Les Moudjahidine de Souk Ahras sont encore nombreux à garder en mémoire les évènements sanglants du 8 février 1958 à Sakiet Sidi Youcef, de l’autre côté de la frontière algéro-tunisienne où, sous les bombardements de l’aviation française, avait coulé le sang des deux peuples.
Après cinquante trois ans, ces évènements ont gardé plus que jamais, selon un Moudjahed, toute leur symbolique car illustrant le destin commun, la lutte glorieuse des pays du Maghreb pour leur indépendance et les sacrifices consentis par les peuples tunisien et algérien.
Pour les habitants des localités frontalières, telles que Heddada, Lakhdara et Souk Ahras, le bombardement de Sakiet Sidi Youcef, commis par l'armée coloniale française visait à briser le bloc soudé entre algériens et tunisiens et à frapper les bases arrières de la Révolution algérienne.
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http://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/8952
Après cinquante trois ans, ces évènements ont gardé plus que jamais, selon un Moudjahed, toute leur symbolique car illustrant le destin commun, la lutte glorieuse des pays du Maghreb pour leur indépendance et les sacrifices consentis par les peuples tunisien et algérien.
Pour les habitants des localités frontalières, telles que Heddada, Lakhdara et Souk Ahras, le bombardement de Sakiet Sidi Youcef, commis par l'armée coloniale française visait à briser le bloc soudé entre algériens et tunisiens et à frapper les bases arrières de la Révolution algérienne.
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