Toute la semaine dernière, une délégation de l’Association culturelle arménienne 13 des Pennes-Mirabeau a sillonné l’Arménie pour venir au contact de quelques-uns des 100 000 réfugiés d’Artsakh qui y vivent depuis l’exode de 2023. Une mission humanitaire que "La Provence" a accompagnée.
"Il y a des larmes dans les yeux des élèves d’Artsakh", confie Anna Nigoghossian, la directrice de l’école Mesrop Machtots 1 de Sevan. Depuis la cession administrative de l’enclave arménienne du Haut-Karabakh (l’Artsakh pour les Arméniens) à l’Azerbaïdjan, et l’exode de 120 000 habitants (https://www.laprovence.com/article/france-monde/5318440827583415/comment-vivre-avec-eux-la-terreur-des-armeniens-fuyant-le-nagorny-karabakh) dont 100 000 vers l’Arménie en 2023, plusieurs dizaines d’enfants réfugiés, certains orphelins, ont été accueillis dans cet établissement scolaire près du lac Sevan, à une centaine de kilomètres de leur vie d’avant. (https://www.laprovence.com/article/france-monde/5457724130348515/dans-stepanakert-la-capitale-fantome-du-karabakh) Il y a des larmes, de la tristesse dans leurs yeux, mais aussi, en ce dimanche pascal, une infinie candeur quand les bénévoles de l’Association culturelle arménienne (ACA) 13 leur tendent un Kinder qu’ils s’empressent de secouer pour essayer d’en deviner la surprise, comme le font tous les enfants.
"Il y a des larmes dans les yeux des élèves d’Artsakh", confie Anna Nigoghossian, la directrice de l’école Mesrop Machtots 1 de Sevan. Depuis la cession administrative de l’enclave arménienne du Haut-Karabakh (l’Artsakh pour les Arméniens) à l’Azerbaïdjan, et l’exode de 120 000 habitants (https://www.laprovence.com/article/france-monde/5318440827583415/comment-vivre-avec-eux-la-terreur-des-armeniens-fuyant-le-nagorny-karabakh) dont 100 000 vers l’Arménie en 2023, plusieurs dizaines d’enfants réfugiés, certains orphelins, ont été accueillis dans cet établissement scolaire près du lac Sevan, à une centaine de kilomètres de leur vie d’avant. (https://www.laprovence.com/article/france-monde/5457724130348515/dans-stepanakert-la-capitale-fantome-du-karabakh) Il y a des larmes, de la tristesse dans leurs yeux, mais aussi, en ce dimanche pascal, une infinie candeur quand les bénévoles de l’Association culturelle arménienne (ACA) 13 leur tendent un Kinder qu’ils s’empressent de secouer pour essayer d’en deviner la surprise, comme le font tous les enfants.
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00:00Dans les yeux de l'élève d'Artsakh, il y a les larmes.
00:24Nous sommes venus dans le but d'aider une école, l'école de Sévan,
00:28parce qu'en fait, il y avait 26 enfants d'Artsakh qui étaient arrivés et qui n'avaient pas de tablettes.
00:38Aujourd'hui, nous avons accueilli les Français.
00:42Nous sommes heureux qu'ils trouvent ici, dans notre école.
00:48Et nous remercions eux pour leur donation.
00:58Nous sommes venus dans les petits enfants.
01:01Donc, nous serons les Français.
01:04Nous s'apportons à la manière de dire qu'il n'a pas pris en place.
01:07Il n'a pas été d'un pays.
01:10On va essayer de nous placer, on va en voir, on va chercher un petit peu de vieux.
01:14Non, non, non.
01:19Non, on ne va dire qu'il n'a pas deечатement.
01:20On veut dire qu'il n'a pas de vectors.
01:21Oui, on va juste pour le temps.