Œuvre majeure de Carolyn Carlson et succès à sa création à l’Opéra de Lille en avril 2008, eau est en tournée en France et à l'étranger. “Water lady”, la chorégraphe dessine une danse avec la fluidité, l’évanescence et les vertus sculpturales de l’eau. Force créatrice ou destructrice, cette dernière jaillit, glisse, ondule, se cristallise, se réinventant dans son être à chaque instant.
Cher à Carolyn Carlson, le thème est déjà présent dans de nombreuses créations comme Still Waters, Writings on Water, Water born. Cette fois sur une musique originale de Joby Talbot, la pièce immerge dans les eaux enveloppantes de la mère, la mélancolie de la rêverie, la pollution menaçante ou la violence des mers. Mystérieux, ambigus, ses reflets troubles laissent l’esprit voguer vers les pensées et les émotions enfouies. La tristesse s’y dissout, l’eau devient larmes, évacuant le sel de l’amertume, indissociable de l’appréciation du bonheur. Élément fondamental de vie, elle charrie sensualité, désir, pureté, emportant les danseurs dans une beauté singulière. Les miroirs aquatiques d’Alain Fleischer laissent le monde se contempler dans l’eau, et les eaux être les yeux de la terre.
Cher à Carolyn Carlson, le thème est déjà présent dans de nombreuses créations comme Still Waters, Writings on Water, Water born. Cette fois sur une musique originale de Joby Talbot, la pièce immerge dans les eaux enveloppantes de la mère, la mélancolie de la rêverie, la pollution menaçante ou la violence des mers. Mystérieux, ambigus, ses reflets troubles laissent l’esprit voguer vers les pensées et les émotions enfouies. La tristesse s’y dissout, l’eau devient larmes, évacuant le sel de l’amertume, indissociable de l’appréciation du bonheur. Élément fondamental de vie, elle charrie sensualité, désir, pureté, emportant les danseurs dans une beauté singulière. Les miroirs aquatiques d’Alain Fleischer laissent le monde se contempler dans l’eau, et les eaux être les yeux de la terre.
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Art et design