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00:00C'est ce que nous avons parlé aujourd'hui,
00:05c'est le rapport du cours des comptes.
00:10C'est ce que vous savez,
00:13mais également,
00:15la force du fond COVID-19,
00:18c'est ce qu'on a fait dans l'actualité,
00:21c'est ce qu'on a fait,
00:23c'est ce qu'on a fait,
00:25c'est ce qu'on a fait,
00:27tant que connaître le rapport.
00:33Et puis c'est ce qu'on a fait,
00:35c'est une partie de la civilisation.
00:38Bien sûr,
00:39c'est ce que nous avons fait,
00:41qui a été l'intérêt du rapport.
00:44C'est à peine deux ou deux.
00:49C'est ce qu'on a fait,
00:50c'est le rapport disant sur le dernier développement.
00:53On est venu sur le dernier développement.
00:55Oui, on est venu sur le scandale de la COVID-19 et les nouvelles arrestations.
01:02Niki Dembou a été venu au plateau, mais il a dit que l'on a fait le plus tard.
01:08On a fait la garde à vue et l'on a envoyé l'animal.
01:12Babacar, l'on n'a pas eu le temps.
01:14On attend aussi pour l'entendre.
01:16Comme vous l'avez dit, c'est comme ça.
01:18Il a été venu avec Niki Dembou et l'on a pris le rapport.
01:24Mais j'ai dit que les japonais ont été venus m'envoyer.
01:28Comme j'ai l'impression d'être venu avec Niki Taiji dans la journée.
01:33Je me suis dit que Niki Taiji est venu à prendre le bureau et le président de l'Université.
01:38Il a été en train de le faire.
01:40Il a été venu à l'experiment de deux personnes.
01:43Il a été venu en train de le faire et il a été venu en train de le faire.
01:47Il y a eu un retour de parquet, il y a eu un retour de parquet, il y a eu un retour de parquet et il y a eu 1000 mètres sous le contrôle judiciaire.
01:56Mais ce qu'on peut avoir, c'est que le bureau d'Abdoul Aziz a dit qu'il n'y avait pas de 150 millions d'euros japonais.
02:07Il y a eu un retour de parquet, il n'y avait pas de possibilité de justifier parfois les dépenses.
02:18Même si il a expliqué qu'il n'y avait pas d'argent, il n'y avait pas d'argent pour le justifier par rapport à ce que vous connaissez.
02:27Il y a eu un montant de 38,673,204 français face à une copa.
02:36Il y a eu un autre exemple, il y a eu un autre exemple.
02:41On dit aux enquêteurs sur des justifications concernant la copa.
02:46Il s'est dit que le groupe d'Ai Daj a eu des décharges accueillis et il n'y a pas de problème.
02:48Il ne s'est pas obligée de choisir le bureau.
02:50Mais ça, c'est un exemple dans d'avis de l'Assemblée nationale, il y a eu des ministères de Daj.
02:55Il y a eu un autre exemple comme un ministre des sports.
03:02C'est ce qu'il y a aussi, parce que j'ai vu des gens qui ont été dans le ministère
03:08mais il y a aussi des directeurs des hôpitaux qui ont été dans le ministère
03:14et c'est ce qu'il y a aussi.
03:16Il y a aussi des fournisseurs qui ont été le fournisseur.
03:20Il y a beaucoup de gens qui ont été le fournisseur.
03:24C'est ce qu'il y a aussi, qui est le fournisseur de Bebe Hamdi.
03:34Il y a aussi quelque chose de son professeur.
03:38Il y a aussi du ancêtre de Mouhamadou Sen, le ministère de la Jeunesse.
03:44Il est également écrivain dans la bocalade de Mouhamima, en ce qui soit le ministère des Sports
03:50Fatou, Fatih, fournisseur, qui est le fournisseur, qui est le fournisseur, Jibril Khan est le fournisseur, Samba Fall, fournisseur, Mamoudou Muntaga Bah, fournisseur également aussi, Souleymane Bah, également fournisseur, Abdoul Aziz May, communicateur traditionnel, qui est le fournisseur, qui est le fournisseur,
04:08qui est le fournisseur, le fournisseur, Leons-Zali, ancien d'âge Ministère de la Culture, et la mère du Tannaf, le Ybrahim Issa, entrepreneur,
04:22ses compagnies vont se rassembler à un parquet à des seuls s'ils viennent de l'argent, parce qu'ils ont un retour de parquet,
04:30C'est une suite qui s'appelait à Mbou Séné Aïmbire.
04:34Il n'y a pas de retour de parquet.
04:37Il n'y a pas de retour de parquet.
04:40C'est le premier ministre de la Santé.
04:42Babacar Sen, directeur de l'hôpital de Kafrine.
04:45Mamoudou Ndiaye, directeur de la prévention du ministère de la Santé.
04:49Moussa Sam Daffé, directeur de l'hôpital de la Diamo.
04:53Lamine Diallo, comptable de l'hôpital Yusoum Bergan.
04:57Aline Badr Diop, comptable de l'hôpital de Piquine.
05:02Ils ont tous les deux qui sont parqués.
05:06Pour faire ce qu'il y a, il y a un bonheur.
05:09Il y a un bonheur.
05:11Aline Badr Diop, comptable de l'hôpital de Piquine.
05:15Ils ont tous les deux qui sont parqués.
05:18Pour faire ce qu'il y a, il y a un bonheur.
05:21Donc, les deux qui sont les 25 ans.
05:24Mais par rapport au dossier, personne n'a qu'à l'hôpital.
05:27C'est-à-dire qu'aujourd'hui, il y a des dangers de l'hôpital.
05:33Mais ça concerne le décaissement au niveau des ministères.
05:38Mais au niveau des ministères également,
05:40les distribuions, c'est qu'ils ont fait pour des transferts.
05:43Comme je l'ai dit sur le rapport du cours des comptes de produit en 2021.
05:47Mais les gens qui ont donné des fonds,
05:51c'est destiné à des personnes pour les distribuer.
05:54Parce qu'il faut rappeler qu'il y a des aides de l'hôpital.
05:57Il y a des aides de l'hôpital.
05:59L'État a débloqué des coopératures de 1000 milliards et quelques.
06:03C'est ce qu'ils ont fait.
06:04Mais ils ont dit qu'ils ont soutenu.
06:06Pour qu'un secteur,
06:07sur la COVID-19,
06:09il n'y a pas de problème de toucher.
06:11Ils peuvent relancer leurs activités.
06:13Pour qu'ils peuvent relancer leurs activités,
06:15le Sénégal a décidé de sortir des fonds
06:18pour les débloquer leurs situations.
06:20Pour qu'ils débloquaient leurs situations,
06:22il n'y avait pas de coopérature.
06:24Les coopératures,
06:25nous l'avions fait comme genre,
06:27c'est donné.
06:28Maintenant,
06:29c'est que Laurent Indy
06:30lui a donné des coopères.
06:32Il y a des écoles,
06:33des hôtels,
06:35des sociétés.
06:38C'est-à-dire,
06:39ce qu'il y a dans tous les secteurs,
06:41il y a partout au niveau national.
06:43C'est comme ça.
06:45Les ministères,
06:46les secteurs concernés,
06:47nous l'avions fait.
06:48Donc, aujourd'hui,
06:49si nous l'avions fait 4 ou 5 ministères,
06:51c'est qu'il y a bien une possibilité
06:53que le nombre de ministères,
06:55que nous avons,
06:56peut aller dans le nombre de ministères
06:58pour les enquêtes nécessaires.
07:00C'est-à-dire,
07:01parce qu'à l'intérieur du rapport,
07:03il s'est cité
07:05les fonds,
07:07et les fonds,
07:08tous les dessinés.
07:09Chaque ministère,
07:11il y a des noms.
07:13Mme Sommi,
07:14il y a ces points
07:15qui ont apprécié
07:16avec ses ministères.
07:17Mohamed,
07:18il y a une beaucoup de fonds
07:19COVID-19.
07:21Il y a des noms.
07:22Il y a des noms.
07:23Il y a 16 personnes,
07:24qui nous les a déféré,
07:26donc,
07:28il y a des noms.
07:29Il y a des noms.
07:30le secteur est très bien, il a été en train de se dérouler.
07:33Oui, il y a des questions,
07:36il y a des questions,
07:38qui sont à Montemite Daouna,
07:40qui sont au Maroc.
07:42Donc, nous avons des questions,
07:44qui ne sont pas à l'intercepte.
07:47Donc, pour dire que,
07:49quand on est à la question,
07:51on a fait des questions,
07:53on a fait des questions de manière graduelle,
07:56on a fait des questions,
07:57parce que si on a regardé,
07:59Nous sommes à l'étape d'enquête et nous sommes à l'étape d'enquête.
08:09Parce que si nous écoutons ce qu'on appelle, personne n'a pas d'enquête.
08:16Mais il y a des problèmes qui sont à l'étape d'enquête.
08:21Il y a des problèmes qui sont à l'étape d'enquête.
08:24Il y a des pièces justificatives pour les ministères de la Santé.
08:29Nous devons vérifier que cela est possible.
08:33Il y a des problèmes qui sont à l'étape d'enquête.
08:46C'est une question.
08:48Il y a des problèmes qui sont à l'étape d'enquête.
08:52Il y a des problèmes qui sont à l'étape d'enquête.
08:56Il y a des questions qui sont à l'étape d'enquête et qui sont à l'étape d'enquête.
09:03Il s'agit d'être sensible aussi de dire que nous devons faire des choses.
09:09Tout nous devons travailler avec nous.
09:10Mais comme je ne pense pas que tu fais de la tête de la tête de la tête,
09:13il ne faut pas vivre à l'étape d'une part de l'étape d'aujourd'hui.
09:16Mais il y a des sensibilités.
09:17Des questions, les gens l'étape de la présomption de l'innocence.
09:21On a vu les gens, encore une fois, comme je l'ai dit,
09:25ils sont tous les gens qui sont venus en chambre,
09:29les gens ont vu les gens de nos familles,
09:33ils ont vu les gens, ils ont vu leurs enfants,
09:37ils ont vu leurs enfants, ils ont vu leur vie.
09:39Mais les gens ne peuvent pas parler de tout ça,
09:42ils ne peuvent pas parler de tout ça,
09:44parce que tout ce qu'on dit,
09:47c'est qu'ils ont dit,
09:49C'est ce que je veux dire, c'est les célébrités que je veux dire, parce que les célébrités ne sont pas les mêmes.
10:02Mais je veux dire, les célébrités qui ne sont pas les mêmes sur le dossier, quand ils sont les topés, ils ne sont pas les milliards.
10:09Donc, pour dire que le scandale n'a pas été fait, mais il n'y a pas de scandale.
10:14Il y a des scandales au niveau du ministère de la Santé.
10:23Par exemple, le marché gré à gré, c'est 17 milliards de francs CFA.
10:2915 milliards de francs CFA.
10:3117 marchés, ça fait 17 milliards de francs CFA.
10:36Voilà, donc tout ça.
10:39C'est ce que vous avez dit.
10:41Justement, c'est ce que vous avez dit.
10:43C'est ça, ça intrigue quoi, ça interroge.
10:44Vous savez, tout ça, je vous ai dit qu'ils vont aller à l'autre côté.
10:48Mais si on fait ça, on ne peut pas s'y faire.
10:50Tout ça, on peut s'y faire, on peut s'y faire.
10:52Si on peut s'y faire, on peut s'y faire.
10:56C'est ce que vous avez dit pour cibler le ministère de la Santé.
11:00Je parle des ministères parce que je ne veux pas le personnaliser.
11:03Le ministère du développement communautaire, le ministère du Québec, etc.
11:08Mais il y a aussi un ministère qui est au cœur de...
11:11Finances.
11:12Pas de finances, mais du ministère de l'Industrie.
11:15Le ministère de l'Industrie.
11:17Le ministre de l'Industrie.
11:19Si vous pensez que le ministère de l'Industrie, il y a un ministère de l'Industrie.
11:31C'est-à-dire que le ministère de l'Industrie.
11:33Il y a beaucoup de ministères qui ont fait la santé.
11:35Mais si vous pensez, c'était prévisible.
11:38Mais nous avons une alerte.
11:40Si vous pensez que le président de l'Industrie,
11:43le président Mek Sal a dit de recevoir les leaders politiques au palais.
11:47Il y a des leaders politiques.
11:49Il y a des ministères qui ont été.
11:51Nous n'avons pas de travail.
11:53Il y a des ministères qui ont été élus.
11:55D'abord, le président de l'Industrie.
11:57Il y a eu le président de l'Industrie.
11:59Il y a eu des ministères qui ont fait appuyer beaucoup.
12:01C'est-à-dire qu'il y a des gens qui ont fait le président Mek Sal.
12:04Du point de vue de la transparence.
12:06Il y a eu des gens qui ont fait de l'attitude,
12:08ainsi qu'ils les gèrent et les gestions de fonds.
12:10Quelques temps après, il n'a dit que c'est un ministère de Moustapha Sissel.
12:16à l'époque, il était vice-président de l'Assemblée Nationale.
12:18D'ailleurs, il était le Parlement de la CEDEAO.
12:22Moustapha Sisselo, qui a dit que c'était un gel parce que dans l'industrie de l'Assemblée Nationale,
12:28il a dit qu'il avait étonné plus d'un jour,
12:36il a fait une déclaration de l'Assemblée Nationale de l'Assemblée Nationale.
12:41Parce que ce qu'il a dit au Sénégalais, c'est qu'il a dit qu'il n'y a pas de transparence.
12:46Moustapha Sisselo, ce qui a dit, c'est qu'il n'y a pas d'attention de l'Assemblée Nationale,
12:50ça avait suppli plus d'un.
12:52C'est qu'il n'y a pas d'attention, au cœur de la pandémie de COVID-19.
12:56Donc, c'était prévisible.
13:00On a fait ce qu'il y a, le Président Macky Sall commandit le rapport,
13:06sur le cadre de l'Assemblée Nationale de son propre chef qui a commandité le rapport de la Côte des Comptes.
13:12Ils ont dit que les bailleurs de fonds, ils ont imposé à l'État du Sénégal pour qu'ils lèrent.
13:18C'est ce qu'ils ont fait.
13:20Le rapport a été.
13:21Après, il a duré un débat beaucoup, ils ont dit qu'il n'y a pas d'attention.
13:25Après, il y avait eu une conférence de presse,
13:28qu'ils ont dit que le scandale ne concerne que 0,6% ou 0,2%.
13:33Mais quoi qu'il en soit,
13:341000 milliards d'euros, ce qu'il y a,
13:37c'est qu'il y a des contributions qui ont beaucoup.
13:40Les Sénégalais ont contribué ici.
13:42Nous n'avons pas d'attention,
13:44mais nous n'avons pas d'attention.
13:46Il y a des problèmes.
13:48Il y a des problèmes.
13:50Il y a des problèmes d'attention.
13:53Parce qu'à l'époque,
13:54il y a des situations d'urgence.
13:56Il y a des réticences.
14:00Si quelqu'un n'a pas d'attention,
14:02il y a des plans d'urgence.
14:04Par exemple, plans hors secs.
14:05Dans le fond, c'est important.
14:08Dans le fond,
14:10il n'y a pas d'attention.
14:11Il peut dire qu'il n'y a pas d'attention.
14:13Ils peuvent suivre les procédures traditionnelles.
14:17Tu sais, quand on parle,
14:18il n'y a pas d'attention.
14:20Mais il y a des urgences.
14:22Il y a des périodes d'exception.
14:24Il y a des urgences.
14:26Entre temps, il est le gars qui est profiteux.
14:28Il est le gars qui est profiteux.
14:29Il est le gars qui est profiteux.
14:32Mais le régulier,
14:33tu ne l'as pas dit.
14:34Tu sais, en France,
14:35pourquoi a-t-il un scandale?
14:37Il y a des Covid.
14:38Il y a des milliards de personnes.
14:41Il y a des urgences qui ont organisé une soirée privée en pleine Covid.
14:46Il y a des urgences qui ont fait un scandale en France.
14:50Il y a des urgences qui ont organisé un dîner en pleine Covid.
14:54Il y a des urgences.
14:55Mais il y a des urgences qui ont rendu des milliards.
14:58Il y a des urgences qui ont fait un scandale.
14:59Mais il y a des urgences qui ont fait un scandale.
15:01Parce qu'il n'y a pas d'un scandale.
15:05Mais quand il y a des urgences,
15:07il y a des urgences qui ont fait deux urgences.
15:09Il y a des urgences qui ont fait une réputation et des urgences qui ont fait une réputation.
15:13Il n'y a pas d'un scandale.
15:15Il ne faut pas faire des urgences qui ont fait une réputation des femmes.
15:23Pour les autres, il n'y a pas d'un scandale.
15:25Il n'y a pas d'un scandale.
15:29Par exemple, je donne un exemple.
15:31Je vais vous donner une petite question.
15:33C'est un exemple qui est une réputation pour vous.
15:35ou il a une accusation, il n'y a pas d'accusation, il n'y a pas d'accusation, il n'y a pas d'accusation.
15:39Mais, si tu n'as pas d'accusation, tu es obligé de le retirer de la vie publique.
15:48Parce que, notre société n'a pas d'accusation, il n'y a pas d'accusation, mais il n'y a pas d'accusation au Sénégal.
15:54Parce que, en ce moment, il n'y a pas d'accusation, c'est qu'il est important, le fait en tout cas, si tu n'as pas d'accusation, il n'y a pas d'accusation.
16:16publics il ya quand d'abord y'a c'est bien niveau d'exemple comme nini nikki d'agir à l'essai
16:22nikki mais moumou n'est ce qui n'est pas bon nikki raga la sache parce que d'ailleurs ne
16:28boussa kiai tamit l'accès fait que d'un a déjà fait donc l'autre je pense que c'est extrêmement
16:33important je sois l'homme méroum nini gérer le scandale une copie 19 comme n'est pas le
16:40du web et nous sommes jusqu'au bout bout de fait servir d'exemple pour n'y finaquer taille à
16:46nier d'union a pascalant l'omsollo sanctionnée ne plus ont mais maintenant sanctionner il ne
16:52moubana mâtie voilà qui fait d'abord n'a qu'un au bas mais bonnet qui l'union d'allusion d'allusion
16:56d'allusion d'allusion à gagne d'euf l'illard et djale donc l'aujourd'hui je pense que le mot
17:02C'est ce que j'ai écouté, j'ai écouté ce qu'on appelle Abdel Khadr Seck.
17:08C'est ce qu'on a fait.
17:11Parce que c'est clair qu'il n'y a pas d'accord.
17:13Mais sinon, je vais vous encourager.
17:16Oui, c'est parce qu'on a une confiance.
17:19Merci beaucoup.
17:21Merci beaucoup.
17:23Merci beaucoup.
17:25Si on a besoin de contribution au Sénégalais, pour qu'on a des édits pour qu'on puisse faire attention à l'éducation,
17:32pour qu'on puisse faire attention à l'éducation et à l'éducation.
17:35Il y a des réflexions.
17:37Oui, c'est ça.
17:39Alors, Babacar, tu vois l'enlève.