WATINE - THE STRINGS OF MY FATE Prix du meilleur clip 2011 DAILYMOTION
Ce clip a remporté en juin 2011, le concours DAILYMOTION du meilleur réalisateur
Réalisation THomas GUERIGEN - 2011
L’univers de Watine est très souvent associé au cinéma de Michel Gondry et de Tim Burton et la musique de Danny Elfman, compositeur attitré de ce dernier.
Le titre The strings of my fate (paroles jointes) raconte la fatale attraction entre deux êtres qui s’aiment d’une passion incandescente , se séparent, créant le chaos, et se reforment car il ne peut en être autrement dans une grande passion amoureuse.
Pour apporter une cohérence visuelle à la chanson et à son univers musical, il est décidé de créer une marionnette esprit « Grand siècle » dont les fils qui la relient à son manipulateur, vont céder brusquement, lui laissant expérimenter une liberté qui l’enchante au début. La main du marionnettiste la cherche dans la forêt, elle se cache pour l’éviter dans un premier temps, puis accepte de retrouver ses fils (qui symbolisent sa reddition mais en même temps l’espoir d’un futur heureux, et le symbole plus ésotérique du lien retrouvé avec le créateur).
La marionnette a été fabriquée à partir de photos à 360° de l’artiste WATINE, et la ressemblance est étonnante surtout de profil. Une belle équipe de production très motivée s’est mobilisée autour de ce projet qui s’est tourné dans un studio d’animation où l’on a pu créer tout le décor du vidéoclip.
Réalisation THomas GUERIGEN - 2011
L’univers de Watine est très souvent associé au cinéma de Michel Gondry et de Tim Burton et la musique de Danny Elfman, compositeur attitré de ce dernier.
Le titre The strings of my fate (paroles jointes) raconte la fatale attraction entre deux êtres qui s’aiment d’une passion incandescente , se séparent, créant le chaos, et se reforment car il ne peut en être autrement dans une grande passion amoureuse.
Pour apporter une cohérence visuelle à la chanson et à son univers musical, il est décidé de créer une marionnette esprit « Grand siècle » dont les fils qui la relient à son manipulateur, vont céder brusquement, lui laissant expérimenter une liberté qui l’enchante au début. La main du marionnettiste la cherche dans la forêt, elle se cache pour l’éviter dans un premier temps, puis accepte de retrouver ses fils (qui symbolisent sa reddition mais en même temps l’espoir d’un futur heureux, et le symbole plus ésotérique du lien retrouvé avec le créateur).
La marionnette a été fabriquée à partir de photos à 360° de l’artiste WATINE, et la ressemblance est étonnante surtout de profil. Une belle équipe de production très motivée s’est mobilisée autour de ce projet qui s’est tourné dans un studio d’animation où l’on a pu créer tout le décor du vidéoclip.
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Musique