“Goemon”, sorte de Robin des Bois japonais, dans un film dont les décors ont été entièrement réalisés en images de synthèse.
“Goemon” démarre plein de promesses. Une scène d’ouverture bien rythmée, une galerie de personnages hauts en couleurs rapidement introduite, et une scène délicieusement anachronique où notre héros, ravi de son cambriolage réussi, se repose en compagnie d’un groupe de danseuses. C’est visuellement assez délirant, et c’est vraiment ce que j’ai le plus apprécié dans ce film : la création de tout un univers graphique, des décors aux costumes somptueux. Tout cela permet de créer une vraie identité aux personnages qui sont tous plus classes les uns que les autres. Les acteurs, Goemon et son frère d’armes en tête, sont très bons, on retrouve avec plaisir Susumu Terajima dans le rôle du légendaire Hattori Hanzo et on croise même le champion de K1 coréen Choi Hong-Man dans le rôle d’un vilain colosse blond très bourrin (ce qu’il est dans la vraie vie en fait).
“Goemon” démarre plein de promesses. Une scène d’ouverture bien rythmée, une galerie de personnages hauts en couleurs rapidement introduite, et une scène délicieusement anachronique où notre héros, ravi de son cambriolage réussi, se repose en compagnie d’un groupe de danseuses. C’est visuellement assez délirant, et c’est vraiment ce que j’ai le plus apprécié dans ce film : la création de tout un univers graphique, des décors aux costumes somptueux. Tout cela permet de créer une vraie identité aux personnages qui sont tous plus classes les uns que les autres. Les acteurs, Goemon et son frère d’armes en tête, sont très bons, on retrouve avec plaisir Susumu Terajima dans le rôle du légendaire Hattori Hanzo et on croise même le champion de K1 coréen Choi Hong-Man dans le rôle d’un vilain colosse blond très bourrin (ce qu’il est dans la vraie vie en fait).
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🎥
Court métrage