Résumé : Jamais oubliés, sans cesse redécouverts... Jacques Brel et Barbara continuent d'inspirer de nombreux artistes, toutes générations confondues, qui reprennent leurs chansons avec ferveur.
L'amitié qui les liait est, en revanche, beaucoup moins connue, et peu se souviennent aujourd'hui qu'ils ont joué ensemble dans un film réalisé par Jacques Brel, Franz.
Les prises de vues se sont déroulées sur les plages belges de la mer du Nord, de mai à juillet 1971, et à l'époque c'était un véritable événement, dont la presse a largement rendu compte.
L'ambiance sur le tournage était chaleureuse, palpitante, portée par un réalisateur qui savait parfaitement ce qu'il voulait. Barbara, novice au cinéma, se pliait sans broncher aux exigences de Brel. « C'est d'une grande tendresse, d'une grande cruauté, comme Brel, comme ses chansons et sous un ciel qu'il aime », déclarait-elle à l'époque. Le film est en effet nourri des obsessions du créateur du Plat pays : la Belgique, la bêtise, les mensonges des femmes...
En 1972, Franz a représenté la Belgique au festival de Cannes mais, en salles, l'histoire d'amour bancale et attachante qu'il raconte ne rencontra pas vraiment son public. Quarante ans plus tard, le « grand film malade » dont parlait Truffaut garde son charme maladroit et sa poésie mélancolique.
Notre documentaire Tu sauras qui je suis prend appui sur ce film, unique création commune de Brel et Barbara, pour retracer leur belle amitié.
Pour cela, nous recueillerons essentiellement les témoignages précieux de proches ou de collaborateurs qui les ont connus directement, au-delà de l'image parfois envahissante du « Grand Jacques » ou de la « longue dame brune ».
L'amitié qui les liait est, en revanche, beaucoup moins connue, et peu se souviennent aujourd'hui qu'ils ont joué ensemble dans un film réalisé par Jacques Brel, Franz.
Les prises de vues se sont déroulées sur les plages belges de la mer du Nord, de mai à juillet 1971, et à l'époque c'était un véritable événement, dont la presse a largement rendu compte.
L'ambiance sur le tournage était chaleureuse, palpitante, portée par un réalisateur qui savait parfaitement ce qu'il voulait. Barbara, novice au cinéma, se pliait sans broncher aux exigences de Brel. « C'est d'une grande tendresse, d'une grande cruauté, comme Brel, comme ses chansons et sous un ciel qu'il aime », déclarait-elle à l'époque. Le film est en effet nourri des obsessions du créateur du Plat pays : la Belgique, la bêtise, les mensonges des femmes...
En 1972, Franz a représenté la Belgique au festival de Cannes mais, en salles, l'histoire d'amour bancale et attachante qu'il raconte ne rencontra pas vraiment son public. Quarante ans plus tard, le « grand film malade » dont parlait Truffaut garde son charme maladroit et sa poésie mélancolique.
Notre documentaire Tu sauras qui je suis prend appui sur ce film, unique création commune de Brel et Barbara, pour retracer leur belle amitié.
Pour cela, nous recueillerons essentiellement les témoignages précieux de proches ou de collaborateurs qui les ont connus directement, au-delà de l'image parfois envahissante du « Grand Jacques » ou de la « longue dame brune ».
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