Radio Iranienne, interview le 17 avril 2012 de Alain Soral, écrivain sociologue, au sujet des pourparlers d'Istanbul, A.Soral livre une analyse géopolitique assez comparable à celle de T.Meyssan, en résumé: cette conférence d'Istanbul entérine de fait l'échec des va-t-en guerre dans les dossiers Iranien et Syrien; Etats Unis en tête, le camp occidental a du admettre qu'il n'avait pas les moyens de lancer une offensive d'envergure face à la résistance de l'Iran et surtout en raison du soutien de la Russiie et plus discrètement de la Chine qui s'opposent à toute nouvelle attaque de l'Otan au proche orient, et ce au grand désarroi d'Israel qui rêvait déjà d'un affrontement majeur permettant de mettre hors jeu sous prétexte de menace nucléaire cette puissance régionale qu'il juge hostile à ses intérêts.
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