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Après une série de vidéos qui ont suscité l'indignation, les rappeurs nient soutenir le Hamas et le Hezbollah et ont démenti toute incitation à la haine contre des parlementaires conservateurs. De nombreux artistes ont signé une lettre de soutien au groupe qui est selon eux victime d'une "répression politique".

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Transcription
00:00La police antiterroriste britannique annonce enquêter sur un groupe de rap irlandais.
00:04Le 18 avril dernier, le groupe de rap Knikap a tenu un concert au festival Coachella
00:09et a projeté « Fuck Israel, Free Palestine ».
00:12Sur scène, ils ont tenu un message politique.
00:24La police britannique s'est alors intéressée à des vidéos de leurs anciens concerts
00:29Sur l'une d'elles, filmée à Londres l'an dernier, l'un des membres du groupe crie « Allez le Hamas, allez le Hezbollah ! »
00:36Deux groupes responsables d'attaques contre des civils en Israël.
00:39Sur une autre vidéo filmée en novembre 2023, un des membres du groupe s'en prend au député conservateur britannique.
00:49Face à la polémique, la chef de file des conservateurs, Kémy Badenoch, a réclamé l'interdiction du groupe.
00:55Des élus ont aussi exhorté le festival de Glastonbury à déprogrammer les rappeurs de l'édition prévue fin juin.
01:01Trois concerts du groupe, prévus en Allemagne, ont aussi été annulés.
01:05Ce lundi, le groupe s'est exprimé et a assuré ne pas soutenir et n'avoir jamais soutenu le Hamas ou le Hezbollah
01:11et condamné toutes les attaques contre les civils.
01:14Des trois rappeurs ont aussi réfuté, incité à la violence contre un député ou un individu.
01:19Le groupe dénonce une campagne de dénigrement à leur égard et une instrumentalisation de vidéos sorties de leur contexte.
01:26De nombreux artistes ont signé une lettre de soutien au groupe, victime selon eux d'une répression politique.

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