Après avoir quitté les villages départ du Futuroscope de Poitiers et de Saint-Jean de Luz jeudi, les 1375 équipages du 4L Trophy ont roulé à travers la France et l’Espagne pour rallier ce vendredi Algeciras, point d’embarquement pour le Maroc. Samedi, la troupe entamera sa traversée vers Tanger.
Ils ont laissé derrière eux les immenses champs d’oliviers, les plaines arides aux allures de décors de western et les cimes enneigées de la Sierra Nevada. Et puis tout à coup s’est dressé à l’horizon le majestueux rocher de Gibraltar, symbole d’une Afrique toute proche, aux côtes presque palpables. Un rocher qui marque la fin d’une longue route pour les 2700 Trophistes, même si l’aventure n’a pas attendu le Maroc pour taper à la portière des candidats au désert.
Pour certains, la nuit fut même frisquette. « On a dormi un peu dehors, et puis on est rentré vers 6 heures du matin pour se coucher dans la 4L », raconte ainsi Alexis de l’équipage 2139. Kévin, voiture 141, pensait avoir flairé la bonne affaire en dégottant une chambre d’hôtel bon marché après 100 kilomètres de recherche sur l’autoroute. Malgré le lit de camp et le matelas jeté directement à terre pour l’accueillir lui et trois de ses compagnons, le sommeil fut long à venir. « Il n’y avait pas de chauffage donc on a tous dormi avec nos sacs de couchage, sourit Kévin, loin d’avoir perdu son sens de l’humour. Je crois que j’aurai eu moins froid dans la 4L… On espère retrouver la chaleur au Maroc ! » D’autres comme Florent, voiture 1693, ont su déjouer les pièges de la mécanique : « On a eu une petite panne moteur. On a croisé les doigts, on a nettoyé les bougies et puis il est reparti et ça a tenu jusqu’à Algeciras. »
Ils ont laissé derrière eux les immenses champs d’oliviers, les plaines arides aux allures de décors de western et les cimes enneigées de la Sierra Nevada. Et puis tout à coup s’est dressé à l’horizon le majestueux rocher de Gibraltar, symbole d’une Afrique toute proche, aux côtes presque palpables. Un rocher qui marque la fin d’une longue route pour les 2700 Trophistes, même si l’aventure n’a pas attendu le Maroc pour taper à la portière des candidats au désert.
Pour certains, la nuit fut même frisquette. « On a dormi un peu dehors, et puis on est rentré vers 6 heures du matin pour se coucher dans la 4L », raconte ainsi Alexis de l’équipage 2139. Kévin, voiture 141, pensait avoir flairé la bonne affaire en dégottant une chambre d’hôtel bon marché après 100 kilomètres de recherche sur l’autoroute. Malgré le lit de camp et le matelas jeté directement à terre pour l’accueillir lui et trois de ses compagnons, le sommeil fut long à venir. « Il n’y avait pas de chauffage donc on a tous dormi avec nos sacs de couchage, sourit Kévin, loin d’avoir perdu son sens de l’humour. Je crois que j’aurai eu moins froid dans la 4L… On espère retrouver la chaleur au Maroc ! » D’autres comme Florent, voiture 1693, ont su déjouer les pièges de la mécanique : « On a eu une petite panne moteur. On a croisé les doigts, on a nettoyé les bougies et puis il est reparti et ça a tenu jusqu’à Algeciras. »
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