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00:00Samir Saar, Foum-Tol.
00:02Donc, nous allons aller à deux points.
00:05Parce qu'on a vu le front et l'opposition.
00:09On a vu le front et l'opposition.
00:11On a vu le FDR.
00:12On a vu la sortie.
00:14On a vu le dialogue avec le président Woté.
00:17Oui, on a vu le dialogue.
00:20Mais ce que tu disais, c'est le dialogue.
00:22Il est venu avec Khalifa Babakar Salle.
00:24Il est coordonné le FDR.
00:27Il n'a pas de cadeaux.
00:29Il était absent.
00:32Oui, on a vu le cadeau.
00:34Mais il est venu en cadeaux.
00:36Mais il est venu au cadeau.
00:38Il est venu au modérateur.
00:39Il est venu au cadeau de la famille.
00:41Il l'a vu sur le cadeau de Lamai Khochi.
00:45Mais elle a vu son cadeau sur le cadeau de Ramai Khochi.
00:49Il est venu au cadeau de Lamai Khochi.
00:51Ce que nous avons vu avec les deux points de la famille.
00:55Des deux points de la famille.
00:57C'est ce qu'on a fait, il y a beaucoup de gens qui ont été bloqués.
01:02Le premier ministre, le Président, a dit qu'il veut un premier ministre super fort.
01:07Il a dit qu'il n'y a pas d'accord parce qu'il peut aller voir ce qui est le Président d'Aribe.
01:13Et qu'il n'y a pas d'accord pour le Sénégalais.
01:15Il a dit qu'il n'y a pas d'accord avec le Président d'Aribe.
01:18Il n'y a pas d'accord avec le Président d'Aribe.
01:23Il est évident, il n'y a pas d'accord avec le Président.
01:28Le Président va nous faire jouer à l'incapacité, mais il est en train d'écrire.
01:33Le président n'a pas de croire à la carrémentaire.
01:36On ne peut pas avoir ces deux réactions, et on peut faire une nouvelle expérience.
01:40Il a dit que le Président a dit qu'il a pu faire des uns de théorie.
01:46Et un peu de ce qui était positif et dans son sens, il a fait un révisionnement.
01:52Mais ils ont fait une révision dans la cote électorale,
01:56ils ont fait une révision pour la relation et la relation,
01:58la opposition et le pouvoir.
02:00Et à ce moment, il y a des points sur lesquels qui nous ont dit qu'il allait être d'un point de vue.
02:06Ils ont fait attention à ceux qui ont dit que le ministère de l'Intérieur
02:09ont été faisant l'élection à l'élection législative,
02:11et qu'ils ne lèvent pas.
02:14Ils ont dit que le seul point d'être de l'élection de son dégâts.
02:19Il n'a pas été en train de faire la prise de la presse.
02:23Il n'a pas été accepté de l'appli pour que le Président de la République soit le plus important.
02:31Il n'a pas été accepté de la prise de la prise de la prise de la prise de la prise.
02:39D'ailleurs, ce qu'on a dit, c'est que l'on a parlé dans l'abrévision,
02:45qu'on a vu qu'on a déjà vu ce qu'il a fait en arrière.
02:50Qu'est-ce qu'on a dit?
02:52Oui, il a fait en arrière avec l'avion, il est bien.
02:55Oui, quand on a vu les gens...
02:57On a vu les gens financiers.
02:59Oui, quand on a vu les gens,
03:02ce qu'on a voulu éviter le président de la République,
03:05c'est ce qu'on a fait.
03:07Alors nous avons vu qu'on a dit premier ministre de l'importance,
03:12mais nous avons vu que notre conférence de presse soit le premier ministre
03:16tout ça, nous avons dit au premier ministre,
03:18mais il ne s'agit pas de ça.
03:20Parce que, quand on regarde les conférences de presse,
03:21tout ce qui nous a dit,
03:23essentiellement, nous avons peur de l'éloir au premier ministre.
03:27Donc, ça a dit que c'est un premier ministre.
03:29Donc, il y a des gens,
03:30parce qu'ils ont déjà dit qu'ils ont dit qu'il y a des choses,
03:33Parce que d'ailleurs, il y a des choses qui sont dans la réalité que nous vivons.
03:40En fait, il y a des thèmes de référence.
03:46Les thèmes de référence, ce que le président Diamaïa dit, c'est qu'ils ne sont pas concernés les partis politiques.
03:55Ils peuvent aussi envoyer leurs propositions sur les thèmes de référence.
03:59Donc je pense que ce sera une occasion pour nous de parler de ce qu'on veut dire.
04:04Mais, ce qu'on peut aussi savoir, c'est qu'il n'est pas question de changement de régime.
04:10Le président de la République, qui est le président de la République, est le président de la République.
04:14Nous sommes dans un régime parlementaire qui est le premier ministre.
04:20Nous sommes dans le premier ministre.
04:22Donc, je ne sais pas comment nous sommes.
04:25C'est vrai, il n'y a pas de modification de la République.
04:31Parce que le président de la République a été dérangé.
04:34Mais, il faut aussi déranger le peuple, il n'y a rien.
04:39Il n'y a rien de problème.
04:40Parce que, si nous pensions aussi, nous n'avons pas d'élection présidentielle.
04:45Nous n'avons pas d'élection.
04:47Nous n'avons pas d'élection.
04:48Mais, nous n'avons pas d'élection.
04:49Nous n'avons pas d'élection.
04:50N'avons pas d'élection.
04:51Et, nous n'avons pas d'élection.
04:52Pour nous, nous n'avons pas d'élection.
04:53Les dialogues ont été orientées à la purpose.
04:56Nous n'avons pas d'élection.
04:58mais faire aussi d'une exclure et le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le
05:28le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le le
05:58Il n'y a pas de recueil, il n'y a pas de recueil parce que c'était visé, c'était cousu de fil blanc.
06:06En 2024, il n'y a pas de recueil.
06:13C'est la réalité politique, c'est la légitimité.
06:17Et c'est ce que le président de la république l'a compris.
06:21Il n'y a pas de recueil, il n'y a pas de recueil.
06:27Parce que c'est le Sénégalais, mais c'est la légitimité politique.
06:34Et puis, les campagnes ont dit qu'il n'y avait pas de recueil.
06:39C'est ce qu'on avait dit.
06:40C'était un débat au vice-président.
06:43Donc, le premier ministre n'a pas de recueil.
06:48J'ai vu ce qu'il a fait à l'accord de la Constitution.
06:52C'est le premier ministre qui a appelé the воufs émplât civiles et militaires.
06:55Je ne sais pas.
06:57Je ne sais pas.
06:58Je ne sais pas le premier ministre qui a appelé le conseil de sécurité.
07:00Je ne sais pas.
07:01Je ne sais pas le premier ministre qui a appelé le conseil des milices.
07:05Il a fait tous les même crédits au palais.
07:08Je ne sais pas si le premier ministre a fait la Constitution.
07:11Mais je vois que le premier ministre, le président de la république, il y a tout.
07:15Il a beau être présidentiel après l'arrière de la Réunion présidentielle, il m'a donné que celui-là à président Makissal.
07:21Il m'a donné que l'avion présidentielle pendant 12 ans mais je m'a donné au préalable.
07:29Je l'ai fait pour l'avion à ce soir, mais ce n'est qu'il l'a donné aussi d'un premier ministre qui lui apprend.
07:36C'est ce qu'on a fait, on a vu Alessane Ouattara, on a réglé les problèmes de ce qu'on connaît.
07:44Donc, fondamentalement, le débat n'est pas à ce niveau-là.
07:49Ce qui est important c'est que le pacte de sénégalais avec le Président Diamaï,
07:54les Sénégalais sont contents de se voir avec eux.
07:57Si les Sénégalais condamnent, si les élections ont été,
08:01les Sénégalais ont des moyens pour qu'ils soient contents.
08:04Mais les Sénégalais ont tous dérangé.
08:07La personne qui pourrait dire que le Président Diamaï a fait la justice.
08:13Il faut que les élections ont été dérangés.
08:15Mais elle a dit que le Président Diamaï a dit que le Président Diamaï est dit que si on a pris la décision de le Président,
08:21on a dit qu'il s'agissait.
08:22Alors maintenant, si on a eu l'élection,
08:24les Sénégalais ont été...
08:26C'est vrai que l'élection est anticipée, c'est-à-dire que l'élection s'est faite et que l'on veut dire une bonne fois pour tout ça.
08:34Je ne vois pas, mais à quoi on pouvait s'attendre ?
08:39Est-ce qu'on pouvait s'attendre au contraire ?
08:42Tu sais que tu es un Sénégalais, un Sénégalais du top sur la politique.
08:46Tu es un maire, un député, un présidentiel, un président de la République.
08:51Mais maintenant, le président de la République, c'est le président de la République.
08:55Mais c'est-à-dire qu'il y a une législative, il y a une majorité à l'Assemblée nationale,
09:00et qu'on a dit qu'il y a une légitimité politique.
09:05Donc, il y a une légitimité politique, mais il ne peut pas s'attendre.
09:10Il ne peut pas s'attendre si on a fait un acte.
09:14Donc, quand on a discuté en juin 2023, nous devons prévoir le cas de figure.
09:20Il y a une légitimité politique, parce qu'il y a une légitimité politique.
09:25Donc, ce débat ne serait pas posé, mais là, comme nous avons discuté en juin 2023,
09:30c'est qu'il y a une légitimité politique, parce qu'il y a une légitimité politique.
09:37Donc, ce débat ne serait pas posé, mais là, comme nous avons discuté en juin 2023,
09:44c'est qu'il y a une légitimité politique en 2024.
09:46Mais comme il y a une légitimité politique, il y a une légitimité politique.
09:49Il y a une légitimité politique.
09:51Il y a une légitimité politique.
10:01Il y a une légitimité politique.
10:03Il y a un député de l'ensemble des exécutifs.
10:13qui est le député de l'ensemble et les exécutifs locaux et les autres.
10:17Donc, cela peut nous parler de quelqu'un sur qui.
10:21Après, nous avons dit qu'il n'y a pas de gracieux,
10:23même si tu es frappé d'inéligibilité,
10:27et qu'il n'y a pas de président de la République gracieux,
10:29grâce à ce qu'on peut faire dans toutes les élections.
10:33Mais l'article L57, c'est celui du corps électoral,
10:36parce qu'on a dit qu'il faut être électoral pour être éligible.
10:43C'est ce qui aurait réglé le problème.
10:45Mais c'est ce que nous avons fait,
10:46parce qu'il n'y a pas d'argent,
10:48il n'y a pas de question en 2024.
10:51Donc, c'est ce qu'on a fait.
10:53Il y a aussi bien, mais il y a aussi des choses.
10:56Alors, Babakar Kebé, le dialogue avec le président Djonjou,
11:00ce qu'on a fixé,
11:02est-ce qu'il va dépasser les réponses de l'opposition?
11:07Oui, par rapport au rapport de ce qu'on a dit,
11:12je devrais parler de Djalog,
11:14tout le monde.
11:15Ce n'est pas le président Makissar.
11:18Il n'y a que le président Makissar,
11:20il n'y avait pas à dire que Djalog n'était pas à propos de Djalog.
11:23C'est un terme de référence.
11:25C'est tout ce que je les ai dit.
11:26C'était un truc.
11:27C'est tout ce que je voulais dire.
11:29C'est tout ce que j'ai dit.
11:31C'est ce que j'ai dit.
11:33C'est ce que j'ai dit.
11:35C'est ce que j'ai dit.
11:37C'est ce que j'ai dit.
11:39Dans l'ensemble, j'ai eu un objectif.
11:43L'objectif c'était bien avant même que le dialogue.
11:45Donc en termes de dialogue aujourd'hui,
11:47je pense que le plus important est que
11:49nous savons qu'il y a beaucoup de choses à revisiter.
11:53La cote électorale, il y a beaucoup de choses à revisiter.
11:55C'est ce que j'ai dit pour moi aussi.
11:59Même aujourd'hui,
12:01nous devons réfléchir à la cote électorale.
12:03Même si nous sommes dans la cote électorale,
12:05nous devons réfléchir à l'élection.
12:07Mais si tu peux imaginer,
12:09si tu n'as pas de leçon,
12:11on ouvre des opportunités pour te participer.
12:13En 2025,
12:15on ouvre des opportunités pour te participer.
12:17Comme tu n'as pas dit,
12:19tu n'as pas dit qu'il n'y a pas de casse.
12:21Après, tu n'as pas dit qu'il n'y a pas.
12:23Si tu n'as pas de point de presse,
12:25tu n'as pas de point de presse.
12:27Le point de presse qui nous a fait,
12:29je me suis dit,
12:31ap la sénégale,
12:33à quel point nous avons pu tirer.
12:35Il est allé à ce qu'ils vont venir à l'invitaire,
12:37parler à mon président ou leur soin de la politique.
12:39Il n'y a pas d'autre chose.
12:41Il n'a pas d'autre chose.
12:43On a fait le plus important de savoir ce qu'on a ici.
12:45Oui, on a fait le plus important de savoir ce qu'on a ici.
12:47Et si on le compare avec ce qu'on a ici, personne ne peut le le citer.
12:51Moi, en tant que les gens alertés,
12:53ce qui est le plus important est que le rapport des comptes est le plus important.
12:57Vous n'avez pas le rapport.
12:59Et vous ne savez pas ce qu'il y a ici.
13:01Mais on a fait le plus important de savoir ce qu'on a ici.
13:03Il est dans le sens.
13:05Il est dans le rapport.
13:07Il est dans l'obligation de se montrer différemment par rapport à ce qu'on a ici.
13:15Il n'y a pas besoin d'être dans des dialogues.
13:17Tu as l'objectif d'aller dans des dialogues.
13:19Et ce qu'ils promettent, c'est qu'il n'y a pas besoin.
13:22Donc, il doit y avoir une logique de transparence.
13:25Il faut permettre à tous les Sénégalais qu'ils puissent s'assurer.
13:28Et qu'ils puissent s'assurer le sens politique.
13:30Au lieu de viser le sens politique, il faut qu'ils puissent s'assurer.
13:34Et qu'ils puissent s'assurer.
13:35Moi, on a eu ce qu'on a dit.
13:38Et Djalog, il est passé.
13:39Djalog, on est dans la société civile.
13:40On a invité à partir de Djalog.
13:43Ils sont dans la société civile.
13:44On a choisi.
13:45C'est comme ça.
13:46Exactement.
13:47Imaginez Djalog, comme Amé Solon.
13:49Djalog, la société civile, le rôle de l'article.
13:51Il faut faire attention à l'article pour qu'on arranger.
13:55Et puis, Djalog, on doit être dans la politique.
13:58Au même moment, tu as le rapport à Djalog.
14:00Il a des fans qui peuvent faire attention.
14:02Pour moi, il faut que les Sénégalais,
14:05il faut être inclusif.
14:06Tout le monde est venu.
14:07Personne qui est dit qu'il faut qu'ils puissent s'assurer.
14:11Il faut qu'ils puissent s'assurer sur la table.
14:12Ils peuvent les s'assurer.
14:14Parce qu'il faut qu'ils puissent avoir une participation.
14:16Et c'est pour ça qu'ils puissent être inclusif.
14:19Parce qu'aujourd'hui, autant qu'ils puissent s'assurer,
14:21autant qu'ils puissent s'assurer,
14:22autant qu'ils puissent s'assurer.
14:24Aujourd'hui, nous pouvons développer le Sénégal.
14:26Et dans le secteur privé, nous ne pouvons pas jouer.
14:29Les politiques ne peuvent pas jouer.
14:31Les politiques ne peuvent pas jouer.
14:33Les politiques ne peuvent pas jouer.
14:35après tout, je ne peux pas lui dire que l'ensemble de l'ensemble.
14:39Mais il ne faut pas que les politiques,
14:41comme nous voulons faire,
14:42rajouter les deux tribulations de la Japonienne
14:44et qu'ils puissent Every.
14:46Il ne faut pas qu'ils puissent tomber,
14:47ni la pièce.
14:48Il faut que ceux soient cohérents
14:50avec la promesse qu'ils puissent s'assurer.
14:52On ne les mettrai trop de valeur dans les politiques
14:55Car c'est une douce.
14:56Mais on ne peut qu'il inclure que la Sénégal
14:58qu'ils puissent s'assurer.
15:01C'est comme le président de l'État, c'est-à-dire qu'ils sont venus à la peinture.
15:06Oui, c'est une obligation.
15:07Mais ce qu'ils veulent faire, c'est qu'ils sont venus comme un genre de forfaiture.
15:12C'est-à-dire, dans le cadre des termes de référence, c'est vrai.
15:15Ils doivent faire des propositions, et c'est comme ça.
15:17L'opposition doit faire des propositions.
15:19Mais il n'y a pas d'application.
15:21Si on n'a pas d'application de la politique,
15:23nous savons que les politiques sont les mêmes,
15:25parce que c'est pour les Sénégalais.
15:27Et les Sénégalais ne font pas la politique.
15:29Et les autres, nous ne le faisons pas.
15:31Donc, la politique, elle ne le laisse pas.
15:33Mais elle ne le dévite pas.
15:35Quelle est-elle?
15:37Ousmane Sonko, qui est un homme et qui est un homme,
15:41et qui est un homme et qui est un homme et qui est un homme.
15:45Est-ce que vous avez des problèmes ou personne?
15:49Non, nous avons des problèmes.
15:51Nous avons des problèmes.
15:53Parce que sans ce que Mohamed dit,
15:55c'est que tout le monde a des problèmes.
15:57Ousmane Sonko a des problèmes.
15:59Mais pourquoi il doit être un problème?
16:01On l'a dit à l'élection présidentielle,
16:03quand vous avez vu une photo d'Ousmane Sonko,
16:05c'est un bulletin qui n'a pas de bâtré de la campagne.
16:09C'est parce qu'il y a des batteries de la campagne.
16:11Si on l'a dit,
16:13les Sénégalais n'ont pas d'application.
16:15Mais ils sont des Sénégalais,
16:17les Sénégalais n'ont pas d'application.
16:19On l'a dit à N'Homam et à N'Homam.
16:21Qui?
16:22Elle est opposée.
16:24Pourquoi on l'a dit à N'Homam?
16:26Oui, on l'a dit à N'Homam.
16:28Et en vrai,
16:30il n'a pas de valeur,
16:32mais elle n'a pas de valeur.
16:33La condition est là.
16:33Qu'est-ce que tu n'as pas d'homam?
16:35Mais c'est N'Homam mais un interlocuteur.
16:38C'est pourquoi ils ont répondu à ce qu'il y a.
16:40Ils ont fait des problèmes de travail. Si on l'a dit à tout ça, on l'a dit à tout ça.
16:47Et ils les disent à tout ça.
16:50Quelle contradiction.
16:51Si vous ne l'avez pas fait, on ne peut pas parler de ça.
16:56Si on l'a dit à tous les amis, comment est-ce que vous avez besoin de votre crédit ?
17:00Quand on s'est rendu à l'article 254 de l'Offense au chef de l'Etat, on s'est rendu à Ousmane Sonko.
17:11On a vu qu'on s'est rendu compte de l'article 254 de l'Offense au chef de l'Etat, on s'est rendu à Ousmane Sonko.
17:24L'article 254 de l'Offense est rendu compte de l'article 254.
17:38Je suis rendu compte que l'on se rend compte de l'article 254.
17:46Il n'y a pas de gâte à gâte, il n'y a qu'un président de la République.
17:50Mais le président est l'institution.
17:52Le président est l'institution, donc c'est l'exécutif dans son ensemble, je veux dire.
17:55Et le premier ministre, tu l'as beaucoup.
17:57Parce qu'il exerçait une partie des pouvoirs du président de la République.
18:00Mais si on parle de quelqu'un qui a offensé,
18:03une personne qui exerce une partie des pouvoirs du président de la République.
18:06Mais comme je le disais, il y a beaucoup d'autres personnes qui ont dit le premier ministre de la République.
18:10Il n'y avait pas d'autres personnes qui ont dit le président de la République.
18:13Il n'y a qu'à plus de choses qui ont dit le plateau contre le premier ministre de la République.
18:16Quelqu'un a dit le premier ministre de la République.
18:19C'est normalement car il ne pouvait pas l'appliquer de 254 codes pénales.
18:24Ce n'est pas automatiquement.
18:26Et je n'ai pas eu de fil.
18:28Mais j'ai aussi du coup au sujet de la caméra.
18:31Elle a dit que c'était un dégât.
18:33Mais c'est quelqu'un qui a dit le premier ministre.
18:36D'accord.
18:37Si on le dit, il n'y a pas de dire que le président, le Premier ministre, il n'y a pas de dire que le Premier ministre n'est pas aussi automatique.
18:48Mais comme opposition, ils peuvent avoir leurs arguments.
18:52Parce que le gouvernement peut aussi avoir des arguments à l'opposition.
19:06Il faut avoir des arguments à l'opposition, après ils mettent mal à l'aise, et ils peuvent aussi incarner la justice.
19:13Pour ça, ils ne devaient pas être les hommes, ils ne devaient pas les hommes, ils ne devaient pas les hommes.
19:18Parce qu'ils ne devaient pas les hommes, après les opposants, ils ne devaient pas les deux mesures.
19:22Je pense que c'est à éviter.
19:24A chaque fois, quand ils ont entendu le mot, ils ont des difficultés, ils peuvent dire qu'ils ne le disent pas,
19:30Ils ne devaient pas les hommes, ils ne le disent pas, ils ne le disent pas.
19:35Ils ne devaient pas le dire.
19:37Ils devaient pas le dire, parce qu'ils ne devaient pas parler de la justice.
19:39Non, mais la correction, c'est pas une erreur que vous ne deviez pas jouer.
19:43C'est ce que j'ai fait pour que je n'y ait pas d'argent pour que je n'y ait pas d'argent.
19:50C'est-à-dire, pour construire que les Sénégalais, leurs enfants, ne pensent pas qu'il n'y ait pas d'impunité d'affaires.
19:56Quelqu'un soit le rang, on doit continuer.
20:01C'est-à-dire qu'il n'y a qu'à personne qui puisse faire quelque chose,
20:05qu'il n'y ait pas d'argent, qu'il n'y ait pas d'argent, qu'il n'y ait pas d'argent.
20:10Il n'y a pas d'argent, mais il n'y a pas d'argent.
20:13Parfois, pour comprendre leur cohérence, c'est tout un problème.
20:17C'est tout un problème qu'il n'y ait pas d'argent.
20:21Mais ce qui est le plus important, c'est qu'ils permettent aux Sénégalais,
20:24qu'il n'y ait pas d'impunité d'affaires.
20:28Ils n'ont pas le droit d'affaire.
20:30Parce qu'ils devraient leur équité de justice.
20:34Il n'y a pas d'argent, mais il n'y a pas d'argent.
20:38Il n'y a pas d'argent, et il n'y a pas d'argent.
20:41Il n'y a pas d'argent.
20:44Mais parce qu'il n'y a pas d'argent, il n'y a pas d'argent.
20:48Donc, aujourd'hui, c'est que le pays sera le plus important.
20:51Il est obligatoire avec lui.
20:53Si tu ne l'as pas vu, c'est la vérité.
20:55Je ne sais pas.
20:58Le président, est-ce que vous étiez toujours en train de parler,
21:00c'était le président?
21:01Mais ça, c'est qu'ils sont par là.
21:03Ça, c'est qu'ils étaient réellement.
21:05Ils ont été réellement en train de parler.
21:06Parce que les boycotts ne sont pas forcément des portes à l'Efri,
21:11surtout quand on n'a pas l'égitimité.
21:14Légitimité.
21:15Ousmane Soungo a boycotté des dialogues parce qu'il y a des choses.
21:21Quand il y a des choses, il y a des choses.
21:24Si le président Maksal a eu des intérêts politiques ou il y a des choses, il y a des choses.
21:31Il y a des gens qui boycottent des dialogues nationales et qui vont à des dialogues politiques.
21:36Parce qu'ils ont dit que les dialogues nationales ont des commissions.
21:39Ils ont dit que les dialogues nationales ont été représentées.
21:45Mais si on a fait la politique de la chaise vide, il y a des décisions qu'il y a des choses.
21:57Parce qu'il n'y a pas moyen de contrecarrer cela.
22:00Ce n'est pas possible.
22:02Mais regarde Ousmane Soungo.
22:04Le président Maksal a dit qu'il n'y a pas d'accord sur les trois points de dialogue ou de discussion.
22:15Il n'y a pas d'accord.
22:17Mais au moins, il n'y a pas d'accord.
22:21Il n'y a pas d'accord.
22:23Mais d'accord.
22:24Selon les Auxmane Soungo quand il a dit une conférence de presse, le président Maksal qu'a dit qu'il n'y a pas d'accord.
22:36Il n'y a pas d'accord.
22:37Il n'y a pas d'accord.
22:39Comment il n'y a pas d'accord.
22:41Et maintenant, lorsqu'on s'en pense, le président Maksal est une réunion.
22:46Rémi m'a fait perdre.
22:48Mais c'est un peu d'élections.
22:52Mais il est très apaisant.
22:54Quand ils ont eu des élections,
22:56les élections sont plus paisibles.
22:58Après, ils ont eu des réactions.
23:00Ils ont eu des réactions.
23:02Donc, pour dire que
23:04si vous avez une situation,
23:06vous n'avez pas eu une fois.
23:08Vous n'avez pas eu une fois.
23:10Vous avez eu deux défaites.
23:12Présidentiel, législatif.
23:14Si on veut,
23:16si on veut engager les combats,
23:18c'est un peu compliqué.
23:20Je pense que c'est ça.
23:22Si on veut,
23:24c'est une légitimité.
23:26Pour moi, il faut qu'on prenne le temps.
23:28Dans l'opposition,
23:30je pense qu'on doit avoir un niveau
23:32qu'on doit faire.
23:34Mais ce n'est qu'à ce moment-là,
23:36quand tu perds les filles,
23:38c'est qu'on ne sait pas.
23:40La reconstruction et la reconsidération
23:42sa partie avec sa personnalité politique.
23:44au sein même du parti.
23:46Il y a pas mal de désaccord
23:48au sein de ces partis politiques-là.
23:50Il y a des malaises profondes
23:52qui sont au sein de ces partis politiques-là.
23:54Il faut prendre le temps
23:56d'être déferré.
23:58pour que le parti de ces partis politiques-là
24:00n'ont pas de problème.
24:02Il y a des problèmes.
24:04Il y a des problèmes.
24:06Il y a des problèmes.
24:08Il y a des problèmes.
24:10Et nous avons des lokomotives.
24:12Il y a des problèmes.
24:14Il y a des problèmes.
24:16On est dans deux ans pour l'élection locale.
24:18On est dans deux ans pour l'élection locale.
24:20On est dans deux ans pour l'élection présidentielle.
24:22Il y a des problèmes.
24:24Il y a des problèmes.
24:26Il y a des problèmes.
24:28Et il y a des problèmes.
24:29Mme, que l'opposition ne le veut pas,
24:31que l'opposition veut tout le monde,
24:32que l'apposition vaut qu'il faut.
24:34Mais, il y a eu une réforme.
24:37Malheureusement, il sera une réforme.
24:40Entre l'opposition, il n'a pas un choix.
24:42Il n'y a pas.
24:43Lors du président, il n'y a pas un choix.
24:45Mais il n'y a pas de problème.
24:46C'est lui qui s'est arrêté.
24:47Il n'y a toujours pas de réforme.
24:49Parce que il y a 54 %.
24:53Son Premier ministre s'il y a de légitimité.
24:56Si vous êtes dans la réforme, il n'y a pas d'adhésion populaire massive.
25:01Mais nous devons être basé sur leur popularité et imposer aussi.
25:06Oui, c'est ce que vous parlez.
25:08Si vous parlez, vous avez l'impression d'imposer.
25:11Si vous faites une décision unilatérale,
25:13vous allez aller à l'Assemblée nationale avec sa majorité,
25:15vous avez l'impression d'imposer.
25:18Si vous parlez de la décision,
25:20le principe de la décision est un peu plus important.
25:23Si vous parlez de la décision,
25:25le président va être appliqué.
25:27Si vous parlez de la décision, le président est étranger.
25:29Donc, madame, le président est un peu plus important.
25:32Parce que la loi passif des d'accord,
25:34ça va dire que politiquement, c'est la loi passif.
25:36Bien sûr.
25:37Nous sommes d'accord, nous sommes présidents d'étrangers,
25:39président d'étrangers en défaveur de ses intérêts politiques.
25:43Donc, cela nous mérite.
25:45Mais nous allons parler de la décision.
25:47Le président est un dialogue politique.
25:52Ce qui est un dialogue politique.
25:54Mais, ce qui est un dialogue politique.
25:56Et le 21 mai,
26:00le président Meksal a été le choix du président.
26:02Mais, c'est le choix du président.
26:04Je ne sais pas ce qu'il faut.
26:07Parce qu'il ne peut pas engager des réformes majeures.
26:10Mais, c'est une révision des codes électoraux.
26:13Oui.
26:14Vous ne pouvez pas engager des réformes majeures,
26:16La constitution est la même chose.
26:20C'est vrai que nous avons travaillé avec la religion, mais c'est la même chose.
26:23C'est la même chose, c'est la même chose.
26:25Même si nous avons des interprétations sur l'homme ici,
26:28ce qui me permet d'avoir beaucoup de temps pour nous parler,
26:31nous devons beaucoup de sénégalais en faire les choses.
26:33Nous devons prendre la religion par rapport à cela.
26:36Mais nous devons parler de cela.
26:38Nous devons comprendre les choses.
26:41Nous devons comprendre les choses.
26:43Après, tu as fait la réponse.
26:45Alors, ça a été fait pour nous.
26:49Lata a été fait pour nous.
26:53Nous avons fait la réponse à l'invité.
26:55Tout de suite, nous avons fait la réponse.
26:59Marc Kepoos a été fait pour nous.
27:01Il est très important pour nous.
27:03Vous savez, il y a une bonne réaction.