Défile du 6 juillet 2010 du jeune créateur Julien Fournié pendant la semaine de la haute couture. Collection intitulée Premier Hiver.
Après avoir exploré la vulnérabilité épidermique (Premiers Modèles - automne-hiver 2009-2010), puis celle d’un vague à l’âme de fin d’été (Premier Eté – printemps-été 2010), Julien Fournié poursuit son « work in progress » autour de la fragilité et va plus loin en s’interrogeant sur une esthétique de la souffrance. Il questionne la beauté trouble d’un corps torturé, soufflé, écorché. En dehors de toute récupération fanatique du phénomène, c’est dans sa dimension ontologique qu’il trouve une expression poétique.
Choc de volumes instinctifs suggérés par la matière, trompe-l’œil épidermiques, basques devenues prothèses, tout concourt à souligner la dimension métaphysique du vulnérable.
Après avoir exploré la vulnérabilité épidermique (Premiers Modèles - automne-hiver 2009-2010), puis celle d’un vague à l’âme de fin d’été (Premier Eté – printemps-été 2010), Julien Fournié poursuit son « work in progress » autour de la fragilité et va plus loin en s’interrogeant sur une esthétique de la souffrance. Il questionne la beauté trouble d’un corps torturé, soufflé, écorché. En dehors de toute récupération fanatique du phénomène, c’est dans sa dimension ontologique qu’il trouve une expression poétique.
Choc de volumes instinctifs suggérés par la matière, trompe-l’œil épidermiques, basques devenues prothèses, tout concourt à souligner la dimension métaphysique du vulnérable.
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Art et design