Les Arméniens à Saint Jérôme, un quartier de Marseille.
Jean-Garbis ARTIN, président fondateur de l'association pour la recherche et l'archivage de la mémoire arménienne (ARAM) nous parle du quartier de Saint-Jérôme au nord de Marseille, où se sont installés de très nombreux Arméniens au début du XXème siècle.
L’immigration des Arméniens vers la France qui débute en 1922 repose sur deux facteurs : d’une part le fait qu’elle soit la puissance mandataire en Syrie et au Liban – là où les rescapés du génocide sont le plus nombreux – et de l’autre sa quête de main d’oeuvre pour réparer les pertes subies pendant la Grande guerre. Les Arméniens sont donc près de 60 000 à débarquer à Marseille dans les années 1920, à essaimer ensuite le long et autour du sillon rhodanien. Ils travaillent dans les huileries, les savonneries, dans les centres miniers de Gardanne ou de Saint-Chamond, ou encore dans les industries textiles de la région lyonnaise ou de l’Isère.
Vidéo d'une durée de 20 minutes.
http://www.webaram.com
Jean-Garbis ARTIN, président fondateur de l'association pour la recherche et l'archivage de la mémoire arménienne (ARAM) nous parle du quartier de Saint-Jérôme au nord de Marseille, où se sont installés de très nombreux Arméniens au début du XXème siècle.
L’immigration des Arméniens vers la France qui débute en 1922 repose sur deux facteurs : d’une part le fait qu’elle soit la puissance mandataire en Syrie et au Liban – là où les rescapés du génocide sont le plus nombreux – et de l’autre sa quête de main d’oeuvre pour réparer les pertes subies pendant la Grande guerre. Les Arméniens sont donc près de 60 000 à débarquer à Marseille dans les années 1920, à essaimer ensuite le long et autour du sillon rhodanien. Ils travaillent dans les huileries, les savonneries, dans les centres miniers de Gardanne ou de Saint-Chamond, ou encore dans les industries textiles de la région lyonnaise ou de l’Isère.
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