Paroles Alison :
La course est folle folle,et c’est a perdre halène
Que je piettine mon rôle
En convoitant la reine
L’envie m’dévore folle
Ca me démange, je m’ennuie
De toujours garder le nord
En mire de ma vie
Alison-son-son
Dans ma tête comme une douce mélodie
Qui jamais ne s’arrête, non
Qui jamais ne s’enfuie
Mon corps résonne, non, non, non, non, non
Dans mes veine, cette douce mélancolie
J’en abuse quand même
A m’rapprocher du paradis, oh, non, non, non
Une vie d’soleil
Dans les astres de la lune
Me répondit
Que je ne suis pas un bel astre
Yen aura un pour toi aussi
Et celui qui ronronne
Par son oreille meurtrie
Ce n’est pas sa faute
Si c’est la seule qui brille
Alison-son-son
Dans ma tête, comme une douce mélodie
Qui jamais ne s’arrête, nan
Qui jamais ne s’enfuie
Mon corps résonne non, non, non, non, non
Dans mes veine cette douce mélancolie
J’en abuse quand même
A m’rapprocher du paradie
Alison-son-son
Dans ma tête comme une douce mélodie
Qui jamais ne s’arrête, non
Qui jamais ne s’enfuie
Mon corps résonne, non, non, non, non, non
Dans mes veine, cette douce mélancolie
Et j’en abuse quand même
A m’rapprocher du paradis
La course est folle folle,et c’est a perdre halène
Que je piettine mon rôle
En convoitant la reine
L’envie m’dévore folle
Ca me démange, je m’ennuie
De toujours garder le nord
En mire de ma vie
Alison-son-son
Dans ma tête comme une douce mélodie
Qui jamais ne s’arrête, non
Qui jamais ne s’enfuie
Mon corps résonne, non, non, non, non, non
Dans mes veine, cette douce mélancolie
J’en abuse quand même
A m’rapprocher du paradis, oh, non, non, non
Une vie d’soleil
Dans les astres de la lune
Me répondit
Que je ne suis pas un bel astre
Yen aura un pour toi aussi
Et celui qui ronronne
Par son oreille meurtrie
Ce n’est pas sa faute
Si c’est la seule qui brille
Alison-son-son
Dans ma tête, comme une douce mélodie
Qui jamais ne s’arrête, nan
Qui jamais ne s’enfuie
Mon corps résonne non, non, non, non, non
Dans mes veine cette douce mélancolie
J’en abuse quand même
A m’rapprocher du paradie
Alison-son-son
Dans ma tête comme une douce mélodie
Qui jamais ne s’arrête, non
Qui jamais ne s’enfuie
Mon corps résonne, non, non, non, non, non
Dans mes veine, cette douce mélancolie
Et j’en abuse quand même
A m’rapprocher du paradis
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