toi moi

Mes rêves s’envolent vers le ciel,
Et je ne les retiens pas,
Ils s’étaient endormis de toute façon,
Mes rêves s’envolent vers la nuit,
Et je ne les vois plus,
Je veux continuer ma route sans eux,
Sans eux, mais avec toi, ma vie,
Sans eux, mais toi et moi, toi et moi,
La vie me rappelle les yeux de mon père,
Sans cesse, le vide de ma vie,
Je veux continuer ma route sans la voir,
Je ne veux rien prédire, sans maudire,
Mes pas se prennent pour des nuages,
Et je ne les retiens plus,
Ils vont de l’avant vers l’avant,
Et je ne les vois plus,
J’en oublie de regarder le monde,
Et dans mes rêves,
Je ne vois plus que toi, toi, toi et moi,
Et j’avance, j’avance en poussant les nuages,
Mon amour, je te vois dans le ciel,
Ne m’en veut pas, non, non, non, ne m’en veut pas,
Si, si je ne peux pas te toucher,
Mes rêves, tu le sais bien, sont fait pour rester ici,
Mais, si ils s’en vont, je ne les retiens pas,
Je ne les retiens pas,
Je ne veux rien prédire, je ne veux pas maudire,
Mon amour ressemble aux yeux de ma mère,
Mes mots se dessinent des ailes,
Puis s’envolent, puis s’envolent avec mes rêves,
Et mes rêves se prennent pour des papillons,
Et je ne les retiens pas,
J’ai peur de tomber, et, et, tu ne me retiens pas,
Mon amour, où tu t’en vas,
Je ne peux plus vivre sans toi,
Je sens ma vie qui s’enfonce,
Mes anges qui deviennent des diables,
Et je ne les retiens pas,
La nuit me rappelle la douceur de ta voix,
Ta voix me rappelle la douceur de mes nuits,
Et comme un loup je me mets à hurler,
L’absence de mon bonheur,
Je pousse des cris, et, et je ne les retiens pas,
Embrasse moi, embrasse moi, mon amour,
Viens, reviens avec moi, viens,
Je rêve encore de partir,
Oh oui de partir, toi et moi, toi et moi,
Dis moi que ce n’est pas fini,
Dans le ciel, les nuages ne s’effacent pas,
Dans le ciel, je ne te vois pas,
Où vas-tu, où vas-tu sans moi,
Je t’en prie, emmène avec toi,
Oui avec toi, quelques mots de moi,
Que l’on puisse être encore une fois,
Encore une fois, toi, toi et moi…