Luis Ocampo MORENO, on vous tient par la barbichette, et on ne vous lâchera pas. On tient le bon bout !
Le vent commence à tourner à la CPI, ce n’est plus la même chanson sur le procès JP BEMBA. Le témoin sous l’identifiant 38 avait fait ses siennes à la cour le jeudi 25 novembre 2010, avec ses déclarations approximatives. Ce vendredi les deux avocats du Chairman ont atomisés ce malheureux victime de la conjonction internationale faite autour de ce procès inique et bâclé. Un procès sans précédent dans les annales judiciaires…
A la lumière de cette aventure concoctée par un seul homme, le procureur Luis MORENO OCAMPO, la boîte de pandore s’ouvre, et elle fait échapper une odeur nauséabonde au lieu de voir à la place la déesse des eaux profonde. Mais l’odeur en question qui s’échappait de cette merveilleuse boîte, assombrie le ciel de la HAYE et empeste même le devenir professionnel de celui qui était le dépositaire de ce joyau. La fin de carrière de ce petit procureur approche.
Les deux derniers jours ont été cruciaux pour le Leader incontesté de l’opposition et un calvaire combiné avec des insomnies pour ce fameux Procureur avec la prise de Tranxène, un puissant anxiolytique…
D’après les avocats assignés à sa défense, vidéo à l’appui, le sort de JP BEMBA repose sur les témoins qui deviennent par enchantement aphasique, oublieux, approximatifs et aux antipodes de leurs premières déclarations datant de 2 ans. 2 ans c’est long, voir même très long pour conserver un mensonge et se souvenir de jérémiades mise en scène. Toute la théorie tombe à l’eau avec son bottin produit sur un rapport farfelu et des enquêtes partiales à charge contre JP BEMBA de 3 000 pages.
Le briefing d’OCAMPO n’a pas fait long feu. La tartuferie de celui qu’on appelle le Procureur, est mise à l’évidence…Du coup, le ciel se dégage de ses Cunilimbus, pour faire apparaître le soleil.
Le vent commence à tourner à la CPI, ce n’est plus la même chanson sur le procès JP BEMBA. Le témoin sous l’identifiant 38 avait fait ses siennes à la cour le jeudi 25 novembre 2010, avec ses déclarations approximatives. Ce vendredi les deux avocats du Chairman ont atomisés ce malheureux victime de la conjonction internationale faite autour de ce procès inique et bâclé. Un procès sans précédent dans les annales judiciaires…
A la lumière de cette aventure concoctée par un seul homme, le procureur Luis MORENO OCAMPO, la boîte de pandore s’ouvre, et elle fait échapper une odeur nauséabonde au lieu de voir à la place la déesse des eaux profonde. Mais l’odeur en question qui s’échappait de cette merveilleuse boîte, assombrie le ciel de la HAYE et empeste même le devenir professionnel de celui qui était le dépositaire de ce joyau. La fin de carrière de ce petit procureur approche.
Les deux derniers jours ont été cruciaux pour le Leader incontesté de l’opposition et un calvaire combiné avec des insomnies pour ce fameux Procureur avec la prise de Tranxène, un puissant anxiolytique…
D’après les avocats assignés à sa défense, vidéo à l’appui, le sort de JP BEMBA repose sur les témoins qui deviennent par enchantement aphasique, oublieux, approximatifs et aux antipodes de leurs premières déclarations datant de 2 ans. 2 ans c’est long, voir même très long pour conserver un mensonge et se souvenir de jérémiades mise en scène. Toute la théorie tombe à l’eau avec son bottin produit sur un rapport farfelu et des enquêtes partiales à charge contre JP BEMBA de 3 000 pages.
Le briefing d’OCAMPO n’a pas fait long feu. La tartuferie de celui qu’on appelle le Procureur, est mise à l’évidence…Du coup, le ciel se dégage de ses Cunilimbus, pour faire apparaître le soleil.
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