Retrouvez le replay du débat de l'Équipe de Greg du 23/04/2025.
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00:00On revient sur notre Ligue 1. Hier, le Paris Saint-Germain a été accroché par le FC Nantes.
00:04Le PSG bousculé contre un FC Nantes qui se bat pour son maintien.
00:09C'est Paris qui a ouvert le score grâce à Vitinha à la 33ème minute de jeu,
00:16servie par Lee, la reprise demi-volée du Portugais Vitinha pour son cinquième but en Ligue 1.
00:22On a eu un grand Donnarumma hier soir, comme sur cette parade devant Castelletto.
00:27L'égalisation ensuite Nantaise en fin de match grâce à Ablin et Douglas Augusto du nom d'un tir puissant à l'entrée de la surface de réparation.
00:37La joie du Brésilien, la barre transversale en fin de match de Gonzalo Ramos, un partout.
00:43Score final, un match qui n'inquiète pas l'entraîneur du Paris Saint-Germain, Luis Enrique, à six jours du match de Ligue des Champions contre Arsenal.
00:50Moi, je n'ai vu que du contrôle total.
00:59Après, on avait en face un adversaire toujours dur à jouer, avec deux très bons joueurs devant.
01:05Ils étaient en bloc bas et c'est toujours difficile à défendre.
01:09Mais moi, j'ai vraiment vu du contrôle. Je ne sais pas quel match vous avez vu, vous.
01:12On ne voit pas toujours les mêmes matchs que Luis Enrique, en effet.
01:19Donc, nous, on va vous poser la question.
01:20Est-ce que pour vous, c'est un nul inquiétant avant la Ligue des Champions, on rappelle ?
01:23C'est dans J-6, maintenant, le rendez-vous en demi-finale face à Arsenal.
01:28Oui, pour Camille, si c'est pareil vendredi, ça deviendra inquiétant.
01:32Non, mais il y a un mais ici.
01:35Oui, mais il y a un mais également du côté de l'ambre.
01:37Là, c'est un non radical. Normalement, non.
01:39Mais aussi, il y a des mais un peu partout.
01:42Non pour GF1.
01:44C'est Séverine qui va prendre la main parce qu'elle, au moins, elle n'a pas mis de mais.
01:47Elle est là, pleine et entière. Il n'y a aucune inquiétude.
01:50En fait, moi, je me dis, je me mets à la place des joueurs.
01:54Tu es champion, tu vas chercher un record, tu sais que tu maîtrises la Ligue 1, etc.
01:59Pour moi, ce que j'ai vu hier ne m'a pas inquiétée.
02:02Peut-être plus un petit peu l'attitude, parfois, pendant quelques séquences de jeu.
02:06Mais moi, je trouve ça tout à fait normal en tant que joueur, quand tu as fait cette saison ou la saison que tu as faite,
02:09que tu as ce niveau de jeu, que pour moi, tu marches sur la Ligue 1.
02:13Ça sera tout à fait normal de, parfois, laisser un point par-ci, par-là, tant que tu ne sais pas battre.
02:17Moi, il n'y a rien qui m'a inquiétée hier dans ce que j'ai vu.
02:18Mais absolument rien.
02:19Alors qu'Ambre, elle, elle est inquiète.
02:21Par contre, à nouveau, là, je pense quand même qu'Ami, s'il y a un truc qui se passe, par exemple, vendredi ou face à Nice,
02:24ça couche, ça, c'est différent.
02:25Mais là, moi, je trouve ça tout à fait normal en tant que joueur, inconsciemment, en tout cas,
02:29d'un petit peu lever le pied et mettre peut-être moins d'intensité.
02:31Ambre, vous, vous êtes plutôt du côté des inquiets.
02:35Mais.
02:36Oui, mais partons sur déjà l'inquiétude de départ.
02:38Oui, oui. Non, en fait, l'inquiétude, parce que moi, je prends un peu de hauteur.
02:40Je ne prends pas que ce match-là.
02:41Je prends un package, ça fait quelques semaines.
02:43Ça fait quelques matchs déjà que le Paris Saint-Germain ralentit.
02:46Et quand on voit les altitudes sur lesquelles il a réussi à évoluer,
02:49notamment pour faire face à Liverpool sur le plan athlétique, qui était ma grosse interrogation,
02:53j'ai peur que le soufflet retombe.
02:55C'est une peur légitime quand on regarde à quel point il lève le pied.
02:58Oui, il n'y a plus le levier de motivation.
02:59Hier, vous étiez bien placé pour voir.
03:01C'était vraiment barre d'intensité.
03:03Non, mais j'ai vu quelques individualités qui n'étaient pas dans leur registre habituel.
03:07Dans l'intensité, dans les petites fautes techniques, dans la réussite, dans la finition.
03:12Donc, c'est dans ce sens que ça m'inquiète.
03:13Après, mon mais, il rejoint Séverine.
03:15Et je pense qu'il rejoint ceux qui sont autour de la table.
03:17C'est qu'on n'évolue pas dans les mêmes sphères que la Ligue des Champions.
03:20C'est qu'on sait que ce n'est pas le même curseur.
03:21Et que ça fait tellement d'années, je suis bien placée pour le dire,
03:25où je pointe du doigt le Paris Saint-Germain en disant fort avec les faibles.
03:28Faible avec l'effort.
03:29S'ils arrivent à être, entre guillemets, faibles et à se relâcher sur des équipes
03:34qui, a priori, sont à leur portée, ce n'est pas grave s'ils arrivent à élever le curseur
03:38au moment de la Ligue des Champions.
03:39C'est vrai qu'il y a une période depuis la trêve où c'est un peu moins bien.
03:42On peut dire que le Paris Saint-Germain est légèrement en dedans.
03:45Ce n'est pas alarmant non plus.
03:46Mais par exemple, on a isolé deux statistiques.
03:49La première, c'est que le PSG depuis la trêve a été mené dans trois de ces sept derniers matchs depuis la trêve.
03:55Ça avait été le cas contre Saint-Étienne, contre Dunkerque en Coupe de France.
03:58Et face à Aston Villa au match allé, derrière, ils ont gagné quasiment tous leurs matchs sauf un sur ces sept.
04:04Et puis Paris a encaissé neuf buts en sept matchs.
04:06Ils encaissent un peu plus de buts qu'à leur capricumé.
04:09Et plus d'un but par match encaissé par le Paris Saint-Germain depuis la trêve.
04:13Non, mais il y a eu aussi…
04:14Des défenses expérimentales aussi.
04:15Oui, c'est ça.
04:16Mais il y a aussi le match retour.
04:18On peut prendre aussi la deuxième période du match d'Aston Villa qui était déjà une inquiétude.
04:22Ce n'était pas une inquiétude.
04:23Et il n'y a pas eu de moment rassurant depuis.
04:26La deuxième mi-temps, ce n'était pas une inquiétude.
04:27C'est une énorme piqûre de rappel.
04:29Parce que là, tu aurais pu prendre la bifurcation et puis tu as arrêté sur le bas de côté.
04:34Donc voilà.
04:35Mais après, c'est difficile réellement de savoir tant qu'on ne sait pas ce qui va se passer.
04:39Parce que si ça tourne mal, on reviendra.
04:41On dira qu'on avait senti un ralentissement.
04:43Et que le niveau individuel de tout un chacun devenait disparate.
04:47En même temps, c'est vrai, je suis rejoint Séverine.
04:49Au bout d'un moment, tu as une forme d'usure.
04:50Parce que tu surclasses tellement un championnat qu'inconsciemment, de toute façon, tu te dis que de toutes les manières, tu es tout le temps au-dessus.
04:58Et que même si les meilleurs ne sont pas meilleurs, tu fais rentrer les remplaçants.
05:01Ça suffit.
05:02Donc c'est sûr qu'il y a un peu ce côté-là.
05:04Alors, il faut faire attention.
05:05On s'irrit d'invincibilité.
05:06Quand ça devient vraiment un truc coché, qu'il faut absolument valider, ça peut parfois user et épuiser, quelque part, psychologiquement.
05:14Parce qu'on pense que ça maintient.
05:17Moi, j'ai eu un exemple contraire qui a coûté très cher à une grande nation du football.
05:21Mais les records d'invincibilité, ça peut parfois fatiguer les joueurs.
05:27Des fois, il vaut mieux perdre une fois et se remettre la tête à l'endroit que courir forcément toujours le record d'invincibilité.
05:34Mais bon, ça dépend sous quel regard tu le vois.
05:37Un regard ténébreux, comme à chaque fois, ombrageux.
05:39Un ami, je te connais.
05:41Et intense.
05:42Hier, c'est vrai qu'on était au match et que j'ai un peu sondé Louis-Henriquet à ce sujet, pour le coup, du levier de l'invincibilité.
05:50Et c'est un des seuls qu'il a.
05:51Parce qu'autre la symbolique, tu es déjà champion.
05:54Bon, il y a des adversités qui vont un peu te secouer.
05:56Mais sinon, l'invincibilité, c'est pas...
05:58Alors, tu vois, moi, je le vois à l'envers de toi.
06:00Je ne me dis pas, on veut absolument être invaincu.
06:02C'est juste que dans le vestiaire, aucun joueur ne veut être celui qui va perdre.
06:07Être dans le 11 de celui qui va perdre.
06:08Et ça, c'est un vrai bien de motivation.
06:09A propos du 11, Giovanni, hier, on regardait la compo.
06:11C'était quasiment la compotype aussi.
06:13Oui, à la nuance près que Warren Zairabry était au milieu de terrain.
06:17C'était Joao Neves qui était arrière-droite, même s'il remontait beaucoup au milieu de terrain.
06:22Et Lucas Beraldo, même si Lucas Beraldo...
06:24Et Dieu sait que j'ai été dur avec lui.
06:25Hier, ça a été loin d'être le pire des paris.
06:27C'est vrai, mais d'où il n'est pas sur le terrain ?
06:29Non, mais bien sûr.
06:31Il y a d'autres éléments, mais quand même, il y avait l'ossature au milieu, il n'y avait pas fait une grande revue d'effectifs.
06:37C'était un peu...
06:38Non, mais c'était un mix.
06:39Il y avait des titulaires et il y avait des remplaçants.
06:41Moi, il y a juste quelque chose.
06:43J'ai deux points de légère inquiétude.
06:46Honnêtement, l'attitude à Villaparque, elle a été scandaleuse à 0-2.
06:50Celui qui a été vraiment le symbole de tout ça, c'était Vitigna.
06:54Hier, ok, il marque le but, mais c'est lui qui perd le ballon sur l'égalisation des Nantais.
07:01Moi, j'ai un petit doute en ce moment sur Vitigna.
07:04Je ne sais pas s'il a perdu de la confiance après la rencontre face à Villaparque.
07:08Il y a eu une bonne...
07:09Je ne sais pas si tu étais à côté, mais il y a eu une discussion, une séquence entre Luis Enrique et Vitigna
07:14où il lui demandait d'aller plus vite à l'opposé, d'arrêter de muter.
07:17En de la profondeur un peu.
07:18Oui, mais surtout de changer de côté parce qu'il a tendance à multiplier les touches de balle
07:21et parfois, ça a agacé deux ou trois de ses partenaires.
07:24Et il y a un truc où je les trouve moins performants.
07:26Là, je ne sais pas si c'est les changements ou le physique,
07:29mais leur pressing était d'une qualité exceptionnelle.
07:33Et je trouve que là, il est de plus en plus désorganisé.
07:35Deux ou trois fois, les Nantais, et là, ce n'est pas Liverpool,
07:38et ce n'est pas Arsenal.
07:41Ils sont sortis de les zones de presse, ils ne sortaient pas.
07:43Jérôme, qui était avec moi à Villaparque, la première période,
07:46il a passé son temps en gueulé Guevara et Bradley Barcola.
07:49Vous avez fait ça, Jérôme ?
07:50Non, mais parce qu'ils ne sortaient pas ensemble.
07:53Et Ousmane Dembélé était un peu isolé sur le pressing.
07:57Donc, peut-être que c'est parce qu'il y a un peu moins de fraîcheur physique
08:00et parce qu'il y a beaucoup de rotation dans l'effectif que c'est moins bien huilé.
08:03Mais c'est deux petites choses qu'il faudra corriger pour l'Emirates.
08:06Bon, Jérôme, faites attention, quand même, pas trop de pression sur les joueurs.
08:09Ça peut les déstabiliser.
08:11Camille, il y a quand même, parce qu'on a parlé du record,
08:13mais il y a eu un record hier qui a fait entrer le Paris Saint-Germain dans l'histoire.
08:17Oui, on parle beaucoup de l'invincibilité en championnat.
08:19Mais voilà, le PSG est entré dans l'histoire du football européen hier soir.
08:23Aucun joueur de l'effectif du PSG n'était né encore à l'époque.
08:27Mais en 1993, l'AC Milan s'empare du record de la plus longue série d'invincibilité à l'extérieur.
08:34Vous voyez la photo, elle est magnifique.
08:35Cette composition d'équipe a fait saliver Giovanni,
08:38qui depuis n'aime plus trop le Milan, mais ce n'est pas grave.
08:41Donc voilà, c'était l'invincibilité à l'extérieur pour une équipe du top 5 européen
08:44avec 38 rencontres sans revers.
08:47Une prestation majuscule de la part des hommes de Capello et Saki entre 91 et 93.
08:51Le PSG, comme attendu, a donc battu ce record hier soir avec 39 matchs invaincus.
08:56Loin de ses terres, 30 victoires, 9 nuls.
08:58Et forcément, Luis Enrique était très fier de ce nouvel exploit hier au micro d'Elodie Berthe.
09:08Aujourd'hui, c'est un jour spécial.
09:10Nous avons réalisé un record incroyable, un record détenu par un Milan exceptionnel.
09:14Je tiens également à féliciter l'entraîneur qui m'a précédé,
09:21M. Christophe Galtier, ses joueurs et tout son staff.
09:24Car c'est avec lui que ce record a commencé.
09:26Et donc, on en a parlé, outre ce record,
09:28les Parisiens ont un titre honorifique encore plus beau à aller chercher.
09:31Jamais le PSG n'est encore parvenu à conclure une saison
09:34sans la moindre défaite en championnat.
09:36Et ça, c'est encore réalisable.
09:38Mais pour Joao Neves, ce n'est pas une obsession,
09:40mais un joli petit bonbon supplémentaire.
09:44Je suis très heureux pour l'équipe.
09:47Nous n'avons pas perdu et je sais, comme vous,
09:50que nous avons battu un record.
09:52Celui de 39 matchs disputés à l'extérieur sans perdre.
09:57Finir la saison invaincue,
09:59on ne se concentre pas sur ça.
10:01On se concentre sur le fait de faire de notre mieux
10:03pour l'équipe, pour le club.
10:04Et si on fait de notre mieux, on s'en rapprochera.
10:08Voilà, cette invincibilité en championnat
10:10qui peut permettre de mobiliser encore les troupes jusqu'à la fin.
10:14Alors, l'invincibilité, on va en reparler,
10:15mais je voudrais juste revoir la petite photo que vous nous avez choisie.
10:19Les anciens, quand même.
10:20Là, c'est Milor.
10:21Ah oui, il faut qu'on fasse le tour des joueurs.
10:23Elle était où ?
10:24Quelle équipe ?
10:25L'équipe de quand est où ?
10:26Elle a été prise, cette photo ?
10:27Ça, c'est au Vélodrome.
10:29Non, ce n'est pas au Vélodrome.
10:29C'est la finale, c'est à Paris.
10:34C'est la fameuse équipe qui a perdu la finale face à Marseille
10:36en Ligue des champions.
10:38Mais l'avant-dernier, en bas, c'est qui ?
10:41Je n'arrive plus à me souvenir, c'est pas Donadoni ?
10:42On va le retrouver.
10:43De quoi ? L'avant-dernier ou ça ?
10:44En bas, en bas.
10:45Là, c'est à droite.
10:47C'est Barézy.
10:48Barézy, il y a Barézy.
10:49Non, non, non.
10:49De l'autre côté.
10:50Ah oui, là, je ne l'ai pas.
10:51On va vous le trouver.
10:52Du côté de Tassauti, il y a Tassauti.
10:54On va vous le trouver.
10:55Merci pour le jeu, Nabil.
10:56Merci, Nabil.
10:56Vous avez bien voté l'émission.
10:58C'est un peu incroyable.
10:59Nabil, ce n'était pas le jeu du jour.
11:01Revenons quand même sur cette histoire de record.
11:02Parce que ça m'intéresse à ce que vous disiez, Nabil, tout à l'heure
11:04sur l'idée que ça peut gangréner un peu le Paris Saint-Germain.
11:07Non, vous, Giovanni, vous n'adhérez pas à cette thèse.
11:10Non, parce que pour avoir croisé les joueurs parisiens
11:13dans le tunnel de la zone mixte,
11:16ils ne se sont pas arrêtés à part Joao Neves, d'ailleurs,
11:18on voyait quand même les visages.
11:20Ils étaient agacés, ils étaient énervés.
11:23Donc ils sont conscients qu'ils n'ont pas fait un bon match, alors ?
11:25Ils sont très agacés du but encaissé à la fin.
11:29Ils sont conscients qu'ils auraient pu et dû tuer la rencontre avant.
11:32Et tu sens que c'est un groupe, pour le coup,
11:35et c'est pour ça que j'ai adoré la réaction d'Ousmane Dembele
11:37après la défaite à Aston Villa.
11:38C'est un groupe qui est très exigeant envers lui-même,
11:41qui a envie...
11:42Parce que des saisons où tu es touché par la grâce,
11:44où tu n'as pas de blessure,
11:45où tu sens que tout va un petit peu dans ton sens
11:46depuis ce match face à Manchester City,
11:48c'est rare et ces joueurs-là, ils le savent.
11:51Donc il faut le matérialiser, il faut rentrer dans l'histoire
11:53et c'est un bon moyen de le faire.
11:55Et l'exigence, je trouve qu'elle est évidemment forte
11:57auprès de Luis Enrique,
11:59mais sur certains cadres du PSG,
12:00c'est assez visible sur les visages.
12:02Bon, on verra.
12:03Attention au prochain match,
12:04on rappelle, c'est Nice, le prochain match.
12:06Au Parc, vendredi.
12:07Au Parc, voilà.
12:08Dernière rencontre avant l'échéance Arsenal,
12:10évidemment, en demi-finale des Ligue des Champions,
12:11où il y aura une grande soirée sur la chaîne équipe,
12:13évidemment, pour vivre le match encore mieux
12:14que si vous étiez au stade.
12:16L'OM, en stage à Rome.
12:18Alors, c'est pression ou des pressions pour vous, ce stage ?
12:21Le Real doit éparer Karl-Ancelotti ou pas, d'ailleurs.
12:23Alors, c'est Adrien Corrugle, ça sera son pourquoi.
12:26Et puis, le sauveur de la Ligue 1.
12:27Tiens, on vous le présente dans quelques instants.
12:28A tout de suite.
12:29Donne à donner.
12:29Sous-titrage Société Radio-Canada