:08pour répondre à la question de la réduction des prix.
03:11On leur a demandé pourquoi le prix était élevé.
03:14On leur a dit qu'ils allaient acheter.
03:17Ils n'avaient pas de maîtrise du prix.
03:19Ils étaient dans le cours de transport.
03:22Ils ont parlé avec les opérateurs.
03:24Ils ont dit qu'ils allaient importer.
03:26Je leur ai dit que le ministre allait aller à Indre.
03:30Avec sa équipe.
03:31On a regardé comment on pouvait gagner
03:34les frais de transport.
03:36Le prix qu'on leur a livré
03:38sur le prix du port.
03:40C'est ce qu'on a acheté.
03:44Quand on l'a acheté,
03:46d'abord il y avait 500 000 tonnes de riz.
03:49On ne pouvait pas l'acheter.
03:51Je leur ai demandé pourquoi on l'a acheté.
03:53Ils m'ont dit qu'il y avait des problèmes de transport.
03:56C'est pour ça qu'on est allé à Indre
03:58pour parler directement avec eux.
04:01Pour voir ce qu'on pouvait acheter.
04:03Ce qui nous permettait d'acheter.
04:05Non seulement on a parlé avec eux.
04:08On a supprimé deux intermédiaires
04:10pour acheter.
04:12Mais on a un quota double.
04:14On a acheté 500 000 et on a un quota d'un million.
04:18Quand on s'est rendu compte qu'on allait acheter,
04:21on s'est rendu compte qu'on allait acheter.
04:23C'est pour ça qu'on a discuté.
04:24C'est pour ça qu'on a discuté.
04:26Qu'est-ce qu'il y avait dans le marché,
04:29on a dit qu'on allait acheter.
04:31C'est pour ça qu'on a annoncé en décembre.
04:34J'ai demandé au ministre
04:36est-ce qu'on était sûrs que sur le marché aujourd'hui,
04:39qu'on allait acheter à un prix plus bas que celui qu'on avait acheté,
04:43qu'on allait acheter dans le marché,
04:45il m'a répondu oui.
04:47Et dans notre perspective,
04:49il y a peut-être quatre quotas,
04:51mais il y a peut-être d'autres sur le marché international.
04:52Je lui ai dit qu'on attendait,
04:54qu'on ait le droit de le maîtriser.
04:56C'est ce que vous avez vu.
04:59Les stratégies, c'est de dérouler
05:02dans les autres secteurs d'activité.
05:06Par exemple, le BTP.
05:08Le BTP a des problèmes,
05:11comme les autres secteurs,
05:13parce que le Sénégal a des problèmes dans ce contexte.
05:16Il y a beaucoup de dette intérieure.
05:19Le secteur, il y a des problèmes.
05:20Il y a des problèmes,
05:22parce qu'on peut éponger toute la dette extérieure
05:26pour avoir une relance économique.
05:28Il y a des injections financières.
05:30Mais ce qu'on injecte,
05:32en fait, les banquiers l'aspirent
05:35parce que c'est un endettement du secteur privé.
05:39Qu'est-ce qu'il nous faut faire aujourd'hui ?
05:41Il faut discuter
05:43avec ceux que vous connaissez,
05:45des différents secteurs.
05:46Je vais vous parler maintenant
05:49de ce qui s'est passé dans le bureau.
05:52Mais en attendant,
05:54par rapport à ce qui est disponible,
05:57on va faire des injections.
06:00Parce qu'en arrivant,
06:02d'abord, dans le secteur agriculture,
06:04les opérateurs,
06:06on voit qu'il y en a pour 2020,
06:08pour 2021,
06:10pour 2022 et pour 2023.
06:13Ils ont tout payé.
06:14Ils ont tout payé.
06:16Ils ont fait de l'argent cher.
06:18Ils l'ont payé de 22%.
06:20Après, il y a eu une double quantité.
06:25Donc, si on regarde les différents secteurs,
06:27des efforts ont été faits.
06:29Comme je vous l'ai dit,
06:31dans la campagne de 2024,
06:33il n'y en a qu'un.
06:35Il y a environ 3 milliards d'euros
06:37qu'on doit payer.
06:39Donc,
06:41dans le secteur opérateur,
06:42dans un secteur comme le BTP,
06:44on a fait de l'effort.
06:46C'est insuffisant, certainement.
06:48Parce que ce qu'on a, le BTP,
06:50ça fait beaucoup.
06:52Avant de pouvoir répondre maintenant
06:54à tout ça,
06:56une relance de l'activité efficace,
06:58il faut que l'on regarde
07:00comment dégager des couloirs budgétaires.
07:02Parce que si on ne le fait pas,
07:04ce qu'on peut faire
07:06sur l'impôt sur le plan intérieur,
07:08c'est ce qu'on a le plus besoin aujourd'hui.
07:10Parce que le marché international
07:12au regard de l'annotation
07:14de la situation budgétaire du Sénégal,
07:16ce qu'on doit faire,
07:18c'est que
07:20l'intérêt du service de la dette
07:22doit être aspiré.
07:24Parce qu'il est énorme,
07:2618 500 milliards, en réalité,
07:28il n'y en a pas.
07:30Et surtout, le service de la dette,
07:32il faut que l'on le diffère
07:34pour qu'il sorte du mandat précédent
07:36et qu'il tombe sur notre mandat.
07:38C'est pourquoi quand on regarde,
07:40on sait que ce n'est pas soutenable.
07:42C'est pourquoi,
07:44le ministère de l'Economie et des Finances
07:46et le ministère de l'Economie,
07:48des Plans et de la Coopération,
07:50et notamment le ministère des Finances et des Budgets,
07:54ont travaillé sur le service actif
07:57de la gestion active de la dette.
08:00La gestion active de la dette,
08:02c'est ce qui nous permet
08:04de faire des reports et des échéances
08:06pour, si on fait une mobilisation
08:08à l'intérieur,
08:10répondre aux besoins d'investissement
08:12et de relancer l'activité.
08:14Alhamdoulilah rabbil alamin,
08:16le service des autorités
08:18est bien apprécié des partenaires.
08:20Et on a des offres,
08:22mais on les étudie aussi
08:24pour ne pas commettre les mêmes erreurs
08:26que nos prédécesseurs.
08:28L'urgence politicienne
08:30ou l'urgence de la pression sociale,
08:32c'est vrai qu'elle est là.
08:34C'est pourquoi on fait des choix
08:36qui ne sont pas économiques, lucides.
08:38On ne peut même pas se les permettre.
08:40C'est pourquoi,
08:42on a pris une décision
08:44de ne pas faire la pression sociale.
08:46On a pris une décision
08:48de ne pas faire la pression sociale.
08:50C'est pourquoi on ne peut pas
08:52faire la pression sociale.
08:54Maintenant,
08:56le mécanisme est sauté.
08:58On va le restaurer
09:00quand il sera révélé.
09:02Mais mieux,
09:04on va faire
09:06pour qu'on puisse
09:08faire des choix
09:10et qu'on puisse
09:12faire des choix
09:14et qu'on puisse
09:16faire des choix
09:18pour l'avenir.
09:20C'est pourquoi,
09:22on a pris une décision
09:24de ne pas faire la pression sociale.
09:26Mais il faut que
09:28l'on puisse faire
09:30les choix
09:32pour que
09:34l'avenir
09:36soit bien.

Recommandations