Esclave du rythme.
Ce n'est pas nouveau. La musique synthétique inonde les ondes et enrobe les tubes. Au regard du succès inter galactique des productions dancefloor « made in » France, on ne peut qu'assister à l'ahurissante déferlante auditive, une fois le bouton de radio poussé. La musique dite électronique s'accapare tout les grands courants musicaux du rock au disco en passant, bien sur, par le hip-hop. Si l'on en croit les principaux intéressés, ce n'est pas un genre en soi, mais plutôt une technique musicale post-moderne, applicable à tout les styles. Une machine à succès implacable. Pour certains la transition est rude. Pour d'autres, c'est la consécration ou le renouveau. Comprends qui veut.
Pour Kelis c'est apparemment une « rupture naturelle », une envie simple. Exit les milkshakes r'n'b appétissants qu'on a envie de siroter dans son jardin. C'est le moment du tournant, de l'album qui exprime un changement. La liste des producteurs de « Flesh Tone » défile sans vraiment détonner. Will I Am, Boyz Noize ou Benny Bennassi. Reste David Guetta, mascotte malgré lui d'une façon de faire à la française qui rapporte à chaque écoute. Les majors épousent naturellement le mouvement, flairant l'ambiance. Et pour cause, Kelis en 2010, c'est Grace Jones 2.0. Longiligne et capricieuse, douce et déterminée, langoureuse et possédée. Le plaisir complice de la scène force le respect. Impossible de rester de marbre, et pour cause -même les sceptiques quittent le bar-.
Réalisation/
Boris Bodiansky, Victor Lech & Ingrid Zeller.
Remerciement/
Coralie Kerbellec @ Polydor & Alexandre @ la Flèche d'Or.
Ce n'est pas nouveau. La musique synthétique inonde les ondes et enrobe les tubes. Au regard du succès inter galactique des productions dancefloor « made in » France, on ne peut qu'assister à l'ahurissante déferlante auditive, une fois le bouton de radio poussé. La musique dite électronique s'accapare tout les grands courants musicaux du rock au disco en passant, bien sur, par le hip-hop. Si l'on en croit les principaux intéressés, ce n'est pas un genre en soi, mais plutôt une technique musicale post-moderne, applicable à tout les styles. Une machine à succès implacable. Pour certains la transition est rude. Pour d'autres, c'est la consécration ou le renouveau. Comprends qui veut.
Pour Kelis c'est apparemment une « rupture naturelle », une envie simple. Exit les milkshakes r'n'b appétissants qu'on a envie de siroter dans son jardin. C'est le moment du tournant, de l'album qui exprime un changement. La liste des producteurs de « Flesh Tone » défile sans vraiment détonner. Will I Am, Boyz Noize ou Benny Bennassi. Reste David Guetta, mascotte malgré lui d'une façon de faire à la française qui rapporte à chaque écoute. Les majors épousent naturellement le mouvement, flairant l'ambiance. Et pour cause, Kelis en 2010, c'est Grace Jones 2.0. Longiligne et capricieuse, douce et déterminée, langoureuse et possédée. Le plaisir complice de la scène force le respect. Impossible de rester de marbre, et pour cause -même les sceptiques quittent le bar-.
Réalisation/
Boris Bodiansky, Victor Lech & Ingrid Zeller.
Remerciement/
Coralie Kerbellec @ Polydor & Alexandre @ la Flèche d'Or.
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🎵
Musique