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Transcription
00:00As-salamu alayoukoum, Monsieur le Président de la République,
00:21Mesdames, Messieurs les personnalités de tous ordres et de tous grades,
00:25ici présentes, beaucoup d'entre vous se demandent sans doute pourquoi Moustapha Nios.
00:36Cet homme était mon ami pendant des décennies, et je l'ai appelé le grand petit frère.
00:44Quand j'étais malade, mi-février, mi-mars en France, il était malade à Genève.
00:50Nous sommes rentrés presque en même temps.
00:52Nous nous voyions régulièrement, presque chaque mois, deux fois.
01:00Je lui faisais une confiance totale, et la réciproque était vraie en ce qui le concerne vis-à-vis de ma modeste personne.
01:08J'ai perdu un frère.
01:11J'ai perdu un frère, qui l'aime.
01:13Je lui ai dit que mon mari est venu se faire, mais je ne lui ai fait pas.
01:16Je lui ai dit que mon ami se prendra et que mon ami se prendra bien.
01:20Je lui ai dit que je l'ai dit que mon ami est venu.
01:23Et mon ami est venu le numéro 1.
01:25Je lui ai dit qu'on ne le mette en même temps grâce à nosres et ses parables.
01:30C'était toujours pas ça, je lui ai dit que je lui ai dit que les filles n'ont pas des choses,
01:34c'est toujours ça.
01:35Merci beaucoup, M. le Président Moustapha Agnès.
02:00À présent, nous allons demander à son Excellence,
02:04M. le Président de la République, de prononcer quelques mots.
02:18On me demande d'attendre pour M. le Président de la République.
02:25Il y a M. Antoine Joseph, également, au nom de la famille,
02:28qui doit prendre la parole.
02:29Antoine Joseph Diop.
02:29Sous-titrage Société Radio-Canada

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