Depuis Google maps, semblable à un haut du ciel , les regards et les pensées de Ridha Dhib, Souad Mani et Sonia Makhlouf se sont croisés sur un point du globe, celui du cimetière marin de Mahdia.
Ce monde des pierres, du silence, de l’entre vie et mort ne peut que saisir le créateur épidermiquement, viscéralement, non par l’esprit mais par le corps et la chair. Cet espace comme accroché au ciel, prêt à prendre le large, si solidement enraciné dans la terre incite le « navigateur » à en explorer sa morphologie spatiale et à saisir l’âme et la mémoire de ses vestiges et de ses tombes.
« Ici », dans « l’ailleurs » cybernétique nous avons fixé les dates de nos explorations : Les 11, 12 et 13 Janvier 2012 nous avons arpenté l’espace du cimetière. Durant ces trois jours suspendus dans le temps nous sommes entrés en connexion avec ce monde si singulier où les repères du temps, de l’espace, de la mort et de la vie sont abolis.
Notre passage au dur a généré des expérimentations, des couleurs, des lignes, des reflets, des éléments, des temps, des plateaux, des intensités et des devenirs.
Notre confrontation au cimetière a contribué à l’alimentation de sa cartographie . Vu de « haut » les cendres de nos essences sont désormais visibles, cet espace portera la trace de notre passage : nos ecceiétes.
La carte : http://maps.google.fr/maps/ms?msid=212911289137757393319.0004b18bade294656f526&msa=0&ll=35.505618%2C11.076309&spn=0.010114%2C0.019033 — avec Sonia Makhlouf et 2 autres personnes.
Ce monde des pierres, du silence, de l’entre vie et mort ne peut que saisir le créateur épidermiquement, viscéralement, non par l’esprit mais par le corps et la chair. Cet espace comme accroché au ciel, prêt à prendre le large, si solidement enraciné dans la terre incite le « navigateur » à en explorer sa morphologie spatiale et à saisir l’âme et la mémoire de ses vestiges et de ses tombes.
« Ici », dans « l’ailleurs » cybernétique nous avons fixé les dates de nos explorations : Les 11, 12 et 13 Janvier 2012 nous avons arpenté l’espace du cimetière. Durant ces trois jours suspendus dans le temps nous sommes entrés en connexion avec ce monde si singulier où les repères du temps, de l’espace, de la mort et de la vie sont abolis.
Notre passage au dur a généré des expérimentations, des couleurs, des lignes, des reflets, des éléments, des temps, des plateaux, des intensités et des devenirs.
Notre confrontation au cimetière a contribué à l’alimentation de sa cartographie . Vu de « haut » les cendres de nos essences sont désormais visibles, cet espace portera la trace de notre passage : nos ecceiétes.
La carte : http://maps.google.fr/maps/ms?msid=212911289137757393319.0004b18bade294656f526&msa=0&ll=35.505618%2C11.076309&spn=0.010114%2C0.019033 — avec Sonia Makhlouf et 2 autres personnes.
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