Luis Enrique
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NotíciasTranscrição
00:00Bonjour coach.
00:02Félicitations pour cette demi-finale de Ligue des Champions et cette qualification finale.
00:07Aujourd'hui, ce n'est pas une question, mais plutôt un petit témoignage.
00:10Ça fait 35 ans que j'attends ce moment, après des désillusions, des rires, des pleurs,
00:14dont vous étiez le principal responsable à votre arrivée.
00:16J'étais très sceptique. Il nous a fallu deux mois pour comprendre là où vous voulez aller.
00:20Et vous avez réussi ce que très peu ont réussi à fédérer un pays, une ville,
00:24peu importe son origine, sa couleur, sa religion ou son âge.
00:28Je terminerai sur ça. Vous avez eu 55 ans.
00:31Au nom du football français et des supporters que nous représentons tous,
00:34nous tenions à vous dire merci pour vos efforts en français
00:37et pour toutes les émotions négatives comme positives.
00:40Et en français, nous disons qui aime bien châtie bien.
00:43Ce n'est pas la fin, rassurez-vous.
00:45On va continuer de vous embêter, nous, les journalistes.
00:48Mais nous avons une dernière danse le 31 mai pour marquer l'histoire du football français.
00:52Êtes-vous prêts ? Et cette fois, une réponse en français, s'il vous plaît.
00:58En français ? Je dois faire la réponse en français ?
01:07Je l'ai essayé.
01:08Merci beaucoup.
01:10Je pense que c'est normal qu'un entraîné comme moi arrive à un club nouveau,
01:19à un autre pays, avec un long évidemment différent.
01:23C'est difficile de comprendre tout ce que l'entraîné pense.
01:30Mais je n'ai rien à dire de mauvais, parce que dès le 1er juillet,
01:38je recevais beaucoup d'amour et beaucoup de compréhension pour les gens,
01:44pour les gens du club, pour les joueurs et pour tous les supporters.
01:49Et c'est normal que quand on arrive à un club les premières années,
01:53tout le monde est avec la critique et je ne comprends pas qu'est-ce qu'il fait.
01:59C'est normal. Je suis habitué à ça.
02:02Normalement, il met quelqu'un A pour faire ça.
02:07Je pense qu'on a eu la mentalité vraie pour maintenir notre pensament
02:17et avoir notre crédibilité.
02:20Je suis habitué à ça et je suis content.
02:24On est le moment, non de parler mauvais dans l'entraîné,
02:28mais de parler bien de la connexion entre les supporters et l'équipe.
02:33Dans le 1er juillet, ça a passé et je pense que c'est le moment
02:39de se préparer, d'essayer les deux finales qui restent pour faire l'histoire.
02:44Et encore manquent de faire l'histoire et je pense qu'on la paie prend.
02:51C'est bien, le fratès ? Plus ou moins, eh ?