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00:00Europe 1, 16h, 18h, on marche sur la tête, Cyril Hanouna.
00:0517h06 sur Europe 1, on marche sur la tête, on est très heureux d'être avec vous, qu'est-ce qu'on est bien, franchement.
00:10Franchement c'est magnifique, voilà, c'est magnifique.
00:13Tiens, il y a Pascal Bataille, tiens, qui m'a dit, je ne suis pas sûr que la France ait besoin de Cyril Hanouna comme président.
00:18Oui, voilà, après Pascal Bataille, il donne beaucoup son avis, il ferait mieux de se concentrer sur ses émissions.
00:23Voilà, merci, voilà, non mais c'est important.
00:30C'est important de dire les choses.
00:31Il est 17h06, Olivier d'Artigol est avec nous, sur Europe 1.
00:35Gérard Dillemani est avec nous également.
00:38Bonjour Valérie Benaïm, merci d'être là, merci de concilibrer d'être là également.
00:42Un plaisir.
00:43Et Edouard Lavollé, de Valeurs Actuelles, est avec nous, merci d'être là.
00:48Le candidat Hanouna 2027, donc ça c'est votre une.
00:51Franchement, même moi j'étais saisi, j'étais saisi dessus-dessous, j'étais comme une côtelette.
00:56Franchement j'étais un un, mais franchement j'étais un un, mais j'étais saisi.
00:59Hier, quand c'est arrivé, franchement j'étais, ah oui, non, non, j'avais quand même.
01:03Ah j'ai une question intime d'ailleurs.
01:05Intime à qui ?
01:06À vous ?
01:06À moi, je croyais.
01:09Est-ce que votre maman l'a vue et qu'est-ce qu'elle en a pensé ?
01:11Alors ma maman, elle l'a pas encore, elle l'a vue bien entendu.
01:14Oui, mais elle a eu forcément une réaction maman.
01:16Ah tiens, qu'est-ce qu'elle dit ?
01:20Tiens, ma mère vient de m'écrire en plus à 17h30.
01:21Ah, c'est incroyable.
01:23Moi je ne joue pas, j'ai tout cela.
01:24Elle a déjà le four à pizza et la...
01:26Ah oui, elle est plus sur le sujet.
01:28Elle est plus sur les cadeaux.
01:30C'est le seul truc qu'elle a retenu, c'est le four à pizza.
01:33C'est extraordinaire.
01:33C'est un nom.
01:34Non, d'accord, mais le four à pizza ?
01:36Elle ne m'a vraiment pas du tout parlé des valeurs actuelles.
01:38Elle est sur le four à pizza.
01:39Demain, elle va l'acheter quand même, ces valeurs actuelles.
01:40Bien sûr qu'elle va l'acheter.
01:41Non, mais c'est sûr qu'elle va l'acheter.
01:42Il sera encadré même, j'espère, bien sûr.
01:43Déjà, je pense qu'elle va en prendre une dizaine d'exemplaires.
01:46Moi j'ai une question pour Edouard.
01:48Edouard Lavolé, on rappelle que c'est le journaliste qui a écrit l'article dans Valeurs actuelles.
01:51Edouard, pourquoi le titre, le candidat 2027 à Nounah, avec un point d'exclamation ?
01:57Pas un point d'interrogation, un point d'exclamation.
02:00Comment vous en êtes venu à ce titre, après votre enquête ?
02:03Alors, il faut savoir que dans les rédactions, la titraille se fait indépendamment du journaliste qui a écrit le papier.
02:09Vous voulez dire que vous n'êtes pas responsable ?
02:10Je n'ai vrai en rien dans la titraille, c'est le directeur de la rédaction.
02:15C'est Tugdual, Tugdual, Tugdual.
02:17Tugdual, Tugdual, Tugdual, Tugdual.
02:19J'adore Tugdual, Tugdual, Tugdual, Tugdual, Tugdual, Tugdual, Tugdual, Tugdual.
02:27Adoré m'appeler Tugdual, Tugdual, Tugdual, Tugdual, Tugdual, Tugdual, Tugdual.
02:57J'ai failli m'appeler Tugdual.
03:02Normalement, il y a des mecs dans des bars, t'imagines une attaque Erding à Londres et Tugdual de nuit.
03:08Franchement, ça serait de la folie.
03:10Ça marche dans la phrase.
03:12J'imagine deux secondes à Londres avec Tugdual en attaque.
03:16Ça va être de la folie.
03:17Je pense qu'ils vont mettre 52 buts dans la nuit.
03:20Ça va être un truc de fou.
03:21Tugdual, le Bré, alors, ça faillait être ?
03:23C'est ma mère qui a refusé.
03:24Il y avait une grosse pression de mon père.
03:25Moi, j'aurais...
03:26Mon prochain enfant, j'appellerai Tugdual.
03:29Tugdual, Tugdual, Tugdual, Tugdual.
03:31Le point d'exclamation, c'est Tugdual, Denis.
03:33Je ne sais pas si c'est lui tout seul ou il y a un inquietiste,
03:35mais en tout cas, je pense qu'il y a eu un arbitrage.
03:37Mais il a raison.
03:37C'était un peu Anunat en 2017.
03:39Moi, j'en ai marre.
03:41Demander le programme.
03:43Au début, ce n'était pas ça.
03:43C'est ce que ça sous-tend.
03:44Je ne sais pas si ce n'était pas ça.
03:45Tu mets au premier interrogation, ce n'est plus la même une.
03:47C'est un peu de demander le programme.
03:48Il faut y aller, quoi.
03:50Il faut y aller.
03:50Il faut y aller.
03:51Il nous écoute, en tout cas, Tugdual.
03:53Oui, je vais vous dire.
03:53Il rigole beaucoup.
03:54Il rigole beaucoup.
03:56Il y a un FC Lorient, c'est ça ?
03:57J'adore.
03:57C'est vrai que c'est...
03:58But à Saint-Symphorien.
04:01But à Metz.
04:02C'est parti d'une remontée de balle de Tugdual.
04:05Le Denis qui a passé en avant à José López.
04:08José López Agar.
04:09Passé trois des renseurs à Gangampe.
04:11qui a remis le Tugdual-Denis qui a en avant.
04:16C'est énorme.
04:16C'est vrai.
04:17Tugdual-Denis, je peux faire ça à 8h.
04:19Il y a qui d'autre dans la rédaction ?
04:21C'est quoi les mots ?
04:23C'est un peu ta voix.
04:24Sébastien Ligné.
04:25Sébastien Ligné, d'ailleurs, il est remplaçant.
04:29Sébastien Ligné, cinéaste sans succès.
04:31Victor, c'est quoi ?
04:31Victor Hérault.
04:32Victor Hérault, pas mal.
04:35But ici, but ici à Geoffroy Guichard.
04:40But à Geoffroy Guichard.
04:41Amori Bucco.
04:44Amori Bucco, c'est pas mal.
04:46Amori Bucco, c'est un dessert italien.
04:49Je sais.
04:50Il y a le frère Rousseau.
04:51Justement, son frère Rousseau.
04:53Merci.
04:56Ça, c'est faire de l'humour dans la rédaction aux nouvelles heures actuelles.
04:59On se calme, s'il vous plaît.
05:00Les gens nous écoutent.
05:01On est sur Europe 1.
05:02On n'est pas là.
05:03On n'est pas sur Radio Cocktail.
05:06Franchement, on est sur Europe 1.
05:07Oui, bonsoir.
05:08Pour revenir à l'article, justement.
05:09Vous aviez un truc à me demander, non ?
05:11Non, une question intime concernant la réaction de votre maman par rapport à l'article.
05:15Surtout, c'était sa seule question.
05:16Oui, voilà.
05:17Mais donc, par rapport à l'article, vous dites un peu, en gros, que Cyril Hanouna serait un candidat un peu trois en un.
05:23Avec le côté...
05:24On m'appelle Framéto dans mes mots.
05:25Un côté Hamon, Musk et Wauquiez.
05:28Alors oui, c'est Tugduel qui a dit ça ce matin.
05:29Oui, et vous, à votre avis, c'est plus qui, en fait, Cyril Hanouna ?
05:33Ce serait plus qui ?
05:34Reagan ?
05:35Trump ?
05:36Zélinski ?
05:37Ou Berlusconi ?
05:37Vous avez vu que c'est Pégriault ?
05:39C'est trop compliqué de choisir une personnalité pour le qualifier, parce que c'est un mélange de plusieurs influences, comme je l'ai dit.
05:46Donc, il y a un peu de Trump sur l'anti-walkisme.
05:48Un peu de Musk sur le caractère homme d'affaires qu'il y a à OIC et qui veut reprendre notre époque.
05:53L'efficacité.
05:53Le succès story, entre guillemets, à la française.
05:55Et le reste, on a un peu de...
05:57Oui, peut-être de Le Pen sur le côté programme, faire la convergence des luttes, entre guillemets, sur l'économie et sur le régalien.
06:04Enfin, il y a plusieurs...
06:05Vous avez trouvé une formule qui est intéressante.
06:10Vous dites que c'est un opni, un objet politique non identifié.
06:13C'est vrai qu'on aurait du mal à le positionner sur l'échiquier politique en regardant son programme.
06:18Enfin, moi, je ne sais pas où mettre exactement.
06:19Et même sur l'échiquier médiatique.
06:20Et il parle un peu à toutes les chapelles idéologiques.
06:22Oui, c'est sûr.
06:22Et à tous les partis.
06:24Et donc, c'est pour ça qu'on l'est qualifié d'opni en disant que...
06:28Opni.
06:28Un néologisme.
06:30C'est de vous, ça, opni ?
06:31C'est de moi, ça.
06:32C'est pas mal, j'aime bien.
06:33C'est déposé ?
06:33Non, mais je vais...
06:34Ça ne va pas tarder.
06:35Non, mais bravo.
06:36Franchement, butte de l'édoir à la voulée !
06:39Et une question, parce que vous avez aussi fait un sondage, comme on a un sondage, pour connaître le potentiel électoral.
06:46Non, l'IFO.
06:46Ah, je croyais, parce que l'IPSO, c'est...
06:48D'hémis, c'est...
06:49Ah, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça.
06:49Ah, c'est ça, c'est ça, c'est ça.
06:50Ah, merci.
06:50Et d'ailleurs, Frédéric ?
06:52C'est chez qui ? Jérôme Fourquet ?
06:53Dabi.
06:53Jérôme Fourquet, il faudrait que Dabi.
06:54Jérôme Fourquet, il faudrait le faire venir, d'ailleurs, Dabi.
06:56Il était dans les gérés ce matin, il était assez positif sur nous.
06:59Il faudrait le faire venir cette semaine, il est très fort.
07:02Non, mais les deux, je les adore.
07:03Les deux, je les adore.
07:04J'adore les chiffres, je pourrais rester des heures avec eux.
07:06On va les inviter, tiens.
07:08Dabi, c'est passionnant.
07:09Les deux, d'ailleurs.
07:11En plus, je connaissais son cousin.
07:13C'est qui ?
07:13Kia.
07:15Kia Bi.
07:16Ça vient de loin.
07:18Et donc, le potentiel électoral de Cyril est de 10%.
07:22C'est ça, le grand enseignement.
07:23Donc, c'est un potentiel de la qualifier de moyen, mais intéressant dans le sens où vous
07:28êtes la personnalité médiatique, le testé, qui a la plus grosse notoriété.
07:31Donc, 97%, c'est énorme.
07:33C'est plus que Zemmour, plus que Michel Onfray, plus que Pierre de Villiers.
07:36Donc, en fait, vous pouvez, avec votre « aura », votre notoriété, vous pouvez ratisser assez large.
07:41Après, vous prenez des électeurs, globalement, chez Éric Zemmour, chez Marine Le Pen,
07:45et quelques-uns aussi chez Jean-Luc Mélenchon.
07:47Assez peu chez Anne Hidalgo, enfin, au Parti Socialiste.
07:49Il n'y en a pas beaucoup.
07:50On en a pas 10% d'un pourcentage.
07:52Et vous prenez quand même chez les LFistes.
07:55Sur 6ème République, sur le SMIC, sur le SOTÉ.
07:58Sur la démocratie participative.
07:59Tout à fait.
08:00Et chez les macronistes ?
08:01Très peu.
08:02Un ou deux, je crois.
08:03Donc, résiduel.
08:04Il y en a combien encore ?
08:05Ben, moi.
08:08Voilà, ils sont là, les deux.
08:10Macroniste, macroniste.
08:11C'est quoi, ça ?
08:12Ça existe encore ?
08:12Ça n'a rien à voir avec les macroudistes.
08:16Je ne connais pas.
08:17Écoutez, excusez-moi, je ne connais pas.
08:19On a Audrey en ligne de Meurthe et Moselle.
08:21Bonjour Audrey.
08:21Appelez-nous 0182 20 39 21.
08:23Bonjour Audrey.
08:24Bonjour Cyril.
08:25Bonjour tout le monde.
08:26Bonjour.
08:26On est en train de vous avoir en ligne.
08:28Ah ben, nous aussi Audrey.
08:30Vous me manquez beaucoup à la télé.
08:32Mais moi aussi, je me manque.
08:33Déjà.
08:35C'est tellement vrai.
08:37Je rigole Audrey, bien entendu.
08:41Non mais on peut rigoler un peu là.
08:43Non mais moi, je mets le haut là.
08:46C'est l'érision.
08:47Si c'est devenu vraiment l'austérité à tous les étages, ici, moi, je jette mon tablier.
08:55Merci Audrey d'être là.
08:56Ah, et c'est vrai que je disais, les téléspectateurs me manquent.
08:59Vraiment.
09:00C'est vrai.
09:01Je me doute.
09:01En tout cas, si cette information est vraie, si vous vous présentez à la présidentielle
09:07de 2027, déjà, moi, je serais très heureuse et je voterai bien évidemment pour vous.
09:13Je serais très contente.
09:14Donc, vous êtes quelqu'un d'unique.
09:17Il n'y a même pas de ressemblance avec les autres parties.
09:19Vous êtes unique.
09:20Donc, vous êtes proche du peuple.
09:21Vous savez ce que les gens ont comme problème.
09:24Vous êtes pour eux.
09:25Et donc, rien que pour ça, vous êtes unique.
09:27Donc, moi, je voterai pour vous.
09:28Sans vous hésiter.
09:29Alors, justement, Audrey, est-ce que vous préférez pas, Audrey, que je reste avec vous tous les
09:34soirs à la télé ?
09:35Bien évidemment.
09:36Voilà, c'est préféré.
09:37Évidemment.
09:37Vous me manquez là.
09:39Bah oui.
09:39Parce que sinon, vous n'allez pas me voir.
09:41Je vais être une fois au Guatemala en train de serrer des paluches.
09:44On vous plaît autre jour.
09:45Non, mais c'est vrai.
09:46Après, vous pouvez me prendre comme porte-parole.
09:49Voilà.
09:50Débattre avec l'un ou l'autre.
09:52Bah oui.
09:52Et puis, voilà.
09:53Bah oui.
09:54Moi, c'est une solution aussi.
09:55J'adorerais débattre avec Mathieu Melanchon et compagnie.
09:58Après, après, Audrey.
09:59Non, mais vous me préférez quand même à la télé, à la radio, quand même.
10:02Évidemment.
10:03Ah, merci.
10:04Ça me fait plaisir, quand même.
10:05Ça me fait plaisir.
10:05Mais voilà.
10:06Si ça arrivait, je voterai pour vous.
10:07En tout cas, je vous fais un énorme bisou, Audrey.
10:10Et ça me fait très plaisir.
10:11Je voudrais juste vous dire qu'on n'a parlé que de vous ces derniers temps.
10:14Donc, je pense que vous manquez beaucoup aux gens de la gauche.
10:16Ah oui.
10:17Je manque à beaucoup de monde.
10:18Je manque à beaucoup de monde.
10:19Surtout même aux journalistes.
10:20Parce que, si vous avez vu, même les articles.
10:23J'ai vu, il y a un article de Closer.
10:25Alors, Closer, c'est quand même le fond des toilettes.
10:29qui font un article, qui disent, oui, Cyril Honnête, tout le monde l'a oublié.
10:34Ah non.
10:35Et c'est vrai que, mime de rien, le problème...
10:37Ça colle à l'actualité.
10:38Oui, c'est ça.
10:39Ils ont le nez creux.
10:40Ils sont sur les événements.
10:43Quand tu as des journalistes comme ça, tu es tranquille.
10:45Non, mais c'est vraiment...
10:46On ouvre les réseaux sociaux, on allume la télé, on écoute la radio, on ne parle que de vous.
10:51Alors que je ne suis même plus en télé.
10:53Voilà, c'est ça.
10:54Vous n'êtes toujours à la télé, mais on parle de vous tout le temps.
10:56Donc, c'est hallucinant.
10:57En tout cas, je ne sais pas.
10:59Et le pire, c'est qu'ils sont contents de cette petite info-là, qu'ils ne savent pas si c'est vrai ou pas.
11:04Mais je pense quand même qu'ils ont un peu peur aussi.
11:06Alors, regardez, il y a une journaliste de Closer.
11:10Cyril Honnête avait fini par croire que sa popularité pouvait tout emporter sur son passage.
11:14Mais alors, où TPMP appartient au passé, où son avenir télévisuel reste incertain,
11:17son rêve délisé par inatteignable.
11:19Bye bye, ton chute libre !
11:21C'est la nuance, hein ?
11:22Je crois qu'à mon avis, ça doit être une ex.
11:24C'est ce que j'avais demandé.
11:26Une femme malheureuse.
11:26Elle n'est pas bien règle, franchement, voilà.
11:30Merci, voilà.
11:32Merci, merci, merci, en tout cas.
11:35Audrey, je voulais vous faire un énorme bisou.
11:38Et si au cas où, si personne ne gagne la cafetière sage, moi je veux bien la prendre.
11:42Alors, est-ce que je peux en offrir moi-même sur mes deniers une cafetière sage à Audrey ?
11:49Est-ce que je peux lui offrir ?
11:50C'est pour moi, c'est cadeau.
11:51Je vous offre la cafetière, d'accord ?
11:53Non, ce n'est pas vrai.
11:54Ah si, bah oui, je vous l'offre, je vous l'offre.
11:56Il est comme ça.
11:57Je vous l'offre.
11:57Quelle élégance.
11:58Ah oui, bah je suis comme ça.
11:59Et vous, Bénaïm, je vous mets une cartouche.
12:02C'est une cartouche de cartouche ?
12:03Oui, mais si je n'ai pas la cafetière, comment je fais ?
12:05Bah oui, bah vous prendrez déjà la cartouche, ça va vous changer un peu.
12:07Merci.
12:08C'est un début, Bénaïm.
12:09C'est un début, c'est vrai.
12:09C'est bon, c'est pour moi, c'est la cafetière.
12:13C'est bon.
12:13Oh bah merci beaucoup.
12:14Elle parle.
12:14C'est une cafetière.
12:15Et vivement septembre en tout cas.
12:16Ah bah oui, vivement.
12:18Vous savez, comme disait Hélène, peut-être en septembre, tu m'aimeras.
12:21Moi j'ai décidé de t'attendre.
12:23Voilà, merci en tout cas.
12:24En tout cas, j'espère pouvoir venir dans les futurs studios.
12:27Ah, vous allez voir, le plateau est magnifique.
12:29Il y aura encore plus de public.
12:29C'est vrai ?
12:30Ah, c'est magnifique.
12:32Magnifique.
12:32Magnifique.
12:33J'ai dessiné ça ce matin, j'ai croqué ça ce matin.
12:35Vous avez aussi ce talent-là.
12:36C'est fou ça, vous croquez, vous croquez tout.
12:39Mais c'est vrai que vous me manquez Audrey, en tout cas.
12:40Voilà, je vous le dis.
12:41Ah bah merci beaucoup, c'est gentil.
12:43Merci, je vous fais d'énormes bisous.
12:44C'est une petite dédigasse à mon neveu qui fait ses 28 ans aujourd'hui.
12:47Non, comment il s'appelle ?
12:49Attendez, parce qu'il y a mon mari.
12:50Ah, passez-le moi.
12:51Passez-moi votre mari.
12:52Mon mari, il est en train d'écouter.
12:55Et comme il est électricien, il vous offre les travaux si vous avez besoin de travaux.
12:59Non, c'est pas vrai.
13:00J'ai des problèmes d'électricité en plus.
13:02Bah voilà, on revient.
13:03Non mais Audrey, sans rigoler, je vais garder vos coordonnées, mais sans rigoler, parce
13:13que j'ai eu des petits problèmes d'électricité là.
13:14C'est vrai, mais sur quelle région ?
13:16Sur une région lointaine.
13:19Sur une région, non mais en France.
13:20Ah, en France.
13:21Oui, c'est compliqué la lumière de la piscine.
13:24Il est à votre mari, en revanche, et par contre, je ne veux pas le prix, je paierai rubis
13:28sur l'ongle, mais je lui offre le four à pizza.
13:31Je lui offre le four à pizza.
13:32C'est pour moi.
13:32Ah ouais ?
13:33Ah ouais, carrément.
13:34Ah ouais, j'offre le four à pizza.
13:35Vous allez recevoir le four à pizza et la cafetière.
13:37C'est pas les choses à moitié.
13:38La machine à café, pas la cafetière.
13:40Vous êtes parfait, vous voyez, vous êtes parfait.
13:42Et vous embrassez votre mari, il s'appelle comment ?
13:44Jean-Christophe.
13:45Jean-Christophe, non mais sans charrier, je vais prendre votre numéro, je vais avoir besoin
13:47de lui là, parce que j'ai eu des problèmes d'électricité.
13:48Jean-Christophe, c'est vrai, sans problème.
13:49Alors là, il était content de me dire ça il y a trois minutes, donc voilà.
13:53J'ai envie de vous dire, Audrey, mettez-le au courant.
13:56C'est un propos.
13:58Merci.
13:59Audrey, comment s'appelle votre neveu déjà, parce qu'il fête ses 28 ans aujourd'hui,
14:01non ?
14:01Valentin.
14:03Valentin, bon, on l'embrasse Valentin, il fête ses 28 ans.
14:05Il habite où ?
14:07Oh bah il habite à...
14:08Merde.
14:09Il habite à Merde.
14:10Où ça ?
14:11Oh pardon ?
14:12À Bacara.
14:13Bacara, ah d'accord, très bien.
14:15Eh oui.
14:15D'accord.
14:17Bah je sais, bien sûr.
14:18Eh bah je lui offre une machine à café pour son anniversaire.
14:21C'est pour moi, c'est cadeau.
14:22Vous mettez une machine à café sage, c'est pour moi.
14:24Encore ?
14:24Oui, bah oui, c'est l'anniversaire de Valentin.
14:26C'est beau, c'est beau, bravo.
14:27Les mecs, c'est bon, allez.
14:28Bon, en tout cas, je suis content.
14:29Audrey, vous me préférez à la télé quand même que le président.
14:33Évidemment.
14:33On va rigoler quand même.
14:34Évidemment.
14:35Mais vous nous manquez beaucoup, vraiment.
14:36Mais vous êtes à l'amour.
14:37Je ne regarde plus rien à la télé ce soir.
14:38Mais moi non plus, je ne regarde pas, je vais regarder PSG ce soir.
14:41Et puis après, pour voir des cons, c'est bon.
14:42Merci, Audrey, d'avoir été avec nous sur Europe.
14:46Merci beaucoup, bonne soirée, à bientôt.
14:48Merci, Audrey, merci.
14:49Il y a Laurent Jacobelli qui est avec nous.
14:52Qui va réagir.
14:53Laurent Jacobelli.
14:54En plus, j'ai souvent dit à Laurent Jacobelli qu'il devrait être animateur télé.
14:58Parce qu'il est très très fort.
15:00Donc voilà, c'est bien parce que voilà, comme ça, on va peut-être changer un jour.
15:04Je vais changer, mais juste pour un jour.
15:07Pas plus, parce qu'après, je ne vais pas m'en sortir financièrement.
15:10Laurent Jacobelli, merci d'être avec nous sur Europe.
15:14Bonjour Cyril.
15:15Merci d'être là, Laurent.
15:17Merci beaucoup.
15:18Bon, alors, vous avez découvert comme moi la une de Valeurs Actuelles.
15:21Avec surprise.
15:22Je me suis dit, mais que ferait-il dans cette galère ?
15:25Exactement.
15:26Je vais parler de tout ça dans un instant, Laurent.
15:29Mais en tout cas, c'est un beau coup de Valeurs Actuelles.
15:32Et puis, j'aime beaucoup le journaliste qu'il a fait.
15:34Donc, c'est un beau coup quand même.
15:35Après, c'est vrai que j'ai un métier, Laurent Jacobelli.
15:39Oui, et puis, comment on va faire, nous ?
15:42On aime bien d'abord être invités dans vos émissions, regarder vos émissions.
15:45Et puis, vous savez, ce n'est pas un chemin semé de pétales de rose, la politique.
15:50Il y a pas mal de gens qui vous attendraient au tournant, et pas forcément avec des bonnes intentions.
15:54Mais justement, c'est vrai que ça, pour le coup...
15:58Ça peut vous tirer, hein ?
15:59Non, c'est l'activité actuelle, il n'y a aucun problème.
16:03Non, mais justement, Laurent Jacobelli, moi, je voulais juste dire un petit truc.
16:06Parce que je voudrais prendre la défense de Valeurs Actuelles.
16:08Et moi, je disais un petit truc tout à l'heure aux journalistes.
16:11Je disais, je pense...
16:11Moi, pourquoi j'ai démarré l'émission en vous disant, si vous étiez président de la République, qu'est-ce que vous feriez ?
16:15On a tous envie, en fait, de faire plus pour les Français, Laurent Jacobelli.
16:18Mais bien sûr.
16:19Voilà.
16:19Et même moi, parce que voilà, j'adore mon métier, je m'éclate dans ce que je fais,
16:23j'aimerais faire plus pour les Français.
16:25Et parce qu'on se rencontre tous les jours,
16:27et je m'en rends compte avec tous les gens que j'ai au téléphone,
16:30tous les gens que je côtoie, qui viennent me voir,
16:32qui sont dans des difficultés extrêmes.
16:34Et c'est vrai que, je vous dis la vérité,
16:37je vais en parler à Laurent Jacobelli dans un instant,
16:39parce que, on va faire une petite pause là dans deux minutes,
16:41mais juste, il y a énormément de gens qui sont dans des détresses immenses,
16:45et on se dit comment on peut aider les Français.
16:47Non, mais c'est vrai, on se le dit tous ici.
16:49Donc, comme on dit souvent,
16:51il y a 66 millions de sélectionneurs de l'équipe de France de foot,
16:54il y a 66 millions de présidents,
16:56il y a 66 millions de Français qui ont quand même des idées pour la France.
16:59Et c'est vrai que Laurent Jacobelli, on sent quand même une détresse.
17:02Voilà, et on est tous tristes, en fait.
17:04Vous avez raison, la France va très mal, les Français vont très mal,
17:08mais on va en parler, vous avez déjà fait beaucoup pour eux,
17:11vous avez donné la parole à des gens qui étaient invisibles.
17:13Vous les avez amenés en access prime time,
17:15s'exprimer, des gens en situation de handicap,
17:17des gens qui étaient malheureux, des gens qui souffraient dans leur vie.
17:20Vous leur avez mis le projecteur en face,
17:23ils ont pu s'exprimer face à des millions de Français.
17:25Je pense que déjà, vous avez fait,
17:27peut-être que vous ne vous en rendez pas compte,
17:29mais beaucoup pour la société.
17:30Merci, mais c'est vrai que voilà.
17:32Donc en fait, le truc, c'est vrai que moi j'espère,
17:35avec mes futures émissions, faire encore,
17:38bien entendu pour les Français,
17:40aider des gens, aider des gens en difficulté,
17:41mais c'est vrai qu'on est très tristes.
17:43On aimerait voir les Français heureux,
17:45on aimerait en voir les Français souriants,
17:47et comme je dis souvent,
17:48on aimerait voir les Français vivre et non plus survivre.
17:50Et c'est vrai qu'on a...
17:52Laurent Jacoby, vous ne sentez pas quand même que...
17:53Parce que ce qui ressort de tout ça,
17:56c'est qu'il y a beaucoup de gens qui ont dit
17:57qu'on peut y croire parce qu'on a l'impression
18:00que les gens n'ont plus d'espoir
18:03dans la fonction politique.
18:06Vous avez raison, beaucoup sont désespérés
18:09et puis, bon, je ne vais pas faire de la politique,
18:11mais c'est vrai qu'ils ont entendu beaucoup de promesses
18:13et que ces promesses, elles ont été souvent déçues.
18:16Et donc, je crois que quand ils regardaient votre émission,
18:19d'abord, ils avaient la parole,
18:20et une fois encore, je répète,
18:21c'est un sentiment exceptionnel de se sentir écouté, entendu,
18:26quand vous avez l'impression que les services publics ne sont plus là,
18:28que les politiques ne vous écoutent pas.
18:29Il y avait une écoute.
18:30C'est vraiment important.
18:32Et puis, je crois que vous avez,
18:34au moment des gilets jaunes,
18:35au moment de plein de crises,
18:37donné la parole à la fois aux politiques
18:38et à la fois aux citoyens
18:40d'une manière directe.
18:42Voilà.
18:42Pas avec les discours convenus,
18:44qu'on prenait bien sur les chaînes d'affaires.
18:45On le fera encore.
18:45On le fera encore.
18:47Et c'est vrai, Laurent Jacobetti,
18:48si vous voulez rester avec nous sur Europe 1,
18:49on va faire une pause de 5 minutes.
18:51Mais c'est vrai que moi, en tout cas,
18:53là, mon seul projet,
18:54en tout cas dans les mois et les années à venir,
18:57le seul projet que j'ai,
18:58c'est dans mes émissions,
18:59et c'est de faire encore plus pour les Français.
19:00au sein de mes émissions.
19:01Et retrouver ce lien avec eux.
19:02Exactement.
19:03Voilà, c'est vrai que ça me manque.
19:04On reste avec Laurent Jacobetti sur Europe 1,
19:05puis je vous dirai tout dans un instant.
19:06A tout de suite.

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