Durant ses mandats ministériels : plan de cohésion sociale. Ce projet, largement soutenu à droite, trouve également des soutiens à gauche. Sa mise en place se fait dans un contexte de baisse de chômage.
Pour l'élection présidentielle de 2007, il déclare assez tardivement qu'il soutient Nicolas Sarkozy, moins d'un mois avant le premier tour de scrutin.
Du 18 mai au 18 juin 2007, il est ministre de l'Économie, des Finances et de l'Emploi dans le gouvernement François Fillon. Le 10 juin 2007, interrogé par Laurent Fabius, il n'exclut pas l'introduction d'une TVA sociale parmi d'autres mécanismes visant à un réaménagement de la fiscalité. L'échange est repris par Laurent Fabius et le Parti Socialiste, qui réussit un deuxième tour des élections législatives de 2007 meilleur que prévu. Certains élus UMP, dont Renaud Dutreil, rendent Jean-Louis Borloo responsable du moindre score de l'UMP, décrivant son intervention télévisée comme « une erreur majeure de communication ».
Pour l'élection présidentielle de 2007, il déclare assez tardivement qu'il soutient Nicolas Sarkozy, moins d'un mois avant le premier tour de scrutin.
Du 18 mai au 18 juin 2007, il est ministre de l'Économie, des Finances et de l'Emploi dans le gouvernement François Fillon. Le 10 juin 2007, interrogé par Laurent Fabius, il n'exclut pas l'introduction d'une TVA sociale parmi d'autres mécanismes visant à un réaménagement de la fiscalité. L'échange est repris par Laurent Fabius et le Parti Socialiste, qui réussit un deuxième tour des élections législatives de 2007 meilleur que prévu. Certains élus UMP, dont Renaud Dutreil, rendent Jean-Louis Borloo responsable du moindre score de l'UMP, décrivant son intervention télévisée comme « une erreur majeure de communication ».
Category
😹
Amusant