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Germinal le samedi version avec Pascal manque texte avec son animaux

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😹
Amusant
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01:26Merci.
01:56Merci.
02:26Merci.
02:56Mesdames et Messieurs, nous vous souhaitons
03:25pour un nouveau spectacle.
03:55Merci.
03:56Merci.
03:57Monsieur Louis, vous avez pensé à la prime de sa dernière année ?
04:08Je sais bien, Noël, que cette année commerciale a été financièrement délicate.
04:13Oui, j'ai vu ça.
04:15Vous avez acheté votre Porsche au mois d'octobre ?
04:18Non, j'ai pas tout Noël.
04:19Cette Porsche est un cadeau de ma femme.
04:22Qui est actionnaire de la bisoufferie ?
04:24Ça suffit, maître Noël.
04:25Nous reparlerons de votre prime l'an prochain.
04:28J'avoue que celle-ci revocera énormément.
04:33Vous en pensez quoi ?
04:35Vous voilà la vie, madame Charlotte.
04:37Vous êtes si élégante que tout vous parle.
04:41Vous êtes un grand acteur, Monsieur Louis.
04:44Et mademoiselle, qu'en pensez-vous ?
04:47Faudrait une petite souci pour pas aimer.
04:49Moi, mon maître là, je l'accorde tout de suite.
04:52Et bien, lui sort le grand jeu toute à l'heure.
04:55Noël, surveillez votre grand vocabulaire, je vous prie.
04:59Vous n'êtes pas avec vos amis ici, mais sur votre milieu de travail.
05:02On ne parle pas ainsi.
05:04À la maronne, Anne-Charlotte de Montaiguille.
05:08La vie que la vie.
05:12Qu'est-ce que vous, Noël ? Je ne peux plus vous entendre, vous avez compris ?
05:16Je ne connais pas cette terre.
05:18Enormie nos beautés.
05:20Sans doute, je ne connais pas non plus.
05:23Moi, femme, je me dis bien sûr que c'est que vous connaissez.
05:26Je vous ai entendu la chanter dans la réserve hier.
05:30Vous voulez-vous ici, madame Jean-Charlotte ?
05:32Je suis indécis.
05:34J'avoue que celle-ci m'attire énormément.
05:38Quel est son prix ?
05:40Elle est à 20 000 euros.
05:42Oui, il est peut-être 20 000 euros.
05:4420 000 euros, Anne.
05:46Je ne peux pas la prendre.
05:48Ça fout peu.
05:50Aujourd'hui, je ne joue pas des bijoux de fantaisie.
05:54Ah, ça fait cher la fantaisie.
05:56Noël, allez chercher dans la réserve d'autres modèles de bagues, s'il vous plaît.
06:01Quel est votre budget, chère ?
06:03Un limité, très chère.
06:06C'est Noël.
06:07Je fonctionne au coup de cœur.
06:09Peu importe le prix.
06:11Mon mari m'a gentiment prêté sa carte de gold en me disant de me faire plaisir.
06:17Je me dois de l'écouter.
06:19L'argent ne nous fait pas défaut, vous le savez.
06:23Mais si vous ne savez pas quoi en faire.
06:26Je vais vous donner un riz, moi.
06:28Ce sera bien, non, il n'y a pas de problème.
06:30Moi, je s'en réponds.
06:32Noël, je vous ai demandé quelque chose.
06:35Oui.
06:36Je vous prie de m'excuser pour le comportement que l'employé a chargé.
06:48J'essaie de lui indiquer une bonne manière, mais j'avoue que cela est un tantinet difficile.
06:54J'ai eu toutes les peines du monde à recruter.
06:57Tout le monde se fait un chômage et on ne trouve personne.
07:01Mais dans quel monde ?
07:03Vu y-t-on ?
07:07Dans quel monde ?
07:09Vu y-t-on ?
07:14Le peuple manifeste, se révolte, alors qu'il suffit de traverser la rue pour trouver un travail.
07:21Oh, les petites chambres, je crois que je ne les comprendrai jamais.
07:27Vous n'avez pas été trop embêté par les dernières manifestations, Monsieur Louis.
07:32Pas le moins du monde.
07:33Nous sommes dans un quartier chic et tranquille ici, extrêmement bien fréquenté.
07:38D'où votre présence, notamment vos établissements.
07:42Vous êtes un charmeur, Monsieur Louis.
07:46J'avoue que ces manifestations me détruisent.
07:49Cela dure depuis plus d'un mois.
07:52Les images que l'on nous montre à la télévision, le choc, ont du haut point.
07:57Mais que font les autorités ?
07:59Je n'ose même plus dire à mon chauffeur de sortir par l'Oscroix, c'est vous dit.
08:04Par peur des manifestants, j'ai demandé à Norbert, mon chauffeur,
08:09d'en prendre la Bugatti histoire de passer une aperçue.
08:14Vous ne traînez rien ici, le quartier d'un calme olympien.
08:24J'espère pour vous, car ce collier pourrait attirer des convoitifs.
08:30En effet, il est d'une valeur inestimable.
08:34Il m'a été prêté par le Maharaja du Iskistan, en remerciement d'avoir trouvé un bracelet qu'il cherchait depuis très longtemps pour son épouse.
08:45Cette merveille doit regayer dans son pays dans quelques jours.
08:50J'avoue que la présence de ce bijou dans ma boutique a attiré beaucoup de curieux et…
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09:02Je rêverais de le porter.
09:04Vous connaissez mon goût pour les belles choses, monsieur Louis.
09:08Il a un nom, ce côté ?
09:10Oui.
09:11Il s'appelle le nom, ça.
09:12Mais s'il n'est pas à vendre, il faudrait vous contenter de le regarder.
09:17Et sans vous vendre, monsieur, votre fortune ne suffirait pour la guérir.
09:24C'est frustrant.
09:25Je suis habituée à avoir tout ce que je désire.
09:29Et s'il était volé ?
09:31Ah ben, cela ne risque pas d'arriver.
09:33Le système anti-vol est député à fondement.
09:36Impossible de le dérouper.
09:38
09:56Qu'est-ce donc ?
09:58Ne me dites pas que ces barfares de manifestants sont arrivés dans les beaux quartiers.
10:04Mais n'ayez crainte.
10:06Je suis là pour vous défendre.
10:08Au péril de la vie sous le peau, pour la consacurité,
10:11je vais descendre dans le lit de la vitrine et dans la porte d'entrée.
10:16Oh !
10:18Oh !
10:19Mon Dieu, mais que se passe-t-il ?
10:21Mais remets-t-elle la lumière, monsieur Louis ?
10:23Je ne supporte pas l'obscurité.
10:25Et fermez-moi votre rideau !
10:27Je ne peux pas l'éclairmer.
10:29Un morceau de l'électricité.
10:31Ça c'est quoi, ce côté ?
10:33Vous n'avez plus de jus ?
10:36C'est quand même vite, j'ai vite au Noël.
10:38Oui, oui, oui, oui.
10:40Faut tourner le bouton à droite, hein ?
10:42Non ! Attends !
10:43J'attends tout ce blanc !
10:45On a trop tard !
10:46Oh ! Quelle bourde !
10:47Oh !
10:48J'ai peur, monsieur Louis !
10:49Mais pas quelque chose !
10:51On sait quoi, maintenant ?
10:54Je veux rentrer chez moi !
10:56Je veux rentrer chez moi !
10:58Allez chercher mon chocard immédiatement !
11:01Ah !
11:02Ah !
11:03Ah !
11:04Je vais vous installer dans mes appartements !
11:07Le temps d'aller chercher votre chauffeur !
11:09Oh !
11:10Oh !
11:11Oh !
11:12Noël !
11:13Allez chercher le chauffeur d'Anne-Charlotte !
11:15Et vous nous prévenez de son arrivée !
11:17Oh !
11:18Oh !
11:19Oh !
11:20Oh !
11:21Oh !
11:22Oh !
11:23Oh !
11:24Oh !
11:25Il est marrant, lui !
11:26Je ne sais même pas quoi il ressemble, ce chauffeur !
11:28Oh !
11:29Oh !
11:30Bonjour, monsieur.
11:31Qu'est-ce que vous aidez ?
11:32Bonjour, monsieur.
11:33Je viens d'abriter chez vous car j'ai perdu mon chien qui me sert actuellement pour mes déplacements.
11:43Vous l'avez perdu où ?
11:45Si je le savais, je n'aurais pas perdu.
11:49En fait, je vous dis ça.
11:51Enfin, c'est quand même bizarre, hein, de perdre son chien, bizarre.
11:56Avec tout le reluminage qu'il y a dehors, le pauvre chien, il a dû être effrayé.
12:02Enfin, ce qui est bizarre, c'est que vous avez encore la laisse, le harnais.
12:08Mais il y a plus de chien de papillon.
12:10C'est comme s'il s'était...
12:12Volatilisé.
12:13Oh !
12:14On dit volatilisé.
12:16Mais il y avait beaucoup de monde dehors et je me suis fait bousculer.
12:21Mais ce que je trouve bizarre, c'est que mon chien ne soit pas resté près de moi.
12:26Oui, enfin, quand il y a du monde comme ça, il faut ouvrir l'œil, hein.
12:32Vous êtes monsieur ?
12:34Affelou.
12:37Mais vous savez, ouvrir l'œil pour un aveugle, ce n'est pas évident.
12:43C'est pas embête.
12:46Bon, allez-vous.
12:48Je vais vous faire asseoir.
12:50Allons-y.
12:51Allons-y.
12:53Voilà.
12:54Vous êtes plus à l'aise.
12:57Voilà.
12:58Merci.
12:59Alors, si vous voulez vous distraire un peu, il y a quelques magazines.
13:05Non, merci, je ne lis pas de magazines.
13:08Non, vous n'aimez pas les cancans.
13:10Non seulement, je n'aime pas les cancans, mais j'ai un problème bien plus important pour la lecture.
13:16Ah, ben oui, mademoiselle.
13:19Je ne peux pas lire.
13:21Oh, mais il faut vous forcer un peu.
13:24Moi, j'étais comme vous.
13:25Au départ, je n'aime pas la lecture.
13:27C'est mon frère qui est écrivain qui m'a fait découvrir le goûter de la lecture.
13:33Vous voulez dire le goût ?
13:36Oui, monsieur.
13:37C'est pas vrai.
13:39Maintenant, je vais vous offrir un de ces livres qui est un vestiaire.
13:46Ne vous embêtez pas, je vous dis.
13:48Mais si, monsieur, j'y tiens.
13:50Et enfin, vous comprenez bien que je suis aveugle.
13:52Et alors ?
13:55Parce que monsieur, il n'aurait pas le droit de découvrir, comme tout le monde, le goûter de la lecture.
14:02Hein ?
14:03Vous voulez dire le goût ?
14:05Oui.
14:06C'est pas en bête.
14:08Bon, c'est gentil d'essayer de me divertir dans un contexte aussi particulier.
14:14Entre les manifestations et la perte de vos chiens, j'ai attrapé un coup de chauve.
14:19Ah ! Voulez-vous que je vous offre à boire ?
14:21Mais là, je n'ai pas trop vu.
14:22Ah ! Viens.
14:23Alors.
14:25Voyons voir ce que nous avons dans ce bar.
14:28Ouh là là là là !
14:30Ouh là là, mais ça se vide, hein ?
14:32Alors, oui, j'ai beaucoup de choses à vous proposer quand même.
14:34J'ai de la misère, de l'armagnac, du cognac, du poignac, du poignot, du martini, du porton, du rhum, du scotch, du poignac, qu'il y avait l'eau.
14:42Mais, je ne peux pas...
14:44De la Zubrovka !
14:46Je ne peux pas...
14:47Je ne peux pas...
14:48Je ne peux pas...
14:49Je ne peux pas...
14:50Je ne peux pas...
14:51Je ne peux pas...
14:52Je ne peux pas...
14:53Je ne peux pas...
14:54Je ne peux pas...
14:55Je ne peux pas...
14:56Je ne peux pas...
14:57Je ne peux pas...
14:58Je ne peux pas...
14:59Je ne peux pas...
15:00Je ne peux pas...
15:01Je ne peux pas...
15:02Je ne peux pas...
15:03Je ne peux pas...
15:04Je ne peux pas...
15:05Je ne peux pas...
15:06Je ne peux pas...
15:07Je peux vous proposer quelque chose de merveilleux, très très fort, de l'alcool à soixante-dix.
15:23Je pense que ça ne se boit pas, c'est plus pour décaper les bijoux.
15:27Alors, je ne bois pas d'alcool.
15:30Ah, alors, sans alcool, je n'ai pas de l'eau.
15:35Allons-y pour un verre d'eau.
15:37Voilà, alors, moi, je vais prendre un petit fond de subrofika.
15:46Alors, c'est une vodka polonaise aromatisée à l'air de pivisson.
15:52Voilà, vous voulez que vous fassez l'ubisée.
15:57Je pense que ça va aller pour la terre animalière.
16:00Bon, bon, bon, c'est comme vous voulez.
16:03Allez, voilà.
16:04On fait tchit-tchit, monsieur Affelou.
16:12Bon, allez.
16:13Alors, on fait tchit-tchit.
16:14Et puis alors, droit dans les yeux.
16:18Ça va être compliqué.
16:19Je n'y vois rien.
16:21Ah oui, c'est pas en cause.
16:24Bon, ben, allez, à votre santé.
16:26Bon, allez, alors, monsieur Affelou.
16:28Appelez-moi Camille.
16:30Eh bien, entendu, Camille.
16:32Alors, moi, c'est Noël.
16:35Ça tombe bien votre prénom.
16:37Mais pourquoi ?
16:38Noël.
16:39En période de fête.
16:41Ah, c'est pas bête ce que vous dites.
16:45Vous avez trouvé le chauffeur de madame la baronne.
16:49Elle est en panique.
16:49Il ne peut pas.
16:50Ah, écoutez, moi, je ne veux pas être partout.
16:53J'ai été attraqué avec monsieur Affelou.
16:55Attraqué ?
16:57Ben, voyons, ne bougez les pas, surtout.
16:59Et c'est qui, St Affelou ?
17:00Et c'est moi.
17:01Noël, majeure, il m'a accueilli chez vous, car j'ai perdu mon chien et je suis désespéré.
17:09Vous êtes dans une bijouterie ici, par la S.P.A.
17:12Je vous demande de partir, monsieur.
17:14Aucune chance de retrouver votre compagnon en biapopathe ici.
17:19Ah bon ?
17:20Je suis dans une bijouterie.
17:22Ben, excusez-moi, je ne l'avais pas vu.
17:25Vous ont changé vos lunettes.
17:26C'est une grande grande, vous l'entendez.
17:28Oh, pas d'unis-là, monsieur.
17:30Monsieur, c'est exact.
17:32Je suis dans le noir.
17:36Il n'y a pas que vous.
17:38Moi aussi.
17:39Vous êtes sa veille ?
17:40Non, je suis dans le noir.
17:43Mais on est tous comme vous, il n'y a plus de lumière.
17:45On est tous comme vous.
17:49On était tous comme vous.
17:52Pour information, la lumière est revenue.
17:55Monsieur Louis, monsieur Louis, mais où êtes-vous ?
17:59Eh oui, mon chauffeur, je veux rentrer !
18:02Allez chercher le chauffeur de madame la baronne, Noël, vite !
18:05Mais je ne peux pas laisser monsieur Afflelou tout seul.
18:08Là, vous voulez-vous qu'il aille ? Il ne voit rien.
18:14Bon, je retourne avec madame la baronne.
18:17Ramenez-lui son chauffeur au plus vite, Noël !
18:19Faites ce qu'elle vous dit, Noël.
18:35Sinon, vous allez vous faire en violon.
18:39Ah, ah, ah, ah, ah !
18:40Eh ben, vous êtes à Camelie, vous Camelie, hein ?
18:43Mais c'est pour moi, j'ai pas du tout envie de sortir.
18:46Moi, non, non, elle a pas envie de chercher tout ça, hein, son chauffeur.
18:50Je ne peux pas risquer de me faire tabasser, frapper, danser,
18:53mutiler ou même tuer.
18:56Pour les bon siues de la parole.
18:59Vous avez les boules, Noël.
19:01Je ne sais pas, patronne. Elle est toujours chez vous.
19:07Vous êtes qui, vous ?
19:09Non, mais vous n'avez plus l'état que vous êtes.
19:12C'est un accasin luxe ici, hein ?
19:14Nous exigeons de nos clients une tenue décente.
19:18Je suis Norbert, le chauffeur de Madame la Baronne.
19:21Je me suis attaqué par ces sauvages de manifestants.
19:24Ah, ah bon, c'est fou, vous ?
19:26Ah, attendez, j'aurais pas envie de me chercher.
19:28Bon, ben écoutez, ils vous ont pas raté, quand même, hein ?
19:33Vous avez échappé une mort certaine, Noël.
19:36Enchanté, Norbert, je suis Camille.
19:39Attendez, pourquoi il est le bras, lui ?
19:41Je pense qu'il peut vous serrer la main,
19:44mais comme il est aveugle, il n'est pas lui contre les distants.
19:49Enchanté, vous êtes aveugle.
19:51Au moins, vous avez de la chance, voyez-moi le grand-être.
19:55Si vous appelez ça de la chance, vous...
19:58Dis, Noël, vous avez des toilettes, s'il vous plaît ?
20:01Ah, oui, mais bien sûr.
20:02Alors, d'accord.
20:07Voilà, c'était qui dessus ?
20:08Je comprends rien, moi, je croyais qu'il ne voyait rien.
20:14Ah, ah oui, oh ben...
20:17Bon, eh bien, je vais vous accompagner, vous pouvez laisser à l'aise, à l'aise, à l'aise, il n'y a toujours pas de chien dedans.
20:27Allons-y.
20:28Et en fait, vous l'appelez comment, votre chien ?
20:33Je l'ai appelé John, pourquoi ?
20:35Pour savoir comment l'appeler, si je le vois.
20:38Oh, c'est gentil de votre part, mais vous ne pouvez pas le louper.
20:43Il a un colis à poing et une grosse touffe sur la tête.
20:46Et si vous le voyez, vous tapez sur vos genoux comme ça, en disant, viens vite pour vous, viens vite pour être à l'aise.
20:57Bon, bon, vous pouvez compter sur moi.
21:00Allons-y.
21:01Mais, vous savez, je vous le dis à vous, John, c'est bien plus qu'un simple chien.
21:13Pour moi, c'est un être humain.
21:17Il est bien plus valeureux que beaucoup d'êtres humains qui nous entourent.
21:23Et en plus, il est extrêmement sensible.
21:27Donc, en fait, votre chien, c'est un homme ?
21:32C'est exact.
21:33Et traitez-le comme tel.
21:36Bien sûr, bien sûr.
21:39Bon, alors, les toilettes, c'est par ici.
21:41Je vous ouvre la porte.
21:43Voilà, et l'interrupteur est un droit à l'entrée.
21:46Je n'ai pas besoin de lumière.
21:50Oh, elle n'est pas moudre.
21:54Et ne venez pas vous plaindre après.
21:56C'est vrai, hein ?
21:57Pourquoi vous lui indiquez l'interrupteur qui la veut ?
22:03Il parle justement.
22:06Comment ?
22:06Voulez-vous qu'il allume la lumière ?
22:08Si je ne lui dis pas, vous voulez l'interrupteur.
22:12Vous êtes un peu partout dans votre tête, vous aussi, hein ?
22:15Est-ce que vous pensez sincèrement qu'un non-voyant a besoin de lumière ?
22:21Alors, pourquoi vous lui indiquez la lumière ?
22:25Ouais, c'est pas embêche.
22:29Qu'est-ce que c'est que cette folie ?
22:30Ça explose dans tous les sens autour de moi.
22:32J'ai l'impression d'être invisible.
22:34Bonjour.
22:35Bonjour, monsieur.
22:36Vous êtes qui ?
22:37Bonjour.
22:38Je m'appelle Hiroshima.
22:39Ils sont tous savoyés fous dans votre pays.
22:46Ils ont voulu faire de moi, des sushis.
22:48Oh, c'est quoi ?
22:49Mais il n'y a pas que vous qui veulent faire des sushis.
22:52Dans ce livre, ils en ont après tout le monde en ce moment.
22:55Non, Hiroshima, il parle de sushis.
22:57Les manifestants, ils ont voulu faire de la cuisine avec lui.
23:00Vous voyez dans quel état il est là.
23:01Ah, est-ce que vous êtes restaurateur ?
23:05Ah, c'est un beau métier, là.
23:08Mon conjoint aussi est restaurateur.
23:11Je ne suis pas restaurateur.
23:13Je suis professeur de géographie, photographe amateur et japonais.
23:19Eh oui, ma mère était piachette et ma mère était japonais.
23:26Oui, les sushis, c'est un plat asiatique et pas de doris.
23:29Donc, en type de l'intérêt de la cuisine, c'est une forme de métaphore.
23:33Voilà.
23:34Mais là, vous pouvez me découvrir en rondelle, je peux mettre dans un sushi.
23:39C'est une métaphore qui m'a fait souffrir.
23:41Heureusement, je me retrouve bien.
23:43Ah, écoutez, je comprends mieux maintenant.
23:46Et puis, je suis ravi pour vous si vous vous en sortez bien.
23:48Merci, c'est gentil.
23:51Ah, vous savez, c'est courageux à vous d'en parler aussi librement.
23:56Parler aussi librement de quoi ?
23:58De votre maladie.
24:01Pour que vos gens ne veulent pas en parler aussi librement.
24:06Attendez, vous parlez de quelle maladie ?
24:10J'ai l'exemple de ma cousine qui a souffert.
24:14Bon, peut-être pas à votre niveau, monsieur Hiroshima.
24:18Non, elle n'était pas rendue au stade aussi forte que vous, en métaphore.
24:23Non, elle était juste au stade métastase.
24:29Mais, oh, non, non, non, non, la chienne.
24:34Attendez, attendez.
24:35Je vais vous respecter.
24:38Les sushis, c'est un plat asiatique à base de riz.
24:41D'accord ?
24:42Donc, quand Hiroshima dit que les manifestants vont le temps en en sushis,
24:46c'est parce que c'est un plat de chez-ri.
24:47C'est une forme de comparaison.
24:50Vous comprenez ?
24:51Bon, ben, ben, moi, ce que je comprends pas, ben, pourquoi vous...
25:00Vous m'avez pas dit que vous pouvez être transformée en bouillie ?
25:04Oui, j'ai pas fait de le compter.
25:06Si les manifestants vous piétinent, ils vont faire de vous des sushis.
25:11S'ils vous piétinent vous, ils vont faire de vous de la bouillie.
25:13Est-ce que vous comprenez ?
25:13Oh, non, mais la bouillie, c'est quand même quoi, pas de chez-moi.
25:18Non, mais je comprends, mais on compare, je vous dis.
25:20Si les manifestants vous piétinent, ils vont faire de vous de la bouillie.
25:23Est-ce que vous comprenez ?
25:25Ouais, mais...
25:26C'est quoi fausse que vous dites, hein ?
25:28Mais, comme je suis une bretonne,
25:30je préférerais qu'on dise qu'ils m'ont afflaté comme une crêpe.
25:35Parce que ça, au moins, les crêpes, c'est que chez-moi,
25:37et donc ça, c'est plus juste.
25:39Écoutez, hein, si vous préférez comparer une crêpe, après tout,
25:42c'est vous qui voyez.
25:44Vous vous connaissez, c'est chez vous.
25:46Votre comprenez est cuisiné dans quel restaurant ?
25:49Eh ben, ça s'appelle...
25:51On dévise la saille, bon.
25:56Vite, m'enl !
25:58Je ne trouve pas le papier.
26:00Ah !
26:01Et ben, je m'en doutais !
26:04Comment voulez-vous trouver du papier sans la lumière ?
26:08En braille, sans doute !
26:11Oh là là !
26:12Oh, le con, hein !
26:14Qui sont ces gens, monsieur Louis ?
26:22Je n'en ai aucune idée, hein, Charlotte ?
26:25Messieurs, que faites-vous chez moi ?
26:28Je me suis bien attaqué, voyez-vous-même !
26:30Mais mon établissement n'est pas l'armée du salut.
26:34Est-ce que votre idiot de salarié est allé chercher vos crétins chauffeurs ?
26:39Je ne resterai pas une minute de plus ici.
26:41Le crétin Léna, madame la maronne.
26:43C'est vous, Norbert ?
26:48Je ne vous avais pas reconnu, mais dans quel état êtes-vous ?
26:52Allez-vous changer ?
26:53Et amenez la voiture devant la porte, et vite !
26:56Cela risque d'être un peu compliqué.
26:59La Ducati a quelque peu souffré.
27:01Vous savez, Ricky ?
27:04La voiture d'un charlotte !
27:06Je parlerai plutôt de grosses rayures.
27:09Comment vous expliquer ?
27:10Toutes les roues sont cramées.
27:13Je ne sais pas !
27:14Mais !
27:15Il y a comme un égique grand air dans la lumière.
27:18Toutes les roues sont cramées.
27:20Alors, cramé, David !
27:21La Ducati est sous le toit.
27:23Et tiens, remets-la sur les roues et abri le garagiste,
27:26pour qu'il ne vienne pas cette grosse rayure.
27:28Et pour finir, il y a le feu dans l'habitacle.
27:31Bon !
27:32Si votre voiture fit en feu au coin de la rue,
27:34c'est pas comme le dirait un célèbre comédien-pensé.
27:38Elle a marché beaucoup, hein, bien !
27:42Ducati est détruit !
27:45Comment avez-vous pu laisser faire une chose pareille, Norbert ?
27:49Quel manque de conscience professionnelle !
27:51C'était la Bugatti ou moi !
27:53Eh bien, j'aurais plaisir que ça soit vous !
27:55Mon Dieu, ma voiture !
27:58Ma voiture détruite !
28:00Mais quel malheur !
28:01Mais si ça peut vous rassurer, moi, ça va, hein !
28:04À part quelques égratignures, je viens là-dessus.
28:06Que de violence ! Je suis choqué !
28:08Ah, merci, monsieur. Je m'en vais avec un très bien.
28:11Oh, les bonnes fous, vous parlez de la Bugatti d'un charlotte !
28:13Ah, suis-je bête, hein !
28:15Je suis heureux de savoir que je m'en vois bien qu'à ta foule.
28:19Je vais sortir quelques instants !
28:34Je vais prendre quelques photos pour monter à mes compatriotes
28:36ce qui se passe dans votre pays !
28:38Eh, faites attention, quand même !
28:40Ne vous inquiétez pas !
28:42Le premier qui me cherche, lui, pas dans le faille !
28:44Yabasuki avait retourné à l'air acrobatique !
28:47Yabasuki !
28:48Yabasuki !
28:49Yabasuki !
28:50Yabasuki !
28:51Yabasuki !
28:52Yabasuki !
28:53Yabasuki !
28:54Yabasuki !
28:55Yabasuki !
28:56C'est un cataclysme, il y a eu un tremblement de terre, oh là là, il faut que je m'en mette de l'or, oh, oui, oh.
29:24Et avec Hiroshima, ça explose très fort.
29:33Vous savez où est Noël ? En toilette avec Monsieur Appeloup.
29:36Ensemble ?
29:38Ben oui, pas l'idée à quel moment trouver le papier. Monsieur Appeloup est aveugle, donc il ne veut pas trouver le papier tout seul, vu qu'il n'y voit rien.
29:46Et ils font quoi tous les deux ensemble, les toilettes ? Il ne faut pas deux heures pour lui indiquer où le rouleau se trouve.
29:53Vous êtes allé dehors avec les manifestants ?
29:55Je trouve !
29:56Je trouve !
29:57Je trouve !
29:59Vous êtes allé dehors avec les manifestants ?
30:05Mais non, c'est vous qui m'avez ouvert la porte des toilettes sur le nez.
30:09Oh !
30:10Vous êtes allé dehors avec les manifestants ?
30:11Vous êtes allé dehors avec les manifestants ?
30:12Mais ils ne font pas d'aller !
30:13Mais non, c'est vous qui m'avez ouvert la porte des toilettes sur le nez.
30:15Oh !
30:16Oh !
30:17Vous êtes allé dehors avec les manifestants ?
30:19Mais ils ne font pas d'aller !
30:21Mais non, c'est vous qui m'avez ouvert la porte des toilettes sur le nez.
30:26Mais non, c'est vous qui m'avez ouvert la porte des toilettes sur le nez.
30:30Oh !
30:31Vous êtes allé dehors !
30:32Oh !
30:33Vous êtes allé dehors !
30:35Bon, je vais vous la dire vite, elle est dehors !
30:41Juste une petite question.
30:42Elle n'a pas qui ce n'est pas le temps ?
30:43Oh !
30:44Norbert, appelez-nous un taxi !
30:47Pouvez-je emprunter vos toilettes ?
30:49Naturellement, prenez salle de gauche, les toilettes pour les femmes.
30:52Méfiez-vous, apparemment, la poignée ne fonctionne pas de l'intérieur.
30:56Eh bien, je prendrai les toilettes pour hommes !
30:59Non, il vous suffit de m'appeler, et j'irai vous ouvrir.
31:02Les toilettes pour hommes ne sont pas à la hauteur de votre élégance.
31:05Et j'ai installé mes toilettes japonaises sur les femmes.
31:08Oh !
31:09Vous êtes un an !
31:11Monsieur Louis !
31:12Oui, oui, attendez, tout à fait, oui.
31:23Oui, justement, oui.
31:24S'il vous plaît, est-ce que vous pourriez valdiquer l'adresse de votre bijouterie ?
31:27C'est pour le chauffeur de taxi.
31:29C'est le 17 rue de mai 68.
31:36Oui, oui, oui.
31:37Oui, c'est le 17 rue de mai 68.
31:41Ah ben oui, je vous avoue que le nom parle parfaitement avec ce qui se passe dans l'arrière.
31:45Je pense.
31:46Comment ?
31:47Ah oui, vous rappelez le numéro qui s'affiche actuellement.
31:48Vous n'aurez pas besoin que le soir de la voiture commence à arriver.
31:50Oui.
31:51Oui.
31:52Au niveau de la parapluie pour protéger le brochet de Madame la Baronne.
31:55Oui, le nôtre a brûlé dans la voiture.
31:57Oui, merci, j'attends.
32:00Qui est ton toilette pour dames ?
32:02Madame la Baronne.
32:04Vous lui avez expliqué pour les toilettes ?
32:06Ben non, pourquoi ?
32:08Alors, le jet automatique japonais, qui nettoie l'art, l'entrejambe, il est tout déréglé et ça part dans tous les cercles.
32:23Mon dieu, mais que facile !
32:27Mon dieu, con, ma chérie !
32:30Il est vrai, mais j'y suis, vous ne voulez pas !
32:32Oui, oui, oui, oui !
32:34Je m'en doutais que j'aurais un jour un problème avec ce jet automatique de nettoyage japonais.
32:40Ils sont bons pour les judos, pour le console de jeu, mais pas pour la plomberie.
32:44Il a fallu que japonais, peut-être pas au banjarat.
32:47Bon, ben, maintenant toute la poignée est assise.
32:53Mais c'est pas possible qu'on s'y joue là !
33:09Mais où est-vous d'abord ?
33:11Vous ne vous arrêtez pas, M. Charlotte, je vais vous sortir de là !
33:21Moi, je suis très, M. Charlotte !
33:24L'homme doit pratiquement s'aider !
33:28Il y a de l'eau partout ! Je suis trompée !
33:46Avancez, ma chère ! Je suis tellement inquiet !

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