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00:00Avant de sortir de l'Assemblée Nationale, je voudrais avoir un commentaire sur l'image de l'Assemblée Nationale.
00:05Je voudrais avoir un commentaire sur l'image de l'Assemblée Nationale.
00:11Elle a voté une loi interprétative sur le premier vice-président de Yannou Berne Tableau.
00:21Qu'est-ce qui t'a inspiré et pourquoi?
00:25C'est ce tableau qui nous inspire et nous rappelle.
00:29C'est ce tableau-là.
00:32C'est ce tableau-là.
00:34C'est ce tableau-là.
00:37La plupart des députés, ou bien la plupart dans l'administration, l'exécutif, le pouvoir judiciaire, je ne peux pas le dire, mais le pouvoir législatif.
00:51Si les députés sont ici des rangs de PASTEF, la plupart d'entre eux ont le tableau-là.
01:00Pour que je vous rappelle que les députés ne peuvent pas compter.
01:03Si les députés sont ici des rangs de PASTEF, ils ne peuvent pas compter.
01:08Parce que Dieu a fait des rangs.
01:10Et dans cette vie, il n'y a pas de rangs.
01:12C'est ce que je veux dire.
01:13Si l'on est primature, le Premier ministre Ousmane Sonko a été dans le bureau.
01:18Et il a été dans l'interview du président de la République du Sénégal.
01:23Il a dit que nous, chaque fois que nous sommes, nous avons un tableau qui est dans le bureau.
01:28Il a dit que nous, on n'a pas le droit à l'erreur.
01:31Nous, ce qu'on souhaite à Dieu, c'est qu'il faut qu'il y ait une satisfaction.
01:38Parce qu'on doit réussir pour eux.
01:41Parce qu'on doit réussir pour eux.
01:42Parce qu'on doit réussir pour eux.
01:43Parce qu'on doit réussir pour eux.
01:45Parce qu'on doit réussir pour la démocratie, pour l'injustice.
01:48Pour que le Sénégal soit dans lesquels.
01:50Pour que le Sénégal soit dans lesquels.
01:51On doit réussir pour eux.
01:53Mais nous devrions bénéficier de vraiment le Sénégal.
01:56Parce qu'on doit réussir pour eux.
01:58C'est ce qui a été satisfait pour le Sénégal.
02:00Si je l'ai lu sur le tableau.
02:02Par rapport à une proposition de loi,
02:06que vous savez que nos frères, Amour, ne l'ont fait.
02:09C'est une loi d'interpréter de la loi d'amnestie.
02:13Et nous l'avons interpréter.
02:16Le fait qu'ils ne devraient qu'ils les souhaitent.
02:19Nous pouvons faire de manière simple.
02:21Et dans un juridisme.
02:24Nous devons faire des choses.
02:26Nous nous l'avons détournés.
02:28Nous devons faire des tétraplagies.
02:30Nous devons faire des choses.
02:32Et nous devons faire des choses.
02:34Nous devons faire des choses.
02:36Et nous devons faire des choses.
02:38Est-ce que la justice populaire doit avoir.
02:40Si nous devons faire des choses comme ça.
02:42C'était pour camper les débats.
02:44C'était pour montrer que c'est ce qui a été fait.
02:46Que nous devons faire des lois interprétatives.
02:48Nous devons faire des choses.
02:50Et nous devons faire des choses.
02:54Et nous devons faire des choses.
02:56Nous devons l'apprendre de tous les députés, et nous devons l'apprendre à l'église pour le reste de notre vie.
03:05Si on a été sénégalement évolué, nous devons l'apprendre.
03:09Et aujourd'hui, il est important, il y a un député qui s'est dit, le député Ousmane Fall.
03:14Il s'est dit qu'il faudrait qu'il n'y ait pas d'autres, mais moi mieux.
03:19Parce que quand je suis allé à Berlin, j'ai vu eux après la guerre, ils ont laissé l'estigme de la guerre.
03:30Pour qu'ils n'y fassent.
03:33Comme aujourd'hui, le tabac n'est pas grave.
03:35Il n'y a pas de mal.
03:38Il n'y a pas de mal pour qu'ils l'apprent.
03:42Il n'y a pas de mal.
03:44Il n'y a pas de mal mais il n'y a pas de mal pour qu'ils l'apprent.
03:47Ils font parler histoire pour que, plus jamais, plus jamais, qu'ils soient dans l'huile politique.
03:54D'accord.
03:55Mais par rapport à la question, il y a des rangs qui sont à l'intérieur de l'hémicycle,
04:02et à l'intérieur de l'hémicycle.
04:04C'était comment l'ambiance ?
04:06Et puis cela a de lui l'impression qu'on dit que vous l'avez dit.
04:10Alors qu'en l'intérieur de l'hémicycle,
04:12Oui, à l'intérieur de l'hémicycle, vraiment, c'est un peu de temps.
04:17Parce qu'ils étaient des témoins aux couleurs de certaines situations.
04:21Ils ont faitqué.
04:23Moi, par exemple, j'étais de la commission santé.
04:25J'ai fait parler de l'hôpital.
04:27J'ai fait lire l'autopsie.
04:30On voit que c'est le problème de la maladie.
04:37C'est difficile.
04:39C'est le cas de Mariam Massagna depuis le début.
04:42Mais c'est difficile.
04:44C'est comme ça.
04:46C'est violent.
04:48C'est-à-dire qu'il n'y a pas de justice.
04:51Il n'y a rien à dire.
04:53Il n'y a rien à dire.
04:54Il n'y a rien à dire.
04:56Et ainsi de suite.
04:57Par exemple, quelqu'un qui dit à Maudou Gueye.
05:01Il veut dire qu'il est venu au report.
05:05Des trois personnes.
05:08Mais il est venu à la perforation vitérale.
05:10D'un point de vue de la personne.
05:11Il est venu au mur.
05:15Il ne peut pas le garder.
05:17Il ne peut pas le garder.
05:18Il faut attendre.
05:20Quand Maudou Gueye est venu à la paix.
05:22Maudou Gueye, il est orphelin.
05:23De père et de mère.
05:24Maudou Gueye, il est orphelin de père et de mère.
05:28C'est une situation comme ça qui n'a pas eu lieu.
05:34Maintenant, nous avons pris la loi d'Amnesty,
05:39nous n'avons qu'une loi d'Amnesty.
05:43On était prêts à voter cette loi,
05:46mais à une condition,
05:48que tout ce qui est crime de sang,
05:50je le dis comme ça,
05:51c'est un jargon que l'on utilise,
05:53mais un acte de tortilier,
05:54on ne l'aurait pas.
05:56Nous devons être en conformité
06:01avec les conventions internationales
06:03que nous avons signées.
06:05Par rapport à les actes de tortilier,
06:08nous devons l'erreur aussi.
06:11C'est une loi d'interprétative,
06:13et les gens le savent.
06:15C'est une loi d'interprétative.
06:17Nous devons aller dans le plateau
06:21et faire ces conférences de presse
06:23qui ont modifié la loi.
06:26Malgré votre ambition
06:28et le souhait,
06:29vous devriez faire
06:30ce que vous avez arrangé.
06:32Vous l'arrangez,
06:33vous l'avez arrangé,
06:34vous l'avez arrangé.
06:35Il n'y a rien.
06:36Il n'y a rien.
06:37Il n'y a rien.
06:38Il n'y a rien.
06:39Il n'y a rien.
06:40Il n'y a rien.
06:42Il n'y a rien.
06:43Il n'y a rien.
06:45C'est une question qu'on a fait.
06:47Non, n'y a rien.
06:48Il n'y a rien.
06:49Il n'y a rien.
06:50Il n'y a rien.
06:51Il n'y a rien.
06:52Il ne s'est pas passé.
06:54Il n'y a rien.
06:56Il n'y a rien.
06:58Une personne n'est pas pensé.
06:59Mais, quand vous êtes dans la France,
07:02les petites lianes sont décédées.
07:04Il a pris de 5000 et quelques brigades de police.
07:10C'est la même chose, la France a repris son souffle.
07:15Le Sénégal préfère reprendre son souffle.
07:19Si quelqu'un a des enfants, il n'y a pas de vie.
07:23Mais si quelqu'un n'a pas de vie, il n'y a pas de vie.
07:27Qui est le tabac?
07:30Qui est le tabac?
07:33Qui est le tabac?
07:36Qui est le tabac?
07:39Qui est le tabac?
07:41Il faut qu'il y ait la vérité sur la table.
07:50Il faut qu'on ait la justice sur la table pour qu'un homme politique,
07:55et ses ambitions,
07:57et qu'il n'y ait pas de vie,
07:59et qu'il n'y ait pas de vie.
08:03Malgré tout, vous votiez.
08:05Vous avez aussi la suite non inscrite,
08:07opposition toujours,
08:08de poser recours auprès du Conseil constitutionnel.
08:11C'est ce que j'ai dit sur les incohérences.
08:14Ils n'avaient pas de vie à la loi.
08:18Ils ont dit,
08:19ils n'avaient pas de vie à l'âge,
08:20ils n'avaient pas de vie à l'âge,
08:21ils n'avaient pas de vie à l'âge.
08:23Ils n'avaient pas de vie à l'âge.
08:25Ils n'avaient pas de vie à l'âge.
08:27Ils n'avaient pas de vie à l'âge.
08:28Certaines parties de la société civile aussi.
08:32La société civile n'a pas compris.
08:34La société civile,
08:35ils n'ont rien compris.
08:36La société civile,
08:37pour moi,
08:38ils ont un agenda personnel.
08:40Si une situation,
08:41ils ont un partenaire,
08:42ils ont un partenaire.
08:44et ils ont dit leur piece de vie.
08:45Ils ont dit,
08:46on va dire ce qu'ils veulent les faire.
08:48Ils ont dit qu'ils sont toujours à l'âge.
08:51Je n'ai jamais dit qu'ils ne sont pas d'incorporation.
08:53Où ils ont dit qu'ils sont d'accord
08:55par la loi interprétative.
08:57Nous devons également les confワiller,
08:59d'accepter,
09:01pour les conserver.
09:03C'est le point de dire.
09:05C'est vainque.
09:07J'ai l'impression,
09:09et j'ai le mal,
09:11C'est-à-dire que ces groupes qui se forment pour des intérêts communs ont dit qu'ils sont pour Réoumi, pour Sénégalais, pour Askan.
09:26Alors que quelque part ils cherchent à montrer à des partenaires, à des juin-dénieurs, qu'ils sont sur leurs droits.
09:35Je l'ai vu. Et c'est de la pire manipulation. Et c'est ce qu'on a fait pour les Sénégalais.
09:43Tout ce qu'on a fait, si on l'a fait avec l'Akolaï Tala, c'est-à-dire qu'on est nous.
09:50Nous, on est nous.
09:52C'est-à-dire qu'on a fait l'Akolaï Tala, la présidence, la majorité de l'Assemblée nationale.
10:03C'est-à-dire qu'on a fait avec l'Akolaï Tala.
10:05Le président de la République a une question qui a dit.
10:12Il a raison. Il n'est pas dans l'accumulation. Il a une mission claire dans sa tête.
10:20C'est de servir le Sénégal.
10:23Et j'ai l'encouragé.
10:26Je l'ai dit.
10:28Je l'ai dit.
10:30Je l'ai dit.
10:31Je l'ai dit.
10:32Je l'ai dit.
10:34Si on est en train de faire avec l'Akolaï Tala, Dieu est en train de faire avec l'Akolaï Tala.
10:39Parce que si on ne réussit pas après, qu'est-ce que ça va devenir pour nous ?
10:44Et là, on est en train de faire avec l'Akolaï Tala.
10:48Et maintenant, on est en train de réussir.
10:51Je l'ai dit ici.
10:52Tu sais pourquoi j'ai dit qu'on est en train de réussir.
10:55Mais si on n'a pas d'enfants, il n'y a pas d'enfants.
10:59Il n'y a pas d'enfants.
11:01Mais quand il y a des enfants, il y a des enfants.
11:05Il n'y a pas d'enfants.
11:07Il n'y a pas d'enfants.
11:11Il n'y a pas d'enfants.
11:26Ils vont y aller avec méthode, avec organisation.
11:35Ils vont y aller en respectant ces 4 piliers là.
11:38Ils vont y aller avec disponibilité, humilité, compétence et honneur.
11:45D'accord.
11:46Alors, le Président d'Aripli est sorti le 3 avril.

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