Blueberry, l'expérience secrète est un film de Jan Kounen sorti en 2004 et s'inspirant librement de la bande dessinée Blueberry créée par Jean-Michel Charlier et Jean Giraud alias Mœbius.
Synopsis
Après avoir passé son adolescence parmi les Indiens, Mike Blueberry est devenu le marshall d'une petite ville située non loin des terres sacrées amérindiennes. Il tente d'empêcher des chasseurs de trésor de s'aventurer sur ces territoires interdits.« Bienvenue dans l'inconnu ! . Le film présente en effet l'initiation de Blueberry au monde des Indiens, au monde intérieur.
Critique
Le film s'inspire des albums La Mine de l'Allemand perdu et Le Spectre aux balles d'or (tomes 11 et 12). Cependant, le cinéaste s'est octroyé d'extrêmes libertés, en ne gardant qu'une très faible portion de la trame de ces récits, en modifiant la biographie du personnage-titre (qui devient un cadien de Louisiane, justifiant ainsi l'emploi d'un acteur français) – biographie pourtant très précisément décrite dans Ballade pour un cercueil – et en y ajoutant des thématiques personnelles telles que le chamanisme et les drogues hallucinogènes, alors qu'aucun des albums de Blueberry ne montre le personnage dans une de ces situations.
Le film a globalement été mal reçu par la critique, notamment sur le web avec une cote de 38 % sur Rotten Tomatoes et 1,5 étoiles sur 5 sur AlloCiné.
La majorité des critiques ont fustigé le manque total de fidélité par rapport aux personnages et à l'histoire originelle, ainsi que le récit décousu et peu crédible[réf. nécessaire]. Du côté des avis positifs, la qualité visuelle du film ainsi que son approche inédite des sciences occultes et du chamanisme ont été mises en avant[réf. nécessaire]. Le film a notamment trouvé un écho favorable parmi les amateurs desdites sciences ou de plantes psychotropes.
Jean Giraud a toujours apporté son soutien au projet de Jan Kounen et apparait même en caméo dans le film. Giraud : « Ce que j'aime dans le travail effectué par Jan Kounen, c'est l'esprit dans lequel il a envisagé l'adaptation. Il s'est senti libre de s'emparer du récit pour en faire quelque chose qui lui tient vraiment à cœur. Tout en étant très amoureux et respectueux de l'œuvre originale, il ne s'est pas laissé emprisonner par elle »1. Les héritiers de Jean-Michel Charlier n'ont pas été du même avis puisqu'ils ont demandé aux producteurs de retirer le nom de Charlier du générique.
Synopsis
Après avoir passé son adolescence parmi les Indiens, Mike Blueberry est devenu le marshall d'une petite ville située non loin des terres sacrées amérindiennes. Il tente d'empêcher des chasseurs de trésor de s'aventurer sur ces territoires interdits.« Bienvenue dans l'inconnu ! . Le film présente en effet l'initiation de Blueberry au monde des Indiens, au monde intérieur.
Critique
Le film s'inspire des albums La Mine de l'Allemand perdu et Le Spectre aux balles d'or (tomes 11 et 12). Cependant, le cinéaste s'est octroyé d'extrêmes libertés, en ne gardant qu'une très faible portion de la trame de ces récits, en modifiant la biographie du personnage-titre (qui devient un cadien de Louisiane, justifiant ainsi l'emploi d'un acteur français) – biographie pourtant très précisément décrite dans Ballade pour un cercueil – et en y ajoutant des thématiques personnelles telles que le chamanisme et les drogues hallucinogènes, alors qu'aucun des albums de Blueberry ne montre le personnage dans une de ces situations.
Le film a globalement été mal reçu par la critique, notamment sur le web avec une cote de 38 % sur Rotten Tomatoes et 1,5 étoiles sur 5 sur AlloCiné.
La majorité des critiques ont fustigé le manque total de fidélité par rapport aux personnages et à l'histoire originelle, ainsi que le récit décousu et peu crédible[réf. nécessaire]. Du côté des avis positifs, la qualité visuelle du film ainsi que son approche inédite des sciences occultes et du chamanisme ont été mises en avant[réf. nécessaire]. Le film a notamment trouvé un écho favorable parmi les amateurs desdites sciences ou de plantes psychotropes.
Jean Giraud a toujours apporté son soutien au projet de Jan Kounen et apparait même en caméo dans le film. Giraud : « Ce que j'aime dans le travail effectué par Jan Kounen, c'est l'esprit dans lequel il a envisagé l'adaptation. Il s'est senti libre de s'emparer du récit pour en faire quelque chose qui lui tient vraiment à cœur. Tout en étant très amoureux et respectueux de l'œuvre originale, il ne s'est pas laissé emprisonner par elle »1. Les héritiers de Jean-Michel Charlier n'ont pas été du même avis puisqu'ils ont demandé aux producteurs de retirer le nom de Charlier du générique.
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Court métrage